Le calendrier des pompiers par Oxxes2004

Ma compagne, Carole, est partie voir sa famille dans les Bouches du Rhône, me voilà seul, homme de 31 ans, brun, mince 180 pour 65 kg, superbes fesses, belles queue, à Paris pour quelques jours …
Elle possède une collection de lingerie impressionnante et la possibilité de me travestir et d’exécuter une superbe masturbation devant le miroir de notre chambre m’a toujours rendu toute chaude ; mon choix s’orienta vers son collant résille noir grosses maille, dessus, j’enfilai son string ficelle noir des plus échancré, enfin, bien, que mes talons dépassent, je chaussai une superbe paire de mules aiguilles noir qui me faisait dans ce miroir un cul extrêmement rebondi, prêt à accueillir la plus sublime des queues

Je me mis alors à quatre pattes sur le lit, le cul bien en arrière, déplaça légèrement la ficelle et, lubrifiant mon anus d’une noisette de gel, commença, à travers une grosse maille, une masturbation anale des plus humides : un doigt, puis deux, puis le troisième… quand la sonnerie de la porte d’entrée retentit…

J’enfilai un jogging, retirai les mules, mis un T-shirt et alla ouvrir : deux superbes pompiers, pour la vente des calendriers, le chef, 45-50 ans, bel homme viril, un jeune de 20-22 ans, jeune étalon à la peau ébène, inutile de vous dire que mon excitation devant ces belles queues en puissance était digne d’une petite garce …

En remarquant mon érection puissante sous le jogging et mes pieds gainés de résille, le chef, gêné, dit :

– Nous vous dérangeons, monsieur ?

Trop excité, je tentais le tout pour le tout, en les prenant par la main, en ondulant mon petit cul, en les dirigeants vers la chambre :

– Non, au contraire …

Nous étions désormais dans la chambre, je retirais mon jogging, enleva mon t-shirt, rechaussais mes mules, et je me remis à quatre pattes sur le lit, mon cul face à eux, écarté, plein de gel, dans ce fourreau de résille, mes talons dépassant légèrement des mules dans une posture fétichiste, je continuai ma masturbation annale, la tête légèrement inclinée, parcourant mes lèvres d’une langue de traînée, les regardant droit dans les yeux :

– Vous l’aimez mon petit cul, hein, vous voulez me le prendre ?

Ils avaient sorti leur belles grosses queue, le chef contourna le lit, vint se poster devant moi, me caressa la nuque quelques secondes, et rentra sa queue d’un coup, dans ma gueule, elle était splendide, extrêmement volumineuse, bien poilue, sentant bon la transpiration et les effluves d’urine ; pendant ce temps, le jeune me caressait les pieds en me léchant l’anus, je bandais comme une petite folle quand le lécheur décida de s’attaquer aux choses sérieuses …

Il se mit à genoux sur le lit derrière moi, déchira légèrement une maille afin de l’agrandir, laissa traîné son pylône, 23 cm au bas mot, entre mes fesses, et commença par s’introduire, d’abord le gland, puis ses 23 cm, les uns après les autres, un mélange de remplissage sublime et de douleur m’inondait, il me défonçait tout simplement le cul, la sensation extrême d’être enculer pour la première fois …

Mon bonheur était divin, touchait au poétique, cette barre à mine dans le cul me pilonnant sauvagement, je pompais et léchais le chef en lui caressant les couilles, en m’agrippant à ces fesses d’ancien sportif.

Le chef déchargea alors tous son foutre chaud sur ma gueule, il y en avait partout, sur ma gueule, dans la bouche, sur mes cheveux, je n’en perdis pas une goutte.

Je sentis alors mon Etalon sur le point, aussi, de jouir dans mon cul, je me retirai alors, trop curieux de la sensation d’un bon 23 dans la bouche, j’engouffrais alors cette bite noire afin qu’il me décharge à son tour dans la bouche, tandis que devenu fou par tant de générosité, j’éjaculai, avec lui, la plus belle de mes décharge …

J’espère que cet histoire vous a plus, vous a procuré une belle excitation, j’attends évidemment vos commentaires, voir vos propositions …

En attendant, je vous embrasse la fente …

Oxxes2004@yahho.fr