La visite de Cécilia – 2 – L’anniversaire de Cécilia par Jean-Marc04

Il devait être près de minuit.

Andrée et Régis, avachis devant la télé, ne regardaient pas vraiment un documentaire pourtant très intéressant sur la migration des baleines, ils ne songeaient qu’à leur après midi avec Cécilia.

C’étaient la première fois, en près de quinze ans de vie commune, qu’ils s‘étaient ainsi laissés aller à des actes si intimes avec une partenaire extérieure à leur couple. Et sans une once de regret !

– Comment l’as tu connue, au fait ?
– On s’est rencontrées vers 15 ans, c’était une copine de seconde, au lycée. Elle venait d’arriver dans notre village avec ses parents, ils rentraient d’Allemagne, où son père était directeur de banque, je crois. Ses parents sont d’ailleurs repartis à Berlin peu de temps après.
– Jeunes, vous n’avez jamais un peu fricoté ensemble, comme toutes les filles paraît-il ?
– Ça te plairait n’est ce pas, sale obsédé ! !
– Ben, oui, j’arrive pas à croire, quand je vous ai vu cet après midi, que vous puissiez être sages toutes les deux à cet âge.
– Contrairement à ce que tu crois, à 15 ans j’étais très sage. Tu sais on n’avait pas la télé à la maison, ni les cassettes de cul comme maintenant. Cécilia, je sais pas ce qu’elle faisait chez elle, mais tu as raison pour une chose, on a eu quelques histoires ensemble, plus tard.
– Allez, raconte

Régis, déjà émoustillé, se leva pour chercher deux verres de thé glacé (on ne se refait pas !), il faisait encore très chaud en cette nuit d’été. En revenant s’asseoir près de sa femme, il éteignit la télé.

Andrée portait un tee-shirt large qui dévoilait ses cuisses, elle ne portait pas de culotte, comme d’habitude, et cela se voyait puisque, affalée sur le canapé, le vêtement court était remonté autour de sa taille, en plus elle écarta ses jambes plus que la bienséance ne le dictait ! !.

Régis d’un geste naturel fit glisser sa main sur la peau douce offerte, s’approchant insidieusement de l’intérieur des cuisses, plus doux encore et très très près de l’entre jambe poilu.

Elle le repoussa un peu brutalement

– Arrête, tu ne penses qu’à ça, si tu veux que je te raconte, ne me touche plus !

Quelle hypocrite, mais bon, laissons là à ses illusions, pensa Régis

– Bon, bon, je ne fais que regarder, ma chérie.
– Tu es incorrigible, c’est pas vrai, tu bandes déjà ! Ecoute, je vais te raconter que Cécilia avait des pustules autour du cul, ça te calmeras, ajouta Andrée en riant….

…mais sans resserrer les jambes, bien au contraire, et en plus, machinalement, elle se lissait les poils de la chatte, passant et repassant les doigts dans sa toison intime !

Quelle garce quand même ! Songea Régis en la regardant.

– Alors, que faisais-tu avec Cécilia à 15 ans ?
– Je te l’ai déjà dit rien, mais l’année de nos 18 ans, plein de choses, et là, ça va te plaire.
– Comment cela, vous aviez déjà de sales habitudes si jeunes ? Si ça doit me plaire, c’est que vous pratiquiez déjà des jeux de pipi ?
– Tout de suite ! ! Tu vois comme tu es, on était gamines, on n’était pas des cochonnes, mais en fait, tu n’as pas tout à fait tort…
– Tu vois ? J’étais sûr.
– Bon je raconte ? ?

On était parties au village voisin pour l’anniversaire de Cécilia qui fêtait ses 18 ans, et cela se passait chez ma tante et mon oncle qui possédaient une ferme.

Il y avait deux garçons et six filles, nous avions tous et toutes réussi le bac, et cette petite « boum » était aussi l’occasion de le fêter.

Tout le monde a un peu trop bu, d’abord du champagne offert par ma tante, de la bière, des panachés, de la vodka. Bref, on a fait un tel mélange que nous étions tous un peu partis, surtout les filles !

On riaient toutes comme des folles, rires hystériques de filles un peu éméchées, et les deux garçons, passablement énervés par toutes ces donzelles jouaient comme d’habitude aux petits cons en cherchant à nous pincer les fesses ou nous frôler les seins, et à faire des allusions grivoises.

– Tu devais bien un peu les provoquer, comme je te connais.
– Un peu oui, je l’avoue. Il y avait un petit blond, Hubert je crois, mignon à croquer, et de sentir ses mains me frôler les fesses ou ma poitrine, ça me plaisait pas mal, tu sais en chahutant, c’est facile de réussir à toucher ce qu’on veut !
– Ben voyons !

Tout à coup, l’autre garçon nous appela, tout excité : « venez voir tous, venez vite !

Nous étions comme je te l’ai dit à la campagne, et dans le champ voisin il y avait un étalon entrain de couvrir une jument, je ne sais pas si tu as déjà vu çà, c’est super violent et… comment dire …très… bestial !

– Cà c’est sûr, c’est le mot qui convient.
– Tu sais, à 18 ans, ce genre de truc est un peu choquant pour une fille de la ville, d’abord cette queue énorme, longue et raide, et quand le cheval la fait rentrer dans le cul de la jument, c’est hard !
– Le cul ? ?
– Non, enfin, son sexe ou sa vulve, je ne sais pas comment on dit, bref, c’était vachement … sexuel.
– Et ça t’a donné des idées ?
– Non, pas vraiment, mais c’est vrai que cette image m’a perturbée un petit moment, et je pensais à une queue qui m’aurait pénétrée violemment, comme cela, par derrière, je te rappelle que j’étais encore vierge à ce moment, mais je me branlais tous les jours en pensant à pleins de sexes d’hommes, dressés, jutant comme j’avais pu le voir dans un magazine que Cécilia avait piqué à son père, une revue allemande.

Andrée arrêta son récit, un peu rêveuse.

– Tu sais, en y réfléchissant, ce spectacle très cru m’a vraiment marqué.
– Qui sait, tu as peut-être des tendances zoophiles qu’il faudrait exploiter !
– Tais toi, là tu déconnes !
– Tu te souviens de la K7 X que j’ai ramenée d’Amsterdam !
– Oui, mais ça ne m’avait pas franchement excitée de voir ces femmes sucer des bittes de chiens et de cheval et se les enfiler, je trouvais cela plutôt dégueulasse.
– C’est ton éducation psychorigide, ma vieille, il faut respecter tous les goûts dans la nature. !
– Ecoute, tu peux essayer sur notre nôtre chien, ne te gênes surtout pas ! Il y avait un mec qui suçait un chien pendant qu’une fille lui suçait la queue, tu te souviens ?
– Bon, on dérape.

Un ange passe, déjà excité.

– Et après cela au fait ? Quel rapport avec Cécilia ?
– J’y arrive.

On est tous retournés dans la maison, boire un coup, un peu gênés et troublés à la fois,
Cet acte bestial et si précis nous avait passablement choqués et troublés, surtout après l’abus de boissons alcoolisées.
Les filles imaginaient sans doute, comme moi même, un sexe les pénétrer, et les garçons, en rigolant bruyamment et en faisant des commentaires sur la taille de la queue du cheval, se voyaient grimper sur l’une ou l’autre d’entre nous, j’en mettrai encore aujourd’hui ma main au feu !

– Mets toi à leur place !

Tu sais, on était dans les années 70, ce n’était pas encore trop courant de baiser très jeunes, les garçons, malgré leurs blagues un peu grasses, devaient être puceaux, et pour Cécilia et moi, à part des masturbations, nous étions encore vierges et n’avions pas grande expérience des choses du sexe, sauf quelques revues porno de son père, et malgré nos sens qui bouillonnaient sévères!

– Et bien, vous n’étiez pas en avance ! ! Heureusement que vous vous êtes rattrapées depuis ! ! Et c’est tout ?
– Mais non, c’est maintenant que cela devient intéressant.

Sur le chemin du retour, c’est Cécilia qui a abordé nouveau le sujet,

– Tu sais Andrée, cela m’a excitée de regarder les chevaux, en plus, pendant que l’on était entrain de regarder, Hubert,le petit blond, s’est collé à moi et a glissé une main sur mes fesses, il a réussi en tirant sur le tissu de ma robe, à la relever et me caresser le haut des cuisses, cela me plaisait, je l’ai laissé faire, il a passé un doigt sous ma culotte et m’a touché les poils, le pire c’est que j’ai aimé, tu te rends compte, je regardais cette bitte monstrueuse, pendant qu’un mec me tripotait..

– Et alors, tu n’as rien dit,
– Non, ça me plaisait et ça m’a donné envie qu’il continue, j’en ai mouillé ma culotte. Je m’en souviendrai de mes 18 ans, et je suis un peu frustrée de n’avoir pas pu aller un peu plus loin avec lui.

Cécilia souleva sa robe en toute simplicité, et m‘invita à passer un doigt sur l’entre jambe de son slip, c’était encore humide comme si elle avait pissé.

– Tu es folle ce n’était que des bêtes quand même !
– Oui je sais, mais Hubert lui n’est pas une bête, j’avais envie de le toucher moi aussi.
– Arrête veux tu, c’est toi qui m’excites maintenant

D’avoir vu sa culotte blanche style petit bateau, un peu souillée, aperçu quelques poils frisés et noirs qui dépassaient de l’entre jambe de la culotte, d’avoir senti le fin tissu mouillé, cela m’avait donné des drôles idées, nous n’étions pas gouines, à priori, mais bon, il faisait chaud, on étaient énervées par cet anniversaire, l’alcool, la scène des chevaux, bref, excitées comme des foldingues.

Régis ne l’interrompait pas, et avait poussé ses caresses vers le clitoris d’Andrée qu’il savait trouver au milieu des poils, elle se laissa faire, écartant bien les jambes pour laisser son mari la branler doucement

– C’est bon, oui, branle moi bien, doucement, je raconte la suite, si j’y arrive dans ces conditions.

Nous sommes rentrées chez moi, la maison était vide, Vite nous sommes montées dans ma chambre avec chacune une idée très précise en tête. Fébrilement, sans se concerter, nous nous sommes déshabillées entièrement, mais une fois nues, l’une face à l’autre, nous n’osions plus rien faire. J’avais déjà vu Cécilia toute nue, au sport, à la douche, dans la salle de bain quand elle venait passer la nuit. Ce jour là, je la regardais différemment.

Je détaillais ses seins, moins gros que maintenant avec leurs petites fraises roses très foncées et un peu dressées, son joli petit ventre terminé par une toison bien noire et fournie, elle tremblait un peu, et tendait ses bras vers moi.

– Pour mes 18 ans, j’ai envie que tu m’aimes, fais moi l’amour, j’ai envie de toi aussi, de te toucher

J’étais nue aussi, les seins plus ronds et plus lourds que ceux de Cécilia, les poils du pubis, châtains, longs et soyeux, Cécilia me buvait du regard, la respiration courte, quelques gouttes translucides perlaient sur sa lèvre supérieure. J’étais attirée par son ventre, qu’elle m’offrait en le tendant vers moi, les jambes à demi écartées, j’avais envie d’y porter la main et de caresser sa belle chatte.

Après quelques instants à se regarder, chacune un peu troublée quand même, Cécilia se décida et se mit à me caresser doucement le bout des seins, faisant très vite durcir les mamelons, je fis comme elle, faisant saillir les tétons qui étaient devenus presque rouge sombre. Et ils étaient durs comme tout.

Nous ne parlions pas, nous ressentions dans nos ventres une sensation diffuse, une envie de se toucher, des petits spasmes agréables, et surtout une envie irrésistible de nous jeter l’une sur l’autre.

Andrée, tout en parlant, avait remonté son tee-shirt, dévoilant sa poitrine il est vrai opulente et très belle, et se tripotait les bouts des seins pour les faire durcir, comme dans son récit !
Ses souvenirs la troublaient visiblement.
Régis bandait lui comme un cerf, tout en masturbant doucement sa compagne qui continua de raconter :

Après les caresses, nous nous jetâmes sur le lit, se cherchant les bouches pour un baiser fougueux en principe interdit entre deux filles. C’était la première fois que j’embrassais une fille sur la bouche, Bien sûr, j’avais déjà embrassé des garçons, en flirtant, avec la langue comme on dit !

C’était si bon de sentir la langue de Cécilia envelopper la mienne, s’immiscer au fond de ma bouche. Merveilleux souvenir que ce premier baiser. Très vite, chacune se mit à téter les mamelons durcis de l’autre, de descendre vers le ventre, puis le sexe, et instinctivement, nous nous retrouvâmes tête bêche, entrain de se lécher partout. Le clitoris, les grandes lèvres trempées, le trou du cul, le trou qui pisse, au goût un peu salé, tout y passa. Dieu que c’était bon, des odeurs fortes de sueur, de mouille, de pipi, c’était chaud, mouillé, enfin bon, c’était génial !

– Vous aviez inventé le 69 ! !
– Oui, c’est tout à fait ça, j’ai découvert ce jour là le plaisir de lécher son bouton, de laper le jus qui inondait sa fente, et de découvrir son trou du cul un peu fripé, rose et odorant.

Cela ne m’a pas empêché de le lécher, ce petit trou, et même d’y enfoncer un doigt bien mouillé de salive. Cécilia fit de même avec moi, ce fut un feu d’artifice. J’ai senti petit à petit une sensation agréable qui me submergeait, une chaleur envahir mon ventre, mon sexe. J’écartais les jambes le plus possible, pris la tête de Cécilia pour l’appuyer fortement sur mon con, je sentais sa langue danser sur mon clitoris, s’insinuer dans ma fente, lécher mon cul.

Elle m’appuya elle aussi le visage sur son sexe, et je léchais ma copine comme une folle, partout. C’était dingue, je ne trouve pas les mots.

Régis, subjugué et rêveur, avait saisi sa queue bien dure, et se branlait maintenant devant Andrée, elle aussi se caressait devant son mari, ils le faisaient lentement l’un et l’autre, sachant faire durer le plaisir, prendre le temps,… le temps des souvenirs.

Tous deux pratiquaient régulièrement ce petit jeu très excitant de se masturber l’un devant l’autre, tout en se regardant.

– Et ça c’est fini comment votre truc ?
– On s’est léchées, caressées partout, partout, mais il nous manquait les queues pour se pénétrer, car nous en avions bien envie.

On n’avait rien sous la main, pas de fausses queues en silicone ou en caoutchouc comme maintenant, ni des accessoires vendus dans tes magasins.

– Dans MES magasins ?
– Oui, ceux où tu passes la moitié de ton temps à mater les bouquins de cul et à me ramener des queues noires, blanches, grosses, ou longues.
– Tu exagères toujours, tu t’amuses bien de temps à autre avec ta collection !

Silence, ponctué d’un joli sourire et d’un geste significatif d’Andrée qui se passe langoureusement la langue sur les lèvres, tout en continuant sa masturbation.

– Donc on n’avait que nos dix petits doigts. Et on n’a pas pensé une seconde à aller voir dans la cuisine, s’il n’y avait pas quelques légumes adaptés ! !
– Et vous avez fait quoi, alors ?

– Après s’être bien léchées, on a essayé de se rentrer des doigts, un puis deux, dans nos fentes inondées. Seulement, problème ce jour là !

– Arrêtes, ne vas pas si loin, je suis vierge, me reprocha Cécilia qui, elle aussi avait enfoncé déjà trois doigts à l’entrée de ma vulve,
– J’ai une idée, on a le petit trou, on va s’en servir.
– Dans le cul, t’es folle ça va faire mal.
– On peut essayer, j’ai vraiment envie de me faire pénétrer, pas toi ?
– Oui, oui, mais mouille moi bien avant.

Beaucoup de salive, un doigt, deux, puis trois doucement enfoncés dans nos anus, puis on s’est mise à les faire bouger, lentement d’abord, et de plus en plus vite. Avec l’autre main, chacune s’est branlée tout en pistonnant le cul de la copine.
Tu sais comment cela se passe quand tu m’encules, au bout d’un moment le sphincter se relâche, et l’anus s’ouvre de plus en plus, nos culs avalaient sans problème les trois doigts, et nous avons joui comme jamais.

– Et vous n’aviez pas envie de baiser ? ?
– Sois un peu moins vulgaire, s’il te plaît !

En fait, peu de temps après, foin de pucelage, nous avons recommencé, mais cette fois dans nos fentes bien détrempées, avec un curieux objet en bois que j’avais trouvé dans une malle, c’était une sorte d’étui bien lisse, rond et long qui contenait un tube à essai, je ne sais d’où ça sortait, (d’une ancienne pharmacie, je crois) mais c’était doux et adapté, bien lubrifié par nos salives et notre mouille naturelle.
Et c’est donc durant l’été de nos 18 ans que Cécilia et moi nous sommes mutuellement dépucelées avec nos jeux de gouines et avec cet olisbos de fortune ! ! C’est un peu curieux comme dépucelage, mais c’est comme ça!

Régis et Andrée, excités par ces souvenirs, se branlaient maintenant de plus en plus vite, le plaisir arriva, Régis se leva, fit face à sa femme, et éjacula sur ses seins, les aspergeant par trois jets vigoureux de son sperme épais et blanc.
Andrée, agitait sa main de plus en plus vite à la fourche de ses cuisses

– Viens me finir avec ta langue, vite ! !

Régis se précipita entre les cuisses largement ouvertes, et lécha le con dégoulinant, pour finir en suçant le clitoris érigé et rose qu’il savait parfaitement localiser. Andrée, avec des petits cris, jouit très vite, son ventre secoué par des ondulations saccadées.

Après quelques minutes, un peu calmée, elle s’amusa à se masser les seins avec le sperme de son mari,

– C’est agréable, mais je n’aime décidément pas l’odeur
– Tu refuses toujours de l’avaler ? J’aimerais bien pourtant te juter dans la bouche et que tu avales tout, je ne sais pas pourquoi, mais ça me plairait.
– C’est pas pour demain, mon chéri, mais je te fais tant d’autres gâteries ! !
– C’est vrai, mais bon, on peut parler !
– Au fait c’est pas fini mes histoires avec Cécilia !

Nous étions parties en ballade dans les collines, derrière la maison. Les vacances tiraient à leur fin. Je connaissais un coin très discret, en fait un verger privé appartenant à mon oncle. L’entrée était close par une barrière fermée par une chaîne et un cadenas, dont j’avais la clé… Tranquilles, sous le soleil ardent, nous avions trouvé un petit espace herbeux, et avions installé une grande serviette de bain. On s’est vite déshabillées, et profitions de ces moments de tendre intimité.

Une petite sieste, des caresses, beaucoup d’eau avalée car il faisait très chaud, de nouveau des caresses, et on s’est léché le con comme nous aimions le faire depuis quelques semaines. plus pleins d’autres choses habituelles. Nous avions gardé, je ne sais pas pourquoi, nos culottes, mais cela ne nous avait pas gêné pour se caresser et se lécher comme d’habitude.

Cécilia se lève tout à coup, et s’éloigne.

– Où vas tu ?
– J’ai envie de pipi
– J’aimerais bien te regarder.

Elle n’hésita pas une seconde

– Bon d’accord, mais tu feras aussi devant moi
– Ok, ok. Toi d’abord !

Elle voulut baisser sa culotte, et je ne sais pas non plus pourquoi, je lui demande de la garder pour pisser.
– Non pisse devant moi, debout et dans ta culotte.

Sans discuter, Cécilia se place devant moi, écarte un peu les jambes, et instinctivement avance son ventre vers moi. Les yeux rivés sur sa culotte, je vis tout à coup le tissu se mouiller, et du liquide glisser le long de ses cuisses. Elle pissa longtemps, cela faisait un petit bruit de fontaine, l’urine jaune et odorante coulait le long des cuisses et des jambes, comme le flot était important, une grosse partie du pipi traversa le tissu et tomba directement dans l’herbe

Je ne pus m’empêcher de tendre la main sous le jet chaud, et elle continua de me pisser dans la main. Quand la source fut tarie, je baissais sa culotte mouillée. Quelques gouttes finissaient de tomber, je m’approchais de son ventre et me mis à lécher sa fente mouillée et ses poils où perlaient quelques gouttes d’urine. C’était bon, et je me suis régalée de ce goût nouveau pour moi.

– Tu n’as pas bu sa pisse ?
– Si, mais pas ce jour là.

Cécilia par contre a goûté mon pipi le même jour puisque c’est moi qui ai pissé ensuite devant elle, debout aussi, Elle s’est placée sous mon jet, et m’a fait pisser directement dans sa bouche. Je la regardais boire mon urine sans gêne ni hésitation, les yeux brillants, en même temps, elle se branlait doucement. Je lui ai demandé d’où lui venait cette pratique.

Un peu gênée, (il n’y avait pourtant plus de quoi !) elle est restée évasive, sur le moment.

Je n’ai su que deux jours plus tard, en lui posant à nouveau la question, qu’elle avait surpris une nuit ses parents dans leur salle de bain dont la porte était restée entrebâillée, et avait vu sa mère et son père s’arroser et se boire mutuellement avec le plus grand plaisir,
Au lieu d‘être dégoûtée par ces jeux qu’elle n’aurait pas dû voir, cela l’avait excitée.
Elle avait très vite voulu goûter à son propre pipi, en se léchant les doigts placés sous son jet, elle avait trouvé ça un peu salé, chaud mais assez agréable, et pas dégoûtant du tout, n’en déplaise à certains « pisse-menu bien pensants »

– Et vous avez pu arrêter ces cochonneries ?
– A la rentrée, Cécilia est partie en fac à Aix, et moi je t’ai rencontré un peu plus tard à la rentrée de la fac de Marseille.
Après ses études, elle est partie rejoindre ses parents à Berlin, donc on ne s’est plus revues pendant pas mal d’années. A propos d’Allemagne, tu sais que là bas l’urologie et même la scato sont beaucoup plus courants qu’ici.

– Oui, c’est vrai, je connais pas mal bouquins, des photos et des films made in Germany qui sont particulièrement crades.
– Tu sais Régis, tu va encore me traiter de salope, mais depuis cet après midi, j’ai plein d’envies un peu sales qui me passent par la tête.

Régis déjà excité par ces propositions à peine voilées, se promit de relancer ce débat la première occasion, il se faisait tard, près de 2 heures du matin, et demain, au boulot !

– Mais au fait, tu ne m’avais jamais parlé de ces pratiques de gouines avec ta copine.
– Tu sais, très vite tu m’as appris tant de nouveaux trucs bien osés qui m’ont tellement plu, que j’avais un peu oublié tout cela ! Mais cette séance d’aujourd’hui a fait ressurgir tous ces souvenirs un peu lointains.

Andrée, songeuse, caressa le visage de Régis, affectueusement

– Heureusement que toi et moi, on s’est rencontrés, on a les mêmes goûts, on est bien ensemble, je t’aime mon chéri.
– Moi pareil, je t’aime et tu me fais toujours autant d’effet après 15 ans, tu es toujours aussi bandante, un peu perverse, mais j’adore çà, sauf quand tu me traite d’obsédé alors que c’est toi souvent qui a les idées les plus cochonnes.

– J’ai envie de faire pipi maintenant, ça te dit ? ?

Selon une habitude bien rodée entre eux, Andrée se leva, se plaça au dessus du visage de son mari, et sans un mot, vida sa vessie dans la bouche de Régis, il avait l’habitude, et arrivait à presque tout boire et avaler sans s’étouffer, il faut un peu d’expérience, car ce n’est pas évident ! La bouche encore à demi pleine, il attira sa femme vers lui, et l’embrassa fougueusement,
C’était convenu également, Andrée ingurgita ainsi une bonne dose de sa propre pisse, offerte par son mari, sans hésiter et avec le même plaisir qu’à chaque fois.

Avant d’aller se coucher, Andrée confia encore à son mari que Cécilia, connaissant maintenant leurs goûts, lui avait proposé de garder avec eux des rapports amicaux certes, mais aussi un peu « sexe »,

– Tu ne vois pas d’inconvénient que de temps à autre on revoit Cécilia pour des petites séances comme cet après midi ?
– Non, moi ça me va, mais tu ne seras pas un peu jalouse ?
– Ecoute, j’en ai envie comme toi, et pourquoi pas un copain de Cécilia en plus ?
– Bof, ça je ne sais pas !
– Mais tu serais jaloux, sale type ! Tu vas pas nous faire un caca nerveux, Régis, ce sera pour du sexe, que du sexe, ça ne te plairait pas de voir ta femme se faire baiser devant toi ? Tu pourrais même m’enculer en même temps
– Quand je te disais que tu as les idées les plus cochonnes ! ! On verra, on verra.

– Cécilia m’a parlé d’une copine allemande, qu’elle a connue à Berlin, très portée elle aussi sur le sexe, et qui arrive dans huit jours pour la voir et visiter le coin, Il paraît que cette amie, une belle allemande blonde et plantureuse, d’environ 40 ans, divorcée et libre, ne parle que de cul, et ne se déplace qu’avec sa nièce de 25 ans. Elle lui fait visiter l’Europe mais en plus elle l’initie à toutes sortes de cochonneries au gré de leurs visites

Cécilia m’a dit que sa copine est très sexy, malgré un physique épanoui (elle n’est pas obèse, d’après Cécilia, mais a des seins et un cul majestueux, à faire bander un impuissant !).
Elle aime en particulier le pipi, comme nous, un peu de scato, (çà, bof), et surtout a promis à Cécilia de lui apprendre (démonstration à la clé) à se faire entrer une main entière devant et derrière, il paraît qu’en Allemagne, cela se pratique beaucoup. Cécilia en est déjà toute chose ! !

– Tu as des copines très intéressantes, ma chérie, et elle arrive quand cette teutonne ?

A suivre
Jean Marc 4

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4 réponses à La visite de Cécilia – 2 – L’anniversaire de Cécilia par Jean-Marc04

  1. Heurtebise dit :

    Beaucoup de potentiel, mais l’auteur ne va pas jusqu’au bout de ses fantasmes, c’est vraiment dommage

  2. lesignac dit :

    C’est mignon, mais on dirait que l’auteur se retient d’aller plus loin !

  3. Thomas dit :

    Belle photo su ma bite

    • Eddy dit :

      Merci de ce commentaire, mais nous ne le comprenons pas trop ! Si vous pouviez nous expliquer un peu tout ça 😉

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