Cuisiner, c’est ce que je fais de mieux depuis plusieurs années maintenant et donc il n’est pas rare que je fasse des petits extras chez des particuliers, histoire de mettre du beurre dans les épinards.
Ce soir là j’allais chez les Renard, c’est madame qui m’avait contacté, elle avait eu mes références par une de ses amies pour laquelle j’avais déjà travaillé. Son mari fêtait ses 40 ans et elle voulait mettre les petits plats dans les grands tout en restant à sa disposition. J’étais donc le complément idéal à la réussite de la soirée, encore plus que je ne l’imaginais.
C’est elle qui m’avait accueilli sur les coups de 18 heures, sur mes conseils elle avait choisi un menu simple mais qu’elle avait souhaité relever ; poivre, menthe, gingembre, champagne. Et je dois dire que quand je la vis je compris vite que Mr Renard allait avoir un superbe cadeau d’anniversaire !!!
Elle était petite, peut-être moins d’1.60 mètre, elle avait des cheveux à hauteur d’épaule d’un noir profond, éclaircis par quelques mèches blondes qui faisaient encore plus ressortir sa peau couleur caramel, quasi marron, celle d’une femme qui passait sans aucun doute tous ses loisirs à se faire dorer au soleil. Sous le charme dès premier coup d’œil, j’aurais été incapable de lui donner un âge, mais je sus plus tard qu’elle avait 38 ans, il est clair qu’elle en paraissait beaucoup moins. Elle portait une robe colorée rouge sur fond noir, ample et décolletée devant (avec une petite chaîne qui tenait les deux pans du col à hauteur du cou). Mais le plus beau était la vue arrière où une immense ouverture descendait jusqu’au bas de son dos, dévoilant la commissure de son arrière train, de ce cul qu’elle avait fort mais qui galbé par cette partie moulante de la robe était de toute beauté. Mme Renard ne s’arrêtait pas là dans cette débauche d’appel au sexe !! Une chaîne de taille couleur or barrait son somptueux dos ambré et cambré, complément essentiel à la chaîne qui ornait sa cheville droite. Elle portait de magnifiques tongs, assorties aux motifs de la robe et qui mettaient en valeur ses ongles de pieds, peints, carmin, desquels je ne pouvais enlever mon regard lorsqu’elle me tourna le dos pour m’emmener dans sa cuisine.
Je mis au travail sans tarder, mais je dois bien avouer que cette vision divine m’avait perturbée. Ma femme est un joli brin de fille mais cette femme avait elle le truc en plus qui fait que n’importe quel homme retourne son regard sur elle, elle dégageait, tout simplement. Chacune de ses visites dans la cuisine, pour prendre des nouvelles sur l’évolution de la préparation du repas ou encore pour me demander des conseils quand au vin ou au dressage de la table, entraînaient immanquablement des écarts de mon regard dans son décolleté avant (j’en étais sur maintenant elle ne portait pas de soutien gorge) ou arrière (pas plus qu’elle n’avait de culotte ou de string). A tel point que je pense qu’elle s’en est très vite rendue compte, il ne fait aucun doute, mais cela devait la rassurer dans son pouvoir de séduction vis-à-vis des hommes et de son mari surtout, et jamais elle ne changea d’attitude, ni ne me fit de remarques. Je tentais d’oublier ces émois en sirotant un peu de cognac…
Vers 19h30, une grande jeune fille d’une vingtaine d’années fit irruption dans la cuisine alors que Mme Renard me faisait goûter les deux champagnes qu’elle avait sélectionnés pour le repas.
« Cécile ! » dit-elle « Mais tu n’es pas encore partie ?! Tu as changé d’avis tu veux rester avec nous ? »
« Non Chantal, c’est votre soirée à tous les deux, et puis ça me fait du bien de sortir un peu de vos basques. Par contre je suis partante pour goûter à ce petit festin. »
« Thomas, avez-vous assez de nourriture et surtout de temps pour faire une petite assiette dégustation à ma nièce chérie » me dit-elle
« Bien sûr madame »
Et je m’empressais de faire un assortiment gourmand à cette gamine, plus grande d’une bonne tête que sa tante, mais arborant le même teint bronzé et les mêmes cheveux noir charbon. Lorsqu’elle prit un verre dans un placard, je pu me rendre compte qu’elle n’avait pas les mêmes fesses fortes mais un petit cul bien dessiné, surplombé par une cambrure de reins à se faire prendre tout debout. Néanmoins le plus beau restait ces deux gros et lourds seins qui se dessinaient sous ce t-shirt estampillé Rikiel, couplé avec cette petite taille. Je dois avouer que pendant les 5 minutes où elle dévora mon festin j’en oubliais sa tata…
Aussi vite était-elle entrée, elle s’éclipsa et quelques minutes plus tard je l’entendais embrasser son oncle et lui souhaiter une bonne soirée, alors qu’ils se croisaient sur le pas de porte.
Il était un peu plus de 20 heures et madame Renard, vint me demander d’apporter l’apéritif. Son mari était installé dans le canapé et répondit à mon salut d’un hochement de tête muet. Sa femme vint alors se blottir contre lui avec deux coupes, ça y est la soirée était lancée, je m’éclipsais et ne revenais que pour servir les plats et débarrasser.
Alors que tout était terminé, je prenais congé de mes patrons d’un soir, conscient au vu de leur dernières positions sur le canapé que la situation virerait vite au rouge passion, cela sans compter les capacités « émotionnelles » de tout le gingembre consommé !! Hélas une fois dans ma camionnette je me rendais compte d’un oubli ennuyeux, mes clés étaient restées en haut, sur le réfrigérateur… Je décidais de remonter discrètement, j’avais le code en bas et j’avais juste tiré la porte de l’appartement derrière moi.
Alors que j’entrais dans l’appartement le plus doucement possible, je pu entendre le gémissements des Renard : « Oh, Chantal, tu es vraiment une suceuse hors paire ! Oui, comme ça, suce moi bien le gland. Et n’arrête pas avec ton doigt, j’adore le sentir au fond de mon cul… »
Je récupérais mes clés en vitesse, mais la tentation était trop forte, poussé par je ne sais quelle force (abus de cognac ?), je me penchais et tentais de voir la scène de ce mec en train de se faire sucer et doigter par sa femme.
La vision était splendide, Mr Renard était enfoncé dans le canapé, les jambes tendues et écartées, et entre ses jambes je voyais de dos Mme Renard complètement nue et accroupie. Sa tête faisait les montagnes russes, l’amplitude me fit penser que son mari était bien équipé ou qu’alors à chaque mouvement elle le gratifiait d’une gorge profonde… Son cul était superbe, bien installée comme ça sur ces genoux cela tendait la peau au maximum et écartait naturellement les deux lobes de ses fesses me révélant, même dans la lumière tamisée de leur salon, cette rondelle sur laquelle j’avais fantasmé toute la soirée.
Soudain, alors que j’avais perdu toute notion du temps et que je me tripotais à travers le pantalon, les clés de ma camionnette m’échappèrent, tombant sur le carrelage, quasiment au ralenti tant je sentais que ce retour à la réalité serait douloureux. Mr Renard se releva d’un coup, écartant sa femme qui n’avait visiblement pas entendu le bruit. Son visage se radoucit lorsqu’il me vit :
« Ah c’est vous Thomas ! Vous cherchiez quelque chose peut-être ? » Me demanda-t-il.
« Euh, non… enfin si…j’veux dire que… » M’embrouillais-je.
Il se mit à rigoler gentiment et poursuivit :
« Ca vous dirait de voir tout ça de plus près, Chantal est vraiment une suceuse de diamant et particulièrement exhibitionniste, ce qui ne pourra que la rendre meilleure à l’ouvrage et moi encore plus heureux que je ne le suis déjà !! »
« Allez venez vous installer ici à côté de moi vous verrez mieux »
Sa femme était déjà de nouveau à l’ouvrage et toujours poussé par cette étrange force, contraire à mon tempérament plutôt lâche, je me dirigeais vers cet homme d’une quarantaine d’années, qui me paraissait plus grand que moi et qui surtout malgré son age plus grand que le mien, ne trahissait aucun surpoids, embonpoint ou autres bourrelets comparable à ceux du cuisiner goûteur de sauces que j’étais.
Je m’installais donc la tête à une vingtaine de centimètres de son torse imberbe et musclé, mais surtout je croisais enfin le regard de garce de Chantal qui dévorait le gland de son mari en me fixant d’une manière de défi.
Il avait une longue bite droite, aussi fine que la mienne mais qui mesurait cinq bons centimètres de plus, surtout son gland était bien plus gros que le diamètre de la tige, lui donnant une forme de champignon. Chantal avalait les quasi-20 centimètres de ce chibre sans broncher, et tout en maintenant son majeur gauche dans le cul de son mari, de temps en temps elle le sortait pour le lécher et mieux le renfiler aussi sec d’où il venait.
« Alors ça te plait Alain ? » demanda Mme Renard à son mari alors qu’elle le branlait énergiquement sur toute la longueur de son membre.
« Oh oui Chantoune chérie, tu es vraiment la reine de suceuses. Mais je ne crois pas que je sois le seul à aimer, notre ami Thomas se régale, m’est avis qu’il est aussi voyeur que tu n’es exhibitionniste » lui répondit-il.
« Tu crois? » feint-elle
« Moi je pense quand même qu’il ne dirait pas non à ce que je le suce lui aussi. »
« Ok tu peux le sucer mais uniquement lorsque lui m’aura sucé ! » coupa-t-il.
Je ne réalisais pas de suite sa réponse mais une fois celle assimilée, ma réaction qui aurait voulu que je prenne mes jambes à mon coup ne fut pas celle escomptée… Je regardais Chantal qui me lâcha un petit « tu veux goûter ? » qui déclencha une vague d’envie dans tout mon corps… Je n’avais qu’à me pencher pour sucer cette bite superbe, de cet homme (même s’ils ne m’ont jamais attiré au sens physique du terme) superbe, en compagnie de cette femme divine dans une atmosphère non moins divine. Et c’est ce que je fis, j’ouvris la bouche, fermai les yeux et descendis doucement jusqu’à sentir ce gland « tête de champignon » sur ma langue, puis encore jusqu’au fond de ma gorge. Ca y était je taillais une pipe à un homme, et Chantal appuyait gentiment sur ma tête pour que mon rythme concorde bien avec le mouvement du bassin d’Alain. Il y avait encore assez de place sur sa bite au fond de ma gorge pour que je le branle d’une main. Appréciant cela moi-même particulièrement je serrais de toute mes forces son chibre, cela le fit me mettre deux gros coups de rein qui me firent avoir un haut le cour !!
« A force tu n’en auras plus tu verras » me dit Chantal.
Comment pouvait-elle croire que je sucerais encore une fois une bite ? Aussitôt, je me dis que c’était tellement agréable que j’y retournerais certainement, c’est sûr !
En attendant je me délectais de celle que j’avais entre les mains, aspirant tout le pré sperme salé qui coulait abondamment de la bite d’Alain, parfois Chantal me rejoignait avec sa langue sur le gland, et nous nous embrassions alors tout en suçant son mari. De son majeur gauche elle triturait toujours la prostate maritale et me fit goûter ce doigt à plusieurs reprises, c’était là aussi ma première expérience scato, elle me mettait tous ses doigts dans la bouche, puis me faisait avaler à nouveau la bite d’Alain, puis glissait dans le trou de souris restant le bout de sa langue qu’elle avait fort agile il faut le dire. Je participais à une véritable orgie.
Après de longues minutes, Alain demanda à Chantal de tenir sa promesse et de réaliser la fellation qui m’était due. Elle me fit alors me lever et en deux temps trois mouvement me déshabilla, elle me mit accroupis devant son mari, dans la position qu’elle occupait lorsque je les avais surpris quelques temps plutôt et pendant que je reprenais ma besogne sur le chibre maritale elle glissa sa tête entre mes jambes par l’arrière et commença à me sucer.
Ma bite bien plus petite que celle d’Alain ne lui fit pas grande résistance même si l’excitation l’avait gonflée comme peut-être jamais elle n’avait été. Elle l’avalait toute entière, arrivant même (au prix d’une petit pression de ses dents du haut sur mon pubis légèrement douloureuse) à lécher en même temps mes couilles avec sa langue. Je suis sûr que dans une position plus confortable elle aurait pu avaler tout mon service trois pièce !!!!
Mais là où elle fit très fort c’est lorsqu’elle mit son majeur dans mon trou du cul, alors que j’étais tranquillement en train de sentir mon plaisir monter, elle appuya sur le bouton qui fit tout basculer en dix secondes. Je sentis soudainement ma jouissance exploser, mon jus envahir sa bouge et elle mettre deux, puis trois puis quatre doigts dans mon anus vierge tout en avalant goulûment mon sperme chaud et abondant !!!!
Comprenant la situation Alain sorti sa bite de ma bouche et commença à me frapper le visage avec :
« Alors comme ça tu éjacules dans la bouche de ma femme petit pédé, mais je vais t’enculer moi salope, il y a que moi qui à le droit de la nourrir de sperme cette truie » me dit-il d’un air faussement énervé.
« Je suis désolé » répondis-je « mais elle est trop bonne, je n’ai pas pu m’en empêcher, mais ok si vous voulez enculez moi » ajoutais-je me demandant bien ce qui pouvait m’être passé par la tête encore une fois.
« Relèves toi » repris alors Chantal qui ramenait les derniers tressautements de mon sperme avec ses doigts dans sa bouche.
Je me relevais et Chantal s’éclipsa 5 secondes pour revenir avec un petit panier contenant du lubrifiant, la maison Sodome était bien équipée. Je me retrouvais alors debout, plié en deux en train de sucer Alain qui avait un peu mollit sur cet intermède et le cul écarté par le doigts expert de Chantal qui avec l’aide du lubrifiant préparait mon trou du cul pour ce qui m’excitait de plus belle malgré ma récente éjaculation. J’allais me faire enculer, non pas que j’en rêvais mais j’aime bien pouvoir me dire que je connais les choses et savoir ce que veut dire se faire enculer m’a toujours interpellé.
Bien vite Chantal me fit me redresser et enjamber son mari tout en reculant, elle s’agenouilla à mesure que je descendais, présentant mon trou du cul à ce gros gland.
« Une fois que lui sera passé, tu verras tu vas t’éclater » me dit-elle
Effectivement sitôt passé le gros bout bien lubrifié, le reste fila plus loin même que je ne l’aurai pensé, j’avais dans le fion les 20 cm d’Alain. Mais là où je voulais commencer à faire des aller et retours, il me bloqua les épaules et me maintint ainsi. Chantal recommença à me sucer et cette fellation couplée à l’imperceptible mais puissante contraction d’Alain (je sentais son sexe gonfler dans mes entrailles puis dégonfler et ainsi de suite), fit que bientôt, ma super érection précédente était battue par une nouvelle !!! Mme Renard se mit alors face à moi présentant son anus à mon gland grâce à une cambrure inversée ? Elle s’enfila sur mon sexe d’un grand coup. Très vite elle pris un rythme de mouvement du haut vers le bas, heureusement que j’avais éjaculé auparavant sans ça j’aurai de nouveau endossé le rôle de l’éjaculateur précoce enserré comme ça dans son cul. J’étais dans la position magnifique du mec qui se fait enculer et qui en plus se fait baiser !!! Peu importe j’étais bien, Alain tirait fort sur mes épaules tout en embrassant goulûment sa femme juste à coté de mes oreilles, moi j’essayait de gober ses tétons énormes et je tentais de rajouter des doigts dans son cul auprès de ma bite qui ne pouvait remplir à 100% ce trou du cul habitué au sexe d’Alain. J’en profitais également pour distribuer un peu tous mes doigts salis par Chantal, je fus surpris par la passion que mettait Alain à les sucer et me dis que si l’occasion se présentait je lui proposerais ma bite histoire de voir.
Alors que nous étions parti dans cette nouvelle phase d’orgie scato-sodo-homo-hétéro-délirante un nouvel évènement vint ajouter un peu de piquant… En effet ce fut précisément ce moment là où on entendit dans le couloir une voix de jeune fille crier à son oncle :
« Tonton Alain ?! Je suis rentrée ! Je ne pouvais décemment pas te laisser fêter seul ton anniversaire avec Tata !! Je veux aussi un bout du gâteau !! »
Déjà Cécile, oui c’était elle, quittait le couloir et poussait la porte donnant sur le salon. Mais là elle resta interloquée devant la scène du pauvre canapé qui même s’il était de fort bonne qualité paraissait s’effondrer sous l’enchevêtrement de corps qui était dessus.
« Salut ma biche » fit Alain, « écoutes tu connais Thomas déjà il me semble ? »
« Ola la je vois qu’on ne s’ennuie pas ici » répondit-elle « Laissez moi voir qui est dans qui. »
Chantal lui résuma la situation par un « Je m’encule sur Thomas pendant que ton oncle lui faire découvrir les joies de la sodomie !! »
Je restais plutôt quoi de voir que leur nièce ne semblait pas choquée de trouver son oncle et sa tante en si fâcheuse posture. Mais très vite je découvris que la réalité allait bien plus loin que ça !!
Chantal se retira de moi et vint faire s’agenouiller sa nièce devant moi après que cette dernière eue quitté ses habits en moins de temps qu’il ne m’en fallut moi-même plus tôt ! Enfin je pus voir ces énormes seins qui auraient fait pâlir d’envie une Pamela Anderson car ceux-là paraissaient vrais. Et je me retrouvais avec cette femme baisable à souhait et sa nièce encore plus magnifique qui me suçaient goulûment la bite qui quelques minutes plus tôt était encore au fond du cul de la plus âgée des deux. Cécile s’était jetée sur ce sexe souillé comme elle l’avait fait sur ma cuisine !
Je poussais leur tête l’une vers l’autre histoire de les voir s’embrasser ce qu’elle firent avec tellement de passion que très vite elle roulèrent enlacées sur le sol… Alain qui me tenait toujours fermement par les épaules, commença à lâcher un râle et me repoussa gentiment sur son coté. Chantal et Cécile se relevèrent d’une seule voix et virent alors goulûment avaler sa bite et de gestes profonds et marqués le finirent au fond de leurs gorges, tant et si bien que je ne vis aucune goutte de sperme… Mon trou du cul libre, Cécile y enfila un doigt directement et entreprit de trouver ma prostate, ce qu’elle fit si vite et si bien que dix secondes après je me vidais par gros jets dans sa bouche, elle avala ma semence sans rechigner et parue même déçue de la faible quantité. Quand elle sût que c’était ma deuxième éjaculation, elle comprit alors que je ne lui serais pas d’un grand secours pour le reste de la soirée et s’occupa de nouveau du sexe de son oncle. Ainsi très vite elle se retrouva à quatre pattes dans la longueur du canapé, Alain derrière elle la ramonant de grand coup de reins. Chantal s’était glissée sous sa nièce et lapait à chaque sortie le membre de son mari. Cécile rouge écarlate, sous les coups de boutoirs, tentait de lécher le délicieux abricot de sa tante mais très vite je dus me rendre à l’évidence qu’il fallait que je l’aide et c’est ce que je fis, embrassant la chatte, la nièce, mettant des doigts dans la chatte, le cul de Chantal, léchant moi-même ses doigts ou les faisant lécher à Cécile… Au moment où Alain nous annonça qu’il allait jouir nous nous mîmes tous les trois accroupis, langue tendue et chacun eût droit à sa rasade de semence, Alain nous rejoins alors accroupis pour se mêler à notre baiser final, il me roulait une pelle assaisonnée de son sperme avec sa femme et sa nièce, on verrait une prochaine fois pour qu’il me suce, pensais-je alors.
Après quelques minutes supplémentaires sur le canapé, Chantal m’offrit de prendre une douche, ce que je fis avec empressement, je pris rapidement congé. Vous vous doutez bien que je proposais mes services à la famille Renard pour toute occasion et sous tout délais, mais ça c’est une autre histoire.
Ce récit à eu l’honneur d’être nommé Prix spécial bi
pour 2006 (ex-aequo)
L’un des meilleurs récits de ce site
Remarquez qu’Estonius s’en est largement inspiré pour son bon teste Artisan décorateur par Estoniux
Une pépite !
Heureux d’avoir, après tant d’années, retrouvé ce texte que j’avais écris alors que je vivais à Strasbourg…
Je n’oublierai jamais le couple qui m’a inspiré cette histoire.
A l’époque j’étais dans le fantasme, j’ai, depuis…travaillé certaines situations, mais hélas jamais jusqu’à vivre de telles Vassiliasités…
Peut-être prendrais-je le temps d’en poster quelques unes..
Merci de ces commentaires (même si je suis conscient d’être incapable de prouver à qui que ça soit que c’est bien moi, le mail porteur de mon trèèèèès vieux profil Chris – le 01 ne me dit rien – n’existe logiquement plus..). Merci à Janus pour la sauvegarde.
Le O1 a été ajouté car à l’époque nous avions comme auteur un autre Chris.
Si tu as d’autres textes de disponible, c’est avec grand plaisir que nous les publierons sur notre site
Cordialement
Eddy
Une pépite !
Absolument fabuleux
Joli récit vraiment très excitant
Humm! Passionnant et fort bien raconté mais pas forcément improbable…Je vous le jure …
Un chef d’oeuvre, je me suis bien branlé en lisant cette véritable pépite.
Du pur délire, mais c’est plaisant, le style est alerte et ça fait bien bander
Quel style ! C’est vraiment très bon !
un petit bijou aussi improbable qu’excellent
C’est asse fabuleux, il faut bien le reconnaître