Surprise-Partouse 5 – Orgie chez Monique par Enzo_Cagliari

Surprise-Partouses
5 – Orgie chez Monique
par Enzo

Ce récit s’enchaine directement avec le précédent. Au cours d’une orgie bourgeoise Monique, fausse blonde aux yeux bleus, la cinquantaine, est amenée à raconter les détails de sa dernière orgie…

Le récit de Monique
Ce jour là j’avais rendez vous dans un bon petit restaurant avec une amie. Elle a eu un empêchement au dernier moment, tant pis, je mangerais toute seule.

Je dégustais mon entrée quand à la table voisine, s’installe un couple, très élégant la cinquantaine, elle grande brune à la peau mate, lui blondinet genre sportif. Le mec me regarde avec insistance, je ne sais plus ou me foutre, c’en est gênant, il aurait été tout seul je lui aurais balancé une vanne, mais il y a sa femme… je me tourne vers elle, elle me sourit… Drôle de couple. Et voilà que le mec m’adresse la parole :

– Ne m’en veuillez pas de vous dévisagez ainsi, mais vous êtes vraiment très belle. Mais, je vous promets qu’à partir de maintenant je vais faire attention.

Je ne réponds que d’un sourire, qu’est ce que vous voulez que je réponde ?

– Mon épouse n’aurait pas été avec moi, je vous aurais sans doute draguée… mais comme elle est avec moi…
– Vous avez un drôle de mari ! Rétorquais-je à l’adresse de madame.
– Oh, vous savez, j’ai les idées larges, et puis mon mari a toujours eu très bon goût, c’est vrai que vous êtes très belle.
– Merci, vous n’êtes pas mal non plus !

J’ai dis ça à l’adresse de Madame, ça m’a complètement échappé.

– Merci, j’apprécie quand ce genre de compliment vient d’une femme, ce doit être mon petit coté bi ! Reprend l’inconnue

Tiens, tiens, ça devient intéressant.

– Vous êtes donc un peu bi… et bien sachez que si votre mari n’était pas avec vous, peut-être que c’est moi qui vous aurait dragué.
– Je suis un peu bi, mais je peux l’être beaucoup… Mon mari aussi d’ailleurs… mais ne vous gênez pas pour lui !
– Non, ça ne se fait pas !
– Au diable les convenances, seriez-vous libre cet après midi ?
– Oui !
– Alors nous vous invitons, nous serons, soit tous les trois si mon mari vous convient, sinon je l’enverrais faire un tour et nous serons toutes les deux.
– Vous êtes très directe !
– Vous acceptez, bien sûr ?

Un plan mijotât dans ma tête… Je fis une contre-proposition.

– Je dois être chez moi, en milieu d’après midi, on doit m’apporter un paquet… donc c’est moi qui vous invite.
– Alors, pas de problèmes… vous vivez seule ?
– Non, mon mari travaille, il rentrera pour le diner.
– Il a les idées aussi larges que les vôtres ?
– Bien sûr ! Mon mari est aussi bisexuel.
– Pas possible ! S’exclame la belle brune.
– Si, il adore pratiquer des fellations, et moi j’aime bien le regarder faire ça !
– Vous nous faites marcher !
– Pas du tout.
– Et vous trouvez souvent des partenaires pour ce genre de choses ?
– C’est souvent l’occasion qui fait le larron, on a essayé les petites annonces, mais le déchet est considérable, on a aussi expérimenté les saunas. Moi je n’y vais plus, les types là-dedans quand ils voient une femme, ça se transforme en chasse à courre, mais mon mari y va quelque fois et parfois il ramène des types à la maison… et vous ?
– Un peu pareil, disons que nous avons un cercle d’amis, mais nous ne refusons pas d’élargir ce cercle.

Je souriais à ce jeu de mot probablement involontaire.

– Et votre truc, c’est la bisexualité, ou vous avez essayé d’autres choses. Relançais-je.
– Nous avons un peu tout essayé, le SM, l’uro, le travestisme aussi, Eric adore se travestir, il est mignon comme tout en femme…
– Ah, oui, j’aurais bien aimé voir ça !
– Qu’à cela ne tienne, on va passer chez nous avant de venir vous voir et on apportera le matériel, n’est-ce pas Eric ?
– Mais avec grand plaisir.
– Vous me donnez une idée, j’aimerais faire une surprise à mon mari, passez vers 17 heures, nous commencerons tous les trois à nous amuser et quand il rentrera, il se joindra à nous.
– Et bien c’est d’accord, au fait je m’appelle Florence.

L’idée convint parfaitement aux deux zigotos, et le repas se poursuivit en parlant de tout à fait autres choses. Vers 14 heures nous sortons tous les trois du restaurant.

– A tout à l’heure, Chère Monique. Me permettez-vous de vous roulez une pelle ?
– Mais bien sûr, chère Florence.

Je ne vous dis pas la tronche des passants. Eric souhaite m’embrasser à son tour, allons-y, ne faisons pas de jaloux.

A 17 heures Ling vint leur ouvrir

– Je ne vous ai pas parlé de Ling, commençais-je, c’est notre petite bonne chinoise. C’est aussi une complice, elle participe parfois à nos petits jeux. Elle est très douce, très gentille et très disponible… et d’ailleurs elle a intérêt à être gentille, sinon je lui fouette le cul. Ça me fait penser que ça fait un bon moment que je ne l’ai pas puni… Ça vous intéresserait de me regarder la punir ?
– Avec grand plaisir, si toutefois cette jeune personne en est d’accord !
– Si Madame souhaite me punir, devant vous, qu’elle le fasse ! Répondit Ling avec un merveilleux sourire.
– Parfait mais auparavant, il faut qu’Eric se transforme en petite femme, nous avons apporté ce qu’il faut… peut-il disposer de votre salle de bain ?

Restées seules, je demandais à Ling de nous servir des rafraichissements et d’enlever sa culotte pour le faire.

– Votre soubrette a un très joli cul, constata Florence, mais avant toutes choses, j’irais bien aux toilettes !
– C’est là-bas, la deuxième porte à gauche.
– Cela vous exciterait-il de me regarder faire ? Chère Monique !
– Mais bien sûr ! Chère Florence !
– Mais attention ! Quand on me regarde faire, on m’essuie !
– Ça me paraît logique !
– Et, on m’essuie avec la langue…
– Je l’entendais bien comme ça !
– Je vais enlever le bas, se sera plus pratique.

Une minute plus tard, elle était la chatte à l’air, et la voilà qui se dirige vers les toilettes en tortillant des fesses, je la suis.

– Dites-moi, Monique, vous avez peut-être envie aussi ?
– Peut-être un petit pipi…
– Alors vous allez me l’offrir, attendez, j’enlève le haut…

Et là voilà complètement à poil, il y en a qui ne perdent pas de temps ! Florence a une jolie poitrine un peu lourde, avec de gros tétons un peu sombres.

– Ils sont pas mal, hein ? Je vous les offre… Mais pissez leur dessus, ils seront encore meilleurs.

Elle s’assoit sur la cuvette, mais comprend vite que je vais avoir du mal à viser comme ça en hauteur, elle rectifie la position se met le cul sur le carrelage et attend.

– Commencez par viser mes seins, puis vous me pisserez dans la bouche…

Je fais comme elle le souhaite, je lui arrose les nichons puis dirige le jet vers son visage, elle avale tout sans broncher, puis se réinstalle sur la cuvette.

Je m’approche de son visage, lui fait un baiser sur ses lèvres mouillées d’urine, puis je descends un peu, farfouillant ses pointes de seins de ma langue.

– Monique, vous êtes une cochonne !
– Je sais !
– Mais, il faut que je fasse à mon tour, j’ai envie.

La voilà qui pisse, une vraie fontaine dorée, deux doigts s’immiscent dans le jet, je les porte à ma bouche, c’est vrai que je suis une cochonne.

– Je garde mon caca pour l’instant, nettoyez moi la chatte, chère Monique.

Je n’ai même pas attendu qu’elle me le dise, ma langue est déjà dans son sillon et absorbe le pipi restant, bien sûr le jeu n’est pas innocent, je lape encore, alors que le nettoyage est fini, je remonte un peu, attaque son clito, elle se laisse bien sûr faire, ses mains se cramponnent sur la lunette, elle pousse un cri de jouissance, l’affaire a duré moins de trois minutes.

– Merci, Monique, c’était merveilleux. Il faut maintenant que je fasse caca, mais, si cela vous gêne, je le comprendrais.
– Ça ne me gène pas.
– Seriez-vous excitée à l’idée de me nettoyer mon cul ?
– Peut-être bien !

Je n’ai pas vu grand-chose, elle ne s’est pas relevée pour faire et je ne lui ais pas demandé non plus. La scato n’est pas un de mes trucs habituels, mais je ne refuse pas de m’y adonner quand je suis vraiment très excitée.

Florence se relève se tourne et me présente son cul.

– Allez, Chère Monique, servez-moi de papier à cul

Comme dans un rêve, ma bouche s’approche de son anus, il me faut d’abord surmonter l’odeur, puis ma langue virevolte autour de l’anus, léchant les petites traces de merde qui s’y trouvent. En fait j’adore ça !

– Alors Monique, comment trouvez-vous ma merde ?
– Ma foi, elle n’est pas mauvaise.
– Oh, je crois que je vais faire encore une petite crotte !
– Lâchez-vous Florence, je reste là !

L’anus s’écarte, un petit bout d’étron apparaît, J’y porte la langue. Florence pousse, le morceau se détache et arrive directement dans ma bouche. Je le garde quelques instants en bouche avant de le ressortir et de le prendre dans ses mains avec un air de défi, puis j’ai une idée perverse.

– Si nous nous embrassions, Florence ?

Mais avant de le faire, je remets l’étron dans ma bouche afin que de nos langues nous nous l’échangions

Et c’est les lèvres merdeuses qu’après ce délire, nous quittons les toilettes. Florence ne s’est pas rhabillée, et moi je suis toujours habillée… Eric nous rejoint.

– Je me présente, je suis Erica ! Déclame-t-il en sous faisant bénéficier d’une révérence assez grotesque.

Mais il faut bien avouer que la transformation est étonnante, il s’est maquillé à merveille, et sa perruque blonde lui fait un vrai visage de femme. Pour le reste il n’est vêtu que d’une nuisette transparente, et d’un petit slip en dentelle semi transparent où l’on distingue son sexe. Je m’aperçois aussi qu’il est complètement épilé.

– Mais qu’est ce qu’il y a de caché là-dedans ? Demandais-je ingénument en lui tâtant la culotte.
– Un gros sucre d’orge ! Répond le travesti.
– Un sucre d’orge ! Mais c’est que sucerais bien un sucre d’orge, moi !
– Et bien sucez-le, c’est fait pour ça !

Et me voilà avec la bite d’Eric dans la bouche, elle est bonne, ni trop petite, ni trop grosse, je pense que Philippe appréciera, mais pour l’instant je me régale…

– Heuh… rien ne vous empêchera de finir cette pipe tout à l’heure, mais vous m’aviez promis de punir votre petite bonne. Intervient Florence

Oui, c’est vrai, mais bon, ça pouvait attendre… d’autant que pendant ce temps là, je n’ai pas encore joui, moi… Mais bon, faisons plaisir a mes invités.

– Ling !
– Oui, Madame !
– Pourquoi as-tu renversé du jus d’orange sur la table ?
– Madame doit faire erreur !

Et vlan, la pauvre reçoit une gifle en plein poire.

– Petite peste ! Madame ne fait jamais d’erreur, tu vas être doublement punie, d’abord pour avoir renversée du jus et ensuite pour m’avoir mal répondu !
– Oui, madame.
– A poil, Ling !
– Oui, madame.
– Et va me chercher le petit coffret.
– Oui, madame


Je prends dans le coffret qu’elle m’apporte, deux pinces que je lui accroche sur les tétons, elle fait une grimace, je rajoute des poids, nouvelle grimace, puis je fais la même chose avec ses grandes lèvres…

– A quatre pattes, maintenant !
– Oui, madame !

Je lui fais faire un tour de table, les poids de ses pinces lui meurtrissent la chair pendant sa progression, et histoire d’en ajouter un peu plus, je lui fouette le cul au martinet pour la faire avancer plus vite. J’hésite à lui faire faire un second tour de table, ce serait sans doute trop cruel.

– Debout. !
– Oui madame !
– Et maintenant exercice d’adresse.

J’enlève les poids de ses tétons, juste les poids, mais je laisse les pinces. Je lève le martinet et lui fouette le sein. Je fais exprès de rater mon coup. Elle gueule. Second coup, la pince vole, troisième coup : la seconde pince vole. Je lui enlève les pinces de ses lèvres, la prend dans mes bras et la console, je l’adore cette petite Ling.

Florence a eu l’air d’apprécier le spectacle, elle se tripote le minou d’un air décidé tandis que Eric se branlote tout doucement.

– Ce n’est pas dangereux ? demande Florence
– Non, il faut simplement choisir des pinces qui ne risquent pas de couper…
– J’aurais bien aimé être à sa place ! Ajoute-t-elle.
– Voilà une chose tout à fait possible, renversez donc à votre tour un peu de jus d’orange, et vous verrez bien ce qui va vous arriver…
– Chiche ?
– Chiche !

Elle n’hésite, pas se dirige vers la table et renverse du jus du fruit.

– Florence !
– Oui !
– Vous venez de faire quoi ?
– De renverser du jus d’orange !
– Et pourquoi donc ?
– Pour avoir une punition, chère Monique.
– Et si ma punition, c’était de vous dispenser de punition ?
– Ce ne serait pas drôle.
– Alors je ne vais pas dispenser mais sursoir, nous ferons cela quand mon mari sera là !
– Cruelle !
– Je peux l’être, en effet… mais pour l’instant j’ai très envie de me faire prendre par votre travelo de mari !
– Il est à votre disposition.

Me revoilà donc avec la bite d’Eric (Érica) dans la bouche, je la suce consciencieusement pendant plusieurs minutes, puis me dégage, lui tend un préservatif, retire mon pantalon et ma culotte, puis et me positionne en levrette à même le sol.

– Maintenant, enculez-moi !
– Vos désirs sont des ordres, Monique, souhaitez vous que je pénètre comme un hussard, ou plutôt que je vous lèche un peu avant.
– Si vous n’êtes pas gêné par l’odeur de mon trou, je serais ravi que vous me léchiez l’anus.
– Un cul, ça doit sentir le cul, sinon, ce n’est pas un cul ! Répond-il doctement avant de faire agir sa langue dans mon intimité rectale.

Il me lèche quelques minutes, puis je lui demande de me prendre. Je me fais ainsi enculer sur la moquette par Eric transformé en Erica devant sa femme et ma bonne. Pas mal, non ? Il me ramone avec frénésie quand le bruit de la sonnette retentit.

– Ling, si c’est Monsieur Philippe, expliquez lui ce qui se passe ici et dites lui de nous rejoindre. Mais, ne vous arrêtez pas Erica, continuez à me bourrer le cul !
– Bien Madame !

Et tandis que Ling va ouvrir je fais signe à tout le monde de se taire :

– Ecoutez, on va rigoler !

Effectivement, on entend tout :

– Bonsoir Ling, qu’est ce que vous faites à poil ?
– Madame est avec des amis, et ils m’ont demandé de participer.
– Je vois… c’est qui ces amis ? Euh, ils sont toujours là ?
– Je ne les avais jamais vus, mais ils sont toujours là.
– Et madame a-t-elle donnée des instructions me concernant ?
– Oui, elle m’a dit que vous pouviez les rejoindre.
– Bien, je vais y aller ! Ils font quoi en ce moment ?
– Et bien madame se fait enculer par le mari de la dame qui s’est déguisé en travesti et la dame elle regarde…
– Et ben !

Et donc Philippe se pointe…

– Heuh ? Bonjour messieurs-dames, bonsoir Monique, j’espère que je ne dérange pas.
– Pas du tout, répondis-je, nous ferons les présentations plus tard, dépêche toi de te mettre à poil, plus on de fous plus on rigole !

Une fois mon homme déshabillé, je m’adressais à Florence :

– Florence, soyez gentille, préparez le cul de mon mari, je tiens absolument à ce qu’Erica l’encule. Oooh, c’est trop bon ce qu’il me fait.
– Mais avec grand plaisir… ais-je l’autorisation de lui sucer la bite ?
– Plus tard, Florence, rappelez vous que vous êtes punie. Oh, oui, Erica continue comme ça ! Encule-moi bien, mais surtout ne jouis pas…

Florence fit alors mettre Philippe en levrette et entreprit de lui lécher le trou du cul avec de grands coups de langues. Ensuite elle introduit un doigt, puis un deuxième se faisant pâmer d’aise mon coquin de mari.

– Je crois qu’il est prêt ! Conclue-t-elle en retirant ses doigts, Oh ! J’ai les doigts un peu sales, je vais aller me les laver….
– Léchez-les donc, vous en mourrez d’envie ! Quand à vous Erica, sortez donc de mon cul, c’est au tour de mon mari de se faire enculer, mais avant montrez moi votre bite.

La capote recouvrant son sexe est légèrement pollué et tout imprégnée de mon odeur culière, je mets tout ça dans ma bouche, je suis une cochonne, mais j’assume.

Erika offre sa bite quelques instants à Philippe, puis remet un condom et attaque son cul, il est étonné de la facilité avec laquelle il le pénètre. Il n’est pas obligé de savoir qu’il adore se faire enculer, mon petit mari…

– T’aime ça, hein, une bite dans ton trou !
– Oui, c’est bon, Aaaaaah

J’ai besoin de récupérer un peu et je m’assois pour profiter un peu du spectacle. En même temps je demande à Ling d’attacher Florence sur une chaise et d’aller me chercher des bougies.

Soudain, Erika augmente la cadence, faisant crier Philippe de plaisir, quelques secondes plus tard, ils s’écroulent l’un sur l’autre.

– C’était très bien ! Dit Philippe, mais j’aimerais bien jouir aussi…
– Ce n’est pas un problème, approche toi de Florence et elle va te sucer !

Tiens, je lui fais faire un truc à Florence que je n’ai jamais fais, sucer en étant attachée sur une chaise. Je me mets l’idée en réserve pour nos prochains jeux érotiques. En tous cas elle s’en sort très bien, elle pompe la bite de Philippe avec avidité et délectation que c’en est plaisir à voir. Mon mari finit par jouir en quittant précipitamment la bouche de Florence et en lui arrosant les nichons.

Il s’essuie avec un kleenex qui traînait par là, et s’en va rejoindre Erika sur le canapé. Moi pendant ce temps là j’allume trois bougies.

– Tu fais quoi ? Me demande Philippe
– Ben je vais punir Florence, elle a envie d’être punie et d’ailleurs elle le mérite !
– Qu’est ce qu’elle a fait ?
– Et bien elle m’a draguée au restaurant ! Est-ce que j’ai une tête à me faire draguer au restaurant par une femme à moitié gouine qui est marié avec un travelo ?

Tout le monde rigole.

– Et en plus elle a renversé du jus d’orange !
– Alors là faut pas hésiter, punis-là !

Je commence à planter une des bougies dans sa chatte et la fait bouger pour la chauffer un peu. Dommage j’aurais du la faire attacher autrement, j’aurais bien aimé lui en planter une dans le cul.

J’approche l’une des bougies de son téton et m’apprête à faire couler la cire fondue.

– Non, t’es folle !
– Faites-moi confiance… et évitez de me tutoyer, vous aurez cette permission quand nous aurons baisé ensemble… ce qui ne devrait pas tarder d’ailleurs.

Elle me regarde avec des yeux apeurés. La goutte de cire atterrit sur son aréole. Elle soupire. Soupir de soulagement, soupir de plaisir, allez savoir ?

– Ça va ?
– Continue ! Pardon, continuez !

Un peu que je continue, les goutes se suivent, se rejoignent sur chacun des deux tétons finissant par les recouvrir complètement. A chaque goutte, elle se pâme. Je jette un coup d’œil sur son entre cuisse, c’est trempée. Le final devrait être géant !

Encore une goutte ou deux… sa respiration devient saccadé, je ne peux pas la laisser comme ça !

– Ling, détachez là !

Et pendant ce temps, je lui retire la cire qui s’est solidifiée.

– Couchez-vous par terre !

Je lui grimpe dessus en soixante-neuf et tandis qu’elle attaque mon sexe de sa langue, je donne quelques petits coups de langue sur son clitoris érigée, mais n’insiste pas de peur qu’elle parte trop vite, je m’imprègne un peu de ses sucs, mais décidément je crois que je n’arriverais pas à retarder son plaisir vraiment trop proche. Retour au clito et Florence braille comme une damnée en faisant des soubresauts spectaculaires. Je ne bouge pas, j’attends que ça se calme. Ça finit par se calmer.

– Tu veux que je passe en dessous ? Demandais-je.
– Non, non, reste là, je vais te faire grimper aux rideaux.

Peut-être bien que oui, peut-être bien que non, me disais-je. Mais Florence avait une langue de sorcière, alternant les mouvements lents et les rapides, sa petite sonate buccale eut tôt fait de m’envoyer dans le monde des plaisirs.

On change de position, on s’enlace, on se roule un gros patin, la tendresse a pris la place de la folie.

J’aperçois Philippe qui chuchote quelque chose à l’oreille de Ling. Que peuvent-ils bien comploter ? Ling s’avance tout sourire. Elle nous enjambe.

– Monsieur m’a demandé de venir vous rafraichir ! Commente-t-elle en nous pissant dessus.

Fin du récit de Monique
– Et après ? demande Alain.
– Après, rien, Erica s’est changée et nous avons été bouffé un petit truc ensemble dans le coin.
– Il faudra nous les présenter.
– C’était dans nos intentions.
– Nous voilà tous encore plus excités qu’avant ! Nous devrions passer à table, mais je crois que tout le monde sera d’accord pour t’accorder une petite récompense pour nous avoir raconté ce merveilleux récit ! Alors la récompense maintenant ou après ?
– Hum, il n’est pas de meilleur plaisir qu’un plaisir retardé, mais le plaisir immédiat ce n’est pas mal non plus, Alain enculez-moi comme une chienne et en même temps je vais sucer les bites de ces deux jeunes gens !

Enzo 11/2009

(à suivre)

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6 réponses à Surprise-Partouse 5 – Orgie chez Monique par Enzo_Cagliari

  1. ozoir dit :

    Ma compagne et moi nous avons eu du mal a trouver un coupe bi qui nous convienne, mais l’attente a été récompensé, ave monsieur on s’est sucé et enculé tandis que nos dames sr gouinaient. Géant !

  2. Chastaing dit :

    si le but du récit érotique est de nous exciter, le but est atteint

  3. caikkebote dit :

    c’est chaud

  4. lesignac dit :

    Avec juste un doigt de scato pour épicer ce récit croustillant ! Bravo

  5. claire dit :

    « – Alors Monique, comment trouvez-vous ma merde ? – Ma foi, elle n’est pas mauvaise. »
    voila le genre de dialogue qui crée tout de suite une ambiance

  6. sapristi dit :

    Toutes les petites déviances que l’on adore se retrouve ici dans un récit déluré et bien éccit. Un régal

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