Chanette 28 – Magazines littéraires – 3 – Delphine et Janice
Lundi 15 janvier
Nous sommes rue Réaumur dans les locaux de « Plaisir délire », la principale revue concurrente de « Lire Encore ». Le comité de rédaction termine de boucler le sommaire du prochain numéro.
– Questions diverses ? Demande Delphine Lebœuf, l’imposante rédactrice en chef, en redressant ses lunettes.
Pas de réactions
– Alors personne n’a lu la dernière pitrerie de Beauregard dans « Lire Encore ». ?
– Y’a longtemps que je ne lis plus ce qu’écrit Beauregard ! Répond un type.
– Vous avez tort, on a là une belle occasion de ridiculiser le personnage, alors on ne va pas se gêner ! Je veux deux volontaires pour creuser l’affaire. Il faudra que chacun lise un bouquin différent du dénommé Patrice Colombani puisque c’est de lui dont parle Beauregard dans son article, qu’il vous faudra lire aussi. Et on en reparle demain.
– Moi je veux bien, mais ça va faire un peu court ! Intervient Janice Minazolli, qui ne manque jamais de fayoter avec sa rédactrice en chef.
– Alors après demain ! Un autre volontaire ?
– Ce sera moi ! Intervient Cédric Bornerave.
Et donc le surlendemain :
Mercredi 17 janvier
– C’est du roman de gare, ça se lit, c’est pas nul, mais les conclusions de Beauregard, c’est n’importe quoi ! Je ne vois vraiment pas ce qui a poussé Beauregard à porter ce mec au pinacle ? Commence Janice.
– Ce doit être du copinage ! Intervient Bornerave.
– Ce Colombani écrit depuis trois ans, si c’est du copinage, je le trouve bien tardif ! S’étonne Janice.
– Je veux savoir pourquoi il a écrit ça ? Quand on le saura on aura des billes pour le démolir. J’en ai marre de voir ce mec intervenir à la télévision à propos de tout et de rien et de débiter des conneries. S’exclame Delphine Lebœuf.
– Ce n’est jamais qu’une connerie de plus ! Réplique Bornerave.
– Toi, t’as rien compris, ses interventions à la télé, on les trouve stupides parce qu’on n’est pas d’accord avec lui, mais là c’est différent il défend un médiocre pour une raison qui nous échappe et cette raison vous allez la trouver. Vous êtes d’accord ?
– Si je fais ça à plein temps, je suis d’accord ? Répond Janice.
– Je savais que je pouvais compter sur toi ! Et toi Cédric ?
– Mais comment je vais faire ?
– Tu te démerdes !
– Je te promets rien ! Répondit-il en quittant le bureau d’un air las.
– Toi, Janice tu te pointes chez moi, ce soir à 19 heures.
Le visage de cette dernière s’éclaira.
Et comme les choses vont devenir chaudes il est temps de décrire un peu des dames. Janice est une brune très piquante d’une bonne trentaine d’années, visage très typé, nez aquilin, chevelure frisée, yeux noirs et regard de braise, elle est fine, svelte et bien faite. Delphine Lebœuf à 62 ans, on dit qu’elle ne les fait pas, elle est restée attirante avec son visage souriant ses cheveux blond cendrés, ses grosses lunettes et ses gros nénés, sous son regard avenant, c’est une maîtresse femme autoritaire qui ne s’en laisse pas compter. Lesbienne exclusive, elle ne fréquente que des femmes et c’est toujours elle qui mène la barque.
– Alors tu aimerais que je te fasse des petites misères ? Attaque Delphine.
– Si je te disais non, tu serais bien emmerdée !
– Impertinente ! Répond la redac’chef en lui balançant une gifle (une petite)
– Méchante !
– A poil, et dépêche-toi !
Janice s’empressa de se débarrasser de tous ses vêtements, puis se présenta crânement devant sa tortionnaire.
Delphine lui attrape les bouts de seins et les tortille énergiquement.
– T’aimes, ça être ma petite esclave, n’est-ce pas petite chienne ?
– Whah, whah !
– Tu peux pas être sérieuse cinq minutes ?
– Non !
– Enlève-moi mes pompes et lèche-moi les pieds.
– T’as rien d’autre à me faire lécher ?
– Si mais pour l’instant ce sera les pieds.
– Bon, bon !
Janice enleva délicatement la chaussure droite de Delphine et lui embrassa le dessus de pied dont elle savait la peau douce et délicate.
– Je ne t’ai pas dit d’embrasser, je t’ai dit de lécher !
– C’était un bonus !
– Alors ça va !
– J’aime bien ton vernis bleu, t’a acheté ça où ?
– Si t’es sage je t’en donnerais un flacon.
– Oh ! Alors je vais être très sage !
Janice s’empare alors du gros orteil et le porte entièrement dans sa bouche, l’imbibant se sa salive et le titillant du bout de sa langue comme elle ferait d’une petite bite.
– Hum, j’adore ! Maintenant l’autre pied !
– Mais certainement !
Mais après cinq minutes de suçage forcené du gros orteil gauche, Janice se lasse et cesse ses mouvements.
– Je n’ai pas dit d’arrêter !
– J’ai la mâchoire qui fatigue.
– Ma pauvre bibiche ! Tu sais ce que je vais te faire lécher maintenant ?
– Ton cul, je suppose !
– Bonne idée, après cette dure journée, il a besoin de quelques coups de langue vicieuse.
– Gnagna !
Delphine retire prestement son pantalon et son string et présente son popotin aux lèvres de sa partenaire. Cette dernière pose ses mains sur les globes fessiers, les écarte afin que sa bouche puisse se coller au trou du cul et se met à lécher l’endroit avec gourmandise.
– C’est bien bon tout ça ! Commente-t-elle.
– Tu aimes l’odeur de mon cul ?
– Tu le sais bien !
– Fous-moi un doigt !
– Avec plaisir !
L’index s’enfonce complètement dans le rectum de Delphine, il s’agite, il tournoie, il ressort pas bien net.
– Eh ! C’est déjà fini ?
– J’ai comme une crampe.
– Et il est comment ton doigt ?
– Je vais le lécher, je te dirais après !
– Cochonne !
– Oui, mais c’est pour ça que tu m’aimes !
– Alors c’est comment ?
– Ça ne vaut pas le Paris-Brest, mais c’est pas mal quand même.
– Tu ne me proposes pas ta pisse aujourd’hui ? Minauda Janice.
– Eh ! Oh ! Qui c’est qui dirige les opérations ?
– C’est juste au cas où t’aurais oublié !
– Mais non ma chérie, ça ne s’oublie pas ces choses-là, ouvre bien ta gueule de pute que je me soulage bien comme il faut.
Evidemment pour Janice ce genre de privauté n’a rien ni d’une punition ni d’une petite misère, c’est juste un petite fantaisie sexuelle.
– C’est bon, hein ?
– Hum, délicieux !
– T’en a foutu plein à côté !
– Comme d’hab !
– Alors vas chercher une serpillère et le martinet !
– On y va, on y va !
Et voilà que Janice entreprend d’éponger le sol à quatre pattes, le croupion relevé.
– Tu crois tu as l’air intelligente dans cette position ? Se gausse Delphine.
– Je ne crois pas, non ?
– Dépêche-toi d’éponger, tu ne vas pas y passer la nuit ? Répond la redac’chef en assenant plusieurs coups de martinet à la volé sur le postérieur de sa petite protégée.
– Hé ! Moins fort !
– Chochotte !
Janice se relève
– Tu vas où ?
– Ben rincer la serpillère !
– Reviens vite !
– Bien sûr ! Je ne vais pas me perdre en route !
– Installe-toi dans le fauteuil et écarte bien tes cuisses, ordonne-t-elle à Janice quand elle fut revenue.
Delphine approche son visage de la chatte de sa partenaire, et darde sa langue.
– Humm, c’est bon tout ça !
– Hé !
– Fais-moi une tite goutte !
– Je peux même t’en faire une grosse !
– J’ai dit une petite !
– Bon, bon…
Janice se concentre et fait jaillir quelques gouttes d’urine qui atterrissent directement dans le gosier de Delphine.
– Humm, délicieux…
La langue continue de voltiger, balayant la petite chatte de Janice et se régalant de ses sucs. Les mains de Delphine partent en avant, attrapent les tétons et les tortillent sans trop de ménagement.
Janice sentant son plaisir proche se met à haleter. Delphine lui porte l’estocade en enroulant sa langue autour de son clito. Janice jouit dans un spasme.
– Quel pied ! Commente-t-elle simplement.
– Qu’est-ce que tu crois ! Quand on aime ce qu’on fait, on le fait bien ! Mais maintenant ça va être à toi de bosser !
– On échange nos places.
– Ben oui ! Et passe-moi le petit gode qui est sur la table, je vais me le foutre dans le cul pendant que tu me lèches la moule.
L’affaire ne traine pas, doublement stimulée, et par l’anus et par la chatte, Delphine ne tarda pas à jouir comme une damnée en poussant un rugissement de tigresse.
Et c’est à ce moment qu’elles entendirent des frottements derrière la porte.
– Assis-toi et écart bien tes cuisses, je vais lui ouvrir. Dit alors la rédac’chef.
Janice savait parfaitement ce qui allait se passer maintenant, Dès que la porte fut ouverte, Azor, le caniche royal de Delphine, se précipita entre les cuisses de Janice, toute langue dehors et se mit à lui lécher la chatte avec une frénésie.
– Il te lèche bien, j’espère ?
– Oui, c’est bon ! Aaaah
– Quelle salope tu fais, se faire jouir par un caniche ! Quelle honte !
– Ah ! Tu ne peux pas savoir comme j’ai honte, se gaussa Janice.
– Tu sais ce que tu vas faire maintenant ? Tu va lui sucer la bite, ça t’apprendra la politesse !
– Non, on arrête !
– Je te donnerais un rocher Suchard !
– Alors d’accord !
Delphine passa sa main entres pattes arrière du caniche et lui attrapa le sexe qu’elle branla quelques instant afin de le faire sortir de son fourreau. Elle embouche ensuite la bite qui déjà dégoulinait. Janice vint rejoindre sa patronne et les deux coquines se livrèrent à un ballet impudique, se passant et se repassant la sexe baveux. Les deux femmes s’embrassèrent ensuite goulument.
Puis spontanément, Janice se mit en levrette sur le tapis et appela le chien qui déboula à toute vitesse, la grimpa et se mit à la besogner avec vélocité.
– Mais dans quel trou, il est ? Demanda Delphine.
– Dans mon cul, pardi !
– T’es vraiment une salope !
– Une salope qui se fait enculer par un chien !
– Tout un programme !
– Mais dis-moi que tu l’aimes ta salope !
– Je t’aimes, ma salope !
Delphine avait bien précisé que dans un soucis d’efficacité, Cédric et Janice ne feraient pas équipe, chacun essaierait de se débrouiller de son côté. Elle avait par ailleurs diligenté un détective privé afin de gagner du temps pour qu’il se renseigne sur la situation de famille et le train de vie de Beauregard.
Ce dernier était célibataire, habitait un grand appartement dans les quartiers chics, et roulait dans une bagnole qui ne devait plus être côté à l’Argus. Avec ça nos deux journalistes n’étaient pas trop avancées !
Malgré tout, ses conclusions s’avéraient surprenantes puisque dans ses interventions télévisées Beauregard ne manquait jamais de rappeler quand il en avait l’occasion qu’il était marié et bon père de famille.
Janice se demandait comment elle pourrait aborder sa mission. Beauregard ne la connaissait pas, elle pourrait donc l’approcher, mais il lui fallait un prétexte !
Elle chercha un motif un tant soit peu professionnel, mais ne trouva rien de génial. Restait l’opération charme, après tout elle était une belle femme. Mais il fallait au préalable s’enquérir de ses habitudes. Quels bistrots et restaurants fréquentait-il ? Et pour ça il n’y a pas trente-six solutions, il fallait suivre la bête.
C’est ce qu’elle fit, Beauregard fréquentait un restaurant d’habitués, en allant s’assoir à ce qui devait être sa place attitrée, il serra quelques mains et s’attabla en silence. Le personnel lui donnait du Monsieur Guillaume.
« Pas très sociable, le mec ! »
Le matin avant de venir au journal il s’attablait à la terrasse d’un café, toujours le même et il restait une heure à écrire sur une tablette
« Bon se dit Janice, je n’apprends pas grand-chose, demain je vais essayer de l’aborder. »
A suivre.
Langue de chien. Plaisir divin
Ah, sentir la langue d’un brave chien vous lécher la chatte devant les copines ! Quel érotisme !
Ah, ces braves toutous !
Très érotique cet épisode canin !
Le chien est le meilleur amie de la femme…
Pas mal du tout, je trouve :
Ce doit être la mode, les auteurs foutent des chiens partout. C’est pas vraiment mon truc mais il faut avouer que c’est raconté dans un style très plaisant