ODE AU PHALLUS
par Brigitte. B
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Ô phallus désiré,
Tu es beau quand tu bandes !
Et ma bouche gourmande,
Rêve de te sucer !
Enfonce entre mes lèvres
Ton gland décalotté.
Je sais, par mes baisers,
Faire monter la fièvre !
Je te sens qui durcit
Entre langue et palais.
Je crois que tu te plais
Dans un si joli nid !
Te voici turgescent
Et la joie me soulève
Quand je songe à la sève
Que va gicler ton gland !
Et quand jaillit en moi
Le lait de ta jouissance,
Ton exquise semence,
Heureuse, je te bois !
Dès que tu te retires
Je m’empare de toi,
Te menant par mes doigts
Vers de nouveaux délires !
Quelques instants plus tard,
Sous mes folles caresses,
A nouveau, tu te dresses,
Fier comme un étendard !
Quelle que soit la porte
Où tu choisis d’entrer,
Toi seul sais me combler.
Le plaisir nous emporte.
Lorsque, toujours bandant,
Tu arroses mon corps
De ta tiède pluie d’or,
C’est un enchantement.
Tu étais un volcan,
Tu as craché ta lave.
A ton eau je me lave,
Tu es source à présent.
Je prends presque une douche !
Tu pisses sur mes reins,
Tu inondes mes seins
Puis tu remplis ma bouche !
Phallus qui fait ma joie,
J’ai écrit ce poème
Pour te dire que j’aime
Tout ce qui vient de toi.
« Quelle que soit la porte
Où tu choisis d’entrer,
Toi seul sais me combler.
Le plaisir nous emporte. »
********* (Une jolie définition, une belle flatterie pour ce que nous avons entre les jambes).
Sacrée Brigitte
Qui aime la bite
Avec délice
Quand elle pisse…