circonstances plutôt inhabituelles.
La journée était magnifique, il n’y avait pas un seul nuage dans le ciel et
j’étais parti faire un long footing en forêt. Au bout d’un certain temps,
une pressante envie d’uriner me fit chercher un endroit à l’écart du sentier
quand je l’aperçus pour la première fois. Il était là, dans la clairière,
intégralement nu, debout, jambes légèrement écartées, tourné vers le soleil
et il se caressait ! Le spectacle me plut beaucoup et j’en oubliais mon
envie. C’est un beau jeune homme d’une vingtaine d’années, au corps
raisonnablement musclé et bronzé et je trouvais qu’il y avait une réelle
harmonie entre cette chair nue et le cadre enchanteur de cette clairière
baignée de soleil. J’eus aussitôt envie de m’approcher de lui et de caresser
ses jolies fesses rondes, son sexe tendu, long et fin. Mais je craignais de
rompre le charme et de le faire partir en arrivant ainsi à l’improviste. Je
décidai donc de quitter tous mes vêtements et d’aller vers lui aussi nu que
lui et déjà bandant. Ainsi, il n’y aurait pas d’équivoques.
Quand il me vit, il sursauta mais, voyant dans quel état je me trouvais, il
fut rassuré. Sans dire un mot, je vins près de lui. Son corps chauffé et
doré par le soleil exhalait un parfum subtil et enivrant. Je posais ma main
droite sur ses fesses et commençai à les palper avec gourmandise. Il se
laissa faire. J’explorai la raie et, avec un plaisir évident, je constatai
que son anus s’ouvrait sous mes caresses si bien que je pus introduire un
doigt curieux dans le canal étroit.
» J’adore me branler au soleil, me confia-t-il dans un souffle.
– J’aime aussi, lui dis-je. Mais à deux, ne crois-tu pas que c’est plus gai
?
– Bien sûr, reconnut-il.
– Quels sont tes goûts ? lui demandai-je.
– Je suis plutôt passif, me dit-il (et je n’en doutais pas à voir la façon
dont sa jolie croupe ondulait sous mon doigt inquisiteur). Mais ce que
j’adore surtout, c’est qu’on pisse sur moi !
» Cet aveu me surprit beaucoup. Je n’avais aucune expérience de ce genre de
pratique. Je savais que cela existait, mais cela ne m’attirait pas
spécialement. Mais ce beau gosse me plaisait tant que j’avais envie de lui
faire plaisir d’autant plus que je n’avais toujours pas satisfait cette
envie pressante qui m’avait permis de le découvrir en cet endroit
paradisiaque. Pourquoi ne pas tenter l’expérience ?
» C’est bien volontiers que je t’arroserais, lui dis-je, mais, pour
l’instant, j’en suis bien incapable. Je bande trop !
– C’est vrai, tu le feras ? fit-il, enthousiasmé par cette perspective.
Viens, je vais te soulager et après . Oh ! après . »
excitant. J’aurais presque souhaité que des voyeurs, cachés dans les
buissons, puissent se régaler de cette scène : deux hommes intégralement nus
dans les rayons du soleil qui donnaient à cette clairière une lumière
presque irréelle, l’un debout donnant son sexe à téter à l’autre à genoux
devant lui. Le jeune homme me suçait avec application. Il manquait
manifestement d’expérience, mais sa langue était douce et me massait
agréablement le gland et ses lèvres serraient très fort le cylindre de chair
dure. Un moment, j’envisageai de le sodomiser, mais je n’avais ni
préservatif ni lubrifiant. J’entrepris donc d’aller et de venir dans sa
bouche le plus profondément possible. Il se cramponnait à mes fesses pour ne
pas tomber en arrière tant mes coups de boutoir dans sa gorge étaient
impérieux. Quand j’explosai en lui, libérant plusieurs jets de sperme, il
eut l’extrême délicatesse de tout avaler et de n’en perdre aucune goutte. Je
lui en fus reconnaissant et décidai qu’il avait bien mérité sa récompense.
Je n’aime pas en effet ces hommes ou ces femmes qui ne vont pas jusqu’au
bout de la fellation et qui recrachent le sperme si généreusement déversé en
eux. Je prends cela pour une forme de rejet et je ne les revois plus jamais.
Mais mon partenaire d’aujourd’hui s’était montré digne de mes espérances et
je sus, dès lors, que nous nous retrouverions souvent.
Je débandais lentement et me sentis en état de satisfaire sa requête. Il se
mit à quatre pattes et me demanda : » Pisse sur ma raie, entre mes fesses. »
Je me mis à pisser longuement sur sa croupe, visant la raie et l’anus. Le
jet, puissant, le faisait râler de plaisir.
» Que c’est bon ! Que c’est bon ! »
Puis il se retourna sur le dos de façon à ce que je puisse arroser son sexe,
son bas-ventre, sa poitrine.
» Délices. Délices. répétait-il, visiblement ravi. Dans ma bouche ! Dans ma
bouche ! supplia-t-il soudain. »
Je remontai vers son visage, pliai les genoux afin de mieux viser sa bouche
ouverte et je l’emplis de ma tiède pluie d’or. C’est au moment où il me
buvait qu’il éjacula. Je dois reconnaître que la scène m’avait beaucoup
troublé et que, finalement, j’y avais pris un réel plaisir. La preuve : je
bandais à nouveau surtout quand je vis son corps nu d’athlète luisant de mon
urine !
Nous nous sommes revus plusieurs fois au cours de l’été, et toujours au même
endroit. Il me laissait jouir de sa chair, il me laissait éjaculer dans sa
bouche ou entre ses fesses mais il ne bandait qu’à moitié. Par contre, quand
venait le moment qu’il attendait tant, quand je l’arrosais longuement de ma
tiède pluie d’or, son sexe doublait presque instantanément de volume et il
éjaculait son plaisir sans pratiquement se toucher chaque fois que je lui
emplissais la bouche et qu’il me buvait. Je finis par prendre goût à ces
jeux érotiques humides et souvent, après l’avoir arrosé, je bandais presque
autant que lui et exigeais de nouvelles caresses qu’il me prodiguait avec
reconnaissance. Il adorait me lécher l’anus et le faisait avec tant
d’appétit qu’il m’arrivait de jouir par le seul pouvoir de sa langue en cet
endroit précis.
Le 12 août, c’était son anniversaire. Je décidai de venir à notre
rendez-vous accompagné de deux amis très chers que j’avais mis dans la
confidence et qui, comme moi, s’obligèrent à boire un bon litre d’eau avant
la rencontre. Paul fut surpris de nous voir arriver à trois, mais il n’eut
pas à s’en plaindre. En effet, après que chacun eut joui de son corps à sa
manière et selon ses préférences, nous avons pissé sur lui tous les trois en
même temps et, sous cette triple douche dorée sur son corps, son visage et
sa bouche, il éjacula de façon prodigieuse comme si la quantité de sperme
qu’il produisait était proportionnelle à la quantité d’urine absorbée !
Quelques jours plus tard, il m’avoua que je lui avais fait ce jour-là le
plus beau cadeau qu’il ait eu pour ses vingt ans et qu’il espérait bien nous
voir souvent tous les trois ensemble, ce dont nous ne nous sommes pas
privés.
Aujourd’hui, Paul a repris ses études. Il nous faudra attendre l’été
prochain pour nous livrer à nouveau à ces sympathiques jeux d’eau !
Bernard.B@netcourrier.com
Complètement rêvé et un peu rapide mais ça reste sympa a part cette réflexion péremptoire sur le sperme que je trouve débile