La métamorphose 3 – La petite fleur par lotrebord

 

La métamorphose
3 – La petite fleur
par lotrebord


Mon excitation est à son comble et je n’ai pas envie d’aller travailler.

Comme nous sommes fin juin, ça ne posera pas de problème si je m’octroie quelques jours de congé pour vivre ma transformation. Je travaille aujourd’hui, déplace mes rendez- vous et m’octroie trois jours de congé.

Mon imagination galope et je ne cesse d’imaginer ce que sera demain. Être le jouet sexuel d’Hélène devient le seul but des jours à venir.

Aussitôt libre, je rentre à la maison et me mets nu. Après une douche, pour entretenir mon absence de poils, je commence à raser mon ventre, ma verge et mes testicules. J’utilise un blaireau et un savon à barbe mentholé. L’idée m’est venue de couvrir de mousse mon gland décalotté.

Une extraordinaire sensation de fraicheur me fait aussitôt fait bander. Je passe mon blaireau sur mon anus et j’éprouve le même plaisir. Il faudra que je mette du gel à cet endroit avant de me faire prendre.

J’ai fais en sorte que mon corps reste lisse et doux à caresser. J’utilise un lait de beauté qui tout en me parfumant, me rend plus femme.

J’enfile mon peignoir de bain et reste dans cette tenue pour attendre le retour d’Hélène.

Elle est arrivée plus tard que d’habitude, avec quelques paquets à la main. En me voyant dans cette tenue, elle ouvre mon peignoir, m’observe, me renifle et me caresse avant de me dire qu’elle passe par la douche, qu’ensuite elle s’occupera de moi. Elle ajoute qu’elle a prévu du surgelé pour le dîner car elle n’aura pas le temps de cuisiner.

– Surtout, tu ne touches pas à mes sachets dit-elle. Tu peux ranger ton peignoir, tu n’en auras plus besoin.

Après sa douche, elle revint, nue sous une chemise de soie et prend ses paquets qu’elle pose sur la table basse du salon.

Elle ouvre d’abord une boîte à chaussures et me présente une paire d’escarpins à hauts talons, noires, avec une boucle se fermant sur la cheville. C’est du 41 : ma pointure.

– Mets les dit-elle. Je m’assieds en face d’elle et elle me regarde attentivement ouvrir mes cuisses et croiser mes jambes pour attacher les chaussures.

Tu vas avoir du mal au début mais il faut souffrir un peu si tu veux devenir ma salope.

– J’ai eu du mal à marcher mais c’était agréable de devoir être cambré pour conserver l’équilibre.

Je suis obligé de tendre mon ventre et par conséquent de cambrer mes reins, ce qui met mon cul en valeur.

– Maintenant, tu vas ôter tes chaussures et passer ceci.

J’ouvre le paquet tendu et sors un porte-jarretelles noir en dentelle ainsi qu’une paire de bas. C’est la première fois que je vais porter ces accessoires. Je commence par le porte-jarretelles qu’elle m’aide à régler puis j’enfile les bas et les fixe. Je remets les chaussures et marche vers le miroir de l’entrée pour d’admirer. C’est extraordinaire la sensation du nylon, de la dentelle sur la peau. Je commençais à me caresser le ventre, les seins, les fesses.

– Ouvres le dernier paquet

Il y a une nuisette de tulle noir, courte, fermée sur le devant pas un cordon.

– Enfiles ça et noues la.

J’obéis et n’en revenant pas, je marche dans le salon en me sentant devenir pute.

Mon vêtement s’arrête juste au dessus de mon sexe rasé et à chaque pas, le frôlement du tissu sur ma peau m’excite au maximum. Je bande.

Voilà ta tenue pour ce soir ma belle. Je vais faire des photos que je vais envoyer à Geneviève pour qu’elle voit à quoi tu ressembles maintenant. Ah, j’ai aussi pris un loup pour que tu puisses être exhibé sur Internet sans être reconnu. En attendant, sers-nous le champagne et prends soin de mettre ton cul en valeur.

Jamais je n’avais imaginé à quel point c’est excitant de ne porter que du nylon et de la dentelle. Ça me rend folle.

Je revins de la cuisine avec une bouteille de champagne et deux flûtes. Elle m’attendait avec son appareil photo numérique.

J’ai pris toutes les poses qu’elle ordonnait, même les plus osées. Elle a mitraillé puis choisi celles qui lui plaisait le plus et a téléphoné à Geneviève pour lui dire : je t’envoie sur internet des photos d’Alain. Regardes ce que j’ai réussi à faire de lui, je devrais dire d’elle maintenant.

La réponse de Geneviève ne tarda pas.

– Je suis très impatiente d’en profiter. Je peux passer demain après midi ?
– Bien sur ma chérie. Je serai rentrée vers dix huit heures mais si tu veux l’enculer avant, tu es libre.

Nous avons joui en nous masturbant. Comme Hélène était toute mouillée, je l’ai toiletté avec ma langue. Elle m’a fait jouir sur son ventre et m’a obligé à tout lécher.

Avant, elle avait étalé avec sa main le sperme autour de mes lèvres et a fait des photos avant que je passe ma langue.

Nous avons ensuite consulté sur le net les images d’un sexe shop et elle m’a commandé des gels pour faciliter la pénétration, un plug de taille moyenne, que je devrais conserver le plus longtemps possible dans le cul pour l’habituer à être défoncé et un godemiché très réaliste pour le lécher et m’habituer à la queue des mâles.

Nous avons aussi regardé des films homos pour que je sache comment m’y prendre pour être une vraie cochonne.

Vivement que Geneviève me baise demain. D’abord j’en ai très envie et ensuite, je serai libre de faire la pute avec qui veut bien de moi.

Je crois que je suis prêt à tout accepter pour satisfaire mes vices, ceux d’Hélène et ceux des partenaires auxquels elle m’offrira.

Nous avons fini par nous endormir mais à chacun de mes réveils, j’imaginais ce qui m’attendrait.

Geneviève est arrivée, vers 16 heures, elle avait pris soin de téléphoner pour que je sois prêt immédiatement à lui appartenir et avait exigé que je l’accueille dans la même tenue que sur les photos envoyées hier par Hélène.

Elle a klaxonné et je suis venu lui ouvrir le portail en prenant soin de rester dissimulé au regard de la rue. Je refermais derrière sa voiture. Elle m’observa et sortant de la voiture, elle vint vers moi pour me dire:

– Voilà ce que tu vas porter en plus et elle me fixa au cou un collier de chien en cuir noir et me tira avec une laisse. Tu mérites bien ça car tu es une chienne en chaleur. Promenons nous dans le jardin.

En restant dans les allées, pour ne pas abimer mes escarpins je la suivais. Elle se pencha sur un parterre et cueilli une petite pâquerette qui avait une longue tige.

– Ici, ordonna-t-elle en tirant sur la laisse.

Elle saisit à pleine main mon sexe en érection et le décalotta puis elle introduisit la tige de la pâquerette dans ma queue. Elle la fit glisser pour qu’elle entre complètement. Seule la fleur apparaissait sur ma verge en érection.

– Restes comme ça maintenant. Je m’occuperai de ton cul tout à l’heure. Il faudra que tu te montres comme ça devant cette gouine d’Hélène. Dis-moi qu’Hélène est à moi, que j’ai le droit de la baiser autant qu’il me plaît.

– Oui, elle est à toi et tu as le droit de la baiser comme bon te semble.

En me tirant par la laisse, elle me conduisait vers la maison. Dans le salon, elle s’écarta pour ouvrir son sac à main et me montra ce qu’il contenait : un magnifique godemiché à ceinture. Il y avait deux sexes collés l’un à l’autre par la base.

– Tu peux te caresser pendant que je m’équipe.

Elle se mit nue. Elle avait introduit le plus petit des deux pénis dans sa chatte et brandissait devant elle un magnifique sexe d’homme que je lorgnais avec envie. Elle se sangla. Elle détacha ma laisse, s’installa cuisses ouvertes dans un fauteuil et m’ordonna de venir à quatre pattes devant elle.

– Suces salope, appliques toi.

Ensuite, elle se mit debout, moi à genou. Elle me tirait par le collier pendant qu’elle donnait des coups de reins.

– Bientôt, tu feras ça à un mâle bien monté qui voudra se vider dans ta bouche. Il faut que tu t’appliques et que tu apprennes bien à faire la putain. Tu aimes ça ma belle, hein ?
– Oui, j’aime ça, j’ai envie que tu me baises.
– Mets-toi à genou, assieds toi sur tes talons.

Je fais ce qu’elle demande. Elle se lève et tourne autour de moi, le sexe en bataille puis m’ordonne d’ouvrir la bouche et y enfiles sa queue factice. Maintenant elle me tient par la tête pour m’obliger à aspirer son sexe. Elle m’insulte, m’oblige à dire que c’est bon, puis à lui dire que je suis un chien lubrique. Alors, j’ai le droit de me relever. Elle m’installe, le ventre sur l’accoudoir du divan, la tête dans les cousins, les fesses en l’air, les jambes tendues puis me lubrifie avec de la vaseline. Maintenant, elle s’installe derrière moi, guide sa queue factice entre mes fesses et me tenant par les hanches, elle me pénètre, d’abord doucement puis ses coups de reins vont en s’accélérant. Je sens son ventre contre mon cul, son souffle dans mon dos. Son sexe a totalement disparu entre mes fesses. Je jouis comme un fou et la petite fleur est toute mouillée.

Je me relève.et file vers la salle de bain. Je lave son pénis, mon cul et reviens vers elle dans le salon.

à suivre

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