Stoffer 6 – Les négriers du cosmos – 1 – Meurtre à l’Hôtel du Cygne par Nicolas Solovionni

Stoffer 6 – Les négriers du cosmos – 1 – Meurtre à l’Hôtel du Cygne par Nicolas Solovionni

Bonjour tout le monde, moi c’est Ajas Stoffer, capitaine de vaisseau (spatial, bien sûr !). Une expédition juteuse sur Orza (voir ce chapitre), m’a permis de faire fortune et d’acheter « Le Diable rose » un cabaret fréquenté par des transsexuelles, tandis que ma seconde de vaisseau s’offrait un institut de massage haut de gamme baptisé « Les doigts d’or ».

Il pleut aujourd’hui sur Vargala. Des trombes d’eau ! Ça me rend de mauvais poil. Nadget la ravissante blackette qui a partagé maintes et maintes aventures avec moi cohabite actuellement dans mon bel appartement.

Nadget occupe les fonctions de technicienne de bord à bord de mon vaisseau. Avec ce qu’on a gagné sur Orza elle s’est acheté un restaurant assez chic qu’elle a placé en gérance ainsi qu’une piscine privée où elle passe beaucoup de temps.

Elle est gentille et elle essaie de me distraire en se baladant à poil dans toutes les pièces et en tortillant du popotin (qui est fort joli).

Mais aujourd’hui, ça ne marche pas, quand ça ne veut pas, ça ne veut pas.

Je décide d’écouter un peu de musique… de la musique terrienne du 19ème siècle… Ils savaient faire de la bonne musique en ces temps-là.

– C’est de la musique de film ? Me demande-t-elle.
– Non, c’est Beethoven !
– C’est joli !
– Ben oui !

Et voici que mon spacephone se met à sonner, C’est Dyane, ma seconde, je décroche.

– Bonjour ! Tu as vu, il pleut ! M’annonce-t-elle fièrement.
– Tu parles d’un scoop !
– Non, mais j’en ai un pas mal, de scoop, passe donc à l’institut, je te raconterais.
– Par téléphone, c’est pas possible ?
– Allons, allons !
– Bon, j’arrive !

J’en informe Nadget. Elle n’est pas jalouse mais elle est jalouse quand même.

– Qu’est-ce qu’elle te veut cette pétasse ?
– Je vous croyait copines ?
– C’est ma copine, mais n’empêche que c’est une pétasse !
– Elle a un scoop ! Je ne sais pas de quoi il s’agit, je peux toujours aller voir, ça me fera une balade !
– Sous la flotte !
– J’ai un parapluie !

La technologie a évidemment fortement évoluée ces siècles derniers et cela dans tous les domaines, mais un parapluie reste toujours un parapluie !

J’arrive à l’institut, l’accueil est occupé par une brune piquante aux seins débordant (volontairement je suppose) du décolleté.

– Ah ! Bonjour Capitaine ! Je suppose que vous désirez rencontrer madame Dyane ?
– Exactement, ma chère !
– Je crois bien qu’elle est occupée. Attendez que je vérifie…

Elle active son ordinateur, et de ma place, je ne distingue pas ce qui se passe à l’écran.

– Oh ! S’écrie-t-elle.
– Un problème ?
– Pas du tout, actuellement Madame Dyane est en partouze. Elle se fait enculer par une grosse bite !
– Epargnez-moi les détails !.
– Pourquoi, ça ne vous excite pas ?
– Si, mais bon… je peux repasser à quelle heure ?
– Madame Dyane m’a donné instruction au cas où elle serait occupée de vous offrir un massage royal à quatre mains. Si vous vous désirez en profiter, je vous suggère de vous diriger vers la cabine 7…

Puisque c’est offert…

– Je m’appelle Gudrun ! Me dit une jolie blonde aux cheveux mi court et au nez en trompette, et ma copine c’est Mirabelle (une brune au sourire ravageur) Mets-toi à poil sur la couchette, on va bien s’occuper de toi !
– Sur le ventre ? Sur le dos ? Demandais-je après m’être déshabillé.
– Sur le ventre pour commencer !

Et les deux filoutes se débarrassent de leur kimono à fleurs dévoilant leurs jolies poitrines, plutôt modestes avec les bouts très roses pour Gudrun, assez conséquente pour Mirabelle.

Cette dernière se place devant moi de telle façon que je puisse avoir accès à ses gros tétons. Pensez-bien que je m’en régale et pendant ce temps Gudrun après m’avoir versé de l’huile parfumée, me malaxe les fesses avec une certaine énergie. Je bande !

Gudrun m’écarte ostensiblement les globes fessiers. Pas difficile de deviner ce qu’elle compte faire ! Et fatalement son doigt m’entre dans le trou de balle et s’agite en cadence. Qu’est-ce que c’est bon !

– T’aimes ça que je t’encule avec mon doigt ?
– J’adore !
– Je vais te foutre un gode ce sera mieux que mon doigt !
– Si tu veux !

Le gode est équipé d’un petit vibrateur intégré, je ne vous raconte pas l’effet que cela me procure !

– Je parie que tu adores te faire enculer ! Me nargue-t-elle.

Je ne réponds pas, ça ne la regarde pas et de toute façon, elle n’en a probablement rien à foutre.

Après plusieurs minutes de plaisir anal et de léchage de tétons, les filles me demandent de me retourner.

Attention, ça va être la fête à ma bite !

Ah, non pas tout de suite, Gudrun se recule et Mirabelle me grimpe dessus en se débrouillant pour ramper sur mon corps de telle façon que ses tétons me touchent la peau. Faudrait vraiment être un pape en retraite pour ne pas bander devant une telle figure de style. Elle termine cette petite fantaisie en me gratifiant d’un patin magistral, puis de façon tout à fait inattendue elle me pince mes propres tétons. D’abord doucement puis remarquant que je réagis bien à cette petite misère, elle augmente sa pression… Qu’est-ce que c’est bon !

En même temps, Gudrun me caresse les couilles, puis entreprend de me branler la bite de l’extrémité de ses doigts.

Mais qu’est-ce qu’elle attend pour me sucer ? Est-ce au moins à son programme ?

Ah ! Ça y est ! Juste un petit coup de langue sur le gland pour commencer avant de me balayer la verge de haut en bas puis de bas en haut.

Et voilà Mirabelle qui la rejoint… Une pipe à deux bouches ! N’est-ce point merveilleux ? Les voilà qui s’amusent comme des petites folles, Mirabelle met tout dans sa bouche, se livre à quelques va-et-vient puis repasse ma bite à sa collègue et ainsi de suite.

A ce régime, je ne vais pas tenir longtemps. Et elles s’en aperçoivent (ben oui ce sont des pros !)

Court moment calme pendant lequel elles se contentent de me caresser sensuellement, puis Gudrun se retourne et m’exhibe son bel œillet brun déjà entrouvert.

– Encule-moi, capitaine !

Voilà une proposition qui ne se refuse pas ! Mais avant d’introduire ma bite dans ce délicieux fourreau, je ne peux résister au plaisir de le lui lécher, j’adore ça !

Mais ma bite n’en peut plus, il me faut conclure, j’encule la masseuse d’un coup sec, quelques allers et retours auront suffi, je décharge en soufflant comme un bœuf. Je décule, je suis bien et Gudrun vient me nettoyer ma bite maculée de sperme.

– Le pourboire n’est pas obligatoire, mais on aime bien quand même ! Me chuchote Mirabelle.

C’est ce qui s’appelle ne pas perdre le nord !

J’ai pris une douche rapide et me suis rhabillé, avant que l’on m’accompagne jusqu’au bureau privé de Dyane.

– Alors, c’était bien ?
– Il faudrait être difficile…
– N’est-ce pas ? Mais regarde un peu ça !

Elle me tend son spacephone qui affiche une photo d’un mec qu’une cinquantaine d’années crasseux et en haillons, la barbe et les cheveux hirsutes, en train de cueillir des plantes que je n’identifie pas.

– C’est quoi que tu me montres ?
– Le mec c’est Martin Bonifacio…
– Jamais entendu parler !
– Un magnat de la finance. Disparu suite au piratage du vaisseau de luxe « La licorne ».
– Oui, et alors ?
– Ça veut dire qu’un certain nombre de passagers mâles ont été réduit en esclavage après le piratage. Pour les femmes, je suppose que les circuits sont différents.
– Mais où est-ce que tu veux en venir ?
– On pourrait les libérer, non ?
– N’importe quoi ! Tu me vois risquer ma vie pour sauver des milliardaires. Ces gars-là ont eu une vie chanceuse et puis un jour le vent a tourné, tu ne voudrais quand même pas que je les plaigne ?
– D’abord il n’y a pas que des milliardaires, il doit y avoir des membres de l’équipage, du personnel de maintenance, des employés de la restauration…
– Mais tu la sors d’où cette information ?
– Un client, il m’a juste transféré la photo et l’identité du type qui fait de la cueillette, sinon je ne l’aurais pas reconnu. Il m’a simplement dit que si je connaissais quelqu’un qui pourrait lui acheter des informations complémentaires…
– Donc au lieu d’aller raconter aux flics ce qu’il a vu, il préfère moyenner l’information. Pas trop gêné le mec !
– Il tente sa chance, c’est son droit !
– Admettons ! Je suppose qu’il t’a laissé ses cordonnées ?
– Oui ! Zubin Riddick, hôtel du cygne.
– C’est l’hôtel que Dilos a racheté ?
– Oui !

Dilos était mon ingénieur de bord sur mon vaisseau « Le Rosamunda », quand on s’est partagé le magot suite à notre expédition sur Orza, il a acheté ce bel hôtel avec sa part .

Je décide donc de rencontrer ce type, non pas que j’ai l’intention de me lancer dans je ne sais quelle expédition hasardeuse, mais j’aime bien savoir parfois…

– Alors Dilos; les affaires marchent bien ?
– Faut pas se plaindre.
– Est-ce que t’as un certain Zubin Riddick chez toi ?
– Décidemment il est très demandé, tu veux le voir ?
– Oui !
– Je l’appelle.

Il l’appelle, mais ça ne répond pas…

– Il a dû couper l’interphone, et je n’ai pas son numéro de spacephone ! Tu veux lui laisser un message ?
– Non mais j’ai comme un mauvais présentiment, on ne peut pas aller faire un tour dans sa chambre ?
– Attends ! Mina s’il vous plait, trouvez un prétexte pour entrer dans la chambre 14 et prévenez-nous s’il a quelque chose d’anormal.

Et trois minutes plus tard !

– Monsieur Dilos, le monsieur du 14 ben…
– Ben quoi ?
– On dirait bien qu’il ne respire plus.

On monte et nous ne pouvons que confirmer que le bonhomme est passé de vie à trépas, probablement par étranglement.

On fouille un peu, évidemment on ne trouve rien d’intéressant d’autant que son spacephone a disparu.

On appelle la police, c’est la capitaine Annabelle Jiker, une grande rousse au physique impressionnant, (voir les épisodes précédents) qui se déplace en personne

Très vite l’identité de la victime est confirmée, mais l’individu était jusqu’à présent inconnu des services de police locaux.

– Tu voulais le voir à quel sujet ? Me demande la fliquette.

Vite un gros mensonge ;

– J’en sais rien, c’est lui qui a demandé à me rencontrer.
– Ah ? Je contacte l’astroport, je voudrais savoir d’où il sort !

Jiker s’éloigne de quelques pas, puis revient.

– Bizarre ça, c’est le deuxième en trois jours !

Qu’est-ce qu’elle raconte ?

– Il est descendu à bord du vaisseau « le Tamanoir », un autre membre du même équipage a été retrouvé mort avant hier. J’ai contacté le capitaine, mais pas facile de dialoguer avec ce mec d’autant que ses documents sont en règle.
– Tu pourrais me filer les coordonnées de ce capitaine ? Et aussi le nom de cette autre victime.
– Dans quoi tu vas encore aller te fourrer ?
– S’il te plaît Annabelle ?
– Bechima, hôtel des vagues. Mais je ne t’ai rien dit.
– Tu vas continuer à enquêter ?
– Pas facile, l’autre victime a été attaqué en pleine rue par un mec masqué… monsieur Dilos, montrez-moi la vidéo de l’accueil
– Voilà, c’est ce mec-là.

Jiker actionne son logiciel de reconnaissance faciale

– Que dalle ! Le mec avait un masque en latex. Je ne vais pas m’acharner. La mafia locale n’aime pas trop les meurtres en ville, je vais les laisser s’en occuper, ils ont d’autres moyens que moi…

Bon je fais quoi avec tout ça ?

Pour l’instant, je n’ai toujours aucune envie de m’occuper du fond de l’affaire, c’est-à-dire d’aller fouiner sur cette planète négrière pour laquelle de toute façon je ne possède pas les coordonnées.

D’un autre côté aller tuer un mec (et peut-être même deux) uniquement parce qu’il souhaitait dénoncer une situation de mise en esclavage, me révulse !

Les meurtres sont interdits de facto sur Vargala. Un petit aparté à propos de cette situation.

La mafia locale évite de tuer, du moins officiellement, depuis qu’un pacte de non-agression a été conclu entre les différents parrains du lieu, non par conviction pacifique mais par crainte de voir leurs effectifs fondent comme neige au soleil (voir pour plus de précisons sur ce point : Vargala station -3 – La-Maison parme). Par contre quand un meurtre est perpétré sur la planète, elle s’érige en main justicière et ne fait pas de cadeau !

Qu’est-ce que je pourrais bien faire pour me rendre utile ? Pas question de rencontrer ce capitaine Rutger Béchima qui doit inévitablement être impliqué d’une façon ou d’un autre dans l’affaire ! Alors essayer de sonder l’un des membres de son équipage, mais je ne les connais pas…

Mais en tant que capitaine de vaisseau, j’ai l’autorisation d’accéder à la composition de l’équipage via les fichiers de l’astroport, à l’aller comme au retour.

Alors allons-y, je choppe la fiche de Zubin Riddick qui effectuait son second voyage à bord du Tamanoir. OK, mais ce n’est pas ce que je cherchais, je mémorise les tronches des autres membres de l’équipage, j’en sélectionne quatre parmi ceux qui ont le moins d’ancienneté sur le vaisseau et n’ai plus qu’à activer mon (modeste) réseau d’indics occasionnels.

Ça ne loupe pas on me signale la présence d’un dénommé Schwartzman au café des Lauriers..

Je mémorise sa tronche et m’y rends donc ! C’est un semi-bordel comme il y en a des tonnes dans cette ville portuaire.

Un rapide tour d’horizon, je n’aperçois pas le mec en question…

Une gagneuse au décolleté impressionnant s’approche de moi

– Bonjour capitaine, on ne vous voit pas souvent ici !
– Que voulez-vous ! J’ai mes habitudes ailleurs.
– Les habitudes, c’est fait pour en changer, non ?
– Certes, mais en fait j’attends quelqu’un.
– Quel dommage, je vous aurai volontiers fait une pipe d’enfer. Je m’appelle Iris !
– Cela aurait été avec grand plaisir mais on ne peut pas tout faire à la fois… Ah justement le voilà qui descend… Si vous pouviez le prévenir que je l’invite à ma table.
– Mais bien sûr mon chéri !

Le type est surpris mais se pointe néanmoins devant ma table.

– Asseyez-vous, je suis le capitaine Stoffer, je veux juste vous dire deux mots. Je vous commande une bière ?

Il ne me connait pas, je suppose que Vargala station n’est pas son port d’attache. Aucune importance.

– Vous étiez à bord du Tamanoir, je ne me trompe pas ?
– Non, mais qu’est-ce que vous me voulez ?
– Zubin Riddick, ça vous dit quelque chose ?
– Un collègue. Il était à bord du Tamanoir avec moi.
– Il vient de se faire assassiner !
– Ici ?
– Dans son hôtel. Et Stal Salim ça vous parle aussi ?
– Vous n’allez pas me dire qu’il s’est fait tuer lui aussi ?
– Ben si !
– Je croyais que les crimes n’existait pas ici ?
– Que voulez-vous, il y a toujours des gens qui prennent des risques. Mais pour prendre un risque pareil, il faut sans doute une raison grave. Vous en pensez quoi ?
– Qu’est-ce que voulez que je vous dise ?
– Ce que vous en pensez ?
– Je n’en pense rien !
– Peut-être que quelqu’un a trouvé qu’ils étaient trop bavards… lui suggérais-je.
– Bon, vous n’êtes pas de la police à ce que je sache, alors merci de me foutre la paix. Répond Schwartzman en haussant le ton..

Et il se lève brusquement en renversant son verre de bière, puis va pour se diriger vers la sortie.

Et là, il est bloqué par une sculpturale brune entre deux âges, il s’agit de Madame Dalhia, la patronne du lieu. une brune mature et potelée arborant un impressionnant décolleté.

– Dites donc jeune homme, vous n’êtes pas très aimable avec le capitaine Stoffer, il vous paie à boire et vous faites une esclandre ! Ce n’est pas dans les habitudes du lieu.
– Bon ça va, je m’excuse !

Un impressionnant videur est arrivé à la rescousse. Schwartzman est blême.

– Capitaine, si vous souhaitez l’interroger, on a un petit local discret au sous-sol !
– Non, laissez-le partir, il n’a tout simplement pas de couilles au cul.
– Alors remercie le capitaine de sa générosité.
– Excusez-moi, mais ce n’est pas de ma faute si je ne peux pas répondre à vos questions..
– Ce ne sont pas des remerciements, ça ? Insiste Madame Dahlia
– Merci, merci !
– C’est ça dégage !

Ma voilà bien avancé, et j’avoue ne pas comprendre le sens de l’intervention de la patronne.

– J’ai par mégarde entendu votre conversation, je voulais vous donner un coup de main. Cela aurait été un échange de bons procédés, en échange nous aurions eu l’honneur de vous avoir comme client VIP.

Evidemment vu sous cet angle…

Mais c’est qu’elle est curieuse la mère Dalhia avec ses gros nichons. Elle s’assoit devant moi.

– Un double crime ici ? La mafia ne va pas laisser passer ça ! Il en va de sa crédibilité.
– Pour l’une des victimes, je ne sais pas, mais l’autre a eu le tort de ne pas rester discret, ce vaisseau avait des choses à cacher…
– Quelles genre de choses ?
– Je ne sais pas trop. (il me faut rester prudent).
– Tiens, j’ai un cadeau pour toi.

Et elle me tend un spacephone.

– C’est celui du mec, je lui ai fait les poches pendant qu’on le bloquait.

Je regarde l’objet, évidemment il est sécurisé et je ne peux pas l’ouvrir. Pas grave il y a plein de hackers sur Vargala.

A suivre

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Une réponse à Stoffer 6 – Les négriers du cosmos – 1 – Meurtre à l’Hôtel du Cygne par Nicolas Solovionni

  1. Forestier dit :

    Et revoilà donc notre libidineux capitaine de vaisseau, et ça commence très fort avec ce petit massage à deux boches

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