Bacchanales estivales (3) Une partie de Colin-Maillard délirante par Pilouface


 

A l’heure des confidences sur l’oreiller, Leslie et Julien se sont glissés l’un dans l’autre. Je veux dire par là que chacun s’est glissé dans les souvenirs de l’autre. Après les premiers émois humides de Leslie avec son amie Mona, Julien a relaté les détails d’une session musicale libidineuse à sa tendre et perverse amie.

Excitée par les aventures et la voix câline de Julien, Leslie lui glisse dans le creux de l’oreille l’aboutissement de sa relation polissonne avec Mona. Une partie de Colin-Maillard délirante.

 

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Nous avons remis un peu d’ordre dans nos tenues trempées en marchant jusqu’à la maison de Mona. Je savourais la sensation de l’air libre sur mes fesses nues, appréciant avec espièglerie les mains baladeuses de ma nouvelle amie. Ma robe mouillée se collant à chaque pas contre mes cuisses faisait revivre en moi des souvenirs troubles et oubliés.

– C’est là que j’habite me dit-elle, en me précédant dans le jardinet entourant sa maison.
– C’est très sympa, on dirait une maison miniature.

Une toute petite maison de pierres aux murs recouverts de lierre. Une seule pièce unique au milieu de laquelle une longue table de chêne ajoutait à la rusticité de la décoration. Dans le fond de la pièce un lit et une armoire.

– C’est là que tu dors, lui demandai-je.
– Oui et non, j’ai une chambre mansardée à l’étage, mais je dors ici quand je ne suis pas seule.
– Ça t’arrive souvent de « ne pas être seule ? »
– De temps en temps, quand mon imagination et ma main droite ne suffisent plus à épancher ma soif de plaisir.
– Ce soir si je suis là, c’est pour combler ce manque ?
– Non, avec toi c’est différent. Dès que je t’ai vue, j’ai eu envie de toi. J’ai eu envie de poser mes lèvres sur ton sourire, de me faufiler dans le secret de tes pensées, de te dire des mots d’amour. En fait je crois que je suis tombée amoureuse… Je ne te choque pas au moins ?
– Non, mais je suis désorientée. Tu me parles d’amour alors qu’il n’y a eu entre nous que du sexe et un zeste de perversité.
– C’est encore meilleur quand les deux sont mêlés. Tiens ! Jolie Leslie, je vais te faire un cadeau.

Mona enleva son sweat-shirt et m’apparut dépoitraillée et fière d’elle. J’eus immédiatement une envie irrésistible de caresser ses seins, mais elle recula se dérobant à mes caresses. Elle fit descendre le zip de son jean, en se déhanchant lascivement, chantonnant en riant un air improvisé. Je ne comprenais pas ce qui se passait en moi. Jamais je n’avais encore eu cette pulsion d’envie charnelle envers une fille.

– Je te plais comme ça ?

Elle avait tout enlevé et s’offrait à moi dans une parfaite nudité. Son mont de vénus entièrement rasé me fascinait. L’envie de poser ma bouche sur cet aspect juvénile de sa féminité, montait en moi sans que je puisse y résister.

– Tu es belle et tu bouleverses toutes les bases de ma sexualité.
– Parce que je suis belle ou parce que c’est moi ?
– Je ne vois pas la différence, répondis-je.
– Moi j’en vois une, c’est qu’il y a partout des filles plus belles que moi, mais des comme moi, tu n’en trouveras jamais.

Je me remémorai les pratiques sexuelles auxquelles nous nous étions adonnées ensemble et je ne pus qu’acquiescer. Mona s’approcha de moi et caressa mes seins par-dessus ma robe.

– C’est vraiment la première fois que tu succombes aux avances d’une fille ?
– Oui, enfin, pas vraiment…
– Ah ! Racontes moi, je veux savoir.

Je lui racontai une aventure d’adolescente avec une amie. Mona m’écouta avec attention tout en me palpant un sein, tandis que de l’autre main elle souleva lentement ma robe.

– Tu l’as léchée partout, m’interrompit-elle.
– Oh non ! Pas partout !
– Dis-moi ce que tu as oublié de lui faire, maintenant que tu as un peu vécu.
– Je ne lui ai pas sucé le clito.
– Comme c’est dommage, et tu le regrettes ?
– Oui bien sûr.
– Et qu’as-tu encore oublié ?
– J’aurais dû lui lécher le petit trou du cul.
– Et puis quoi encore ?
– J’aurais dû lui demander de faire pipi sur moi.
– Sur tes seins ?
– Oui et sur mon ventre, et dans ma bouche aussi.
– Oh ! Tu te dévergondes ma jolie Leslie, dit Mona en enfournant un de ses doigts dans mon minou trempé.
– Tu es pour quelque chose dans mon dévergondage, non ?

Je continuai le récit de mes fantasmes à ma belle complice. J’étais debout et elle, accroupie devant moi, enfouissant son nez dans ma touffe blonde. J’en soupirai d’aise. Ses doigts, à la manière d’un peigne, s’insinuaient entre mes poils, caressaient, s’enfonçaient dans ma fente dégoulinante de désir et entre mes fesses. Je tenais sa tête entre mes deux mains pour la plaquer contre mon sexe brûlant. Voulant succomber au désir qui me tenaillait l’esprit et le ventre, je l’allongeai par terre. Je retirai ma robe pour plaquer mon corps nu contre le sien. Mes seins aux tétons durcis se posèrent sur les siens. Les ciseaux de nos cuisses s’entremêlèrent. Ma bouche se posa sur ses lèvres et notre baiser dura une éternité. Plus rien n’existait autour de nous en dehors du ballet de nos langues avides et frétillantes. Elle me donnait sa salive que j’avalais avec volupté. Je lui donnais la mienne. Nous nous mélangions par le va-et-vient continu de ce breuvage aphrodisiaque entre nos bouches.

Je pus enfin assouvir mon désir de lécher son minou si doux et tellement lisse. Je me délectais du parfum subtil de son sexe. J’y enfonçai mon nez pour capter encore plus de ses effluves. Nous nous sommes endormies dans les bras l’une de l’autre, transformant nos pulsions sexuelles un brin perverses, en la plus sensuelle des tendresses.

 

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Aie ! Aie ! Aie ! Ce mal de crâne ! Le réveil fut un peu difficile. Où étais-je, qui dormait à côté de moi ? Mes idées se remirent peu à peu en place.

Ce corps nu et chaud à côté de moi, c’était Mona. Mon premier réflexe fut de m’écarter de ce corps étranger, puis prenant conscience que tout en moi criait une autre réaction, je me blottis douillettement contre elle. Mona dormait encore, en chien de fusil en me tournant le dos et présentant ses fesses chaudes à ma convoitise matinale. Je me collai contre elle en petite cuillère. Mes seins contre son dos, mon ventre au contact de ses fesses et ma bouche sur sa nuque dégagée.

Je respirais les narines dilatées les odeurs de son corps endormi. Des effluves mélangées d’un reste de Chanel et différentes odeurs de transpiration qu’avaient pu dégager les charmes secrets de son intimité.

Était-elle réveillée ? Je le pressentais car sa respiration était trop maîtrisée pour un sommeil profond. Je décidais de la réveiller par une caresse entre ses fesses.

Aucune réaction apparente.

Je poussai doucement un doigt à l’entrée de son minou.

Mon amie restait impassible.

Je mis trois doigts réunis dans sa chatte bien trop mouillée, pour être honnête, à moins qu’un rêve érotique ne l’ait mise dans cet état.

Je pris goût à ce petit jeu du viol de l’endormie.

Je retirai mes doigts de son minou pour en introduire un à l’entrée de son anus.

Mona ne se réveilla toujours pas. Pourtant je crus un moment que l’anneau de son petit trou du cul consentait à l’intrusion digitale par une légère dilatation.

J’enfonçai mon doigt à fond. Il me semblait qu’il était impossible de dormir en se faisant enculer de la sorte.

Il y eut juste un petit gémissement de satisfaction de sa part.

Je retirai mon doigt tout doucement pour ressentir le mouvement de resserrement de son anus sur la fuite de mon index.

Mais toujours pas de réveil à l’horizon.

Je léchai mon doigt par curiosité et pour satisfaire une pulsion quasiment malsaine. Je n’y trouvai par de goût particulièrement désagréable.

C’était simplement excitant. J’aurais aimé qu’elle me fasse la même chose, mais oserai-je le lui demander ? Mais le doigt ne me suffisait plus et le désir d’y mettre la langue se fit en moi impératif.

Je plongeai sous les draps, ma tête au niveau de ses fesses. Dans le mouvement, Mona s’était allongée sur le ventre, laissant ainsi son cul exposé à mon projet obscène.

J’écartai ses deux globes adorables pour y plonger ma bouche.

Il me sembla alors impossible que mon viol amoureux pût encore la laisser de marbre.

Je me mis à lécher avec prudence d’abord, puis avec un véritable appétit et sans ménagement, la rosette de mon amie. Elle faisait semblant de dormir. Ce fut pour moi une évidence à ce moment. Son attitude de soumission totale attisa mon désir de possession et d’outrage délicieux.

Je forçai de ma langue son anus délicat. Jamais je n’aurais pu imaginer ressentir autant de plaisir à ce jeu inédit. Je constatai à ma grande surprise, la douceur extrême de la paroi interne de son trou du cul. J’exultai en silence. Je sentis mon minou couler de plaisir bien plus que de coutume.

Mon orgasme me surprit en pleine frénésie de cette possession anale. Je ne pouvais plus contenir la déferlante de plaisir qui me traversait de part en part.

Mona se retourna vers moi en me disant :

– Hum ! Bonjour amour.
– Tu étais réveillée depuis longtemps ?
– Peut-être, peut-être pas, c’est à toi de choisir. Jamais une sodomie ne me fut aussi douce. Merci ma chérie pour ce réveil sensuel.
– Tu n’as pas eu l’impression de te faire violer ?
– Je pencherais plutôt pour l’expression « abus d’assouvissement de pulsion irraisonnée »

Je partis d’un fou rire et me jetai dans ses bras en la couvrant de baisers sonores.

– Tu me feras la même chose ?
– Je te ferai tout ce que tu désireras, surtout les demandes les plus déraisonnables.
– Maintenant je voudrais simplement te faire une jolie minette sur ton minou tout lisse. Depuis hier soir il hante mes pensées.
– On devrait peut-être commencer par une bonne douche, non ? Après nos frasques d’hier, on ne doit pas sentir la rose.
– M’en fous, la rose et les plis de sa robe pourprée, tu sens l’amour, et c’est meilleur que tout, dis-je en plongeant entre ses cuisses.

J’avais la bouche sur son clito et ma langue frétillait déjà dans sa chatte comme un poisson dans l’eau quand soudain… Dring !!!

– Merde, le téléphone ! Dit Mona. Continue Leslie, c’est trop bon je réponds en même temps.

J’entendais le grésillement d’une voix sans comprendre ce qui se disait, mais les réponses de Mona dévoilaient peu à peu l’objet de l’appel.

– Je ne suis pas seule, dit Mona.

(Grésillement d’une voix imperceptible)…

– Non avec une femme.
– …
– Oui, nous avons dormi ensemble.
– …
– Tu ne peux pas passer un autre jour ?
– …
– Je ne sais pas si elle acceptera.
– …
– Pour l’instant, elle me broute le minou, tu comprends qu’elle a d’autres chats à fouetter que ton érection incontrôlable.
– …
– Leslie, tu peux arrêter une seconde, j’ai un truc à te demander.
– C’est ton amant ?
– Oui, il veut passer pour me baiser sur le pouce. Il en a trop envie. Mais je n’ai pas envie que tu partes et tu seras peut-être mal à l’aise s’il me baise alors que tu es à côté.
– Heuuu… Non, finalement je trouve la situation assez cocasse et excitante. Je me ferai un petit solo de mandoline pendant que votre duo planera au 7ème ciel.
– Allo ! Ah, tu as entendu sa réponse.
– …
– Leslie, il y a un petit problème, il ne voudrait pas être reconnu. Tu comprends c’est un élu et il ne veut pas prendre de risques.
– …
– J’ai une idée, continua Mona, il suffit de lui bander les yeux, ce serait excitant de la savoir près de nous sans qu’elle puisse nous voir.
– …
– Tu as compris, Leslie ? Le jeu te paraît-il excitant ?
– Excitant et insolite. Il vaut la peine d’être tenté.
– Ok mon chou ! Elle est d’accord. Tu peux venir. Le temps de prendre une douche.

Je quittai à regret son petit bouton d’amour et nous prîmes rapidement une bonne douche. Nous en profitâmes pour nous caresser et nous embrasser sous le jet tiède à bouches affamées.

Mona me prêta une de ses robes, très légère et assez courte. Je l’enfilai sans soutien-gorge.

– Tu veux une petite culotte ? me demande Mona.
– Oui, je ne voudrais pas passer pour une allumeuse en exhibant mon minou sans défense à un inconnu.
– Qui te dit qu’il pourra voir sous ta robe, ma chérie ?
– Mon petit doigt, tout simplement.
– Celui qui a percé mon petit trou dans le lit ?
– Oui, celui-là.
– Alors tu peux le croire, il est très persuasif.

Mona me donna un joli petit slip de dentelle blanche, qui se voyait en transparence sous le fin tissu de la robe noire.

– C’est un peu transparent, non ? Demandai-je à mon amie.
– Juste un peu et comme ça, il ne se posera pas de question sur le fait que tu portes ou ne portes pas de culotte. Elle s’impose au regard. Ce ne sera pas impudique car elle sera perçue par l’œil de mon amant comme un cadeau que nous lui offrons toi et moi.
– Je ne me fais pas de soucis, dis-je. Tu seras la première à profiter de son excitation.
– Tu es adorable ! Moi je ne mets rien en dessous. Je tiens à ce que sa main au cul en guise de salut ne soit pas entravée par un bout de tissu. Tiens le voilà ! Mets ton foulard Leslie.

J’étais assise sur la banquette du salon, sagement, les genoux serrés, le buste bien droit, presque à l’aise dans l’écrin de ma petite robe noire. L’ouïe sans doute plus sensible dans cette obscurité totale, je perçus sa voix comme agréable, virile, posée et douce. Le timbre en était chaud et elle devait être une vraie gourmandise à l’heure des mots d’amour.

– Leslie je te présente Ted. Ted je te présente Leslie.
– Enchantée !
– Enchanté ! Vous êtes très belle Leslie, et je comprends que Mona ait craqué sur vous.
– Votre voix est envoûtante, répondis-je et si le reste est à l’avenant, j’envie mon amie Mona.
– On se fait la bise, dit Ted, cela nous rapprochera un peu. Vous devez vous sentir isolée dans votre obscurité.
– Oui un peu, mais l’expérience est émoustillante.

Il sentait bon, et sa main s’est posée sur mon sein quand il m’a embrassée. Il la retira sans précipitation, non sans l’avoir un peu palpé.

Il revint vers Mona en lui disant :

– J’ai envie de toi depuis mon réveil ce matin et j’ai expédié les affaires courantes au bureau en attendant cet instant avec impatience.
– Je n’ai pas mis de culotte, répondit Mona et tu ne l’as pas encore vérifié.
– Ah, comme tes fesses sont bonnes, répliqua Ted ! Fraîches, tendres et douces à la fois.
– Ta queue est dure et palpitante. Comme il me tarde de la sentir au fond de mon ventre.
– Tu l’auras dans le con et dans le cul aussi, ma belle. Je me sens ce matin dans une forme resplendissante et prêt à toutes les fantaisies.

Je suivais la progression de leur ardeur, les grognements du mâle dont la voix chaude atténuait la crudité de ses propos, les gémissements de la femelle aussi impudique dans le choix de ses mots. Je percevais la situation comme un rêve étrange mais dans le sens excitant du terme.

Je sentais l’humidité envahir mon minou, et je serrais mes cuisses en les frottant l’une contre l’autre, afin de faire monter en moi le désir qui m’envahissait.

Ils ne parlaient plus mais les bruits qui me parvenaient étaient comme les sous-titres de leur copulation.

Désireuse de rompre cette osmose amoureuse dont j’étais trop absente, j’entrepris de faire un peu d’exhibitionnisme. Je desserrai les jambes en remontant ma robe.

Il n’y eut pas de réaction perceptible. Je devais aller plus loin. J’ouvris alors largement mes cuisses tout en cachant mon intimité de la main. La réaction fut immédiate.

– Elle a une jolie culotte, dit Ted entre deux poussées de reins sonores.
– Je connais ce qui se cache sous sa petite culotte, reprit Mona, un vrai trésor. Leslie, tu veux bien écarter la dentelle de ta culotte et dévoiler ta toison magnifique à Ted ?

Comme il m’était agréable d’obéir à un tel ordre. Je ne pouvais qu’imaginer le regard de Ted sur mon intimité, mais le fait de m’exhiber et ne rien voir m’excitait au plus haut point. Plus encore que le regard de Ted, je voulais celui de Mona. Savoir qu’elle se faisait baiser en reluquant ma chatte.

Je décidai donc de donner du spectacle à mon amie et, par association incontournable, à son amant.

Glissant mes doigts sous le tissu de ma culotte, j’écartai largement la dentelle pour laisser ma chatte en proie à leur convoitise.

– Quelle belle touffe blonde, dit Ted.
– Tu peux mater sa chatte, mais n’oublie pas de me baiser, lui rétorqua Mona.

J’étais aux anges. Follement excitée par mon audace et à la fois honteuse de mon exhibition.

– Enlève ta culotte, me demanda Mona d’une voix altérée par l’imminence de sa jouissance.

J’eus à ce moment l’outrecuidance de penser que mon amie était bien plus excitée par mon exhibition que par les violents coups de bite de son amant. J’enlevai donc ma culotte en ouvrant ostensiblement les jambes et en jetant le rempart de mon intimité dans la direction de leurs ébats.

L’orgasme de Mona ne fut pas des plus discrets. Ted, lui, n’avait pas joui, ou alors en silence, ce qui aurait été en discordance avec l’atmosphère torride de leur étreinte.

Je les entendis se rapprocher de moi et Mona dire à son amant :

– Exprime un souhait Ted, je te l’accorde d’avance et Leslie ne saura me le refuser.
– Plonger mes doigts dans sa belle touffe blond-doré ?
– Accordé, répondit Mona. Pas d’objection ma chérie ?
– Non.

Je sentis aussitôt une main se poser délicatement sur mon pubis et jouer avec les boucles de mon gazon. Étonnement, la caresse demeurait très pudique et je ne sentis aucun doigt s’insérer à l’assaut de ma fente pourtant dégoulinante de mouille.

– Je voudrais faire une remarque, dis-je. Ted me mate depuis son arrivée, il a eu le privilège de scruter ma chatte dans ses moindres détails, mais je n’ai eu aucune remarque me faisant part de sa satisfaction ou de sa déception peut-être. Il m’a trouvé jolie habillée, comment me trouve-t-il dans le rôle de l’exhibitionniste libertine ?
– Elle est délicieuse ! Dit Ted en riant.
– Qui, rajoutai-je, moi ou ma chatte ?
– Les deux, belle exhibée. Ton minou… Si tu me permets de te tutoyer, ton minou est plus beau que  » le champ de blé  » de Van Gogh. Et j’aimerais bien que tu enlèves ta robe pour laisser tes seins s’épanouir à l’air libre.

C’est Mona qui fit passer ma robe par-dessus mes épaules. Elle empauma mes seins pour les présenter à son amant. Je restai impassible et me fendis d’un léger merci quand il me dit que mon corps n’avait pas de rival sérieux même face aux canons de beauté que produit le cinéma, si ce n’est, rajouta-t-il en riant celui de Mona qui, me souffla-t-il à l’oreille, a le cul le plus excitant et le plus joli de tous ceux que j’ai pu voir jusqu’ici.

– Tu dis ça, reprit Mona, alors que tu n’as pas encore vu celui de la jolie Leslie.
– C’est donc une invitation à contempler ce joli postérieur, répondit Ted en me regardant.
– Leslie dit Mona, acceptes-tu de montrer ton cul à Ted ?
– Debout ou en levrette ? Interrogeai-je.
– Debout d’abord pour faire admirer la courbe de tes hanches, et en levrette pour mettre en valeur la rondeur de tes fesses ainsi que la fossette délicieuse juste en haut de ta raie.

Je me levai en tournant le dos aux deux amants. Une main me caressa les fesses. A sa douceur je reconnus celle de Mona. Elle appuya ensuite sur mes épaules, m’incitant ainsi à me pencher et à plier les jambes. A genoux, la tête contre le sol les fesses en l’air j’offrais à l’amant de mon amie une vue plongeante sur la raie de mon cul et sur ma chatte trempée.

– Quel cul, quel cul ! répétait Ted. A damner un Saint !
– Leslie, me demanda Mona, écarte tes fesses à deux mains pour exhiber à Ted ton mignon petit cratère.

Bien sûr il y avait la tension érotique du moment ! Bien sûr nous avions tous les trois, déjà franchi le Rubicon de la bienséance ! Pourtant c’est avec un sentiment de honte et de culpabilité mêlées qu’écartant mes fesses à deux mains, j’offris à son amant l’ultime rempart de ma pudeur.

–  » C’est trop beau, trop bandant, trop excitant, psalmodiait Ted, ton trou du cul est une vraie merveille.  »

Les compliments érotiques de Ted m’incitèrent à plus d’impudeur encore. Je poussai légèrement en dilatant mon anus par petites palpitations.

– Mon cœur s’emballe, psalmodiait Ted. Ma queue bande à tout rompre. Tu es divine Leslie et ton trou du cul est la septième merveille du monde.
– Leslie a mérité quelques compensations à son exhibition, l’interrompit Mona. Si tu veux Leslie, je t’offre la queue de Ted. Pas l’homme, uniquement sa queue. Tu en fais ce que tu veux. Tu peux la caresser, la branler, la sucer. Tu peux te la mettre dans la chatte ou dans le petit trou qui nous a tant séduit. Ce que tu veux. C’est moi qui offre et Ted serait bien ingrat de refuser.

Je me relevai et avançai la main sans répondre. Je saisis la queue de Ted. Hum ! Encore chaude et mouillée du jus d’amour de mon amie, sa raideur était restée intacte. J’étendis le champ de mes caresses, pour aller musarder dans le bas de son dos. J’ai toujours aimé titiller les hommes du côté de leurs fesses. J’étais curieuse de savoir dans quelle catégorie se situait Ted. Celle des mecs qui pensent qu’une bite raide et endurante suffit à la satisfaction des femmes, ou celle de ceux qui sans tabous, profitent de tous frissons d’où qu’ils viennent.

Je glissai donc un doigt entre ses fesses. Un petit hum de satisfaction m’incita à pousser plus loin mon intrusion.

Mona s’accroupit près de moi. Ted, debout, jambes légèrement écartées, soupirait de plaisir sous mes caresses.

– Occupes-toi de son cul, me chuchota Mona à l’oreille, en même temps je lui pomperai le dard.
– Je ferai ce que je veux, lui répondis-je sur le même ton.
– Comme il te plaira, tu es la reine, ma belle. Nous allons voir si notre visiteur matinal peut résister longtemps à l’assaut de quatre mains et de nos deux bouches.

Je poussai donc un doigt à l’entrée de l’anus de Ted, qui poussa sur son sphincter pour faciliter mon intrusion. Un peu timide quand même, je n’osais pas aller trop loin dans le fondement du mâle pourtant consentant. Je me contentais de faire tourner ma première phalange dans son anus. Son anneau était très serré et étranglait délicieusement mon doigt.

– Il est très serré, dis- je à Mona en tapinois.
– Attends je vais venir avec toi.

Je sentis la main de Mona se joindre à la mienne. Elle colla son doigt le long du mien et poussa en élargissant ainsi la porte étroite de son amant.

Son muscle anal se relâchait peu à peu. La pression sur nos doigts était moins forte. Mona s’amusait à entortiller son doigt autour du mien. C’était amusant et excitant. Ted avait une main dans mes cheveux et j’imaginai l’autre dans ceux de Mona. Ses doigts se crispaient sur notre crâne à chaque poussée de notre enculade commune. La communication tactile entre notre désir et son plaisir était parfaite. Mona le pompait de plus en plus vite. L’orgasme du coquin pointait déjà sous les frissons saccadés de son corps tout entier.

– A toi maintenant, me dit Mona en me guidant vers la queue de Ted.

Avant d’avoir eu le temps de réagir, elle avait fourré la queue palpitante entre mes lèvres. Au comble de l’excitation, je branlais la queue d’une main tout en suçant le gland. De l’autre main je palpais ses couilles qui me semblaient épilées. Ted tenait ma tête entre ses mains puissantes et guidait le mouvement de sa queue dans ma bouche. D’une poussée plus violente il planta sa bite tout au fond de ma gorge, ce qui me provoqua un hoquet incontrôlable. Je dus lâcher sa queue par mouvement réflexe et me mis à tousser, assise par terre dans mon obscurité.

Mona vint près de moi et me caressa les joues, d’un mouvement tendre.

– Tu sais, me dit-elle d’une voix consolatrice, nous n’avons pas la gorge aussi profonde ni aussi accueillante que les actrices spécialisées. Mais ce n’est pas grave.
– Je veux te lécher, Mona, j’ai besoin de ça maintenant. J’ai besoin de toi.
– Allonge-toi, ma chérie. Je vais me placer en 69 au-dessus de toi.

J’eus en quelques secondes, le minou lisse de Mona sur ma bouche. Je le léchai avec gourmandise. Quel bonheur ! Quelle douceur ! Mona ramena mes jambes sur mes seins en les coinçant avec ses bras. Elle s’était redressée et se tenait à genoux, sa chatte muselant ma bouche. Dans cette position je me savais ouverte, la chatte béante et l’anus dilaté. J’enfonçai ma langue au plus profond de sa caverne coulante de cyprine. C’était exquis, je savourai cet instant unique tout en imaginant que Mona avait une idée derrière la tête en exposant ma chatte et mon cul à la convoitise de son amant.

J’aspirai son jus avec avidité et je me mis à imaginer qu’un flot impétueux allait me noyer de plaisir.

– Leslie, j’aimerais que tu me fasses jouir pendant que Ted planterait sa bite entre tes cuisses.
– Oui je veux bien, mais j’aimerais qu’il commence par me lécher.
– Ce sera selon ton bon plaisir, Princesse, répondit Ted. Tu préfères le clito, le minou ou le trou du cul ?
– C’est Mona qui décide, répondis-je.
– Lèche lui l’anus Ted, et Leslie me rendra la pareille.

La caresse de sa langue sur mon petit trou me surprit agréablement. Il savait s’y prendre, l’amant de Mona. Il enroulait sa langue et l’enfonçait doucement sans trop forcer.

Je rendis la même caresse à l’anus de Mona. La coquine poussait tellement que son anus s’ouvrait sans difficulté à ma langue pointée. Je retrouvai les douceurs de mon réveil, rassurée cette fois-ci, que le téléphone ne viendrait pas interrompre notre félicité. De son côté Ted m’ouvrait largement le cul. Je ne savais plus d’où venaient les frissons qui me submergeaient.

– Leslie, me dit Mona, je suis sûre que Ted aimerait que tu lui offres un petit jet doré.
– Toi aussi ?
– Oui ma chérie moi aussi j’aimerais bien, ou peut-être suggères-tu que moi aussi je devrais offrir un petit jet de pipi à ton délicieux baiser.
– Oui je veux.
– Je suis prête me dit Mona. Dès que ton pipi giclera je te ferai le même cadeau.
– Ça ne te dérange pas, Leslie, intervint Ted, que pour profiter complètement de ta giclée dorée, je remplace ma langue par un doigt bien profond.
– Mets-y plutôt ta queue, si Mona est d’accord.
– Je le suis, dit Mona. Ted je te permets d’enculer la jolie Leslie avec douceur bien sûr.
– Son trou du cul est bien assoupli, et j’y rentrerai aussi facilement qu’une mariée dans la soie.

Malgré la préparation méticuleuse et bienfaitrice par la langue de Ted dans mon anus, je ressentis une petite douleur au passage de son gland. Il s’immobilisa aussitôt pour laisser à mes chairs un temps d’adaptation. J’en profitai pour parfaire la caresse de ma langue entre les fesses de Mona. De son anus à son clito, les frétillements de ma langue s’attardaient volontiers sur son petit trou à pipi. Mona adorait visiblement ça. J’en rajoutai jusqu’à sentir la légère acidité de quelques gouttes sur le bout de ma langue. Rétrécissant mes lèvres en « cul de poule » pour les concentrer sur ce méat adorable, j’entrepris d’aspirer pour en faire jaillir la source. J’entendis alors Mona dire d’une voix couverte et basse :

– Pisse ma belle, fais-nous gicler ton geyser doré, et je t’abreuverai de mon divin nectar.
– Je pousse mais ça bloque, dis-je en dégageant ma bouche de son sexe.
– Ted enfonce lui quelques doigts dans la chatte et je presserai sur son joli ventre, nous aurons ainsi raison de ce blocage intempestif.

J’étais défoncée des deux côtés. Mon excitation se situait davantage dans ma tête que dans mon corps, mais je voulais aller jusqu’au bout de notre délire érotique. Maintenant, la bite de Ted m’enculait jusqu’à la garde et je sentais ses couilles se plaquer contre mes fesses. Il garda ainsi sa queue plantée au fond de mon cul sans bouger pendant que ses doigts glissaient dans mon ventre. Il se branlait la queue dans mon ventre. Les mains de Mona posées sur mon ventre semblaient diriger les opérations. Elle se pencha vers son amant.

Je penchai la tête de côté pour observer ce qu’elle avait l’intention de faire. Elle retroussa ses lèvres et se mit à mordiller les tétons de Ted.

– Lèche-moi vite me lança Mona comme un rappel à l’ordre.

Les dents de Mona déclenchèrent l’orgasme de Ted qui se mit à hurler des grossièretés qui me choquèrent un peu. La jolie fille était devenue une salope, mon petit cul adorable était transformé en un trou à merde. Il y eu plusieurs giclées au fond de mon « trou à merde ». Passée la réaction répulsive à ces débordements, je me concentrai sur le plaisir que me donnait Mona, avec ses doigts sur mon clito et par sa chatte ruisselante.

– Pisse jolie Leslie, répétait Mona.
– Ça y est ! Ça vient !

Mon pipi giclait. Mona ramenait mes petites lèvres en les tirant vers le haut, ce qui faisait gicler mon jet à la verticale, arrosant Ted et Mona. Ma douche dorée déclencha celle de Mona, qui m’aspergea le visage. Je plaquai ma bouche sur son sexe, voulant retenir le jaillissement. J’agaçai de ma langue la sortie de son méat, faisant dévier le pipi d’un côté et de l’autre, puis le reprenant directement dans ma bouche. Mona et Ted riaient en commentant leur excitation et leur jouissance.

Pour la première fois j’avalais et j’y prenais plaisir. J’aurais voulu que jamais cette source ne se tarisse. J’en avais sur le cou, sur les seins sur le ventre sans savoir si j’étais mouillée de ma pisse ou de celle de Mona. Mona se releva et vint m’embrasser sur les lèvres, goûtant ainsi sa propre miction. Elle se pencha ensuite vers mon ventre pour lécher à grand coups de langue le pipi imprégnant ma touffe dorée.

Ted, toujours planté au fond de mon cul ramollissait doucement. Il ne me donnait pas l’impression de vouloir se retirer de mon fourreau anal. Au regard des quatre ou cinq jets de sperme que j’avais cru percevoir dans mon fondement, sa queue devait se noyer dans le trou de mon cul. Il devait sans doute trouver la situation excitante. Ma situation commençait par contre à devenir inconfortable. Les jambes en l’air repliées, cuisses écartées et le poids non négligeable du mâle dominant.

Mona me prodiguait ses caresses et ses baisers en me murmurant des mots doux à l’oreille. Elle changea soudain de ton pour me demander :

– Tu veux une sensation inédite et rare ?
– Comment résister à une telle demande ? Je te réponds oui, tout de suite. Mais dis-m’en plus.
– Tu as remarqué que Ted a gardé sa queue débandée dans ton petit trou ?
– Tu n’as pas une petite idée de ce qui pourrait se passer dans cette circonstance ?
– Il va attendre de rebander pour me sodomiser à nouveau.
– Tu es déjà sodomisée, ma chérie. Par une bite molle bien sûr mais quand même plantée dans ton anus jusqu’au ras des couilles. Que peut faire un homme d’après toi qui vient d’éjaculer dans le cul d’une jolie fille, et qui ne veut pas se retirer ?

Mon expérience restant muette à mes appels d’éclaircissement de la situation, je demandai :

– Mets-moi sur la voie.
– Tu as fait gicler un joli jet doré qui nous a arrosé tous les trois ?
– Oui.
– J’ai fait pipi dans ta bouche et tu as aimé ?
– Oui
– Et Ted, lui voudrait peut-être…
– Non ?
– Si. Tu as deviné.
– Il te l’a déjà fait ?
– Oui.
– C’est comment ?
– C’est jouissif.
– Alors je veux aussi faire cette expérience.
– Je t’adore, dit Ted en me roulant un patin.

Il prolongea son baiser mais sans trop bouger. Il appuya fortement son ventre contre mes fesses. Cela vint doucement, puis plus fortement ? Une sensation inconnue. Ted était en train de pisser dans mon cul. C’était chaud, mon ventre se gonflait. Quand allait-il s’arrêter ? J’allais déborder. Instinctivement je resserrai les muscles de mes fesses pour empêcher un débordement possible.

La sensation était bizarre. Comme quand on a envie d’aller à la selle mais en plus intense. Il se retira en pressant mes fesses l’une contre l’autre.

Mona avait installé des serviettes de bains de part et d’autre. Prévoyante la coquine, me dis-je en souriant.

– Whaou ! Pour de l’inédit, c’est de l’inédit dis-je. Aie ! Aie ! Aie ! Mon ventre réclame de manière impérative une visite aux toilettes.
– Non attends un petit peu, retiens toi, dit Mona
– Mais je suis gonflée comme une vache à eau.
– Pour patienter Leslie, tu peux lécher sa queue, un peu molle je l’admets, mais toujours appétissante. Le mélange des goûts épicés saura flatter tes papilles.

J’étais assise et n’osais pas bouger de peur de laisser échapper un flot inconvenant de mes fesses. La queue de Ted vint chatouiller les lèvres. Je la pris entre mes deux mains en jouant avec son élasticité molle. C’était rigolo. Je ne voyais rien mais l’imaginais très bien en la malaxant entre mes doigts. Je décalottais et ramenais le prépuce sur le gland doucement en le cajolant, me demandant si une nouvelle raideur pouvait pousser sous mes caresses. Je pris alors dans ma bouche la bête endormie mais déjà palpitante. Je m’attendais à un goût épouvantable, mais non. J’en fus un peu déçue.

– Alors me demanda Mona, c’est comment ?

Ignorant la question de mon amie, à laquelle j’aurais eu bien du mal à répondre tant ma bouche était occupée, je suçais la bite de Ted en faisant des ronds de langue autour de la base de son gland. Je m’amusai même à mordiller et à avaler entièrement le sexe de notre amant commun, maintenant que sa taille était assimilable par mon palais douillet.

– Alors répéta Mona, comment trouves-tu les flaveurs sodomites ?
– Je n’en ferai pas un mets de prédilection, mais je trouve que mon cul a bon goût et la sauce innovante. S’il te plaît conduis-moi aux toilettes, sinon je ne réponds plus de rien.

Mona me prit par la main, m’installa sur la cuvette au moment même où mes fesses lâchant prise laissèrent gicler un flot impétueux dans la cuvette.

– Je voudrais prendre une douche tout de suite dis-je à mon amie.

– J’allais te le proposer, adorable perverse.
– Je n’ai fait que répondre à vos suggestions, tu as sans doute fait dix fois pire.
– Peut-être, sauf que le lavement un peu spécial dont Ted t’a gratifiée, c’est une grande première. Il me l’avait proposé il y a quelques jours, et j’avais reculé au dernier moment.
– Tu es une sacrée menteuse ! Tu m’as affirmé que tu le faisais souvent.
– Je l’admets, mais c’est pour la bonne cause, la gloire revient toujours à celles qui sont sur la plus haute marche du podium. Aujourd’hui c’est toi la championne et il me tarde d’avoir tes impressions à chaud.
– D’accord, mais laisse-moi formuler une demande.
– Tout ce que tu veux ma belle.
– C’est à Ted que je veux le demander.

Mona me prit par le bras pour me ramener vers le salon.

– Ted, commençai-je. J’ai pris beaucoup de plaisir à participer à vos ébats amoureux.
– Le plaisir était autant pour nous, répondit Ted.
– Par contre je me sens quand même un peu frustrée.
– De quoi ? Demanda Ted naïvement.
– Tu as eu le plaisir, enfin je l’espère, de mater mon corps nu et les moindres détails de mon intimité. J’ai ouvert mes fesses à ton regard. J’ai exhibé ma touffe blonde et mon minou béant à ta concupiscence. Je n’ai pas fait obstacle à ton désir de me sodomiser. Je t’ai laissé t’épancher au plus profond de mon cul. Je n’ai pas tenté un seul instant de rompre notre pacte, et suis restée les yeux bandés me privant ainsi d’un sens important dans la sensualité, la vue. Maintenant je te demande la permission d’enlever mon bandeau. Je veux voir tes yeux, ton corps, tes fesses que j’ai ouvertes de mes doigts fébriles et la queue qui m’a si bien enculée.
– Je te fais confiance, Leslie. Je vais enlever moi-même le dernier bout de tissu, ultime rempart de ta liberté, qui entrave ta nudité.

Ses mains se posèrent sur ma nuque. C’est un plaisir qui peut paraître banal, mais j’ai toujours aimé qu’on me « masse la nuque » comme dirait la Comtesse. Il délia délicatement le bandeau. Il m’apparut dans sa splendide nudité, arborant un sourire à faire craquer les demoiselles.

– Ah ! c’est vous ?
– Je ne suis pas un sosie, c’est bien moi.
– Tout le monde connaît votre visage, mais moins votre voix, en tous cas, pas moi. Je ne suis pas déçue, vous êtes très bel homme. Vous m’avez, Mona et vous, procuré un plaisir inoubliable. Mona a beaucoup de chance d’être votre amie.
– Il ne tient qu’à toi de partager notre amitié.
– Je suis ici en vacances et j’habite assez loin d’ici. Mais vous pouvez être rassuré, le souvenir de cette invraisemblable journée sera caché comme un bijou précieux dans l’écrin de ma mémoire. Promettez-moi par contre que votre prochaine giclée dorée se fera dans le cul de Mona.
– Je tiendrai cette promesse ici même, dès que la bonne bière que je boirai volontiers, aura effectué son transit rafraîchissant. Tu ne seras pas partie j’espère ? Je tiens à le faire en ta présence.

Mona a reçu devant moi sa première giclée au fond du cul. Je suis partie dans l’après-midi. Comblée de caresses et de baisers, de la part de mon amie et de son amant.

 

xxxXxxx
– Qui c’était ? Me demande Julien qui avait écouté le récit de mon aventure dans le fond de notre lit.
– C’est un secret, Julien. J’ai promis de ne jamais le révéler.
– Même à ton amoureux ?
– Même pas sous la torture, même pas à toi, mais tu peux quand même me faire l’amour. Je suis tellement excitée à l’évocation de cette journée que je pourrai me jeter sur le premier homme passant à ma portée.
– Ou la première femme ?
– Idiot.

 

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8 réponses à Bacchanales estivales (3) Une partie de Colin-Maillard délirante par Pilouface

  1. Stablinski dit :

    Un bon texte avec des passages très chaud (l’uro !)
    C’est au niveau des dialogues que ça craint un petit peu

  2. Waldeck dit :

    Quel ambiance, mes amis, quelle ambiance !

  3. Danrémont dit :

    Ce genre de pratique s’appelle du viol conjugal et est passible de correctionnelle

  4. Werber dit :

    Confus et encombré de dialogues ampoulés

  5. Dudule dit :

    J’ai toujours un faible pour les histoires à trois… 😉

  6. Alain dit :

    magnifique récit

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