Week-end mélangiste Pause pipi par Icaretoon

Week-end mélangiste
Pause pipi
par Icaretoon

Comme à son habitude, Boris m’accueillit les bras ouverts. Mon job m’amenait cette fois encore dans cette belle région du bord de mer Vendéen loin de mon port d’attache. Plutôt que faire un aller retour de 1000 km pour passer le week-end en famille, j’en avais profité pour rendre visite à mon ami de toujours. Boris vivait seul dans une maison perdue au beau milieu d’un jardin touffu et fort mal entretenu. Le jardin comme la maison avait une apparence « ici vit un célibataire ».

– Mets-toi à ton aise Arsène, tu restes donc tout le week-end ici ?
– Oui, si ça ne te dérange pas.
– Mais non bien sûr, au contraire, on va en profiter pour faire un peu les fous comme au bon vieux temps. Après le repas nous irons dans une petite boite sympa près d’ici, on y fait souvent des rencontres intéressantes.
– N’oublie pas que je suis marié, Boris.
– Je sais Arsène, mais ce n’est pas pour cela qu’il faut vivre comme un moine. Il est bon de temps en temps, de délester sa vie du poids des convenances conjugales.
– Evidemment c’est facile pour toi…

Le repas fut vite envoyé. La boite en question était en effet très conviviale. Boris semblait y connaître tout le monde. En cette fin juin, la chaleur de l’été influençait déjà les tenues féminines vers une tendance à la fois légère et minimaliste. C’était pour moi un vrai régal de faire la bise à toutes les amies de Boris. Les effluves de transpiration et la moiteur de leur peau agissait sur moi comme un aphrodisiaque. L’ambiance autour du bar était des plus joyeuses, et chacun y allait des dernières blagues à deux balles, assez graveleuses en général. Quand le DJ annonça la série frotti-frotta pour apaiser les corps, c’est tout naturellement que j’invitai ma voisine en lui entourant la taille d’un bras enjôleur.

Elle se colla immédiatement contre moi et, poussant sa voix pour couvrir les décibels de la sono :

– Tu n’es pas d’ici ?
– Je suis de passage, je suis un ami de Boris.
– Regarde, justement il danse avec ma cop’s,
– Si on peut appeler cela, danser, ils donnent presque l’impression de baiser ensemble.
– Oh ! Tu sais, ici on ne fait pas de chichis, nous sommes entre nous et personne ne s’en offusque.

En effet, mon Boris avait une main glissée dans le jean de sa partenaire, lui massant ostensiblement les fesses et l’autre sous son tee-shirt. L’atmosphère était vraiment très chaude car les autres couples s’en donnaient eux aussi à cœur joie. C’est donc naturellement que je posai mes lèvres sur la bouche offerte de ma jolie cavalière. La réaction ne se fit pas attendre, son ventre et ses seins s’incrustèrent dans ma peau, déclenchant ainsi mon érection immédiate.

Mes mains partirent à l’aventure, cherchant sous son top la douceur excitante de sa peau. Je fis très vite connaissance avec ses seins à peine emprisonnés par un soutien-gorge minuscule. Je n’eus aucune difficulté à franchir le rempart de son string pour glisser mes doigts dans la raie de ses fesses. Elle même ne restait pas inactive et, voulant sans doute jauger l’efficacité de mon érection en direct, elle fit sauter la boucle de ma ceinture et les premiers boutons de mon jean. Non, rêvais-je, elle me branlait alertement, ses yeux plantés dans les miens avec une candeur désarçonnante. Plus excité que gêné par la proximité complice des autres couples, je redoublai moi aussi d’une impudeur affichée, dans l’exploration de son intimité.

Le dernier accord du « slow de l’été » se fondit dans les soupirs des amants d’une danse, désolés de devoir momentanément se séparer. Quelques gestes précipités pour remettre un peu d’ordre dans l’indécence de nos tenues et prendre, main dans la main, le chemin du bar.

Je me penchai vers ma jolie cavalière et profitai du relatif silence de la salle pour chuchoter à son oreille :

– Quel est ton prénom ? Jolie muse aux doigts si agiles.
– Choisis m’en un, comme il te plaira. Il ne servira que ce soir. Un prénom « kleenex » en quelque sorte. Un prénom que l’on jette quand il a servi une fois.
– Agility ? Te convient-il ?
– Va pour Agility…
– Alors les « zamoureux », on a fait connaissance ? Lancent en chœur Boris et son amie.

L’amie d’Agility est venue s’asseoir sur le tabouret en face de moi. Le décolleté de son tee-shirt est vraiment troublant, d’autant plus que manifestement rien en dessous n’entrave la liberté de mouvement de ses seins. Elle se penche vers moi laissant une vision grand angle s’épanouir devant ma libido déjà bien éprouvée.

– Tu la trouves comment ma copine ?

Laissant mon regard faire quelques va-et-vient entre ses yeux rieurs et le téton étonné de se voir ainsi exhibé, je tentai une banalité :

– Elle est très sympathique.
– Elle est mieux ou moins bien que moi ?
– Heu ! Ce n’est pas facile de choisir…
– Justement, tu n’as pas besoin de choisir, comment l’as-tu baptisée ?
– Agility.
– C’est en hommage à sa langue ou à ses mains ?
– Les deux sans doute.
– Agility, je peux te l’emprunter pour la prochaine ?
– Bien sûr, je prendrai Boris.

Nous bûmes un verre, en observant les déhanchements frénétiques de quelques couples sur la piste. Chacun de nous donnait son avis sur les danseurs. Des « humm » d’appréciation quand une paire de fesses se dévoilait trahie par une jupe trop courte ou une robe trop légère. Les belles ainsi exhibées semblaient prendre un plaisir trouble à provoquer la salle entière.

Les passes de rock les maintenaient de plus en plus longtemps à la renverse, accrochées à leurs partenaires, jambes en l’air, robes retombant sur elles en corolles, le V de leur cuisses en signe de victoire, les ventres nus et les fesses écartées.

La convoitise des regards masculins, se mêlait à l’intérêt des femmes qui oubliaient l’instant d’un fantasme, leur hétérosexualité de convenance.

– C’est très excitant dit Agility, et ce n’est pas fait pour faire baisser la température.
– Pas la mienne en tous cas reprit Boris… C’est un slow, à nous deux ma belle Agility… J’aime bien ton prénom d’un soir.
– Ce sera bientôt à votre tour les garçons d’être baptisés.

L’amie (sans nom) d’Agility se tourna vers moi et tentante comme un chant de sirène me demanda :

– Tu m’invites ?

Quand j’étais gamin, j ‘adorais jouer avec les aimants, et je ressentais un frisson à chaque fois que les pôles plus et moins se collaient l’un à l’autre sans possibilité de résister. J’eus la même impression avec La belle blonde. Seules nos bouches avaient encore leur liberté d’action. Elle en profita pour dire d’une voix chaude et énamourée :

– J’adore ce morceau : « Try a little tenderness »
– OK, Je tente un peu de tendresse…pour commencer. « Tenderness », ce prénom t’irait très bien, tu l’acceptes ?
– Adopté ! Où en étais-tu avec Agility quand la musique s’est arrêtée ?
– Tu veux vraiment savoir ?
– Oui, les détails m’excitent, alors ne les néglige pas.
– J’avais la main dans son jean.
– Fais-moi la même chose au fur et à mesure que tu me le racontes.

En me serrant contre elle dans la pénombre de la piste de danse, je glissai ma main sous le tissu de son jean pour palper la peau tiède de ses fesses.

– Tu n’as pas été plus loin ?
– Si j’ai glissé mes doigts entre ses fesses pour caresser son petit trou…
– Et moi alors ?
– Oh ! Excuse-moi.

Joignant le geste à ma narration, j’écartai ses fesses et appuyai fermement sur son petit trou du cul.

– Et elle que faisait-elle ?
– Elle a pris ma queue à peine main …
– Comme ça ?
– Ouiii, comme ça.
– Et après ?

Ma main partit sous son tee-shirt, je pelotais ses seins, et tout en enfonçant un doigt dans son anus, je laissai mes autres doigts s’ébattre dans sa chatte.

– Elle mouillait sans doute ? Autant que moi maintenant ? Enfonce tes doigts, plus profond encore.
– Elle me branlait la queue en même temps en la serrant très fort.
– Je le fais bien moi aussi non ?
– Oh que oui ! Tu me la branles bien.
– Elle t’a enfoncé un doigt dans le cul ?
– Non…
– Dommage !
– Tu peux le faire quand même si tu le désires, j’aime ça moi aussi…
– Trop tard…

Fin du morceau, désarroi passager des couples se défaisant de leur étreinte brûlante.

– Alors, elle s’appelle comment ? Demande Agility ?
– Tenderness ! Répond la belle qui, quelques secondes auparavant me branlait hardiment la queue, avec les sous-titres.
– C’est joli, dit Boris. Laquelle est la plus tendre ou la plus agile, Arsène ?
– Agility rétorque Tenderness, lequel des deux est le plus raide ?
– En attendant la réponse les filles, est-ce que ça vous tente de finir la soirée chez moi ?
– Laisse-nous le temps de passer au vestiaire et nous sommes à vous.

Je regardais les files disparaître dans le fond de la salle, quand Boris me demanda si j’avais apprécié ses « copines ». Il aurait été faux-cul de ma part de prétendre le contraire mais je lui laissais quand même entendre mon étonnement au jeu de Tenderness de reproduire les caresses que j’avais prodiguées à Agility. « Elle a fait la même chose de son côté, m’a-t-il répondu » égalité, un point partout. Je trouve le jeu excitant. Les filles apparurent soudain à nos côtés.

– On y va ?
– Après vous mesdemoiselles.
– Nous avons décidé d’appeler Boris : Lance.
– Comme Armstrong ?
– Non comme incendie.

Eclat de rire général.

– Et Arsène, nous l’appellerons Lech.
– Comme Walesa ?
– Non comme cul, chatte ou clito. Nous avons l’une comme l’autre, pu apprécier la vivacité de son appendice buccal pour faire la transposition sur des gourmandises dont nous sommes très friandes..

Re éclat de rire général.

– Nous montons à toutes les deux l’arrière ?
– Non, on fait un gars une fille, un gars une fille.
– Je vais à l’arrière avec Lech s’autoproclame Agility.
– D’accord, mais on ne veut pas être en reste, alors promettez-nous de nous raconter en direct, vos pelotages respectifs.
– C’est OK, dis-je à une condition c’est que vous ne vous retourniez pas. On vous raconte tout dans le détail mais vous n’aurez que le son. Pas de droit à l’image.
– Le deal me paraît délicieux dit Tenderness. Je vais fermer les yeux et me laisser aller au son de vos galipettes.
– De toute façon, dit Lance je me rattraperai après.

Agility me regarde avec un sourire de connivence, pendant que la voiture démarre. Elle attaque aussitôt :

– Je viens de dézipper son jean, et j’extirpe sa queue raide. Hum ! Pour être raide elle est bien raide et douce à la fois.
– Moi dis-je, j’ai déjà baissé son pantalon et son string. Agility a le cul à l’air et les cuisses écartées.
– Est-ce qu’elle mouille autant que tout à l’heure, demande Lance ?
– Attends un peu je plonge deux doigt dans sa chatte…Oui, une vrai fontaine, attention aux sièges !
– A propos de fontaine ! –Tenderness émerge de sa rêverie -, j’ai envie de faire pipi…Tu peux t’arrêter sur le bord de la route Lance ?
– Tes désirs sont des ordres princesse, répond notre chauffeur volontaire.
– Moi aussi j’ai petite envie pressante, reprend Agility si je ne la satisfais pas rapidement je crois que je vais gicler sur les doigts qui me fouillent.
– Oh ! M’exclamai-je, tout le plaisir serait pour moi.
– Ah vraiment tu aimerais ?
– Pas dans la voiture, par respect pour la moquette, mais dans l’herbe sur le bord de la route oui, j’aimerais.
– Voilà une jolie dérive à mon excitation dit Agility, la jolie brune.
– C’est très coquin comme idée, dit Tenderness la jolie blonde. Aller, ma puce, descendons pour exposer nos postérieurs aux regards avides de ces pipitophiles.

Mon excitation était à son comble. Lance avait garé la voiture sur un renfoncement herbeux et la voiture faisait un rempart entre la route et nous.

Les deux filles se mirent côte à côte en nous présentant leur dos. Elles se regardaient en riant aux éclats en baissant lentement leurs jeans. Les fesses tendues vers nous avec un peu d’arrogance volontaire, se dévoilaient peu à peu. Elles faisaient durer le plaisir les coquines.

– Vous pouvez vous branler, si le spectacle est à la hauteur de ce que vous attendiez dit Tenderness en se retournant.
– Mais n’allez pas jusqu’au bout quand même, renchérit Agility, j’aimerais en profiter ensuite.

Nous avions Lance et moi la braguette ouverte le ventre à l’air et la queue raide tendue vers les deux culs splendides. On pourrait croire à une chorégraphie bien apprise : Nos deux amies faisaient onduler leurs culs tendus, fesses écartés mises en valeur par la peau si blanche sous la lueur de la lune. Leurs sillons plus sombres cachaient à peine leurs petits trous plissés. La position ne leur était pas si commode et la miction se faisait attendre. Nous voyions Lance et moi, leur anus se dilater de concert pour, au gré des efforts qu’elles faisaient, faire jaillir le geyser doré.

– Ce n’est pas facile dans cette position, je suis bloquée, dit Tenderness la saison des pluies est encore loin, l’arrosage est compromis.

Je m’approchai tout près de nos excitantes exhibitionnistes. Ma main se posa sur les fesses ouvertes d’Agility. Mon excitation était à son comble. Une main sur ma queue en me branlant doucement, l’autre s’introduisant avec douceur dans sa fente trempée. Je laissais mon doigt fureter entre son clito et son méat attendant le jet de pisse.

– Mets-lui ton autre doigt dans le petit trou, me dit Tenderness ça va peut-être déclencher l’averse.
– Viens alors remplacer ma main pour me branler,
– J’ai une autre idée, c’est moi qui vais enculer son petit anus. Je saurais comment lui masser la vessie par l’intérieur pour la faire pisser.

Tenderness se mit accroupie derrière Agility et posant son doigt enduit de salive sur le petit trou plissé, elle l’enfonça doucement. Surprise par la soudaineté de l’intromission digitale, Agility n’avait pas dit un mot, mais visiblement appréciait la caresse de son amie.

– Ce n’est pas tenable, gémit Agility, je vais jouir si vous continuez. Jouir ou pisser ou les deux en même temps.
– Offre-nous ce double plaisir ma puce, jouis et pisse.

Un torrent ambré s’échappa de sa fente m’éclaboussant les bras et les jambes. Elle serra les cuisses pour mieux ressentir l’orgasme qui la submergeait en même temps. J’avais du mal à garder mes doigts au milieu de l’étau de ses cuisses d’où jaillissait un déferlement liquide. Subjugué par l’érotisme torride da la situation, j’avais abandonné la masturbation complice de mon voyeurisme.

– Les amis, dit Lance, je suis moi aussi dans un état d’excitation « proche du noyau », mais l’endroit n’est pas idéal pour s’éclater. Je propose que nous reprenions tout cela, à l’abri d’une visite inopportune et en pleine lumière, c’est à dire, chez moi.

– Laissez-moi alors pisser « classique » sans intervenir si ce n’est avec les yeux, intervint Tenderness.

Elle se tourna vers nous tout en s’accroupissant les cuisses bien ouvertes.

– Le côté face vaut bien le côté pile, non ?
– Le côté fesses à aussi du sex-appeal.
– Hum ! C’est parti, dit Tenderness, ça fait du bien par où ça passe.

Nous étions tous les trois face à elle, dégustant le show de sa chatte offerte qui offrait son jet impétueux à nos regards libidineux. Notre attention ne baissa qu’avec les dernières gouttes.

– Lech, tu serais un amour si tu allais me prendre un kleenex dans mon sac sur le siège arrière ?
– Et si je te proposais ma langue en guise de kleenex, que serais-je à tes yeux, Tenderness ?
– Tu serais alors un amour pour toujours.

Je m’allongeais, le dos dans l’herbe, la bouche tendu vers le plaisir proposé. Tenderness s’accroupit afin de placer sa chatte humide contre ma bouche. Je léchais, je buvais, je gémissais, je faisais frétiller ma langue dans tous les replis de son sexe. Les goûts, les odeurs de son nectar d’amour et de sa fontaine dorée se mélangeaient sur mes lèvres. Sans le rappel à l’ordre de Lance, nous serions restés ainsi toute la nuit.

Tenderness se releva enfila son jean.

Je fis de même, mais sans le jean.

Agility se plantant devant Lance et moi, chacun la queue à l’air et l’érection en porte drapeau.

– Alors les garçons, je croyais que vous aussi vous aviez une envie pressante ?
– Oui, répondis-je, mais étant donné la raideur de mon pieu, les vannes sont bloquées.
– C’est dommage j’aurais bien aimé prendre une dans chaque main, et jouer au pompier en arrosant à ma guise.

Tout en parlant, la coquine empoigna nos sexes et, les orientant vers Tenderness :

– Giclera, giclera pas ?
– Il faudrait nous branler d’abord, mignonne, mais remettons le à plus tard veux-tu ? Allez, tout le monde en voiture !

J’enroulais ensemble, jean, boxer et tee-shirts trempés par les débordements d’Agility. Si mes amis étaient convenablement habillés, j’étais pour ma part tout nu dans la voiture, espérant arriver très rapidement à destination.

– Lech, tu vas t’installer entre nous deux à l’arrière, proposèrent Tenderness et Agility dans un parfait unisson. Si jamais nous croisons une voiture, nous ferons rempart de nos corps.

Nous nous installâmes en riant de l’incongruité de la situation. Si mes mains partirent chacune de leur côté pour palper la chair appétissante de mes compagnes, celles-ci firent un « quatre mains » sur ma queue dressée qui m’enchanta pour les quelques minutes que durèrent le trajet.

Icaretoon, février 2009

Ce contenu a été publié dans Histoires, Récits, avec comme mot(s)-clé(s) , , , , , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

3 réponses à Week-end mélangiste Pause pipi par Icaretoon

  1. Orsini dit :

    Un scénario original, c’est pas mal du tout

  2. Tracie dit :

    – Et si je te proposais ma langue en guise de kleenex, que serais-je à tes yeux, Tenderness ?
    – Tu serais alors un amour pour toujours.
    Quand je lis ça, je fond !

  3. Claire dit :

    Mignon comme tout

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *