Une vie de soumis 7 – Le mariage de Florence par Ysan01

Une vie de soumis
7 – Le mariage de Florence
par Ysan

UNE VIE DE SOUMIS
Par Ysan

Rappel des chapitres précédents : Ysan c’est moi, jeune éphèbe androgyne, élève aux Beaux-Arts. Depuis fort longtemps notre professeur n’était pas insensible à mon charme équivoque. Un soir où nous étions seuls dans l’atelier il m’a dépucelé et dès le lendemain a entrepris mon éducation amoureuse et ma féminisation avec l’assistance d’un ami médecin. Depuis, de nombreux mois ce sont écoulés et maintenant je ne parle de moi qu’au féminin, je m’habille en fille, je ne suis plus Ysan mais Florence et j’ai eu de nombreux amants.

CHAPITRE VII
Le mariage de Florence
Mes études étaient terminées j’allais enfin pouvoir vivre la vie dont je rêvais chez mon amant, mon maître. Être sa soubrette, son esclave, toujours prête à satisfaire ses moindres désirs même les plus pervers. Trouver ma jouissance dans l’humiliation et la soumission. Tout ceci n’étant qu’apparences puisque je connaissais maintenant mon pouvoir sur les hommes, je savais les manipuler et même les dominer. En réalité c’était moi qui faisais d’eux ce que je voulais.

Nous étions au début de l’été, il m’a proposé de partir pour un long périple en Italie, un voyage de noces en quelque sorte. J’étais aux anges et dans la fébrilité j’ai vite préparé mes bagages devant lui sans oublier tout mon assortiment de guêpières, porte-jarretelles, nuisettes et autres caracos. Quand j’ai voulu mettre quelques pantalons dans la valise, il m’a arrêtée:

– Non Florence, pas de pantalons, ne prend que des minijupes. Je veux pouvoir te prendre quand il me plaira, à tout moment et n’importe où sans avoir besoin de te déshabiller.

Quand il a préparé sa valise, j’ai bien vu qu’il prenait la cravache qui m’excitait beaucoup et l’énorme gode vibrant qui m’avait fait tellement souffrir. C’était un peintre de talents mais aussi un brillant photographe, il avait préparé tout son matériel voulant faire un reportage photo de notre voyage.

Nous sommes partis en voiture vers le Sud. Dès le premier arrêt dans une forêt il a voulu me photographier accroupie pendant que je faisais mes besoins et a pris de nombreux clichés. J’avais honte, mais j’ai compris que cette séance photo l’excitait beaucoup. D’ailleurs, sans se soucier si quelqu’un pouvait nous voir il m’a basculée à plat ventre sur le capot de la voiture pour m’enculer fébrilement.

Arrivés en Italie nous avons passé plusieurs jours à Venise. Le soir nous faisions de longues promenades romantiques en gondole. Je devais alors mettre bas et porte-jarretelles, mais la culotte m’était interdite. Sur la frêle embarcation, mon amant n’hésitait pas à me trousser et ouvrir mon corsage pour me photographier. Ce spectacle imprévu excitait beaucoup le gondolier et quand nous arrivions dans un canal peu fréquenté je recevais l’ordre de le soulager. Accroupie devant lui, je le suçais goulûment et avalais tout son sperme. Notre promenade romantique reprenait son cours. Ces soirées à la fois sentimentales et perverses nous troublaient beaucoup à tous les deux. De retour à l’hôtel mon amant me basculait à plat ventre sur le lit sans même prendre le temps de me déshabiller. Les reins bien cambrés j’attendais avec crainte et délice le moment où sa bite énorme allait m’empaler. Il ne tardait pas à me pénétrer et fouillait longuement mes entrailles. Je gémissais de plaisir. Quand il vidait tout son foutre dans mon ventre j’avais toujours un orgasme violent.

Quand nous avons séjourné à Rome, il prenait un grand plaisir à me conduire à la tombée de la nuit vers les recoins les plus discrets du forum. Là, au milieu des vieilles pierres, il me faisait prendre des pauses lascives, je devais montrer mes cuisses, mes fesses ou mes seins et il me mitraillait de photos. Les voyeurs ne tardaient pas à s’attrouper pour profiter du spectacle. Certains sortaient leur queue et se masturbaient en me regardant. Quand la séance photo était terminée il m’ordonnait alors de les soulager tous. Un dans la bouche, un dans mon petit trou je pouvais en satisfaire deux à la fois. Les autres attendaient patiemment leur tour. Cela durait souvent plus d’une heure. J’étais épuisée, meurtrie, humiliée, mais ma jouissance avait atteint son paroxysme. Lui était très excité et arrivés à l’hôtel il me fallait encore subir ses assauts fougueux dans mon petit cul en feux avant de pouvoir enfin m’endormir.

Au retour de ce long voyage, il s’est empressé de trier toutes ses photos. Il est allé voir un ami éditeur en emportant les meilleurs clichés. Un mois plus tard nous avions le résultat du travail de c’est excellent professionnel. Un ouvrage de grand format, en papier glacé, sur la couverture un agrandissement de mes fesses dans un string de dentelle blanche et le titre: FLORENCE EN VOYAGE DE NOCES. En tournant les pages on découvrait des clichés admirables. D’abord une longue série de photos de charme : Florence se promène dans les bois, Florence en gondole, Florence visite Rome. J’étais très fière d’exhiber ainsi mes petits seins arrogants, mes cuisses fuselées, la rondeur harmonieuse de mes fesses, la cambrure provocante de ma croupe. Suivaient des photos plus intimistes : Florence enlève sa culotte, Florence attache ses jarretelles et même Florence fait ses besoins. L’ouvrage se terminait par une série de clichés pris de très près et particulièrement érotiques : une main caressant mes seins, un bras enlaçant ma croupe dénudée mais aussi mes fesses zébrées par les coups de cravache, mes lèvres suçant une queue et pour terminer la vue de mon petit trou défoncé par l’énorme gode.

Toutes ces images rappelant des moments de jouissance intense me troublaient. Mon amant m’observait pendant que je feuilletais l’album :

– Alors Florence que penses-tu de ce livre ?
– C’est un travail magnifique mon chéri
– Oui et j’ai envie de le commercialiser
– Tu vas vendre les images de mon corps dénudé !
– Oui si tu en ais d’accord et tout le bénéfice de la vente sera pour toi.
– Tu est gentil mon chéri, je te donne mon accord.

Ainsi des quantités d’homme que je ne verrais jamais allaient pouvoir s’exciter, se masturber en regardant mon corps. Cette perspective me troublait au plus haut point. Un mois plus tard nous avons reçu le stock des livres et mon amant a décidé d’organiser un cocktail dans les salons des Beaux-arts pour présenter l’ouvrage. Une soirée dont je serai la reine. Comme à son habitude c’est lui qui a choisi ma tenue pour cette grande réception : guêpière noire en satin et dentelle dont les demi bonnets laissaient mes jolis seins bien apparents, chemisier blanc très ouvert, minijupe noire, bas à couture et talons aiguille. J’ai pris l’initiative de ne pas mettre de culotte.

– Tu as bien fait Florence de ne pas mettre de culotte, nos invités ne se priveront pas de te caresser les fesses quand tu leur dédicaceras notre livre, mais ce soir tu ne dois pas accepter qu’ils aillent plus loin. Si tu as envie de te faire prendre par certains nous les inviterons plus tard à la maison.

Aux Beaux-arts, mon maître avait fait venir une dizaine de ses élèves de première année pour assurer le service. Elles étaient habillées comme moi mais n’avaient pas l’habitude de porter des bas. Avec beaucoup de plaisir, je les aidées à ajuster leurs jarretelles. Aucune n’a réalisé que j’étais un garçon.

La soirée a été fastueuse, il y avait foule, nous avons vendus beaucoup de livres. Je n’arrêtais pas de signer des dédicaces et de me faire caresser les fesses. Notre ami médecin était là, profitant d’un moment plus calme, il m’a prise à part :

– Florence j’aurais besoin de vous comme assistante, j’en ai parlé à votre maître il est d’accord. Il vous faudrait prévoir de passer au moins trois après-midi par semaine à mon cabinet. Bien sur vous serez généreusement rémunérée.
– Mais docteur en quoi va constituer mon travail ?
– J’ai des clients un peu spéciaux que vous seule pourrez soulager.
– Quelle tenue me faut-il prévoir pour ce travail ?
– Aucune Florence, venez avec votre élégance habituelle et je vous donnerais les vêtements convenant à votre fonction. Nous pourrions commencer jeudi prochain.

La proposition du médecin m’avait profondément troublée. J’en ai parlé à mon amant il m’a bien confirmé être au courant et m’a demandé d’accepter. Je n’ai pu obtenir de lui aucune autre précision.

Cette soirée fastueuse parfaitement réussie, nous sommes rentrés à la maison. Dès que mon amant m’a serrée dans ses bras j’ai senti qu’il bandait :

– Florence tu as été parfaite, j’ai très envi de toi mais ce soir c’est toi qui vas choisir comment nous allons faire l’amour.
– Merci mon chéri, jamais je n’ai eu droit à pareille fête. Je me souviens d’une fois au début où tu m’avais prise par devant. Tout en me baisant tu pouvais m’embrasser et caresser mes seins. Ma petite queue frottait contre ton ventre, c’était merveilleux.
– Et bien nous allons recommencer mon amour, allonge toi.

Je n’ai même pas pris le temps de me déshabiller. J’ai simplement sortie ma petite queue de son anneau et me suis allongée sur le dos glissant un coussin sous mes fesses comme il l’avait fait la première fois. Jambes écartées je l’attendais. Il m’a prise avec beaucoup de douceur et puis les mouvements de sa bite superbe se sont accélérés. En même temps il enfonçait profondément sa langue dans ma bouche ou mordillait mes seins. Je bandais contre son ventre. Nous avons éjaculé ensemble c’était délicieux.

Le jeudi où je devais débuter mon activité d’assistante chez le médecin est enfin arrivé. J’étais très angoissée. Il m’a reçue avec sa courtoisie habituelle :

– Florence votre premier client est déjà là. C’est un homme très rustre et complexé. Il veut sodomiser un garçon, mais n’ose pas franchir le pas. Vous allez le libérer. Déshabillez vous, sortez votre charmante petite queue de son anneau et enfilez cette courte tunique blanche. Méfiez vous l’homme est violent, vous n’avez pas à lui parler, ne vous laissez pas embrasser, prenez la position en levrette et laissez le vous besogner. Dès qu’il aura joui, vous sortez. Vous ne risquez rien, il est dans la chambre du haut équipée d’une glace sans tain et je surveillerais prêt à intervenir.

En montant l’escalier mon émotion était intense, j’en avais des sueurs froides. L’homme entièrement nu était assis dans un fauteuil. C’était un vrai gorille, un monstre. Quand il m’a vue, il a commencé à se masturber. Sa bite était de belle dimension, mais j’ai tout de suite vu que je pourrais la prendre sans trop souffrir. Un peu rassurée et sans un mot, j’ai pris la position en levrette au bord du lit. Il est venu derrière moi en poussant des rugissements et a serré ma petite queue dans sa main rugueuse. Voulant limiter les ébats, j’ai pris son sexe en main et l’ai pointé sur mon œillet. Il m’a forcée en poussant un cri de bête et ses coups de butoir étaient accompagnés de hurlements sauvages. Heureusement il a joui très vite et je suis sortie de la chambre sans un mot.

Le médecin est venu me rejoindre dans son bureau. Il m’a félicité pour ma prestation et m’a offert un whisky pour me remettre de mes émotions, mais déjà le client suivant était arrivé. Un cas bien différent, c’était une lopette qui voulait se faire sodomiser. Toujours vêtu de ma tunique blanche le médecin m’a fait mettre un gode de ceinture. Je suis repartie vers la chambre plus décontractée que précédemment et j’ai enculé sans aucun ménagement le minable qui m’attendait. Il a beaucoup souffert et semblait ravi.

Cette première journée au service du médecin m’avait beaucoup plu. J’étais maintenant prête à m’envoyer tous ses clients même les plus névrosés. Au fil des semaines qui ont suivi, j’en ai vu passer beaucoup. Cela m’excitait et mon amant aussi quand le soir je lui racontais mes aventures de la journée.

Quand je n’allais pas travailler chez le médecin, le plus souvent je restais à la maison où je faisais tout en attendant mon maître. Une vie de petite soubrette soumise qui me plaisait. Il invitait souvent de nombreux amis. Pour moi c’était des soirées très excitantes.

Je m’activais toute la journée pour préparer le repas, l’apéritif, dresser la table. Il me fallait du temps pour me m’habiller, me peigner, me parfumer. Je me voulais très belle bien que ma tenue soit toujours pratiquement la même : guêpière noire en dentelle, bas résille, escarpins, et mon petit tablier blanc de soubrette.

Nos invités arrivaient tous en me portant de très beaux cadeaux. Dès le hall d’entrée, pour les remercier, je n’arrêtais d’offrir ma bouche à leurs baisers fougueux pendant que de nombreuses mains caressaient mes fesses et mes seins. Quand nous prenions l’apéritif au salon leur frénésie amoureuse montait d’un cran.

J’annonçais alors que le repas était servi. A table, je ne prévoyais jamais une place pour moi. Je voulais pouvoir me consacrer entièrement au service de ces messieurs. J’étais seule pour les satisfaire et ils étaient souvent plus de dix. D’ailleurs, entre chaque plat il y en avait toujours un qui me demandait de le soulager. Je partais à quatre pattes sous la table et le suçais goulûment pendant qu’il continuait à converser avec ses amis.

A la fin du repas il n’était pas rare que le plus excité me bascule sur la table et m’encule avec fougue sous les applaudissements de ses camarades. Ensuite nous passions au salon et, dans un état de jouissance permanente, je continuais à satisfaire tous ces mâles en rut. Une bite dans la bouche, une autre dans le cul, cela me rappelait nos soirées sur le forum romain. Les plus prudes m’entraînaient dans un coin reculé du salon pour me sodomiser à leur aise. Ils partaient tard dans la nuit, ravis de leur soirée, moi j’étais épuisée mais comblée. Mon maître lui avait pris beaucoup de photos, pensant à notre prochain album.

Ainsi allait ma vie quand un jour il a pris son air le plus sérieux pour me parler :

– Florence tu ne peux plus continuer à vivre ainsi, tu ne penses qu’à t’envoyer en l’air avec tous mes amis.
– Mon chéri ma vie c’est toi qui l’a organisée ainsi et elle me plaît.
– Tu as raison, mais maintenant ton éducation est terminée. Je veux que tu te stabilises, assurer ton avenir que tu ais le temps de peindre, ton talent est immense. J’ai eu la visite d’un personnage important follement amoureux de toi, il veut t’épouser.
– C’est une histoire de fous, m’épouser !!! Il croit que je suis une fille et tu ne lui as pas dit la vérité.
– Il connaît parfaitement ta vraie nature d’éphèbe androgyne qui lui plaît. C’est un prince africain, ministre dans son pays, une fortune immense. Tu vivras à Paris dans un luxe enviable. Quand il parle de t’épouser, c’est un mot. Il aime le faste et le cérémonial et veut organiser une grande soirée dont tu seras la reine.
– Mais qui est ce type, je le connais ?
– Oui, il a longuement bavardé avec toi au cocktail de présentation de notre livre.
– Je vois, un noir superbe, beau parleur, il m’a fait une véritable déclaration d’amour et voulait que nous allions finir la soirée chez lui. Pour m’en débarrasser je lui ai fait croire que j’étais encore puceau ayant très peur de la sodomie et que toutes nos photos étaient des montages.
– Et bien il t’a crue ce qui le rend encore plus amoureux de toi. Accepte et ton avenir sera assuré.
– Mais alors je ne pourrai plus te voir mon chéri ?
– Oh je te fais confiance, lui aussi tu auras envie de le tromper et tu viendras me voir.
– Tu as certainement raison, tu peux dire au prince que j’accepte sa proposition, mais comment va se dérouler la cérémonie qu’il veut organiser ?
– Il a déjà tout prévu et tu verras bien au moment venu. Pour l’instant il te faut aller dans la maison de couture qu’il m’a indiquée afin de choisir ta robe de mariée.

Dés le lendemain je me suis rendue dans cette grande maison de couture où le styliste m’attendait. Le prince m’avait laissé le choix entre plusieurs modèles, j’ai opté pour une robe en satin blanc. Le couturier m’a alors prévenue, il avait ordre d’ouvrir la robe derrière afin que ma croupe soit parfaitement visible et d’échancrer le décolleté pour laisser mes seins apparents. Ma tenue était complétée par un corset blanc porte jarretelles, gants, bas et escarpins blancs, un voile de gaze dissimulant ma tête. Une longue cape assortie à la robe cacherait l’indécence de ma tenue. Au dernier essayage je me suis trouvée belle et très érotique.

Le jour de la cérémonie est enfin arrivé. Je me suis longuement préparée. Je voulais être dans la plénitude de ma beauté pour franchir ce nouvel épisode de ma vie. En voiture mon maître m’a indiqué que le prince avait tout organisé dans l’un des plus prestigieux salons de réception de la capitale

Quand je suis entrée dans le salon, tous nos amis étaient là, il y avait plus de cent personnes nonchalamment allongées sur des sofas et des coussins. Les hommes portaient la toge, les filles et les mignons une courte tunique drapée sur une épaule et laissant un sein apparent. J’ai compris que le thème de la soirée était une orgie romaine Mon maître a retiré ma cape et à son bras j’ai fait le tour de la vaste salle. L’orchestre jouait la marche nuptiale. A mon passage les convives se levaient pour m’applaudir.

Assis sur un divan au centre de la pièce, le prince m’observait. Quand je suis arrivée devant lui il s’est levé. Lui ne portait pas la toge mais ce colosse noir était très élégant dans son smoking blanc. Il m’a fait le baise main puis s’est rassis. Il m’a demandé de me tourner et ses mains énormes ont longuement palpé mes fesses et puis, m’obligeant à me courber il a délicatement écarté mes fesses. J’ai compris qu’il examinait mon oeillet quand, brutalement il a enfoncé trois doigts dans mon petit trou. La douleur a été violente mais je suis restée de marbre. En réalité je me complaisais dans les humiliations que me faisait subir cet homme devant tous nos invités. On aurait dit un maquignon qui jauge une pouliche avant de l’acheter. Ensuite il m’a attirée vers lui pour soupeser mes seins, l’inspection continuait. Je me suis enfin retrouvée assise sur ses genoux il a arraché mon voile pour me plaquer un baiser comme je n’en avais jamais reçu : ses lèvres charnues et pulpeuses aspiraient ma bouche, sa longue langue râpeuse fouillait tous mon palais. J’étais en transe. Mon maître a compris que le prince était satisfait, la cérémonie pouvait se poursuivre :

– Monseigneur, si vous voulez bien vous lever, maintenant Florence va s’agenouiller devant vous pour recevoir votre sexe en bouche

Nous avons tous deux pris la position et il a lui même sorti son sexe. Un murmure admiratif a parcouru l’assistance. Au premier abord j’ai été très impressionnée par les dimensions de cette queue, mais quand je l’ai eue en bouche j’ai bien senti qu’elle n’était pas plus grosse que d’autres si ce n’est un peu plus longue. Mon maître ne m’a pas laissé longtemps accomplir ma besogne et a pris la parole:

– J’espère, monseigneur, que vous êtes satisfait par ce préambule et que nous pouvons poursuivre la cérémonie. Mes amis si vous voulez bien vous lever, Florence va être déflorée devant vous c’est un moment important dans sa vie. Florence tu vas te mettre en levrette sur le divan, dégage bien ta croupe que tout le monde puisse profiter du spectacle et cambre les reins comme je te l’ai appris.

Je n’avais pas oublié que je devais jouer la pucelle effarouchée. Ce jeu m’amusait. Prenant l’air angoissé, j’ai essayée d’apitoyer le prince :

– Monseigneur, votre sexe magnifique est beaucoup trop gros pour moi. Vous allez me déchirer, je serai infirme pour la vie. Je vous en supplie, renoncez à me prendre.
– Florence, maintenant tu es à moi et tu dois te donner entièrement. J’ai bien examiné ta petite rondelle elle est assez souple pour supporter la sodomie que tu vas subir. C’est la première fois, tu vas souffrir mais ensuite tu y trouveras beaucoup de plaisir. Vas prendre la position.

L’ordre était sans appel. Tout en faisant semblant de pleurnicher, je me suis relevée pour rejoindre le divan. J’ai pris la position, le prince était debout derrière moi. Quand j’ai senti son gland pointé sur mon œillet j’ai simulé la panique mais ses mains puissantes me tenaient fermement par la croupe. Il n’a pas insisté, il a reculé mais pour m’assaillir à nouveau. A chacun de ses assauts il m’ouvrait un peu plus pour finalement forcer brutalement ma pauvre petite rondelle distendue. J’ai hurlé bien plus de plaisir que de douleur et le prince est resté persuadé qu’il venait de me dépuceler. Lentement, il a enfoncé sa longue bite au plus profond de mes entrailles. Il caressait doucement mes fesses et me parlait calmement comme le cavalier qui veut rassurer la jeune pouliche montée pour la première fois. Je criais, je gémissais, sous les coups de butoir qu’il me donnait maintenant. Quand il a déchargé en plusieurs jets puissants il m’a semblé que tout mon ventre se remplissait de son sperme.

Dés que j’ai eu repris mes esprits nous avons bu le champagne. Plusieurs jeunes femmes sont venues m’interroger. Elles voulaient tout savoir : comment je m’étais préparée, si j’avais beaucoup souffert, quel plaisir j’avais ressenti. Je les ai conseillées et rassurées. Dans la nuit, elles allaient certainement mordre l’oreiller pour la première fois et grâce à moi leurs amants obtiendraient enfin ce qu’ils demandaient depuis longtemps.

La fête battait son plein, mais nous ne nous sommes pas attardés, il me tardait de connaître mon nouveau cadre de vie. Le chauffeur du prince avait déjà embarqué tous mes bagages. Dans la voiture j’avais du mal à rester assise, les coussins de cuir échauffaient mon pauvre petit cul meurtri par la violence de la sodomie. Le voyage a été bref et ma surprise grande à la découverte de ma nouvelle résidence. C’était un vaste appartement lumineux et élégant dominant le bois de Boulogne, une pièce avait été aménagée pour moi en atelier de peinture. J’étais émue par autant de sollicitude au point d’en oublier les douleurs de mon fondement.

Le prince m’a alors présenté Fatima une superbe négresse de trente ans affectée à mon service. Ensuite il m’a conduit vers notre chambre. Avec beaucoup de tendresse il m’embrassait tout en me retirant ma robe de mariée. Il a alors pris un peu de recul pour m’admirer. Perchée sur mes talons aiguilles, les bas blancs sous-tendus par les jarretelles fixées au corset blanc, mes petits seins et mon joli cul bien apparents je devais être très excitante.

J’attendais ainsi debout devant lui. Sans un mot il s’est déshabillé en hâte. Son sexe énorme avait retrouvé toute sa vigueur. J’ai compris que déjà j’allais être sodomisée une seconde fois. Sans attendre ses ordres je me suis allongée à plat ventre. Il est venu sur moi et m’a pénétrée tout en me murmurant des mots d’amour. Il m’a limée, tringlée longuement, quand il a enfin joui j’étais épuisée mais comblée.

Dès le lendemain nous sommes partis en voyage de noce sur la Côte d’Azur. Grand hôtel luxueux, les meilleurs restaurants, visite des musées, concerts et autres spectacles, mon prince toujours très attentionné me couvrait de cadeaux. Des vacances de rêve, et quand venait le soir, je savais qu’il me faudrait subir plusieurs fois la pénétration de cette bite infatigable.

Quand nous sommes revenus à Paris la vie a continué au même rythme : luxe, amour et soumission. Heureusement mon prince faisait de fréquents voyages dans son pays, c’était quelques jours de repos pour mon anus outragé.

Une nuit il ne m’a laissée aucun répit il m’a sodomisée cinq fois dans une jouissance d’une violence incroyable. Mon trou était en feu, j’étais épuisée. Au matin il est parti comme d’habitude à ses rendez-vous d’affaire.

J’étais restée au lit essayant de me reposer quand Fatima m’a apporté le petit déjeuner. J’ai compris qu’elle voulait me parler :

– Mademoiselle a beaucoup crié cette nuit, elle a sans doute subie plusieurs sodomies de notre prince qui est très puissant. Nous les femmes africaines avons l’habitude d’être enculées par des hommes à grosse queue et nous savons comment enlever la douleur ensuite. Si mademoiselle veut bien me laisser faire, je pense pouvoir la soulager.

– Tu es très gentille Fatima, tu vas voir mon petit trou est sans doute en bien mauvais état.

Tout en parlant je me suis mise à quatre pattes sur le lit. Fatima s’est accroupie derrière moi des deux mains elle a écarté mes fesses pour pouvoir caresser mon anus non pas avec un doigt mais avec la langue. Elle léchait délicatement mon œillet, pénétrait dans mon trou bien humecté par sa salive, mes sensations étaient exquises, la douleur s’atténuait. En passant la main entre mes jambes elle a découvert que j’étais un garçon. Elle caressait ma queue avec beaucoup de doigté et de délicatesses. J’aurai voulu laisser Fatima poursuivre ses attouchements pendant une éternité, mais j’ai eu pitié d’elle. Je me suis redressée pour l’embrasser. Elle était nue sous sa blouse de travail largement déboutonnée. Instinctivement nous nous sommes retrouvées allongées l’une sur .l’autre, tête aux pieds. Je léchais son clitoris, elle suçait ma petite queue. Nous avons joui ensemble, c’était délicieux.

Détendue et apaisée je m’étais installée au salon pour écouter de la musique. Brusquement le prince est arrivé à une heure inhabituelle pour lui. Moment de panique, j’allais devoir subir à nouveau les assauts de cet homme au demeurant courtois et attentionné mais qui devient un monstre quand il est en rut. Il paraissait préoccupé :

– Florence, des événements graves se passent dans mon pays, je dois partir, un avion m’attend, aide moi à faire ma valise.

Préparatifs rapides, un bref baiser, la promesse de me téléphoner dès que possible et il est parti. J’étais sans nouvelles depuis quinze jours quand il m’a enfin appelée:

– Florence, mon pays est en pleine révolution et moi je suis interdit de séjour en France. Il serait trop dangereux pour toi de venir me rejoindre ici. Nous ne nous reverrons plus mais je ne t’abandonne pas. Tu es maintenant propriétaire de l’appartement de Paris et je viens de faire virer un capital très important sur ton compte. Ton avenir est assuré et je te demande de garder Fatima à ton service. Adieu Florence, je t’aime.

Je n’ai même pas eu le temps de balbutier une réponse, il avait raccroché. Ainsi au moment où je m’y attendais le moins ma vie venait de basculer. Je n’étais plus un éphèbe androgyne soumis aux caprices de ses amants à moi d’organiser mon devenir. Maintenant j’étais libre, riche et maître de mon destin.

FIN
Ce récit à eu l’honneur d’être élu Prix spécial transsexuelle pour 2009

Ce contenu a été publié dans Histoires, Récits, avec comme mot(s)-clé(s) , , , , , , , , , , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *