Je poursuis le récit de mes aventures avec cette marseillaise, qui était devenue délurée au point de s’exhiber plus ou moins discrètement en tout lieux.
La photo est un prétexte formidable et permet de fixer à jamais des lieux, des situations que l’on pourrait oublier. Odette prenait vraiment goût à se montrer ou s’excitait de penser que l’on pourrait la voir, ainsi que de porter des tenues sexy, surtout avec porte-jarretelles, avec ou sans culotte, mais vu qu’elle mouillait beaucoup, elle en portait souvent…
Pour exemple ce qu’on fit à Endomme pour ceux qui connaissent Marseille, le port de Auffes (très joli coin) puis les Anse de Maldormé et de la fausse monnaie. Elle faisait de la peinture et se peignait grâce à certaines poses qu’elle demandait, ce fut le cas ce jour là et aux Auffes, côté mer sur les rochers. Sous le monument très connu, elle prit quelques positions excitantes, nous étions encore en hiver mais il faisait très doux vers 15 heures ce jour là.
Sur un rocher à quinze mètres, trois jeunes qui pêchaient, l’un d’eux regarda plusieurs fois.
Comprit-il ce que l’on faisait ?
Déjà excitée par la situation, elle se plaça assise sur un petit bloc de rocher avec une partie bétonnée devant une pente. Je la vois encore déboutonnant sa robe en gardant son blouson. Après le dernier bouton, elle écarta totalement sa robe et ses cuisses.
– Prends-moi comme ça, Bernard, sans le visage, mes seins et mes cuisses pour mon tableau
Elle respirait fort quand je déclenchais.
– Mon dieu, il regarde encore, ça m’excite !
Elle posa une main sur ses poils, elle écarta ses lèvres, à peine avait-elle touché sa fente qu’elle gicla sur le béton ! J’avais beau la connaître, elle me surprenait à chaque fois. Par trois fois elle éjacula fortement et sa mouille descendait sur le béton !
Elle me fixa avec ce regard d’excitation particulier, puis ferma sa robe sans la boutonner, se leva, m’enlaça et m’embrassa puis :
– Tu as vu comme j’ai joui ! Il m’a vu le jeune !
Je me tournais vers eux, et en fait, ils avaient tous dû la voir, au moins nue et écartée car ils nous faisaient signe !
Je répondis à leurs signes et l’un deux dira :
– Encore, madame, encore !
J’évaluais vite les risques, ils étaient loin, on était caché d’en en haut… Sans lui demander, je la fis pivoter vers eux en me plaçant derrière elle. Elle ne dit rien non plus quand lentement j’écartais sa robe devant les regards incrédules de trois jeunes qui doivent avoir gravés en eux cette vision exceptionnelle.
Puis on s’en alla rapidement vers la voiture pour chercher un autre endroit. (Un regret : ne pas avoir photographié la trace de sa jouissance sur le béton)
Un peu plus loin, il y avait pleins de petites rues piétonnes accédant à la mer. On se retrouva sur une toute petite crique avec des rangements pour les bateaux où je la photographiais par-dessous carrément sous sa robe.
On vit arriver un homme avec un sac, il ne vit rien ou ne comprit pas ? Il enfila une combinaison de plongée et disparut dans l’eau alors qu’Odette ouvrait sa robe vers lui !
Un peu plus loin encore en remontant, deux rues se croisaient… Personne en vue, elle enlève tout pour rester en bas et porte-jarretelles, je la fais marcher, lui fais des photos quand j’aperçois un homme assez loin.
Je le lui dis, elle revient vite, enfile sa robe, son blouson, l’homme passe devant et marche dans la rue où elle était juste avant. Sans que je lui dise, elle le suit à quelques mètres, laisse tomber son blouson par terre, puis sa robe ! Elle marche nue derrière lui (ou presque) sur une quinzaine de mètres et il disparaît à un autre angle !
Elle revient en courant, prenant ses vêtements, très excitée, elle se blottit contre moi.
Je commence à la caresser tout en la pressant contre moi, main gauche sur une fesse, l’autre entre ses cuisses qu’elle ouvre, aussitôt elle mouille mes doigts
– Qu’est ce que ça m’excite de faire ça, c’est fou !
– Je le vois, Odette, je le sens, regarde mes doigts !
Je lui propose d’aller découvrir d’autres endroits, on y va, arrivant au bord de mer, on se croirait au printemps tellement l’air est doux.
Quelques personnes « prennent le soleil » comme on dit, tournées vers la mer, et je la photographie encore dans leur dos montrant ses cuisses, ses bas ou ses seins discrètement au début
Elle osa de plus en plus, jusqu’à ouvrir sa robe totalement, ce qui l’excita encore, assise à quelques mètres d’un couple, on fit une dizaine de vue puis on passa sur la corniche.
On s’enlaça, s’embrassa, moi appuyé au mur je lui ouvris la robe pour la toucher partout au risque toujours d’être surpris :
– Ça te plait de faire ça, hein Odette ? Tu as vraiment pris goût à te montrer !
– Oui, ça m’excite, tu ne peux pas savoir, je suis folle, si mon entourage savait ça !
Je touche ses superbes seins, me penche pour sucer ses tétons pendant qu’elle se caresse la fente. Je la repousse un peu pour apprécier le spectacle mais on sera dérangé par des gens passant en contrebas. On va un peu plus haut, on s’arrête encore à l’angle fermé par la rue avec voitures garées et des escaliers qui descendent en plein soleil.
On flirte encore, cette fois pour l’exciter encore plus, je la tourne vers la rue (très peu fréquentée) je tiens sa robe ouverte, on peut donc la voir des maisons en face éventuellement. Je lui caresse les fesses, l’entrecuisse, je veux qu’elle jouisse encore, là, dans la rue ! Elle se penche, je la masturbe avec deux doigts et aussitôt, elle coule sur ma main, c’est dingue !
Je lui dis de se mettre accroupie en haut des escaliers mais avant je lui ôte blouson et robe… elle le fait très vite, très écartée, je la photographie alors qu’elle coule encore et mouille le trottoir !
Pour éviter des ennuis, je lui tends sa robe, son blouson et on va rejoindre ma voiture.
Un peu plus loin sur un petit parking à la nuit tombante, on s’excite de ce que l’on a fait en se caressant et pour finir elle se penche pour me prodiguer une fellation presque « complète » : au dernier moment elle se recule pour me faire éjaculer dans un mouchoir en papier.
On répéta souvent ce scénario en différents lieux Mais il y eut d’autres amusements par exemple à Cassis :
Nous avions rendez-vous à 14 h 30 à l’entrée de cette ville. Toute joyeuse, elle me dit :
– Bernard, ce matin, je suis allée dans les rochers pour me faire bronzer !
Nous étions en avril, matin très beau, mais ça se couvrit…
– Et au début, je suis restée en culotte, puis comme il n’y avait personne, je l’ai enlevée !
– Tu es une vraie coquine ! Et alors ? On t’a violé ? Dragué ?
– Oui, dragué, un jeune dans les 25 ans, je l’ai vu de loin en VTT, puis il est venu non loin de moi, il s’est mis à poil.
– Et beau, au moins ?
– Oui, d’ailleurs si tu es d’accord, on peut le voir
– Ah, oui, comment ça ?
– Ben, il me regardait, mais n’osait pas me parler, après une demi-heure, il fallait que je parte, donc je me rhabille et je passe exprès à côté de lui, il me fait un sourire, moi aussi, mais je passe et un peu plus loin, le temps de remettre mes chaussures, il m’avait rejoint et engagé la conversation du genre « si je venais souvent etc… » étonné de voir une femme nue, toute seule. Moi je provoquais un peu en disant que dès que j’avais un moment je me mettais au soleil et je lui demandais carrément, si j’étais encore assez bien pour faire ça, Ce fut « oui » tout de suite !
Et là elle me dit :
– J’ai vraiment fait la coquine, je lui ai dit qu’il était beau, qu’il me plaisait, mais que je ne faisait rien sans l’accord de mon mari, – toi, donc -, ce qui le surpris beaucoup, il demanda pourquoi, si on était des échangistes etc, etc. Je répliquais que j’avais le droit de draguer, de flirter, mais sans pénétration, sauf en présence de mon mari.
– Tu es plus que coquine, perverse, salope, mais tu sais que ça me plait… et après ?
– Après, ça alla très vite, il demanda si on pouvait flirter donc, je dis pourquoi pas ? Il s’approcha de moi, m’enlaça avec un regard incrédule ; je me laissais faire quand il caressa mon dos, mes fesses, qu’il m’embrassa, qu’il toucha mes seins ; je l’aidais en remontant mon tricot sortant mes seins du soutif en demandant s’ils lui plaisaient…. il me les suça tout de suite et moi je touchais son maillot, il était déjà dur, je sortis son sexe, le branlais. Je me reculais quand il voulut me toucher pour mieux l’exciter disant que je préférais le sucer, il n’en revenait pas.
Tout en l’écoutant, je voyais son excitation monter (la mienne aussi) elle jouit en disant qu’elle l’avait fait éjaculer et qu’elle avait joui dans sa main alors qu’il la masturbait debout !
– Si tu veux, je lui ai donné rendez-vous au petit parking de la plage, il ne fait pas beau maintenant mais je suis sûre qu’il viendra !
– Bien sûr qu’on y va ! Donc tu es « ma femme », on joue le jeu ?
– Bien sûr !
Dix minutes plus tard, après avoir flirté en lui disant qu’elle était vraiment salope, folle de sexe (ça lui plaisait) on arrive sur le parking.
Il n’était pas là, mais on commence à flirter, il n’y a que trois ou quatre places, on est seul, il bruine un peu, je lui suce un téton quand je crois voir quelqu’un. Elle regarde, c’est lui avec son VTT.
Il reste à quelques mètres, hésitant. Je sors de la voiture en souriant :
– Alors comme ça on drague ma femme à la plage ?
Je comprends son étonnement, je le rassure vite
– Tu peut t’approcher, viens de son côté que je te la présente un peu mieux, mais je pense qu’elle te plait ?
– Oh, oui, vous êtes sympa de faire ça, j’ai pas l’habitude.
– On aime ça, j’adore la voir jouir avec un autre, et elle aime ça, alors…
Je rejoins mon siège, il s’approche côté passager, pose son vélo à côté et viens alors qu’elle a toujours les seins à l’air, ses tétons bien raides.
Ils se disent rebonjour, il la remercie d’être revenue et moi :
– Tu vois, on avait commencé sans toi à s’exciter !
Je la fais pivoter vers lui, lui fait écarter les cuisses
– Fais lui voir ta culotte, chérie !
Je lui caresse les seins, elle ouvre ses jambes en grand
– Elle te plait, ma petite femme ?
– Oh, oui
– Alors, dis le lui et montre lui surtout, elle adore voir un sexe raide grâce à elle.
Elle joue son jeu !
– Chéri, tu exagères
– Oh, tu es toujours réservée au début, mais après…
Pendant ce temps, le gars ouvre sa braguette, puis sort un beau membre qui durcit bien vite ! Je lui murmure :
– Dis lui qu’il a une belle queue, que tu vas la sucer.
Je lui caresse les seins et glisse ma main droite sur sa culotte, elle hésite puis demande si elle peut le branler ! Il s’approche, elle tend les deux mains, touche sa tige et ses boules, le branle un peu.
Il ne pleut plus, heureusement, et je n’ai pas besoin de la pousser beaucoup pour qu’elle s’avance vers ce sexe en ouvrant la bouche.
– Vas-y ! Suce cette belle queue, ma chérie !
Je fais un clin d’œil au gars :
– A chaque rencontre nouvelle, elle devient un peu plus salope, elle mouille déjà, tu as déjà vue une femme fontaine ?
– Non, ce matin, j’ai vu qu’elle mouillait pas mal !
– C’est bon ? Elle suce bien ma coquine ?
– Oh, oui, un régal !
– Tu va la lécher après, tu la verras couler avant si tu veux !
Je la masturbe un peu, puis je prends une serviette de bain sur le siège arrière. Je lui glisse sous la jupe que je tire derrière elle, puis je lui dis de se glisser vers l’extérieur en enlevant sa culotte, elle le fait, il regarde. Je lui dis :
– Tu peux te branler en la matant, ça lui plait !
Il le fait tandis que j’écarte ses cuisses nues. Je dénude totalement ses seins, lui caresse de la main gauche, et de l’autre j’écarte sa chatte.
Je lui murmure que je veux montrer comment elle jouit, elle répond :
– Caresse moi, j’ai déjà envie !
– Regarde bien sa petite chatte, tu vas être étonnée !
Il se penche toujours en se branlant :
– Chérie regarde sa belle queue, il se branle pour toi !
Elle ne répond pas, respirant très fort et d’un coup :
– Mon dieu, je jouis !
Je regarde vite, elle gicle, un puis deux autres jets de mouille, le gars fait part de son étonnement.
– C’est bien, chérie, pour un début, tu veux qu’il te lèche ?
– Oh, oui, bien sûr !
Je lui fais signe, il ne se fait pas prier mais je l’avertis :
– Attention, tu as vu comment elle jouit, elle va peut-être gicler dans ta bouche !
– Je veux voir comment ça fait, je n’ai jamais vu ça !
Il se penche vers sa chatte et la lèche avec beaucoup d’ardeur. Un peu trop même, elle me le dit et ça la bloque
– Je préfère le sucer, tu veux ? Et tu me lèches toi, j’ai envie de jouir, tu le sais, quand je suce !
Elle lui fait comprendre de s’arrêter
– Elle veut nous sucer tous les deux !
Je sors de la voiture et on se met face à elle qui nous branle, puis sa bouche va de l’un à l’autre avec un plaisir visible et pour nous c’est parfait ! Puis je lui propose qu’il s’allonge à l’arrière. Ma chérie, debout, dehors se penche pour le sucer et moi je relève sa jupe, caresse sa fente trempée. Elle frétille déjà en ouvrant bien les jambes.
Heureusement qu’en me garant, j’ai mis la voiture un peu de travers et qu’il ne fait pas beau, on ne sera pas dérangés. Je pourrais bien lécher « ma chérie » et la faire jouir dans ma bouche et comme le jeune fait durer le plaisir, j’en profiterais pour la prendre.
Quand on est devant un gars, si je mets une capote, il ne croira plus qu’on est mari et femme, mais là, il ne put me voir. J’enfilais une capote avant d’enfiler « ma femme ». A peine pénétrée, surprise, elle jouit aussitôt, j’avais déjà envie moi aussi et je ne tenais pas longtemps vue la situation ! Ce qui me permit de la voir faire éjaculer notre ami qu’elle avait fait sortir pour le branler dehors.
Elle adorait voir le sperme fuser grâce à ses manipulations !
Encore une très excitante rencontre
A suivre…