En allant à Milan par Ursulin Neveway

En allant à Milan par Ursulin Neveway

Je devais faire un saut à Milan pour le boulot, j’en profitais pour faire une halte chez ma mère qui habite à Lyon.

Elle m’avait indiqué depuis quelque temps qu’elle vivait de nouveau seule, son dernier copain étant parti voir ailleurs. J’en étais fort satisfait, ce type m’ayant toujours paru antipathique.

Ma mère me proposa de passer la soirée dans un bar branché où l’on pouvait écouter du bon jazz.

Elle est très en beauté ce soir, la maman, cheveux méchés avec frange sur le front, mais surtout une petite robe noire très moulante avec des fines bretelles et un décolleté du tonnerre de dieu même que je ne peux m’empêcher de lorgner dessus.

– C’est mon décolleté que tu regardes comme ça ?
– Non, non !
– Tu trouve peut-être que c’est trop osé ?
– Non pas du tout, c’est très joli.
– Et ça te fait de l’effet.
– Euh…
– Je peux vérifier !

Et voilà que ma génitrice me fout la main sur ma braguette. Je suis paralysé.

– Tu ne m’en veux pas, j’espère ? On va dire que la boisson qui nous rends coquins !
– Mais non !
– Alors embrasse-moi.

Je l’ai fait, juste sur le bord des lèvres.

Après plusieurs consommations nous commencions à être affecté par l’alcool et nous avons décidé d’appeler le taxi pour rentrer chez elle.

Dans le taxi elle me fit quelques réflexions du genre :

– Ah, si tu n’étais pas mon fils !

Je lui répondis du tac au tac :

– Oublie que je suis ton fils, ça ne me dérangera pas !
– Tu dis ça mais tu ne sais pas dans quoi tu t’embarques !
– Je verrais bien !

Du coup nos mains commençaient à être très baladeuses la sienne sur ma braguette, les miennes dans son décolleté. Rendu chez elle, ayant peur « d’aller trop loin » je lui propose que nous regardions un film.

– Un film un peu coquin, alors, mais je vais d’abord me mettre en pyjama, mes vêtements me serrent.

Je n’ai pas apporté de pyjama pour moi mais histoire d’être à l’aise moi aussi, je me déshabille ne conservant que mon boxer.

Nos mains ont vite recommencé à devenir baladeuses, maman a retiré sa veste de pyjama et c’est à ce moment que j’ai découvert pour la première fois ses superbes seins dont je me suis mis à sucer les doux tétons.

Pendant ce temps, maman avait sorti ma queue de mon boxer, et après quelques très agréables mouvements de masturbation, elle m’a sucé pendant plusieurs minutes. C’était divin, je n’aurais jamais imaginé que ma mère suçait si bien ! Mais c’est vrai qu’elle en a connu, des bonhommes, elle a pu perfectionner sa technique !

Elle a ensuite retiré son bas de pyjama et elle s’est assise sur ma queue, elle était tellement mouillée que je ne sentais presque rien. Mais elle jouissait comme une folle et je l’ai embrassé profondément sur sa jolie bouche si sensuelle.

Ensuite je me suis retiré et me suis installé pour faire un 69, sa chatte était toute dégoulinante et bien épilé comme je les aimes. J’ai écarté ses belles lèvres et je me suis amusé avec son clitoris pendant qu’elle me suçait, nous avons joui en même temps et j’ai eu une vague de son jus dans ma bouche pendant qu’elle dégustait mon sperme.

Après avoir repris nos esprits nous sommes allés dans sa chambre pour dormir ensemble dans son lit, elle s’est endormie pendant que je caressais ses tétons,

Pendant qu’elle dormait j’ai eu envie d’elle. Je suis placé sur elle et elle s’est réveillée quand j’insérai ma queue dans sa fente encore mouillée, nous avons fait l’amour passionnément pendant quelques temps, juste avant que je vienne elle m’a poussé à côté d’elle et elle s’est mise à quatre pattes, m’offrant une vue imprenable sur son joli cul !

Si, si je vous assure, elle a un cul splendide, ma mère ! Je vous le recommande si vous passez par Lyon.

Je me préparais pour la prendre en levrette et elle m’a dit qu’elle voulait que je vienne dans son cul,

Pas de soucis, je lui ai un peu léché la rondelle avant m’enivrant de l’odeur divine de son anus.

– Oh, Quelle langue tu as, ça me fais un bien fou, maintenant encule-moi, encule ta mère comme un chienne.

J’ai donc déposé mon gland sur son petit trou et j’ai donné un grand coup de rein pour me faire entrer d’un coup. Après cinq minutes de ce pur délice, j’ai joui dans son cul et cela l’a fait jouir instantanément.

Elle m’a ensuite nettoyé ma bite qui sortait de son cul.

Le lendemain matin nous nous sommes réveillés et levés en même temps. Maman est allé dans la salle de bain, je l’ai suivi, elle s’est assise sur la cuvette de chiottes, je me suis tourné.

– Ça ne me dérange pas si tu me regardes pisser ! Me dit-elle.

Alors elle s’est positionnée de façon à ce que je puisse me régaler de la vision de son mignon filet doré jaillissant de sa jolie chatte.

– Tu veux lécher ?
– Oui ! Pourquoi pas ?
– Attend un peu, je vais faire caca, tu veux voir aussi !
– Oui !
– Et tu me nettoiera le cul vac ta langue ?
– T’es une cochonne Maman !

Après le petit déjeuner j’ai repris la route.

– Tu passes me voir au retour ?
– Ça c’est sûr !

J’ai encore le goût de son cul dans la bouche, à la prochaine station-service je vais m’acheter des bonbons à la menthe.

fin

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5 réponses à En allant à Milan par Ursulin Neveway

  1. Pinoteau dit :

    Putain, ça m’a fait trop bander cette histoire
    J’ai été obligé de me palucher sévère !
    Merci Madame Vassilia

  2. Stablinski dit :

    Il y a quelques trésors dans les archives du site, et même des choses pas mal taboues

  3. Chastaing dit :

    J’aime cette pointe d’humour qui donne au récit une toute autre dimension tout en restant très pervers.

  4. Viviane dit :

    Y’a pas de mal à se faire du bien

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