Artisan décorateur Par Estonius

Artisan décorateur
Par Estonius

Je suis artisan décorateur, je me suis mis à mon compte depuis peu, en fait je n’y connais pas grand-chose, mais je bricole bien et j’ai acheté quelques bouquins. Je pense pourvoir me débrouiller.

Le problème c’est de trouver la clientèle, j’ai donc fait imprimer des petits flyers que j’ai distribués dans les quartiers bourgeois de la capitale, et j’attends.

Ce jour-là, coup de fil, une dame qui me téléphone, me dit qu’elle a un truc spécial à me demander, en fait il s’agit de déplacer quelque chose, mais me confie que plutôt que d’en parler au téléphone, elle préférerait que je passe faire un devis.

Je ne cherche pas trop à comprendre et prends rendez-vous le lendemain matin.

Agnès est une jolie femme mature, entre quarante et cinquante ans, pas un canon, mais un visage très souriant, ses cheveux bruns sont coiffés d’une espèce de chignon qui fait un peu années 60. Et la poitrine parait avantageuse.

L’appartement est ancien et richement décoré, il est aussi complètement tarabiscoté, des couloirs, des marches, des portes, des murs en biais, tout le charme de ces appartements qui sont en fait la réunion de plusieurs petits lots situés au même étage. Elle me conduit dans la chambre de l’un des enfants et me montre une espèce de renfoncement où trône de chaque côté du mur une collection de petits sujets, sur une débauche de planchettes fixés n’importe comment.

– Voilà, je veux déplacer ces machins de l’autre côté, mais je veux que tout soit redisposé exactement pareil !

Et elle me montre l’endroit du transfert.

Au moins ce n’est pas compliqué. Je fais une estimation à la louche, que j’augmente de 30% parce que ces gens-là peuvent payer… et lui dis qu’éventuellement je peux commencer de suite. Elle hésite, m’informe qu’elle attend un coup de fil, mais que si je veux, je peux commencer à prendre les mesures… ce que je fais.

Moins d’une heure après, les cotes sont prises, et je prends quelques photos afin que je puisse redisposer les bibelots à l’exacte. Elle me demande le temps que je vais passer à transférer les planches. Finalement ça ne colle pas avec son emploi du temps. Je lui propose de revenir demain. Elle me fixe un rendez-vous en fin de matinée. Pas pratique mais comme je n’ai pas d’autres commandes…

Le lendemain, j’arrive à l’heure prévue, il me semble qu’il y a une certaine agitation dans cette maison. Effectivement elle n’est pas seule. Je vais pour serrer la main d’Agnès qui me dit carrément :

– J’ai les mains sales, je suis en pleine cuisine, c’est le jour de congé de la bonne… faisons-nous la bise, on ne s’est pas encore fait la bise, je crois ! me dit-elle, goguenarde.

Etonnant, non, allons-y pour la bise… et voici Betty, c’est sa fille, elle lui ressemble mais elle est moins gracieuse. Une vingtaine d’années et des lunettes.

– Je vous fais la bise aussi ? Demandais-je.
– Non, jamais la première fois, me répond cette dernière en me tendant la main.

Je croise deux mômes, habillés en gosses de bourgeois qui gambadent partout, ils m’énervent. Je pose ma boite à outils dans la chambre et constate avec horreur que l’un des papiers que j’avais punaisé avec les cotes a disparu. Quelle andouille de ne pas les avoir notés sur le carnet que j’ai toujours sur moi, il va falloir que je recommence… Je le signale à Agnès qui ne sait pas ce qui s’est passé, mais qui me demande si elle peut profiter de ma gentillesse (sic) pour me demander autre chose. Il s’agit d’une espèce de moulure en bois d’une laideur absolue qu’elle veut coller en haut de l’armoire du gamin. Elle me demande de faire des repères pour qu’il soit bien à niveau. Je grimpe sur la chaise… Grosse question de savoir si c’est horizontal ou pas… Je décide donc de redescendre pour aller chercher mon niveau dans la boite à outils…. Et voici le mari qui se pointe, large bonhomme brun au visage bronzé, veste en peau retournée, chemise blanche et cravate, pas bonjour…

– Les niveaux ça va être comme les portables, bientôt chacun aura le sien ! Déclare-t-il doctement.

J’avoue ne pas comprendre s’il s’agit d’une vanne ou d’une idiotie, mais il disparaît… je demande si je dois coller le machin.

– Vous allez me prendre combien en plus ?
– Oh, pas grand-chose.
– Alors allez-y, collez-le

Je commence par ça, puis entreprends de reprendre les cotes manquantes, mais revoilà Agnès qui déboule :

– Euh, on prend un petit apéro rapide, si vous voulez nous rejoindre ?

Ça m’embête, moi l’apéro c’est entre amis que je le bois, et là je vais apparaître comme un cheveu sur la soupe, mais d’un autre côté je ne veux pas être impoli, je tente une diversion classique :

– Merci, je ne bois pas d’alcool (gros mensonge)
– Il y a du jus d’orange.

Je n’aime pas le jus d’orange, mais bon, j’y vais, j’ignore ce qu’ils fêtent, il y a donc Agnès, Betty, le mari, les deux gosses et un autre homme plus âgé (Monsieur René). On lève notre verre. J’en bois quelques gouttes et en profite pour demander les toilettes. Agnès m’explique et je m’éclipse. Une porte à franchir et me voici dans un petit vestibule, j’ouvre une autre porte, et me retrouve dans un escalier de service. C’est vraiment une maison de dingues. Il y a deux autres portes, l’une ressemble à une entrée d’appartement, l’autre plutôt à une porte de service que j’essaie d’ouvrir mais en vain. Qu’à cela ne tienne, je me suis trompé, je vais rebrousser chemin, mais j’ai refermé la porte qui m’a conduite ici et elle ne s’ouvre pas dans ce sens !

Bon, je descends, toujours avec mon envie de pisser. J’examine quelques portes au premier et au rez-de-chaussée, mais rien pour satisfaire mes besoins. Me voici donc dehors, dans une cour, j’inspecte la cour, pas de toilettes, il y a apparemment deux sorties, j’en emprunte une au hasard, ce n’est pas la bonne, je ne sais plus trop où je suis, mais bon on fait les choses dans l’ordre, d’abord pisser ensuite revenir chez les bourges.

Me voici dans la rue, je fais le tour du pâté de maison, je scrute à la recherche d’une sanisette, ça commence à me monter à la gorge ce truc là… Pas de sanisette, reste le café, mais mon portefeuille est resté dans ma veste qui est restée chez Agnès, et mon porte-monnaie n’est pas assez rempli. J’y vais au flan et rentre dans un café, direction tout de go les toilettes. Un joli panneau m’avertit que l’endroit est réservé aux consommateurs. Je sors en rageant afin de chercher une petite rue tranquille munie d’un coin discret où je me dépêche de me soulager… Maintenant il faut revenir, je me trompe de direction, reviens sur mes pas, perds un temps fou… enfin je retrouve l’entrée principale, évidemment, je n’ai pas le code sur moi, mais quelqu’un sort et m’ouvre, je m’engouffre, monte au deuxième étage où une grosse femme sort, me dévisage et dit en se retournant :

– Le voilà votre décorateur !

Comment peut-elle me connaître ? Peut-être la gardienne ?

Je rentre, ce n’est pas la même porte que tout à l’heure (il y a combien de portes dans cet appartement ?) et me retrouve dans la cuisine où Agnès est en train de préparer une salade.

– Ben alors vous aviez disparu ?

Je lui raconte ma mésaventure en la simplifiant un peu…

– Vous savez que c’est très mauvais de faire pipi en état de stress, parce que dans cet état là, vous ne faites jamais à fond… Je vais vous accompagner cette fois, vous allez pouvoir finir….
– Merci, ça devrait aller, je vais reprendre les petits travaux.
– Vous ne prenez pas de pause pour manger ?
– Ça dépend des jours, dès fois je mange, dès fois je ne mange pas…
– Ça vous dirait de partager notre repas !
– Merci mais je crois que je ne serais pas à l’aise !
– Je ne vous mets pas à l’aise ?
– Vous, si, mais les autres…
– Il n’y a personne d’autres, les gosses sont partis en activité, mon mari est allé travailler et Monsieur René est rentré chez lui. Il n’y a que ma fille et moi.

Je finis par accepter. Je ne vois pas bien de quoi on va pouvoir causer mais bon…

– Vous êtes sûr que ça ne vous fait pas peur de déjeuner avec deux femmes ? Plaisante-elle
– Non, non !
– Vous verrez ma fille est très sympa et pas très farouche, si elle vous intéresse, n’hésitez pas…

Alors là je n’en reviens pas ! Je ne sais pas quoi dire…

– Vous devez en avoir des occasions avec le métier que vous faites, non ? Insiste-t-elle
– Ben, euh…
– Allons, allons, ne dites pas le contraire.

Son visage est à ce moment-là à quelques centimètres du mien.

– J’ai oublié de vous dire, ma fille n’est pas farouche, mais en fait ça vient de famille, moi non plus je ne suis pas farouche ? Bisous ?

Ce n’est même pas une proposition, j’ai déjà sa langue dans ma bouche, nous voici en train de nous rouler une pelle magistrale. Elle y met beaucoup d’ardeur et histoire de me démontrer ses disponibilités, elle en profite pour me mettre la main à la braguette… Du coup mes mains se baladent sur sa poitrine… Raclement de gorge !

Instants de panique ! Je me dérobe, me retourne, c’est Betty

– Je ne vous dérange pas au moins ? Intervient cette dernière.
– Tu veux regarder, ou tu veux nous rejoindre ? lui demande Agnès avec un air faussement innocent.
– Si monsieur permet, j’aimerais bien m’approcher ! répond-elle.
– Elle attend votre réponse ! Me précise la maîtresse de maison.

Sans dire un mot, je lui fais signe de venir plus près de nous, et elle ne se fait nullement prier, adressant une grosse tape amicale sur le popotin de sa mère, puis cherchant fébrilement la fermeture éclair de ma braguette. Evidemment, je bande comme un âne ! Et c’est un engin tout dur que Betty extrait de sa cachette.

– C’est tout raide, ça ! Commente la jeune femme.

J’espère seulement que je vais tenir la distance et pas me mettre à éjaculer prématurément… Betty a déjà mis mon engin dans sa bouche et le suce avec avidité en utilisant une technique très particulière qui lui fait tourner sa langue autour de ma verge, j’en ai des frissons partout. Agnès passe dernière moi et laissant sa fille opérer me baisse carrément pantalon et caleçon et se met à me peloter les fesses en me complimentant pour leur rotondité.

– Avec un cul comme ça, tu as dû te faire draguer par les mecs, non ?
– Euh, non pas spécialement…

Elle me fout alors un doigt dans le cul, comme ça sans crier gare. J’apprécie quand c’est fait avec douceur, mais c’est le cas !

– Mais il aime ça ce gros cochon ! Constate la bourgeoisie.
– C’est pas désagréable.
– Tu te fais mettre un petit gode parfois ?
– Ça m’est arrivé !
– T’entends ça Betty, on va bien s’amuser.
– Je peux pas te répondre, j’ai la bouche pleine ! Répond la fille
– Et une vraie bite, ça t’est arrivé ? me demande Agnès.

Je garde le silence, je ne vais pas lui confesser tous mes fantasmes.

– Tu ne réponds pas…je parie que tu as déjà essayé !
– Il y a bien longtemps…
– Et ça t’a plu ?
– Comme ça…
– T’as jamais eu envie de recommencer ?
– Je n’ai jamais eu l’occasion, et je ne cherche pas…
– Et si on te la fournit, l’occasion…

Je ne réponds pas. Elle va finir par me déconcentrer.

– On inverse ? Propose alors la bourgeoise à sa fille

Elle remplace donc Betty dans le rôle de la suceuse, tandis que cette dernière s’attaque à mon cul, mais cette « petite salope » m’a à présent introduit deux doigts… et putain que c’est bon… Par contre ce que me disait Agnès tout à l’heure était vrai, j’ai toujours une légère envie de pipi, et il faudrait mieux que je la satisfasse pour le confort de la suite… Je fini par leur dire.

– On va t’accompagner aux toilettes, et après on ira dans la chambre, c’est quand même plus confortable que la cuisine ! Propose la jeunette.
– T’as déjà joué à des jeux de pipi ? me demande alors Agnès.
– Oui, j’avais une copine qui kifait là-dessus, c’est rigolo dès fois…
– Alors pas besoin d’aller aux toilettes, tu vas me pisser dessus !
– Mais là je peux pas, je bande !
– Alors on va te donner la fessée jusqu’à ce que tu ne bandes plus.
– Chiche !

Betty ne se le fait pas dire deux fois, elle saisit une petite planchette de cuisine et commence à m’en foutre un coup sur les fesses. Comme je ne dis rien, elle se croit autorisée à taper plus fort, puis les coups tombent à la volée… Ce n’est pas désagréable mais si elle continue comme ça, demain je ne pourrai pas m’asseoir. Ça m’excite assez mais mon sexe perd quand même une partie de sa vigueur !

– Allez, pisse !
– Euh, tu n’enlèves pas tes vêtements ! Demandais-je passant à mon tour au tutoiement de rigueur dans ces circonstances particulières.
– Non, au contraire, c’est bien plus excitant comme ça !

Je me concentre, je ferme les yeux, je me reconcentre et finalement ça sort, un petit jet qui lui atterrit en haut de son chemisier. Elle ouvre alors la bouche, voulant me montrer par-là qu’elle en boirait bien quelques gouttes… Quelle adorable petite vicieuse. Je rectifie le tir et étanche donc sa soif tandis que sa mère qui ne semble pas intéressée par ce genre d’amusement farfouille dans les tiroirs et finit par dégoter un mini rouleau à pâtisserie. Je sais déjà ce qu’elle va en faire. Et c’est là que sans doute un petit lutin facétieux a envahi mon esprit, je me baisse légèrement et j’ouvre mon cul !

– Regarde-moi ce pédé ! Commente Betty, il a vraiment envie de se faire enculer !
– Je crois qu’on devrait appeler Monsieur René, depuis le temps qu’on rêve d’une occasion comme ça !
– Euh… je…
– Mais tais-toi, tu vas voir, il a une super bite, tu vas bien la sucer et après il va t’enculer.
– Mais je n’ai pas dit que j’étais d’accord !
– Bon, écoute, pépère, nous on te fait plaisir on s’amuse avec toi, on te demande juste en échange de satisfaire un de nos petits fantasmes… Tu ne vas pas nous faire un mélodrame…
– Alors je l’appelle ou pas ? Demande Betty
– Bien sûr que tu l’appelles !

Je cherche quelque chose à répondre, mais Agnès à maintenant entrepris de se déshabiller, son chemisier est déjà ôté, j’ai la promesse de sa poitrine devant les yeux, je me tais, attendant. Elle libère deux jolis globes, j’ai vu des seins plus beaux et plus fermes mais c’est néanmoins charmant comme tout, et par réflexe j’y mets d’abord les mains avant d’approcher ma bouche de ses gros tétons.

Quant à cette coquine de Betty, elle n’a pas renoncé à ses intentions, d’une main, elle me pilonne le fondement avec l’ustensile de cuisine en bois et de l’autre actionne son téléphone portable :

– Allo Monsieur René, c’est Betty ! Dites voir, on fait une petite partie avec le décorateur… il ne serait pas contre le fait se faire enculer, ça vous dit ?

Elle nous précise en raccrochant qu’il arrive tout de suite…

– Tu lui ouvres et tu nous rejoins dans la chambre…. Indique-t-elle à Betty

Je suis Agnès, qui cette fois est complètement nue, elle s’étale sur le lit, les jambes largement écartées :

– Viens me lécher un peu…

Je ne me fais pas prier, me voici la tête entre ses cuisses en train de lui faire minette, c’est tout mouillé, c’est tout sucré, elle est vraiment très excitée la coquine. J’espère simplement que l’autre cornichon qui veut me sodomiser ne va pas se pointer trop vite, j’ai horreur d’interrompre un cuni. Je lèche un peu partout me régalant de ses sucs intimes avant de me concentrer sur son clitoris érigé comme un petit champignon que je titille d’un mouvement latéro-lingual (joli, non ?) Je la sens qui agrippe le dessus de lit de ses mains. L’explosion est proche, l’explosion arrive, un cri, elle se tétanise, semble se soulever de deux ou trois centimètres avant de retomber toute flasque et en sueur. C’est en principe chez moi le signal d’une pose tendresse… mais là…

– Rebonjour monsieur !
– Salut ! Répondis-je en cherchant mentalement comment je pourrais me sortir de ce guêpier.

Le mec est déjà à poil, Betty aussi qui le masturbe doucement sans doute pour me narguer. C’est vrai que ce zigomar à une superbe bite. Imperceptiblement la bite de Monsieur René guidée par la main de la fille s’approche de mon visage. Je sais déjà que je ne fuirais pas, du moins pas à ce stade.

– Suce ! m’ordonne Betty.

Je temporise.

– Suce sa bonne queue ! Tu en meurs d’envie ! Tu vas voir comme elle est bonne…

L’instant d’après, elle est dans ma bouche, délicieuse texture, délicieuse odeur, je suis là chez des babas bourgeois parisiens en train de sucer la queue de leur voisin bisexuel alors que je devrais être en train de fixer des petites planches dans la chambre du gamin… Et le pire c’est que je me régale. Le mec m’encourage :

– Tu suces bien, dis donc !

Et comme je me tais, vient la proposition tant redoutée :

– Tu veux que je te prenne ?
– Euh, non pas aujourd’hui…
– Tsss, tss, laisse-toi faire… et tu ne vas pas le regretter, après on sera toutes les deux à toi ! Intervient Betty

C’est un argument comme un autre, j’hésite une seconde, puis sans répondre je me mets en position, je m’assure simplement qu’il se mette une capote… Et déjà le voici qui force l’entrée. Je « pousse » afin de faciliter l’entrée de cette bite qui va m’enculer devant la mère et la fille… Il faudra plusieurs tentatives, mais le bougre pénétrera dans mon étroit conduit. Quelques légers allers et retours pour bien installer la chose, une autre poussée pour la glisser plus au fond, puis c’est parti, un petit coup en avant, un petit coup en arrière et voilà qu’on me sodomise de la façon la plus classique possible… Et je commence à frétiller parce que je trouve ça vachement bon. Les deux nanas gloussent, le spectacle les excite, et elles se tripotent la foufoune mutuellement ! Quelle famille ! L’autre derrière commence à respirer très fort, ses coups de boutoir sont plus vifs, plus nerveux, et puis c’est l’accélération brutale, il prend son pied, se retire, se décapote, s’essuie le front, souffle un grand coup !

– Putain quel pied ! Vous donnerez mes coordonnées à Monsieur, si un jour l’envie vous prend, je vous recevrai avec grand plaisir, et d’ailleurs en y réfléchissant j’aurais sans doute quelques petits travaux de décoration à effectuer…

Puis il disparaît de la chambre et part s’habiller dans la pièce d’à côté… Moi je suis sur le lit, le corps groggy, la bite flasque et le cul mal refermé. Agnès a alors le geste tendre de me caresser un peu le dos… oh juste quelques minutes, puis elle me dit :

– Lève-toi une seconde, on va faire un truc !

J’obtempère, me demandant ce qu’il peut encore m’arriver… et là je n’en crois pas mes yeux : Agnès s’est étalé de tout son long, les cuisses écartées et Betty vient lui lécher la moule. Ça ne dure que très peu de temps, Agnès jouissant de façon fulgurante. Spectacle sublime, grandiose, génial, unique, pervers, interdit… Je rebande en moins de temps qu’il ne le faut pour le dire ! Mais ce n’était pas terminé :

La mère et la fille se sont mises l’une à côté de l’autre en levrette, le cul relevé et offert, la chatte béante. Elles m’attendent en se faisant des petits bisous…

– Les capotes sont sur le chevet… m’indique Agnès.

J’en enfile une et commence à lécher l’intimité de Betty.

– Prends-moi ! me supplie-t-elle.

Je le fais, je la pénètre dans sa chatte humide, elle se trémousse…

– Un peu à moi ! Quémande sa mère.

Je change de cible et m’occupe de la maîtresse de maison, puis je vais de l’une à l’autre… je fais attention de ne pas aller trop vite pour ne pas jouir de suite. Betty finit par s’écrouler, épuisée de plaisir. Je la laisse après lui avoir fait un chaste baiser sur la fesse et demande par geste la permission à Agnès de pénétrer son petit trou.

– Bien sûr ! Encule-moi bien ! Répond-elle

Je commence par lui lécher la rondelle. L’odeur est un peu forte, elle a dû s’essuyer le cul avec un courant d’air, mais quand je suis bien excité, ça ne me dérange pas. Je lui enfonce un doigt qui glisse tout seul dans son conduit anal, ça lui fait un tel effet qu’elle en miaule de plaisir. Je ressors mon doigt très légèrement souillé, et pris d’une impulsion subite, je le lèche..

– Fais moi goûter ! Me demande Betty

Je ne cherche pas trop à comprendre, je replonge mon doigt, puis le fais sucer par la fille.

– Moi aussi, j’aime bien doigter le trou du cul de ma mère ! Commente-t-elle.

Quelle famille ! Toujours est-il qu’après ces fantaisies, j’encule Agnès, ça passe avec une facilité déconcertante mais le sphincter me serre tout de même le sexe. Je sens que je ne vais pas durer longtemps, je fais ce que je peux, elle pousse des petits cris qui m’excitent encore plus, et je finis par lâcher ma semence, et on s’écroule ensemble…

Quelques instants plus tard après avoir soufflé un peu, Agnès me propose de profiter de la douche, j’espère un moment qu’elle me rejoindra, elle et/ou sa fille, mais non…

J’ai donc repris le boulot après avoir demandé un grand verre d’eau. Les deux femmes ont vaqué à leurs occupations me laissant œuvrer seul.

En fin d’après-midi, j’avais terminé ! Agnès m’a félicité pour mon travail.

– Allez, je m’en vais, je ne sais pas si on se reverra, on se fait un bisou ? Demandais-je
– Et la facture ?
– Cadeau !
– Arrête, on n’est pas dans le besoin il est normal qu’on te paie… et puis je crois qu’on se reverra, je vais demander à Monsieur René de ne pas vous oublier pour les travaux qu’il a à faire chez lui…
– Ok ! Je vous envoie la facture par la poste…

On s’est embrassé, sagement, sa fille est aussi venue me dire au revoir.

– Ça t’a excité de me regarder en train de lécher ma mère, hein mon cochon ?
– J’avoue ! Vous faites-ce depuis longtemps ?
– Non, quelques mois, un jour je regardais un film cochon dans le salon en me paluchant, Maman est venue s’assoir à côté de moi, et puis disons que ça s’est fait spontanément, on s’est amusé à se tripoter mutuellement, juste un tout petit peu, pour rigoler, et puis ça été l’engrenage. Je ne regrette pas, elle lèche trop bien !

Dans l’escalier j’ai croisé le mari qui rentrait du travail et qui a royalement fait semblant de ne pas me reconnaître. S’il savait… Voilà qui m’a amusé ! Finalement j’ai passé toute la journée à m’amuser… un peu mal au cul quand même…

Estonius, janvier 2007

Quelques-uns des faits racontés ici sont réels, mais je ne vous dirais pas lesquels !

Ce récit a eu l’honneur d’être nommé Prix Spécial Bi pour 2007

Ce texte a primitivement paru dans un version auto-censuré dans lequel Betty était la sœur d’Agnès. Voyant que le site s’enrichissait de quelques récits de ce genre, j’ai demandé l’autorisation au webmaster de publier la version non expurgée, ce qu’il a accepté. Je l’en remercie.

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9 réponses à Artisan décorateur Par Estonius

  1. Belinda dit :

    Perversions en stock ! Que cela est excitant ! Bravo à l’auteur !

  2. Caprice dit :

    Moi aussi, je me suis longtemps gougnotter avec ma mère, j’adorais ça. Humm le gout se sa chatte gluante, celui de son cul… Quels régals

  3. Werber dit :

    Un excellent texte très excitant mais qui doit beaucoup
    à celui-ci

  4. Messidor dit :

    Complètement barré mais très excitant et bien écrit le fantasme est un peu particulier mais ça passe très bien

  5. Jugan dit :

    Joli style ! C’est à la fois décontracté et excitant, même si le passage avec Monsieur rené paraît plaque sur le reste. J’ai bien aimé le passage ou le narrateur se perd dans les couloirs pour aller pisser, à défaut d’être érotique ça m’a fait marrer, quant à la relation mère-fille, c’est vrai que ça nous fait un plus très excitant

  6. Claire dit :

    Superbe histoire très bien raconté même si ça part un peu dans tous les sens. Maintenant qu’est-ce que ça ajoute que Agnès et Betty soient mère et fille et non pas frangines ? Le plaisir de l’interdit tout simplement !

  7. Husson dit :

    Vraiment une très bonne histoire très excitante et très bien racontée

  8. Verdon dit :

    C’est très plausible et bien raconté. Il y a beaucoup de métiers comme cela ou de jeunes artisans peuvent se permettre ainsi de bricoler le cul d’une bourgeoise pendant que le mari n’est pas là …

  9. patou dit :

    superbe histoire j’ai vraiment adorée j’aurai aimer être a ca place je suis aussi bricoleur lol

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