Clotilde 14 – Diaboliques par Fafalecureuil

Clotilde
14 – Diaboliques
par Fafalecureuil


Frustrées… pas d’autre mot. Une fois dans la voiture, autant moi qu’Angélique nous nous sentions frustrées mais aucune n’osait l’avouer vraiment. Après quelques kilomètres, je lui proposais de se garer dans un petit chemin et Angélique mit son clignotant et s’engagea entre quelques arbres. Elle arrêta la voiture et aussitôt me sauta dessus, arrachant presque mes vêtements. Je me laissais aller sous ses caresses, ses coups de langue lorsque j’eus une idée. Je l’arrêtais et commençais à me rhabiller. Angélique me regarda médusée.

– Attends, sois patiente, tu verras, je te garantis que si tu réussis à attendre encore un peu tu ne le regretteras pas.
– Mais j’en ai envie, maintenant !
– Moi aussi, mais fais-moi confiance et suis-moi.

Elle se leva et se rajusta, je pris un foulard et pris quelques petites choses dans le coffre. Je pris Angélique par la main et l’entrainais entre les arbres. Après quelques minutes, je l’arrêtais et l’embrassais. Puis je me mis derrière elle et commençais à la caresser, glissant mes mains entre ses cuisses, palpant ses seins avec délice.

– Angélique, j’ai une petite surprise à te faire, tu veux bien mettre ce bandeau ?
– ?
– S’il te plaît, dans quelques instants, je te dirais de l’enlever et tu comprendras.

Elle accepta et après m’être assurée qu’elle ne voyait rien je commençais par quitter ma robe et mes chaussures. Puis, totalement nue, je pris quelques longueurs de corde, posais sur le sol mon sac contenant entre autre : deux beaux concombres (choisis par mes soins avec attention) huit pinces, un plug, un petit vibro. Enfin, debout, je liais ma cheville gauche au tronc d’un arbre avec une corde de nylon, puis fis de même avec ma cheville droite à un tronc proche mais suffisamment distant pour me forcer à écarter les jambes. Enfin, ayant choisi trois arbres disposés en triangle, j’attachais mon poignet gauche au dernier tronc. De cette façon, je m’offrais presque totalement, cambrée et impatiente. De ma main libre, je gagnais mon sexe trempé et gonflé et je malmenais mes lèvres, les pinçant, les triturant durement. J’étais prête.

– Angélique, tu peux enlever ton bandeau.
– Ok,
– Je suis un peu plus loin, à droite…
– Oh !
– S’il te plaît…. viens…
– …

Angélique me regarda, je me caressais devant elle, m’exhibant totalement. Sans un mot, elle prit le bandeau et le mit sur mes yeux. Ses mains parcouraient ma peau nue, le bas de mon dos, mes fesses, mon sillon.

– J’ai envie de te faire des choses, des choses que je n’aurai pas osées il y a quelques temps… J’ai envie de découvrir ton corps, tout ton corps…
– Je n’attends que ça
– A une condition…
– Ok, tout ce que tu voudras, je suis à ta merci,
– Tu m’attacheras ensuite ? Je veux que tu me fasses découvrir ça…
– Oh, oui, d’accord…

Son doigt passa dans mon sexe, s’y enfonça entièrement durant de délicieux moments, puis ressortit et pénétra mon petit trou. Angélique me fouilla longtemps, me faisant lécher ses doigts, je me liquéfiais, encore quelques instants et je la supplierai. Je sentis son souffle sur mon entrejambe, puis sa bouche se posa sur mon sexe et aspira, sa langue entra, ses dents …. Ses dents sur mes lèvres, j’allais jouir.

Sa poitrine nue se frottait maintenant contre mon minou, ses tétons effleuraient mon bouton de plus en plus rudement, puis mon petit anneau. Sa langue parcourut mon sillon, lapant longuement chaque centimètre puis elle s’arrêta sur mon œillet, le pénétra doucement. Je gémis de plaisir alors qu’elle s’acharnait goulument. Elle arrêta soudain et je sentis une pénétration lente de mon sexe, un concombre s’enfonça loin en moi. Je sentis qu’elle hésitait, j’encourageais Angélique. L’autre s’enfonça entre mes fesses doucement, il était moins gros mais la pénétration fut un peu douloureuse et je dus encourager mon amante à aller jusqu’au bout. J’étais remplie, et au bord de l’explosion, Angélique se mit à les bouger l’un et l’autre, me procurant des sensations incroyables. Je ne pouvais retenir mes petits cris de plaisir. Puis, elle me pilonna de plus en plus fort jusqu’à l’orgasme qui me terrassa. Ensuite, elle me caressa doucement, ôta mon bandeau, me libéra et sans un mot, m’embrassa. Nous nous embrassâmes un long moment, nues au milieu des arbres. Angélique me regarda dans les yeux,

– A toi maintenant…
– Tu es prête ?
– Oui…
– Mets tes mains au-dessus de ta tête
– Comme ça ?
– Oui, parfait, je vais attacher tes poignets pour commencer. Voilà, ça tire un peu
– Un peu, oui.

Je passais la corde au-dessus d’une branche solide de façon à maintenir ses bras en l’air. Puis je liais fermement sa cheville gauche à une racine et écartais au maximum sa jambe droite avant de lier sa cheville à un tronc. Son équilibre était un peu précaire.

– Jusque là, ça va ?
– Oui, je…
– Comment te sens-tu ?
– C’est étrange, je suis impatiente, comme si j’attendais ça depuis longtemps…
– Ca ne tire pas trop fort ?
– Non…
– Tu veux que je continue avec les cordes ?
– ….oui, s’il te plaît…

Je fis passer une cordelette blanche, plus fine, entourais son torse, juste au-dessus des seins, puis je passais entre ses seins luisants de sueur, puis entre ses jambes et dans son dos je fis une boucle avant de passer à nouveau entre ses cuisses. J’ajustais chaque brin pour comprimer doucement ses grandes lèvres. Son sexe ruisselait, le simple contact de mes doigts la tétanisait. Ensuite je fis à nouveau remonter la corde contre son ventre et cette fois ci, je m’attaquais à ses seins. Doucement, je les emprisonnais en faisant un huit qui les faisait saillir superbement. Ses tétons dardaient fièrement. Je faisais mes nœuds en silence, seule la respiration lourde d’Angélique troublait le silence. Je reculais pour admirer le corps d’Angélique, suspendue, offerte, désirable.

– Et maintenant ?
– C’est …. C’est délicieux, je me sens, offerte, j’ai envie de découvrir de nouvelles sensations.
– Merci,
– Tu n’as pas mal ?
– Non, pas du tout, je suis un peu ankylosée
– Alors attends, je vais te masser.

Et je commençais à la masser, le long des jambes, des fesses, les bras. Puis je pris le petit plug et sans un mot, je m’agenouillais devant son sexe. Il entra facilement malgré les cordes.

– Je pense qu’il sera mieux ailleurs… pas toi ?
– Mmmmm

Je le retirai et écartais un peu les cordes pour l’enfoncer un peu plus difficilement dans son petit trou. Angélique gémit.

– C’est un peu étroit, tu as mal ?
– Nnnn non, c’est bon, je …. J’aime ça
– Tant mieux, ce n’est que le début…

Je cassais une fine tige de bois à un arbre proche et enlevais les feuilles. Puis j’effleurai le corps d’Angélique, son ventre, ses cuisses, évitant sa poitrine, ses fesses ou son sexe. Angélique commençait à bouger, cherchant mes caresses. Je lui donnais de petits coups, très doux sur les fesses, le haut des cuisses, elle se cambrait pour moi. Je m’arrêtais et avec mon portable, pris quelques photos d’elle.

– Mmmm Clotilde… C’est tellement bon, je n’en peux plus…
– Que veux-tu ?
– Fais-moi jouir, je t’en supplie…
– Pas si vite, tu vas encore attendre un moment… Nous allons un peu bouger.

Je la détachais, libérant ses chevilles et ses poignets, la pris dans mes bras avant de l’embrasser.

– Attends, mets-toi bien droite, je vais resserrer, dis-moi si c’est trop serré.

Je défis quelques nœuds et resserrai les cordelettes qui emprisonnaient les seins d’Angélique et malmenaient son sexe. Elle ne broncha pas, sa poitrine était superbe, ainsi mise en valeur. Je me rhabillais sous le regard suppliant d’Angélique.

– Remets uniquement tes chaussures, je vais porter ta robe. Range également le sac s’il te plaît.

Elle mit ses chaussures et rangea le sac, son regard s’arrêta sur les pinces.

– Pas tout de suite, Angélique, ne brûlons pas les étapes. Nous allons retourner à la voiture.
– Mais ?
– Ne t’inquiète pas, tes habits sont a portée de main.
– Je… Non, je vais…
– Tu peux passer ta robe si tu veux.
– Non, je vais… t’obéir… ?
– Bien.

Après une dizaine de pas, elle se trémoussait déjà. Le plug pris entre les deux brins de corde devait lui faire un effet terrible. Le trajet prit assez longtemps, surtout que je lui avais interdit de se laisser jouir. Angélique dut faire plusieurs pauses… A la voiture, je lui tendis sa robe.

– Passe là, mais ne la boutonne pas totalement en bas. C’est moi qui conduis, assieds-toi.

Elle était superbe, en regardant dans son décolleté, on voyait les brins de corde blanche enserrer ses seins, sa robe était tendue, ses tétons donnaient l’impression de percer le tissus. Angélique s’assit, je lui fis remonter sa robe pour que sa peau soit en contact avec le cuir du siège. Je fis de même pour moi, remontant bien haut ma jupe.

– Comment te sens-tu ?
– Prête à exploser, mais je crois que tu veux encore me faire attendre ?
– Bien sûr… Je compte t’emmener faire quelques courses encore…
– Comme ça ?
– Bien sûr,
– Je ne tiendrai pas le coup.
– Pourquoi ?
– Je suis trop excitée…
– Ne t’inquiète pas, ce sera rapide…

Je démarrai et quelques kilomètres plus loin, je m’arrêtais dans une grande surface.

– Nous avons fait des courses tout à l’heure, mais il nous manque encore de quoi pimenter nos journées.
– Je viens avec toi ?
– Bien sûr.

Angélique se dandinait un peu sur ses talons aiguille, le plug lui faisait beaucoup d’effet. Une fois dans le magasin, je la guidais dans les rayons. Voilà ce qu’il nous faut, de la corde, des chaînes, des cadenas ! Parfait ! Angélique choisit elle-même plusieurs types de corde dont une corde de chanvre rugueuse et rêche. Je pris des chaînes de longueur et d’épaisseur variées ainsi que des cadenas à code et du scotch d’électricien. Le passage à la caisse fut mémorable, le caissier faillit faire une crise cardiaque quand Angélique se baissa en face de lui. Cette garce avait fait exprès ! Je l’emmenais dans les toilettes où je la forçais à relever sa robe et à écarter les jambes. Puis, j’enfonçais dans son sexe les maillons métalliques d’une chaîne assez épaisse et longue de 20 bons centimètres. Angélique se mordait les lèvres alors que je forçais pour entrer les derniers maillons. Je la laissais rabaisser sa robe, elle était en sueur. Elle réussit à arriver devant la voiture, garée un peu à l’écart. Je l’aidais à s’installer et rapidement je redémarrais. Angélique ne dit pas un mot, elle ferma les yeux… Quelques instants plus tard, elle me demanda de lui raconter ce que j’avais vécu et je lui racontais mes expériences de soumise alors qu’elle venait de glisser sa main entre mes cuisses.

– Mais en fait, tu provoque toujours les situations où tu te fais soumettre ?
– Oui, je suis toujours totalement consentante étant donné que je choisis les personnes, les lieux, les circonstances
– Et il n’y a jamais eu de dérapage ?
– Dans ce cas, tu as toujours un mot de passe qui te permet de tout arrêter.
– Mais avec de parfaits inconnus ?
– Les situations que je vis avec des inconnus sont des petits extras, c’est vrai que je me fie à mon instinct et que je n’ai jamais eu de souci.

J’écartais bien les cuisses, laissant les doigts d’Angélique masser doucement mon sexe trempé.

– Et qu’est ce qui t’as le plus excitée ?
– Je pense que c’est la première fois où j’ai été livrée à des inconnus. Gaëlle les connaissait, elle m’a amenée là-bas et m’a livrée à des hommes et des femmes pendant plusieurs heures.
– Mais c’était un choix ?
– Non, une proposition que j’ai acceptée, tout simplement.
– Et tu avais déjà couché avec d’autres femmes avant ?
– Non, Nadia était la première.
– Et, tu préfère prendre ton pied avec des femmes ou des hommes ?
– Totalement différent… Tu vois, là tes caresses sont incomparables avec les caresses d’un homme, en même temps, j’aime assez être un peu brutalisée, et pour ça, la plupart des femmes ont peur de faire mal.
– Et avec Ronan ?
– Lui, il n’est pas spécialement branché SM, par contre il participe de temps à autres à mes ébats.
– Et Gaëlle a déjà fait l’amour avec lui ?
– Oui, nous étions même tous les trois.
– Et quand tu as d’autres partenaires, il n’est pas jaloux ?
– Non, la seule condition est que je lui raconte tout.
– Alors tu vas lui raconter ce que nous avons fait aujourd’hui ?
– Tout, y compris ce que nous n’avons pas fait et qui me fait fantasmer…
– Comment ça ?
– Par exemple, j’aurai aimé que le jeune homme à la plage soit resté, voire peut-être même qu’il soit allé chercher des amis…
– Et alors ?
– Et alors, ils se seraient jetés sur nous, nous auraient prises, comblées.
– Mmm ?
– Tu es surprise ?
– C’est vrai que nous sommes restées sur notre faim.
– Et la suite n’a pas été mal quand même ?
– Si, mais je me sens maladroite…
– Ne t’inquiète pas, tu as été parfaite. Comment supportes-tu la chaîne ?
– Je la sens bouger en moi, dans tous les sens, en fait je crois que j’ai joui avant.
– Tu as été discrète…
– …
– …
– Tu vas me punir ?
– Qu’en penses-tu ?
– Je crois que oui.
– Tu aimerais que je te punisse ?
– Je….
– Alors ?
– Oui…
– Et que penses-tu avoir comme punition ?
– Je ne sais pas, je….
– Une fessée ? Dis-moi !
– Non, ça ne me dis pas vraiment, je… j’ai aimé tout à l’heure quand tu avais la petite branche et que…
– Comme avec une petite cravache ?
– Oui, et surtout, comme j’étais attachée, j’étais à ta merci, je crois que ça, c’était le plus excitant encore.
– Alors, d’accord tu seras punie, mais plus tard, nous arrivons.
– Que dois-je faire ?
– D’abord, nous allons nous occuper de toi et de ton plaisir. Ouvre ta robe.
– Comme ça ?
– Oui, tous les boutons, et écarte les pans, bien !

J’étais dans la cour, je garais la voiture dans la grange, coupais le contact.

– Tu vas me suivre à l’intérieur, essaye de tenir le coup et de ne pas jouir.
– Bien…

Et Angélique me suivit, traversant la cour, docilement, impatiente et fébrile, ses jambes vacillaient un peu. Entre le plug, la chaîne, les cordes et les talons aiguilles auxquels elle n’était pas habituée, elle avait un peu de mal. Je lui fis monter les escaliers, à chaque marche ses efforts étaient visibles.

– Tu aimes être nue ?
– Oui, j’aime ça.
– Tu l’avais déjà fait avant ?
– Non, jamais.
– Et tu as peur d’être vue ?
– Je ne crois pas, je pense que si quelqu’un me voyait ce serait peut-être encore plus excitant…
– Continue vers la chambre de Gaëlle, nous allons prendre quelques accessoires.

Dans la chambre, je lui demandais d’étaler tout le contenu de l’énorme sac noir de Gaëlle sur le lit. Angélique n’hésita pas une seconde : pinces, cravache, menottes, bracelets de cuir et de métal, colliers et laisse, baillons, spéculum, corsets, vêtements en latex, bas, talons aiguilles, godes, vibro, poids, boules de geisha, chapelets, masques, préservatifs, pompe à vide et embouts, plugs, fouet, ceintures de cuir, lubrifiants et même une ceinture de chasteté.

– Nous choisirons tout à l’heure, suis-moi dans sa salle de bains.
– Bien
– J’aimerai bien tailler un peu ta toison, elle est belle, mais un peu trop fournie, tu es d’accord ?
– Oui, tu peux même la raser totalement si tu le souhaites.
– Que veux-tu ?
– Ce que tu préfèreras…
– J’aimerais qu’on voie mieux tes lèvres et ton sexe, il est très beau et c’est un peu dommage qu’il soit totalement caché.

Pour toute réponse elle posa une jambe sur le rebord de la baignoire, signifiant qu’elle était prête. Je défis les cordes, relâchant la pression sur son sexe mais pas sur sa poitrine. Je la plaçais face au miroir pour qu’elle voie ce que je faisais. Je m’agenouillais devant elle, pris des ciseaux et dégageais le plus gros de sa toison, sauf sur son mont de vénus. Ensuite je pris du savon hydratant que je fis mousser et l’étalais entre ses cuisses. Le petit rasoir glissa sur sa peau et bientôt, je pus enfin admirer totalement son sexe très charnu. J’avais laissé un beau triangle de poils roux. Ses lèvres très développées me faisaient fantasmer. Doucement, j’enfonçais un doigt et remuais la chaîne. Angélique tremblait et vacillait. Puis j’attrapais un maillon et tirais dessus. Angélique jouit alors que la libérais, elle cria son plaisir et inonda mon corps de sa jouissance. Je la laissais s’écrouler doucement sur le sol et continuais à tirer sur les derniers maillons, ce qui eut pour effet de la faire jouir à nouveau. Elle s’écroula sur le carrelage et je m’allongeais sur elle et l’embrassais à pleine bouche, je voulais moi aussi du plaisir, mais je décidais d’attendre encore.

– Mon Dieu, c’est incroyable, Clotilde, je n’avais jamais joui comme ça
– Ce n’est pas fini, surtout que j’ai bien vu que tu t’étais pincé les tétons,
– Oui, je, j’ai…
– Recommence, lève-toi, mets-toi face au miroir et recommence
– B… bien

Elle se releva, et face au miroir pinça doucement ses tétons, je lui ordonnais de les pincer plus fort. Elle obéit sans discuter. Puis je lui dis de les tourner, de les tordre. Elle obéit à nouveau, la douleur la fit grimacer, mais en même temps, je voyais son corps onduler doucement. Elle se regardait dans le miroir, sans rougir, aucune honte ou appréhension, juste son plaisir et son excitation. A mon tour, je pris le relais avec mes doigts, puis mes dents. Angélique gémissait doucement, j’aimais ça.

Finalement, je la libérais totalement de ses liens, sauf du plug et l’emmenai sous la douche avec moi. Je me collais dans son dos et glissais ma main entre ses fesses pour jouer avec le plug. Angélique releva une jambe pour me faciliter le passage. Je me baissais, admirant son cul parfait et tirais sur le plug, elle gémit, je le rentrais à nouveau, puis commençais des va et vient. A chaque fois à la limite de sa jouissance. Après, nous nous séchâmes et je dis à Angélique de m’attendre, bras croisés derrière la tête.

Je sortis de la chambre et revint avec deux pinces.

– Est ce que tu es prête ?
– Oui, je suis prête…

Je léchais ses seins, l’un après l’autre puis la pince mordit, d’abord à gauche, puis à droite. Angélique serrait les dents. Elle transpirait à grosses gouttes.

– Viens maintenant, suis-moi, prends le gros sac noir avec toi.

Je l’emmenais vers la cuisine et lui montrais la table de bois.
– Monte sur la table et mets-toi sur le dos, au bord.
– Comme ça ?
– Oui, parfait, maintenant, écarte bien tes jambes et replie les en arrière, tiens les avec tes mains si tu n’arrives pas à rester comme ça.
– C’est dur…
– Alors je vais t’aider un peu.

Je sortis une corde que je passais autour de sa cuisse droite plusieurs fois. Puis je glissais la corde sous la table et repris sa cuisse gauche de l’autre côté. De cette façon, elle était totalement offerte, j’avais un accès total à son sexe et à son cul. Ensuite, je lui liais les mains derrière la tête. Elle était prête.

Pour commencer, je jouais à nouveau avec le plug de longs moments, Angélique se trémoussait de plaisir alors que je ne la touchais parfois presque pas. Elle se montrait très réactive, lorsque ma langue se posa sur son sexe, elle me suppliait déjà. Lorsque mes dents s’attaquèrent à ses lèvres et son petit bouton, elle respirait par à-coups. J’arrêtais mes caresses et pris une badine, j’agaçais ses tétons, puis passais la badine entre ses lèvres gonflées. Elle se crispa, j’abattis un premier coup, très léger sur l’intérieur des cuisses puis je léchais l’endroit où j’avais frappé. Angélique n’attendis pas le deuxième coup pour me supplier de continuer. Mes coups se rapprochaient de son entrejambe, elle se cabrait, s’offrant, m’encourageant à continuer. Je n’en revenais pas, elle était encore pire que moi ? Un coup plus fort s’abattit en plein sur son sexe, elle hurla un ouiiiiiiiii qui résonna dans le château… En même temps je retirais entièrement son plug et le remplaçais par ma bouche gourmande. Angélique jouit une nouvelle fois et cette fois ci, les yeux plein de larmes, elle m’avoua qu’elle n’en pouvait plus.

Pour toute réponse, je grimpais sur la table et plaquais mon sexe contre sa bouche. En même temps je la caressais aussi doucement que possible pour profiter au maximum de sa langue agile. Lorsque Ronan entra, il nous surprit et sans se faire remarquer, nous regarda un moment, Angélique ne l’avait pas vu encore. Je fis signe à Ronan de s’approcher et défis sa ceinture, puis ses boutons de braguette. Je pris la main d’Angélique et la plaçais autour de ce beau sexe tendu. Elle fut surprise mais n’hésita pas plus d’une seconde, commençant aussitôt à le branler doucement. Mes mains gagnèrent ses seins et ses tétons rougis par les pinces, elle était bien sûr très sensible et la douleur était certainement assez importante. Elle ne cessa pas ses caresses, sa bouche aspirant mon sexe sans relâche et sa main caressant le sexe de Ronan.

– Ronan, prends ma place, s’il te plaît.

Il sauta sur la table et son sexe se retrouva à quelques centimètres du visage d’Angélique. Elle sortit aussitôt sa langue pour le lécher avec beaucoup de plaisir. Puis elle ouvrit la bouche pour le sucer. Il s’enfonça dans sa bouche, Angélique aspirait ce sexe comme si sa vie en dépendait. De mon côté, je m’accroupis entre ses jambes et fermement, j’enfonçais mes doigts dans ses trous offerts. Angélique pour toute réponse accéléra sa cadence. Ronan me fit signe qu’il risquait de ne plus tenir et se retira. Angélique eut beau se tordre le cou, cherchant à reprendre en bouche son sexe gonflé, elle n’y eut pas droit. Par contre Ronan me remplaça entre ses cuisses et après l’avoir léchée avec passion, la pénétra. Angélique criait son plaisir alors que je me masturbais, à califourchon au dessus de sa poitrine, une main presque entièrement enfoncée dans mon sexe.

Angélique malmenait sa poitrine en haletant, lorsqu’à mon tour je pris les pinces entre mes doigts et les fit tourner, elle se cabra, non pas pour se protéger, mais pour s’offrir. Ronan se dégagea quelques instants, Angélique grognait de dépit, et lorsqu’il appuya son sexe contre son petit trou, elle l’encouragea vivement à la défoncer. Quand à moi, un peu jalouse, je repris mon travail sur ses seins et ôtais les pinces. Angélique cria et lorsque je me mis à lécher ses seins, elle me redemanda rapidement de continuer à la malmener. Son corps subissait les assauts de Ronan qui s’enfonçait totalement en elle. Je me tournais vers lui et glissais les pinces vers les lèvres gonflées d’Angélique. Ses cris de plaisir me rassurèrent sur mes intentions et lorsque le métal mordit ses chairs, je savais que sa jouissance serait imminente. Effectivement, elle jouit peu de temps après, hurlant son plaisir, inondant la table de sa jouissance. Elle jouit tellement fort qu’elle urina carrément sur la table, Ronan ne parut pas écœuré et continua à la pilonner de plus en plus fort. Il se dégagea à ma demande et je le masturbais pour qu’il explose sur le ventre d’Angélique. Ensuite, je me régalais de leurs nectars léchant la peau douce de notre prisonnière avec délice tandis que Ronan détachait Angélique.

à suivre…

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