Une soirée réussie !
6. Le parking des Anges
Par Bibi_01
Au moins une fois par semaine nous nous rencontrions pour de brûlantes étreintes, le plus souvent chez lui. La pénétration anale devenait chaque fois plus facile, mon anus semblait s’être forgé à son gabarit. De moins en moins de lubrifiant était nécessaire, et la plupart du temps, nous nous en passions. Un peu de salive, sa langue et un bon usage de ses doigts pour me décontracter suffisaient amplement, d’autant plus qu’avant chaque rencontre, je me faisais un bon lavement. J’arrivais maintenant à ouvrir la bouche suffisamment grand pour lui en tolérer le plein accès, avec comme seules limites… la longueur de son membre ! J’étais néanmoins parvenu à le faire jouir quelques fois “sans les mains”, sauf bien sûr un doigt ou deux… entre ses fesses. Bref, j’apprivoisais la bête de mieux en mieux.
Un soir où nous voulions aller voir un film dans un ciné de la ville, nous avions presque une heure d’avance sur la séance. Nous avions sa voiture, et histoire de ‘’tuer le temps’’, je lui proposais de s’isoler, désirant lui offrir une petite gâterie. Nous sommes allés nous garer dans un petit coin tranquille.
Son siège en couchette, il dégrafe son pantalon et le baisse jusqu’aux genoux. Je décalotte son gland d’une main et prends sa bite encore molle en bouche en l’avalant jusqu’à ce que mon nez touche son pubis, et commence alors à le pomper avec de grands mouvements de tête, ce qui est assez facile avant que son mandrin ne bande complètement. Patrick adore être sucé, il m’encourage, me demandant de ne pas oublier de lui gober ses burnes.
Nous baisons assez régulièrement, et le bougre devient plus endurant, et tarde souvent à verser son dû, son abondant foutre. De plus, il sait que j’adore avaler ses si généreuses offrandes, et s’amuse volontiers à me frustrer. “C’est pour mieux te le faire apprécier la prochaine fois !” Ricane-t-il souvent.
Constatant qu’il ne jouissait pas après un bon quart d’heure de profond dévouement, je m’inquiète de savoir s’il n’apprécie pas ma caresse ! Sa réponse affirmative me rassure, mais en fait, il désire me prendre, il a trop envie de mon “si accueillant petit cul serré”, là, et la situation l’excite énormément. L’endroit où nous nous trouvons est en retrait de la ville, assez sûr, aussi m’invite-t-il à sortir de la voiture pour jouer ‘’sur le parking des Anges‘’!
Une fois dehors, Patrick me présente sa queue raide à sucer, me demandant de bien la lui mouiller. Je le suce avec beaucoup de salive, impatient de le sentir plonger en moi. Rapidement, je baisse mon jean, je ne porte pas de slip ni de caleçon. Je trouve cela superflu, finissant toujours à poil quand je sors le retrouver ! Je m’appuie contre l’aile, penché sur le capot, le cul tendu, prêt à le recevoir. A quelques dizaines de mètres de nous, des voitures passent, et le risque que quelqu’un débarque est stimulant, terriblement excitant. Ecartant largement mes fesses afin d’introduire sa langue dans ma raie toujours épilée, il mouille copieusement ma rondelle avant de placer son gland turgescent au bord de mon anus, sans même prendre le temps de me “chauffer” comme il le fait d’habitude. ’’Tu m’excites, je vais te la mettre, puisque tu aimes ça ! Tu l’aimes, ma grosse queue, non ? Tu veux la sentir t’écarter les fesses ?’’
Je pousse fort alors qu’il me saisit aux hanches, poussant pour plonger en moi. Mes mains écartent mes fesses un maximum, je retiens mon souffle, mon buste étalé sur son capot de voiture, la joue contre la tôle, un rictus déformant mon visage. En quelques poussées, je n’en reviens pas, son pieu pourtant si gros est passé sans encombre, et je me surprends à lui intimer l’ordre de me limer, de me la mettre, de m’enculer, n’hésitant pas à le lui crier, d’ailleurs. Et c’est ce qu’il s’emploie à faire, d’abord assez modérément, venant bien au fond de mon trou à chaque fois. C’est un merveilleux enculeur, et il sait très bien y faire, alternant les rythmes, gonflant son gros bout pour bien “frotter’’, un délice pour un cul sensible comme moi. Sa queue me fouille avec puissance sans pour autant être brutale, et il accélère graduellement la cadence; je m’aperçois chaque fois que la pénétration sans préservatif est de loin bien plus agréable, n’interférant pas les sensations. Elle ne génère pas ce frottement caractéristique qui finalement brûle plus qu’il ne glisse. Son énorme queue va et vient librement dans mes reins, se frayant un passage malgré son “obésité”.
“Ce que tu me baises bien, viens plus fort, baise-moi bien à fond ! Mets-la-moi bien. Je te donne mon cul, prends-le, vide tes grosses burnes dans mon cul, j’ai envie de me sentir plein de ton foutre !” La situation est cocasse, mon excitation est à son comble, j’ai non seulement envie, mais véritablement besoin qu’il me baise, et de verbaliser cet acte, de me stimuler. Le ton est donné, il répond à mes appels tant par l’action qu’en parole. Pour jouer, il sort de temps en temps complètement son sexe, et me le replante… vertigineusement.
Il me pénètre plus fermement que d’habitude, et même s’il me couple le souffle lorsqu’il tape mon fondement, j’en veux encore plus. Mon anus est devenu plus souple, et son imposante batte de Baseball se loge aisément en moi, pour mon plus grand plaisir. J’aime comme il me sodomise, comme il investit mon “petit”, devenu grand. Pour la première fois, je lui ordonne de “me casser le cul”, de “me mettre”. Pat sent que j’en ai les capacités, et nous rentrons tous deux en transe. Ses mains tiennent fermement mes hanches alors qu’il me hurle dans les oreilles les mots que j’ai besoin d’entendre ce soir, sur ce parking :’ Tu l’aimes ma queue ? Tu aimes que je t’éclate ton petit cul serré ? Dis-le-moi. Tu voulais que je te baise sur le capot ? “ Ses bourses frappent les miennes lourdement, il me secoue maintenant très fort.
J’arrive à dégager une jambe du jean qui entrave mes chevilles, et place mon genou sur le capot, envoyant les fesses encore plus vers mon sodomite. Ainsi plus offert, il se plante davantage en moi, plus directement, criant que si j’aime le foutre, je ne vais pas être déçu. Mon ventre explose sous ses coups de butoir, son pieu me pourfend, je supplie Patrick de continuer. Ma jouissance est aussi violente que soudaine, mon corps est parcouru de spasmes alors mon sperme s’écoule de ma queue ballante, arrosant l’aile de la voiture autant que mon jean. Patrick, dans un ultime effort, me besogne frénétiquement. Sa queue gonflée m’annonce que nous sommes à l’unisson, il se vide dans mon cul à grand coups de reins, ses mains serrées sur mes hanches, éjaculant son précieux liquide avec une rare intensité pendant que mon rectum se contracte autour de son membre. Nous n’en finissons plus de jouir, l’inertie de cet orgasme est impressionnante.
Repus et vidés, nous finissons tout de même par nous immobiliser, savourant cette victoire sans un mot, lui en moi, moi autour de lui, en parfait accord. Le bien-être que m’apporte cet homme est assez déroutant, c’est autant cérébral que physique. Son sexe hors norme me comble et me fascine, ses jets de foutre sont divins, et je suis très fier qu’il ait pu s’épancher entre mes fesses, m’inondant d’une douce chaleur. Il est planté jusqu’aux couilles dans mon rectum, immobile, satisfait, et me répète inlassablement :”Quel cul, mais quel cul !” Je suis incapable de répondre, mais n’en pense pas moins de sa queue, étonné de ne pas avoir explosé pendant cette puissante sodomie. Le bruit des voitures non loin confère à cette scène un côté surréaliste, pourtant, un homme vient bien de m’enculer là, contre sa voiture, au beau milieu de nulle part, me faisant prendre un pied extraordinaire.
Quelques minutes plus tard, je lui demande de se retirer, tombe accroupi devant lui et attrape sa grosse queue à demi-molle par la base pour la prendre dans ma bouche. Avec toute la délicatesse et le respect qui lui est dû, je suce soigneusement sa belle arme, savourant les traces de sperme restées sur son gland, lapant et léchant sa hampe pour qu’il soit tout propre. Le plaisir du travail bien fait. Puis je me rajuste, et nous remontons dans la voiture.
“Tu m’as vraiment fait beaucoup de bien, tu sais ?” me dit-il. Je le rassure sur ma satisfaction, lui répétant que ce moment a été d’une rare intensité, que je voulais vraiment qu’il me prenne comme un dingue, et qu’il vient d’exaucer mon désir avec brio. Je suis tout taché de mon sperme, et pendant que nous parlons, le sien commence à se liquéfier, coulant du fond de mon rectum. Je ne peux aller au cinéma comme cela. “Tu veux venir chez moi, me dit-il, j’ai un film que tu vas apprécier après une bonne douche !”
Le temps de faire les quelques kilomètres qui nous ramènent chez lui, je nage dans son foutre, mon cul béant laisse s’écouler l’importante dose de semence qu’il vient de m’inséminer. Après un bon rafraîchissement soft pendant lequel chacun a lavé l’autre, il me propose son canapé ou son lit, selon mon choix.
Naturellement, un bon lit me tente bien, et nous nous dirigeons vers sa chambre. Ma main attrape sa belle queue en même temps que je m’assois au bord du lit, face aux grands miroirs de sa penderie. Veillant bien à ne pas manquer le reflet que me renvoie la glace, je lui suçote tendrement le gland. Je ne me suis jamais vu en train de sucer, et en suis tout émoustillé. J’en rajoute, fais du bruit, joue avec ses couilles, pendant que son sang remplit ses corps caverneux. Rapidement, il est de nouveau bandé comme un taureau, et dilate ma bouche outrageusement, je ne m’imaginais pas à quel point… jusqu’à ce soir. Patrick s’est bien vidé il y a une bonne heure, je ne pense pas qu’il puisse “lâcher” très vite. Je le suce bon train, branlant par moments assez vite sa grosse queue, ou encore en massant ses burnes massives. Le tableau est excitant au possible, et mon ventre gargouille de désir. “Prends-moi tout doucement devant la glace, s’il te plaît. Je veux voir ta queue me pénétrer.”
Couché en chien de fusil, Pat place un peu de gel sur mon anus déjà bien rouge. Mes yeux rivés sur la scène, il me prend très lentement, m’enculant alors avec minutie. Ses grosses couilles viennent se plaquer contre mes fesses, et je peux voir mon cul ainsi déformé par son énorme barre, mesurant alors l’intensité de l’instant. Il coulisse librement entre mes fesses, me baise gentiment, sans chercher à me brutaliser. C’est si bon, il est si doux… Son gros morceau de chair pénètre mon fondement avec la régularité d’un métronome, chaque coup de bassin faisant valser ses testicules. J’aime ce que je vois, et les sensations qu’il me procure sont tellement contradictoires avec celles de tout à l’heure contre sa voiture! Une fois de plus, je me dis qu’un deuxième homme, là, entre mes lèvres, répondant aux appels de mon sodomite en me présentant sa queue à sucer, ne devrait pas être inintéressant, ni dépourvu de sensations.
Pat se retire et vient se mettre à genoux devant mon visage pour me donner sa belle queue à sucer. Il pose son gland turgescent à l’entrée de ma bouche grande ouverte en branlant sa lourde hampe afin de finaliser sa jouissance. En gros jets crémeux, sa semence vient s’étaler contre mon palais, glissant ensuite sur ma langue. Sans en perdre une goutte, j’avale son cadeau avec délectation à plusieurs reprises, étonné de la quantité de foutre qu’il peut fournir à chaque fois.