Une belle rencontre
4.- Cours d’éducation sexuelle
par Mido
Gaby fut le premier réveillé. Pour me le faire comprendre, il commença par me caresser les fesses, puis me les lécha par petites touches. L’effet était étonnant. Je me retournais pour l’embrasser et me retrouvais face à son phallus, encore tout ensommeillé. À mon tour, j’utilisais de petits claquements de la langue, sur le gland, la verge et les testicules pour les stimuler. L’opération porta vite ses fruits. Dans le même temps, il avait écarté mes fesses et salivait sur mon anus, préparant son entrée visiblement. Une prompte pirouette le ramena dans mon dos. Il souleva ma jambe et entra sans mal dans ce qui était devenu sa propriété. Ainsi blottis l’un contre l’autre, son ventre contre mon dos, je sentais sa respiration dans mon cou en rythme avec les mouvements de son sexe.
Quand il glissa un « je t’aime » au creux de mon oreille, un doux frémissement m’agita. Telle une vénus callipyge, je fis saillir encore plus mes fesses en signe d’offrande. Visiblement, il apprécia et augmenta la cadence de son va-et-vient. Quand il sentit que je jouissais, il ralentit afin de ne pas donner trop tôt la preuve de son amour. Son souffle redevint plus régulier alors que moi-même reprenais pied sur terre. Il opéra alors un glissement qui m’amena sur le dos et lui sur mon ventre, sans que son sexe ait quitté mon anus. Il reprit alors ses va-et-vient dans la position de l’enclume, mes jambes sur ses épaules. Je me surpris alors à jouir quasi instantanément. Il se laissa aussitôt aller et je sentis le sperme s’écouler. Il se retira alors et m’invita à terminer avec la bouche ce qui n’était pas encore sorti. J’obtempérais à ce premier ordre et avalais goulûment jusqu’à la dernière goutte, pendant qu’il me caressait les cheveux.
– Tu as accepté le principe d’une éducation sexuelle développée, les cours vont commencer aujourd’hui, me glissa-t-il pendant que je léchais sa verge. Nous irons au cabaret un peu plus tôt que d’habitude. Comme cela, mon oncle aura un peu de temps à te consacrer. Et, en soirée, deux ou trois amies satisferont ta soif de connaissances…
J’acceptais bien évidemment le principe et promettais d’être une élève attentive. Après qu’il m’eut donné un long baiser, nous prîmes la décision de nous lever. Petit-déjeuner et douche furent vite évacués. Gaby prit alors en main mon habillage et mon maquillage. J’étais un peu comme sa Barbie. Il jouait avec moi comme une fillette eut joué avec sa poupée. Aujourd’hui, il me voulait rouge. Après m’avoir posé une perruque de longs cheveux roux sur la tête, il chercha tout ce qui pouvait se marier avec ce coloris. Je me retrouvais ainsi avec des sous-vêtements et bas rouges, une tunique marron rouge sans manche et découvrant mon nombril, portée sur une minijupe assortie en satin. Des cuissardes de cuir rouge à talons hauts vinrent compléter le tout. J’eus un mal fou à me reconnaître dans la glace du dressing-room. D’autant que le maquillage forçant sur les tons roux me donnait un autre visage.
– Nous allons aller manger un morceau dans une brasserie proche du cabaret car tu vas avoir besoin de calories, tint à préciser Gaby en souriant.
Après qu’elle se fut habillée, au moment de sortir, elle me tendit une paire de mitaines en dentelle, tout aussi rousse que le reste de mon habillement, et me demanda de les enfiler. Elles couvraient mes bras jusqu’à hauteur du biceps.
Comme il était tôt, Gaby choisit de faire le trajet en métro. Le calcul était mauvais. Il y avait un monde fou et nous nous retrouvâmes serrées comme des sardines dans le wagon. Bien évidemment, je sentis des mains charitables explorer mes fesses à la limite du raisonnable. Je sus, cependant, les décider de ne pas aller plus loin. Mais je fus bien heureuse d’atteindre la station à laquelle nous devions descendre. Gaby sembla moins gênée et cela devint vite compréhensible :
– Je voulais voir comment tu prendrais le contact étroit avec des inconnus…
La brasserie dont elle avait parlé se trouvait juste en face du cabaret. Elle semblait y avoir ses habitudes car les serveurs la saluèrent chaleureusement. Le repas fut simple, mais nous prîmes notre temps pour l’ingurgiter. Sans vouloir l’avouer, je ressentais une certaine appréhension à l’heure de recevoir les premières leçons d’éducation sexuelle. Je me demandais bien où Gaby m’entraînerait. Il se rendit certainement compte de mon trouble car il me caressa aussitôt le bout des doigts sortant des mitaines et me parla de sa vie au Brésil. Un besoin pressant me prenant, je m’excusais d’interrompre son récit et pris le chemin des toilettes, il me souffla alors : « ne te trompe pas ! ». Je partis d’un énorme éclat de rire. C’était en effet la première fois que j’avais nécessité d’aller dans des toilettes publiques depuis mon « changement de sexe » et je n’aurais nullement réfléchi à la destination sans cette réflexion… Ce qui eut pu être embarrassant du fait de la présence en ces lieux d’une « dame-pipi ». Pour la première fois, je me dirigeais donc vers les toilettes « femme » et urinais en femme, avec un certain plaisir…
À mon retour dans la salle, je commandais un café, histoire de retarder au maximum l’échéance. Gaby, courtois, me laissa prendre mon temps. La dernière goutte absorbée, il m’invita à traverser la rue sans plus tarder. L’anxiété allait grandissant. Une caissière était déjà à son poste afin d’enregistrer les réservations. Mais il semblait n’y avoir personne d’autre dans l’établissement. Gaby me rassura en précisant que les cuisiniers étaient déjà à l’œuvre afin de préparer le repas du soir.
Au premier étage, il me dirigea directement vers le bureau de son oncle.
– Joao, Clara est prête à suivre les cours que tu préconisais, lui annonça-t-il avant de s’engouffrer dans son propre bureau.
Je me retrouvais ainsi plantée au milieu de la pièce avec l’oncle Joao dont je venais d’apprendre le prénom, assis en face de moi et silencieux. Il me fit un sourire que je ne savais comment interpréter et se leva pour venir en ma direction.
– Charmante enfant, je suis content de constater que vous êtes raisonnable. Pour le plus grand bonheur de mon neveu. Si vous êtes attentive, vous pourrez vivre un siècle de félicité dans ses bras.
Tout en me parlant, il avait commencé à retirer ma jupe et la tunique. Il fit glisser mon string à mes pieds et entama de longues caresses de mon corps. Ses doigts effilés glissèrent le long des testicules sans provoquer de réaction, du fait de la décoction sans aucun doute… Mais ses caresses sensuelles me mettaient en émoi. Il m’invita à être plus relax afin d’être mieux réceptive. Il m’invita alors à l’accompagner sur le canapé qui trônait dans un angle de la pièce et à m’asseoir à ses côtés. Il commença par m’expliquer comment une femme devait s’employer à mettre un homme en condition en le déshabillant sans à-coups. Et joignant le geste à la parole, il entraîna mes mains dans cette délicate épreuve. Tout en me donnant des baisers dans le cou et sur les seins. Une fois nu, je découvris qu’il n’avait pas encore commencé à bander et m’en étonnais.
– Votre dextérité n’est pas encore suffisante, mon enfant. À vous de trouver la bonne solution !
Je commençais par prendre son sexe en main et à la branler de plus en plus énergiquement, sans que cela ait une quelconque influence sur son état. Je me laissais alors glisser du canapé et pris le sexe en bouche, tout en titillant les testicules. Un semblant de réaction se fit jour, mais il y avait encore beaucoup à faire. Joao se leva, acheva de se déshabiller et alla dans le cabinet de toilette qui jouxtait son bureau. Il en revint avec une bouteille contenant une sorte d’huile fortement odorante. Après m’avoir retiré mes derniers vêtements, il se mit alors à m’enduire tout le bas-ventre et les seins de son huile.
– Je vais te montrer le principe du massage « no hand » tel que le pratiquent les Asiatiques. Tu verras qu’il n’y a rien de mieux pour mettre un homme en condition. Surtout quand c’est bien pratiqué…
Il me montra alors comment glisser sur son corps tout en massant les zones les plus érogènes. Le frémissement se fit plus réel. Mais c’était encore insuffisant. Il me montra alors diverses techniques de masturbation avec l’aide de l’huile dont mon corps était enduit. Je terminais en lui glissant un doigt dans l’anus. Son sexe commença à enfler pour atteindre enfin de belles proportions. Il était mieux membré encore que Gaby, mais l’huile facilita la pénétration. Il m’expliqua alors qu’il ne servait à rien de rentrer profond puisque la zone érogène de l’homme se trouvait être sa prostate.
– C’est le point G de l’homme. Il suffit de l’exciter pour que la prostate gonfle, fasse pression sur la vessie et déclenche la sécrétion de sperme.
De fait, je parvins assez vite à la jouissance comme Gaby y était parvenu à plusieurs reprises. Mais, au grand dam de Joao, point d’éjaculation. Je lui expliquais la décoction que Gaby me faisait absorber depuis notre rencontre. Il admit que cela pouvait être la cause principale de cette carence.
– Gaby préfère une femme passive qu’une qui veuille l’enculer chaque soir. Il a trop donné quand il travaillait pour son père. Mais ce que je t’apprends là pourra avoir son importance un jour ou l’autre.
En attendant, sans se forcer le moindre du monde, Joao me montrait toutes les positions qu’il connaissait et toutes les possibilités de pénétration offertes à son sexe. La bouche, l’anus bien sûr, mais aussi l’entrecuisse, les fesses serrées autour du gland, les dessous-de-bras, etc… faisant la démonstration au fur et à mesure de ses explications.
Pour marquer la fin de la première séance, Joao revint à mon anus et me baisa en levrette avant de pratiquer des variantes dans nos positions respectives. Il fallut encore une bonne heure avant qu’il ne se laisse aller. J’eus l’impression d’un raz-de-marée inondant mon cul. Le liquide chaud brûlait les parois anales. En se retirant, il éjaculait encore et son sperme macula mes fesses et mes testicules. Je n’avais jamais imaginé qu’un homme puisse être aussi productif.
Comme je reprenais mon souffle, trois trans firent leur entrée dans le bureau. Joao les salua et leur dit que j’étais à leur disposition car il en avait fini avec moi.
L’élégance n’était vraiment pas de mise en cet après-midi « d’éducation sentimentale ». J’allais dire aux filles qu’il me fallait prendre une douche… Mais elles ne m’en laissèrent pas le temps. Elles me trouvaient à leur goût et ne voulaient surtout pas perdre de temps. Rapidement aussi nues que moi, elles se mirent en action. Sans que j’aie eu le temps de dire « ouf », la première me prenait par derrière, la seconde me pénétrait la bouche et la troisième me plaça son sexe dans la main pour que je la masturbe.
– Il faut que tu nous fasses jouir toutes les trois en même temps, précisa celle qui se trouvait derrière moi…
Je ne savais trop comment doser mes efforts pour y parvenir ? Chacun me montra alors les subterfuges qu’on pouvait utiliser pour accélérer ou retarder la jouissance. Comme ils avaient revêtu des capotes anglaises, je ne pus juger franchement du résultat. Mais ils m’avouèrent leur jouissance quasi au même moment. De fait, les poches s’étaient gonflées de sperme. Comme elles ne voulaient pas en avoir fini aussi rapidement, elles sortirent de leurs sacs à main divers objets dont je devinais la destination à défaut de les avoir déjà vus. La première s’allongea sur le sol et m’invita à venir sur elle. Les deux autres s’occupèrent alors de m’écarter les fesses et de m’introduire un chapelet dont les boules allaient grossissant. Après les pénétrations anales que je venais de subir, les premières boules furent une aimable plaisanterie. Les filles s’amusaient cependant à faire tourner le chapelet sur lui-même et cela provoqua une étrange sensation. Les boules suivantes furent plus difficiles à ingurgiter. Petit à petit, on en était arrivé à un diamètre supérieur au membre de Joao.
Les filles ne s’arrêtèrent pas pour autant. Je m’aperçus alors que, pour la première fois depuis deux jours, je bandais. L’une d’elles s’en rendit aussi compte et prit alors ma queue dans ses mains pour la diriger adroitement dans l’anus de la copine qui se trouvait sous moi. À ce contact, celle-ci me tendit ses lèvres pour un baiser. Finalement, avec leurs boules, les filles parvinrent au résultat que Joao n’avait pu obtenir. J’éjaculais plus longuement que je ne l’avais jamais fait. J’eus l’impression de laisser partir un bon litre de sperme. Les filles me félicitèrent de cette jouissance et m’invitèrent à aller prendre une douche avec elles. Nous sortîmes ainsi toutes les quatre nues comme des vers et, par les couloirs, nous dirigeâmes vers les loges où les filles se préparaient pour le spectacle du soir. Notre entrée connut un vrai succès. Tout le monde tint à venir me faire la bise. Pour ceux qui en doutaient encore, preuve était donnée que j’étais bien des leurs. Certaines admirèrent les quelques boules qui sortaient de mes fesses et me félicitèrent du choix effectué. Certaines vinrent ouvertement me peloter, d’autres me donnèrent un baiser, comme une invite à aller plus loin au plan sexuel. Les trois initiatrices m’entraînèrent alors vers les douches. L’une faisait couler l’eau, la seconde me savonnait, la troisième s’occupait enfin de faire sortir le chapelet de boules thaïes tout en s’amusant à me faire jouir une nouvelle fois, en me faisant accroupir afin que je ressente mieux sa manipulation. L’effet dépassait toute espérance. Ce fut bien la première fois que je parvenais à jouir ainsi à peu de temps d’intervalle.
En sortant des douches, j’étais épuisé. J’eus cependant droit à une salve d’applaudissements de la part des filles qui se trouvaient encore dans les loges. Je ne savais trop pourquoi, mais je les saluais et les remerciais d’un signe de la main. Sans chercher à me voiler, je pris, toujours nue, le chemin du bureau de Gaby. Il riait comme j’entrais dans son bureau. Il est vrai que, par les écrans de surveillance de l’établissement, il avait pu suivre mon cheminement dans les couloirs.
Il vint aussitôt vers moi et m’embrassa.
– Tu es si belle que je ne voyais plus que toi. Tu m’as rendu encore plus amoureux à travers tout ce que j’ai vu, sachant que tu as tout accepté pour moi. En attendant, pour rentrer, je vais t’habiller et te maquiller comme une princesse, les vêtements avec lesquels tu es venue étant tâchés.
Gaby fit alors venir la coiffeuse de l’établissement afin qu’elle donne un aspect féminin à ma propre coiffure, la maquilleuse de l’établissement fut chargée de me donner une meilleure apparence après la douche que je venais de prendre. Enfin, Gaby lui-même m’habilla. Sous-vêtements brodés bleu ciel, bas bleu ciel agrémentés de dentelles dans le haut, et pour couronner le tout, une robe fourreau toujours bleu ciel masquant mon corps des seins au haut des bas. Son « équilibre semblait plutôt précaire, mais Gaby nota mon embarras et me rassura en disant qu’elle était parfaitement à ma taille et qu’elle ne tomberait pas. Une fois la maquilleuse et le coiffeur sortis, il m’embrassa longuement et m’invita à aller saluer son oncle avant que nous ne rentrions à la maison. En passant devant une glace, je fus étonné de constater le résultat que le coiffeur avait obtenu avec mes cheveux de garçon. La mise en plis ne laissait plus rien transparaître. J’avais une vraie tête de fille.
À ma grande surprise, ce fut Joao qui me remercia d’avoir été une élève attentive. Et il me donna un long baiser à pleine bouche en signe d’au revoir. Le retour en taxi fut rapide. Comme Gaby semblait vouloir faire l’impasse sur les ébats amoureux, je pris l’initiative et mis en application les premiers éléments d’éducation reçus. J’eus cependant besoin de gel à l’heure de la pénétration. Les nombreux va-et-vient subis dans la journée avaient un peu endolori mon anus. Gaby sut heureusement se montrer d’une extrême douceur jusqu’à ce qu’il ait porté à l’ébullition mon point G. Son éjaculation fut quasi synchro avec la mienne qui alla se perdre sur son bas-ventre. Premier réflexe, j’allais avaler tout ce que j’avais craché. Il me regarda le lécher puis s’approcha de mes lèvres et m’embrassa afin de partager le festin.
– Tu es vraiment la femme idéale…
Les jours qui suivirent devinrent pure routine. Un réveil amoureux, l’après-midi studieux avec les trans du cabaret et de chaudes soirées à cinq ou six sous le regard expert de Joao qui ne détestait pas se mêler, épisodiquement, au jeu. Mes progrès étaient fulgurants aux dires des partenaires. Ma jouissance l’était tout autant. J’étais devenue une vraie salope… Tout en restant amoureuse de Gaby. Et il me le rendait bien. Nos étreintes étaient de plus en plus « chaudes » et passionnées. Véritablement amoureuses !
(à suivre)
Mon dieu : C’est quoi ces dialogues ?