On oublie toujours quelque chose ! par Mathilda Stenberg

On oublie toujours quelque chose ! par Mathilda Stenberg

La dernière fois que le nouveau facteur avait frappé à ma porte, il m’avait carrément déshabillé du regard

Un beau mec d’origine antillaise, souriant et jovial

Je ne sais pas ce qui m’a prise, mais j’ai eu envie de me l’envoyer

Le facteur avait l’habitude de passer vers 8 heures du matin, et j’avais enfilé une robe de chambre légère que j’avais laissée entr’ouverte. Je ne savais pas vraiment si mon plan allait marcher, mais si je n’essayais pas, je ne saurais jamais.

8 h 10, on sonne à la porte. Je vais ouvrir et je peux constater son air plus ou moins surpris de me voir ainsi vêtue.

J’espérais pouvoir lui faire prendre un café malgré son travail. A mon grand étonnement (et plaisir surtout !), il accepta en souriant ! Son regard restait fixé sur ma poitrine dévoilée légèrement par l’habit de soie rose. Je l’ai alors invité à prendre place au salon et je suis allée préparer les cafés.

Je suis arrivée avec les tasses et je me suis assise de manière à laisser glisser un côté de ma robe de chambre sur ma cuisse, dévoilant alors ma jambe. J’ai aussitôt remarqué qu’il ne la quittait pas du regard. Finalement, j’ai écarté les cuisses, afin qu’il comprenne ce que je voulais précisément.

Il lui fallut peu de temps pour m’enlever le vêtement de soie. J’étais alors assise sur le divan, à sa merci. Il l’avait bien compris d’ailleurs. Il glissa une main experte entre mes cuisses et introduit un premier doigt dans mon sexe humide et chaud. Il commença un va-et-vient agile qui m’arrachait des gémissements. Il me leva alors, me demanda où se situait ma chambre et m’y entraina, son doigt toujours en action. J’étais excitée comme une chatte en chaleur. (c’est le cas de le dire) Il me demanda si j’aimais être prise en levrette, je lui ai crié un oui à la limite de l’orgasme. Il compris alors que j’allais jouir alors il stoppa son va-et-vient me poussa sur le lit. Il disait aimer cette technique chinoise qui consiste à pousser le plaisir jusqu’à la limite de l’orgasme et d’arrêter juste avant pour mieux jouir ensuite !!!

Il saisit deux foulards qui avaient eu la bonne idée de trainer ici et m’attacha les mains au barreaux du lit, mais sur le ventre, afin que je puisse être à quatre pattes. Je n’en pouvais plus, il fallait qu’il vienne en moi. Il se déshabilla et me doigta encore un peu, jusqu’à ce que mon sexe coule de délice ! Il prit alors mes seins dans ses mains et me pénétra. Il commença alors un va-et-vient lent puis accéléra. Il me bourrait alors par saccades qui m’arrachaient des cris de plaisir. Je me déhanchais pour le sentir encore mieux.

J’ai alors eu un orgasme terrible j’ai hurlé de plaisir comme jamais. Il éjaculait maintenant. Et c’était tellement bon… Il me dit ensuite qu’il allait m’enculer. Mais j’ai refusé, non pas par principe, mais je craignais que sa grosse bite me fasse mal. Il m’a alors proposé de l’argent, j’hésitais encore mais il m’a assuré qu’il savait ce qu’il faisait et qu’il me ferait ça en douceur. Je lui ai donné mon accord mais j’ai réclamé l’argent,.

Il a sorti un billet, je lui ai dit qu’il pouvait encore faire un effort, il a sorti un second billet en me traitant de pute. Evidemment qu’en ce moment j’étais une pute puisque pour la première fois de ma vie je me faisais payer pour me faire enculer.

Il me doigta encore pour mouiller mon petit trou. Ji eu une appréhension quand il a commencé à s’enfoncer, du coup il m’envoya une claque sur les fesses, pas grave, j’adore les petites fessées, puis il m’a pénétré, d’un coup sec.

Il m’a traité de salope, de putain et m’a dit que je devais alors assumer lorsque j’allumais. Il avait raison. Mais j’avais mal. Mais petit à petit, mon trou se détendit et cela me procurait du plaisir. Oui, un plaisir certain. J’atteins rapidement un orgasme. Il sortit de mon cul, me détacha et me coucha sur le dos, puis il se masturba en m’envoyant son foutre sur mon visage et sur mes lunettes que je n’avais pas retirées.

Il resta un moment immobile sans que je comprenne de suite pourquoi, puis il me dit qu’il aimerait me pisser dessus.

J’ai failli lui demander un supplément pour cette fantaisie, mais je ne voulais pas être trop gourmande, si je veux qu’il revienne et me baise il faut rester raisonnable, alors j’ai ouvert la bouche et j’ai avalé une bonne rasade de cette bonne pisse.

Quand je pense que je ne l’ai pas sucé ! On oublie toujours quelque chose !

Mathilda

Rewriting d’une nouvelle parue sur le site de Sophiexxx en 200 intitulé « le facteur » et signée Bea

Ce contenu a été publié dans Histoires, Récits, avec comme mot(s)-clé(s) , , , , , , , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

4 réponses à On oublie toujours quelque chose ! par Mathilda Stenberg

  1. Sonia Kubler dit :

    J’aime bien les récits de Mathilda ca elle aime bien brocarder le socialement et le sexuellement correct

  2. Vera44 dit :

    Moi ça fait partie des choses que je n’oublie jamais ! 😉

  3. Biquet dit :

    si tous les facteurs agissent de la sorte, ce n’est pas étonnant que le courrier soit si mal distribué !

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *