Coup de chaleur à vélo par UnD100

J’ai toujours adoré faire du vélo et surtout en fin de journée, lorsque le soleil se fait moins ardant.

La scène s’est passée justement en fin d’après midi, en forêt, avec ma copine Cathy. Un dimanche, nous sommes parties toutes les deux faire un tour, c’était histoire de prendre le frais, de se revoir, lâcher les mecs et leur formule 1 à la télé, et de se changer les idées entre nanas. Depuis quelques minutes les flâneurs de l’après midi finissaient de partir pour nous laisser les sous bois, rien que pour nous.

J’avais mis un débardeur genre Lara Croft avec ma mini jupe de tennis et Cathy un tee-shirt qui laissait deviner la pointe de ses petits seins que je connais par cœur ainsi qu’un cuissard qui lui faisait comme une seconde peau.

Comme d’habitude, j’aimais bien laisser passer Cathy devant, ainsi je ne perdais jamais de vue ses jolies petites fesses galbées dans son cuissard très près du corps ; parfois j’apercevais le haut de la dentelle de sa culotte (quand elle en avait une). Aujourd’hui, il faisait chaud et elle avait un string si mini que seule dépassait la petite bande au dessus de la raie des fesses.

Bref, des idées commençaient à se bousculer dans ma tête !

Après une heure de balade, au beau milieu d’un bois bien à l’écart, Cathy me fait signe de poser le pied à terre :

– Je réclame une pause, je suis vannée, et puis j’ai soif .
– D’accord, moi aussi.

Sur ce, la voilà qui prend son vélo et l’emmène directement dans les fourrés, comme pour le cacher. Elle se retourne et m’adresse un petit sourire en coin.

-Viens, cache ton vélo, et suis moi !

Le trouble me gagne. Où sommes nous parties ?

Nous voici arrivées dans un petit morceau de verdure bien cachées de tout le monde, le sol est verdoyant, une invitation à s’allonger.

Je vois ma copine, se désaltérant à grandes gorgées, laisser l’eau couler sur sa poitrine, de façon un peu exagérée. Je me régale de voir le tissu qui ne cache plus rien de ses mamelons durs et fermes. Ayant fini, elle se tourne vers moi et tire sur son tee-shirt, tout en m’aspergeant d’eau. Elle regarde rapidement aux alentours et me fait signe de m’approcher. J’obéis. En un tour de main elle me plaque contre elle, son ventre brûlant contre le mien…

– J’ai chaud et toi ?
– Comme d’habitude !
– Et puis une petite envie…

A ma grande surprise elle s’accroupit sur place, tout en roulant son cuissard et son string dans un même mouvement. Son regard suppliant m’invite à en faire autant et me donne du courage. Alors je dégrafe ma jupe, et commence à m’accroupir devant elle. Je la vois qui commence à fermer les yeux tout en écartant les lèvres de son sexe, je sens que Cathy est prête à tout ce soir. Je regarde vers le bas : un jet épais de pipi mêlé de ses sécrétions sort de son sexe parfaitement épilé et luisant.

Soudain le parfum mélangé de son intimité et de la mienne forment un élixir qui me mets dans tous mes états, me faisant perdre définitivement toute retenue.

Mes jambes, tremblantes, fléchissent, et je me retrouve à genou face à Cathy qui, entraînée dans ma chute, est à genou elle aussi. Je la regarde et l’embrasse tout en malaxant son sexe pendant qu’elle finit de faire tomber les dernières gouttes de son nectar.

Chavirées sur le côté, nous nous léchons la sueur sur tout le corps. Je suis très excitée par l’incongruité de la situation. J’échange ma culotte en coton ( encore blanche il y a une heure…) avec le string de ma copine et me dirige vers un tronc recouvert de mousse qui est posé sur le sol. Après l’avoir enjambé je me cambre et donne des coups de rein pour frotter ma vulve humide sur la mousse douce et fraîche, excitant Cathy du regard, tout en reniflant le fond doublé de son string.
Elle me rejoint et se met devant moi, guidant ma main droite sur ses seins et la gauche vers son petit bouton encore bien gonflé.

Nous jouissons ainsi toutes les deux avant de reprendre nos vélos pour aller nous laver les fesses dans l’eau d’un ruisseau, sous les yeux d ‘un joggeur qui passait par là.

Nous a-t-il espionné ?

FIN