Les tapineuses de la route par Enzo Cagliari – chapitre 2 – Virginie

Les tapineuses de la route par Enzo Cagliari – chapitre 2 – Virginie

Résumé du chapitre précédent :

Voulant bénéficier des services d’une prostituée, je tombe sur Adeline, la meilleure amie de ma fille. Au moment de la quitter, je vois descendre d’une camionnette, ma propre fille Virginie. (voir Les tapineuses de la route par Hyrem32 – chapitre 1 – Adeline | Vassilia, planète mauve)

Virginie ne m’a pas vue et s’avance comme une fleur vers sa camarade. Celle-ci lui fait des signes voulant la dissuader de s’approcher mais elle ne comprend pas et continue d’avancer.

Je me recroqueville dans ma voiture et met le contact.

Trop tard, je cale et Virginie s’avance imprudemment.

Elle me reconnait, pousse un cri.

– Oh !
– Qu’est-ce que tu fous là ? Tempêtais-je en baissant la vitre
– Ce n’est pas ce que tu crois… commence-t-elle
– C’est quoi alors ?
– Je venais dire bonjour à Adeline…
– Dans cette tenue ?

Eh oui, minijupe vraiment mini, haut déboutonnée sur un soutien-gorge à balconnet. Pas vraiment une tenue de jeune fille sage !

– Je voulais juste m’amuser ! Bredouille-t-elle
– Tu t’amuses à faire la pute, c’est cette trainée d’Adeline qui t’as entrainée ,
– Dis donc, la trainée, tu as été bien content de la trouver, si je n’amuse.

Touché !

– Mais pourquoi tu fais ça ?
– Et toi pourquoi tu vas aux putes ?

On ne va pas s’en sortir.

– Je ne suis pas parfait !
– Ben moi non plus et d’abord je ne fais de mal à personne.
– C’est pour le fric ?
– Même pas ! Mais je ne crache pas dessus.
– Alors ?
– C’est un fantasme, j’aime me sentir pute, j’aime que des mecs se dise, elle est tellement jolie que je n’hésite pas à payer pour faire l’amour avec elle.
– Eh bin ! . Et tu en as d’autres des fantasmes comme ça ?
– Ah, si tu savais ,
– Je m’attends au pire !
– Mais je te ne dirais pas !
– Tu te rends compte, si ta mère apprenais ça ?

Elle éclate de rire ! Qu’est-ce que j’ai dit de drôle ?

– Tu ne va pas me dire qu’elle est au courant ? Repris-je
– Non, elle n’est pas au courant.
– Ah, tant mieux !
– Bon alors maintenant à toi de me dire ce que tu vas faire, je suis majeure, donc j’ai parfaitement le droit de me prostituer. Donc, soit tu fais avec, soit tu me fous à la porte.
– Je ne te fous pas à la porte, mais tu arrêtes tes conneries.
– Non, voyons les choses autrement, je ne serais pas ta fille et tu m’aurais vu fringuée comme je suis, tu m’aurais invité à monter dans la bagnole ?.

En voilà une question ! Et la réponse est « oui », mais je ne vais pas lui dire.

– Ben alors tu me réponds ?
– Je ne réponds pas aux questions idiotes.
– Alors renie-moi, dis-moi que tu je ne suis plus ta fille !
– Quel intérêt ?
– Pour que les choses soient claires.
– Non, je ne peux pas faire ça !
– Dis le quand même.
– Mais non !
– Dis simplement que je ne suis plus ta petite fille bien sage !
– Oui ça je peux le dire
– Ben dis-le
– Tu n’es plus ma petite fille bien sage

Je vois alors ma fille comploter à voix basse avec Adeline. Qu’est-ce qu’elles foutent ?,

– Ouvre les deux portières, on va discuter tous les trois… entre adultes responsables.

Tu parles d’adultes responsables ! Mais j’accède à leur demande, Adeline vient s’assoir à ma gauche, Virginie à ma droite.

– Bon je vous écoute les filles !
– Je parie que tu bandes encore ! Me dit Adeline
– Hein ?

Et la voilà qui me tripote la braguette.

– Mais arrête de me tripoter.
– D’accord, alors embrasse-moi les seins ! Répond-elle en me les foutant sous le nez.

Quand un téton érigé se balade à trois centimètres de votre bouche, qu’est-ce que vous faites, vous ? Parce qu’à cet instant ce n’est plus le cerveau qui commande, ni la raison, ce sont les hormones, alors on attrape cet insolent téton et on suce et par effet de contagion la bite de met à bander.

Et d’ailleurs une main se repose sur ma bite, mais cette fois ce n’est pas la main d’Adeline, mais celle de Virginie.

– Mais Virginie tu es malade !
– Mais non, tu m’as bien dit que je n’étais plus ta fille bien sage, je suis juste une pute et je veux te faire plaisir!
– Mais…

J’ai la tête qui tourne, ma fille m’a choppé la bite et la mise dans sa bouche, je suis en train de me faire faire une pipe par ma propre fille ! Je rêve ou quoi. Putain qu’est-ce qu’elle suce bien ! Je ferme les yeux, quand je les rouvre c’est pour constater qu’elles sont deux à me sucer. Et c’est bon

J’éclate mon sperme qui atterrit sur le visage des deux coquines.

Au lieu de s’essuyer avec un kleenex elles se lèchent réciproquement le visage, mais quelles salopes ces deux là !

– Tu vas le dire à Maman ? Me demande Virginie.
– Non !
– Tu sais elle a les idées larges, parfois je lui lèche le minou, elle adore ça et moi aussi !

Oups !

– Tu racontes n’importe quoi ?
– Tu n’auras qu’à lui demander !

Ben non, je ne vais pas lui demander, des images défilent dans ma tête notamment celles de son intérêt jamais démenti pour les jolies femmes. Se pourrait-il que… Mais bon je suis assez mal placé pour lui en faire reproche.

Un peu plus tard

– Un demi comme d’habitude Monsieur Martin ?
– Non un double whisky sans glaçon !

Trop de choses dans ma pauvre tête, je n’arrive pas à trier.

Je ne suis pas parvenu à trouver le sommeil cette nuit, le lendemain matin j’ai pris mon petit déjeuner en face de Virginie, on a fait comme s’il ne s’était rien passé et puis quand mon épouse s’est éloigné :

– Tu fais quoi aujourd’hui ?
– Comme d’hab’ !
– Je passerais peut-être te dire bonjour !
– Comme tu veux, mais ce sera 50 euros.

Fin

Ce contenu a été publié dans Histoires, Récits, avec comme mot(s)-clé(s) , , , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

3 réponses à Les tapineuses de la route par Enzo Cagliari – chapitre 2 – Virginie

  1. Leloup dit :

    ça va trop vite !

  2. Lena Van Eyck dit :

    Un texte gonflé ! Tant mieux

  3. Lucky dit :

    Inspiré par l’excellent film de François Ozon « Jeune et Jolie » ?

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *