J’ai toujours été un garçon timide avec les filles, elles me faisaient peur
en quelque sorte, peur de l’échec. N’ayant jamais fait l’amour avec une
fille jusqu’à 18 ans, je décidai que cela suffisait, et que puisqu’il
fallait en passer par là, j’allais aller voir une prostituée.
Un jour, je consultais donc les annonces de rencontre où on trouve toujours
quelques annonces de prostituées. J’en choisis une au hasard, je lui
téléphone et prends rendez-vous pour le milieu de l’après-midi. J’arrive en
bas de l’immeuble, me gare et hésite un peu avant de sonner à l’Interphone.
« 2ème étage, la porte à droite de l’ascenseur ». Je monte, sonne à la porte
et attends, le cœur à 100 à l’heure. C’est une dame blonde, très jolie, la
quarantaine, qui entrouvre la porte.
– Entre vite mon mignon.
J’entre, et l’observe un peu mieux. Elle est grande, habillée d’un peignoir,
et je devine qu’elle ne doit pas avoir grand chose dessous. Je lui explique
que je veux perdre ma virginité et elle me dit que j’ai raison de faire ça
avant d’avoir des blocages. Je la paye et elle disparaît dans la pièce à
côté pour planquer l’argent. Pendant ce temps j’observe la pièce, lumineuse,
un grand lit, un fauteuil, des bibelots… bref une grande chambre normale
avec un lavabo. Elle revient et me dit de me rapprocher du lavabo.
– Enlève ton pantalon, et ton slip.
Un peu surpris, je m’exécute et, en me penchant, j’aperçois un sein entre
les pans du peignoir.
– Approche-toi du lavabo.
Elle me prend le sexe, déjà raide, le lave avec un savon désinfectant et
l’essuie.
– Finis de te déshabiller et allonge-toi sur le lit.
Je m’exécute sous son regard, et tout nu, un peu désarmé, je m’allonge sur
le dos. Puis elle retire son peignoir, et je constate qu’elle ne porte
effectivement rien dessous. Elle s’approche de moi, ses seins lourds
balançant à chaque pas. Je n’en perds pas une miette, la queue raide. Elle
s’allonge à côté, puis m’embrasse tendrement. Nos deux langues se mélangent
et j’ai l’impression de que cela dure une éternité. Je n’ose rien faire.
Puis elle commence à m’embrasser la poitrine, par petits baisers, pendant
que je lui caresse un sein. Petit à petit, sa tête descend et, après mon
ventre, elle commence à m’embrasser les bourses. C’est divin de sentir sa
langue autour des boules. Elle attrape mon membre tout tendu, et me lèche en
remontant des couilles au gland, puis redescend, mais avec ma queue dans sa
bouche jusqu’à que mon gland touche sa gorge. Elle s’immobilise ainsi
quelques secondes, puis commence à me sucer avec des va-et-vient lents,
réguliers et profonds. Mon excitation est à son comble et je sens la
pression monter. Je lui dis :
– Il faudrait y aller plus doucement, je ne vais pas pouvoir tenir
longtemps…
Mais elle continue, en caressant mon anus avec un doigt. Mon plaisir est à
son comble et je sens ma sève qui va monter, puis, ne pouvant plus me
retenir, je jouis comme jamais, éjaculant dans sa bouche. Pendant que
j’éjacule, elle continue de me pomper et je sens mon sperme couler sur mes
couilles et mes cuisses. Je suis ravi de jouir comme ça, mais très déçu
d’avoir déjà déchargé sans même lui avoir fait l’amour. Elle arrête de me
sucer, s’essuie le sperme qui est sur ses lèvres avec la main et me dit.
d’autre de prévu cet après-midi, je vais te faire une fleur. Viens te laver
et on recommence.
Je me lève, vais vers le lavabo et ouvre le robinet d’eau. Elle s’approche
de moi, prend ma queue molle et commence à la laver. Pendant qu’elle la
nettoie, nos regards se croisent et elle m’embrasse pleine bouche. Je sens
sa langue et le goût de mon sperme. Je me recouche sur le lit. Elle
s’approche de moi et dit :
– En attendant que ta queue regonfle, découvre donc un peu l’anatomie
féminine.
Puis elle m’enjambe et vient se placer juste sur ma tête.
– Lèche-moi comme du lécherais une glace.
D’abord un peu surpris, je m’exécute. Elle est entièrement épilée. Je
m’applique à ma tache, ne sachant plus où donner de la langue. D’abord
doucement, avec beaucoup d’amplitude, puis plus vite, essayant de la
pénétrer de ma langue. Pendant plus de dix minutes je l’astique, lui faisant
briller son clito, avec un léger goût inconnu dans la bouche. Ma queue est
de nouveau au garde à vous depuis longtemps.
-Tu es très prometteur, me dit-elle avant de s’enlever de sur ma tête. Tu
lèches déjà comme quelqu’un d’expérimenté.
Comme quoi les films pornos ça éduque… Puis elle me suce une fois et
m’enfile un préservatif !
– Viens maintenant.
Elle me relève et se couche à ma place, écartant ses cuisses ruisselantes de
ma salive. Je m’allonge sur elle puis guide mon sexe vers son intimité et la
pénètre doucement. Je reste un instant à fond dans elle, puis commence un
doux va-et-vient. Petit à petit mon rythme s’accélère et mes gestes sont de
plus en plus brusques. Après un petit moment, n’y tenant plus, je jouis dans
son sexe et m’écroule sur elle. Nous restons un petit instant ainsi.
Je suis retourné la voir trois fois pour parfaire mon éducation, et, si je
me suis bien rattrapé aujourd’hui je dois dire que cette expérience a été
très bénéfique
Sébastien
Post face : Ce souvenir écrit au début des années 80 reflète son époque, la
cérémonie du lavabo n’existe plus, maintenant on met la capote tout de suite
(sida oblige) – Il est également rarissime que les prostituées embrassent
sur la bouche… Par contre les « puceaux » sont considérés comme les
bienvenus par celles qui sont superstitieuses, il paraît que ça leur porte
bonheur !
Notes du webmaster :
1) les lecteurs intéressés par ce thème liront avec intérêt le récit de Léna
rue du Ponceau et bien sûr l’article de Sonia.
2) Texte paru primitivement sur le site de SophieXXX
Nostalgie quand tu nous tiens…
Même si le texte est daté et un peu maladroit, il a l’avantage de présenter le rapport prostituée/client sous un angle humain, bien différent du pret à penser des ultra féministes qui ne connaissent rein au sujet.