Un jouet pour Cécile
Je vous parle d’un temps où les cinémas pornos étaient des lieux de rencontres coquins. J’y allais souvent et cherchait l’occasion de sucer des bonnes bites. Je n’avais pas de mal à trouver.
Ce jour-là je m’installe, j’attends que mes yeux s’habitent à l’obscurité, puis ouvre ma braguette et libéré ma queue, en même temps je soulève mon tee-shirt de façon à pouvoir me pincer les tétons… Et j’attends….
Ah, ça y est je commence à distinguer des choses ! Sur ma gauche un mec est entre les cuisses d’un vieux et lui pompe la queue, dans un peut renfoncement plus loin, un type compétemment nu se fait sucer alternativement par deux mecs, tandis que deux ou trois autres se branlent en regardant… La routine quoi !
Et voilà qu’une femme vient s’installer près de moi. Elle était habillée très chic. Elle a retiré son imper.
La présence de femmes en ces lieux de débauche est rare, mais ça arrive, souvent la femme est en couple, mais celle-ci est seule, a moins que son mec soit planqué un peu plus loin….
Elle m’a mis une main sur le genou et m’a caressé la cuisse. J’ai posé moi aussi une main sur son genou et je l’ai remontée sous sa jupe mais m’arrêtais à mi-cuisse. Puis, elle m’a touché le sexe. Elle m’a chuchoté à l’oreille :
– Profites-en, je n’ai pas de culotte !
La voix rocailleuse aurait dû me mettre la puce à l’oreille, mais voulant en avoir le cœur net je remontais ma main et trouvais une bite bien bandée.
– Je te suces ou tu me suce, on peut faire les deux.! Me dit-elle en écartant les jambes
– Je vais te sucer ! Répondis-je !
– Alors donne-moi un petit billet, et on va faire ça gentiment !
Elle est malade, me demander de l’argent, alors qu’ici on peut sucer gratuitement.
– Laisse tomber ! Lui dis-je
– C’est dommage, on aurait pu faire des tas de choses…
– Quoi donc ?
– Tu pourrais m’enculer, j’ai le trou du cul très accueillant, à moins que tu préfères que ce soit moi qui t’encules… Je peux aussi être très cochonne, je peut te faire gouter à mon pipi ou te fouetter ton petit cul.
Il m’excite avec son programme, le travelo.
– C’est combien ?
– Juste la pipe, c’est 20 balles, sinon on va dans ma voiture ou chez moi, pour 50 balles de plus.
Il y avait un parking derrière le cinoche, je l’ai suivie jusqu’à sa voiture. Je suis monté. J’ai pu la regarder mieux, elle était très bien maquillée, parfaitement efféminé, très bandante. Je l’ai payé, elle m’a roulé une pelle.
– On serait mieux chez moi, non ? C’est à cinq minutes.
Chez elle (chez lui, comment faut-il dire ?) elle m’a fait mettre nu, elle m’a posé des pinces sur mes tétons, m’a ligaturé les couilles et m’a fouetté mon cul avec une cravache.
Puis elle m’a fait mettre sur le lit, m’a fais sucer sa bonne bite, puis m’a demandé de projeter mes jambes en l’air afin qu’elle m’enculasse !
Elle m’a pilonné l’anus pendant de longues minutes, puis m’a demandé de me rendre aux toilettes. Là elle m’a fait mettre mon visage en arrière et elle m’a pissé dans la bouche.
– Branle-toi, maintenant, branle-toi en me regardant !
Je l’ai fait.
– C’était très bien, je m’appelle Cécile !
Je me fis alors la réflexion que j’avais été l’espace d’un moment un jouet pour Cécile.
Moi aussi je préfère sucer qu’être sucé, n’empache qua quand on bande faut bien se débrouiller entre copines
Curieux ce texte, de même que la réaction de TransMonique, parce qu’en général nous sommes plutôt passives, mais après tout pourquoi pas. Sinon moi aussi je drague et il m’arrive de faire venir des hommes chez moi (un à la fois pour des raisons de sécurité). Je suce et me fait baiser et je suis bien dans ma peau.
Il faut absolument que quelqu’un écrive une suite parce que ça commence très fort. Moi aussi j’adore ramener des mâles vicieux à la maison et je les domine. Parfois on fait des trucs à trois avec une copine travestie, elle s’appelle Capucine, elle a une jolie bite
Vraiment dommage que ça ne soit pas davantage développé, car le potentiel était là. En l’état ce récit ressemble à une bande annonce
pas de quoi s’affoler !