Un esclave qui s’ignore chapitre 5 – L’heure du partage par Pascal_G

Dimanche matin, nous avons fait la grasse matinée. Puis après un délicieux
dîner je suis rentré à l’appartement. J’ai rangé mes affaires et puis j’ai
terminé la journée devant la télé. Vers 19h00 ma femme est rentrée et après
une soirée agréable, nous nous sommes couchés. De son côté, Elle avait passé
un bon week-end. Nous avons même fait l’amour et pour la première fois
depuis que nous vivons ensemble, c’est elle qui a pris l’initiative !

J’étais déjà couché lorsqu’elle est sortie de la salle de bain. Je n’en
revenais pas, elle portait un corset rouge et noir qui gonflait sa poitrine
déjà très opulente en temps normal. Un porte-jarretelles assortit avec des
bas noirs. Et pour terminer la tenue, un slip rouge en satin. Elle était
sublime ainsi vêtue. Elle s’approcha du lit, retira les couvertures, tira
mon pantalon de pyjama et se mis à califourchon sur moi. Elle posa un doigt
sur ma bouche comme pour me dire de me taire et de la laisser faire. Elle a
ouvert ma veste de pyjama, un bouton à la fois, très lentement. Elle me
regardait, la bouche entre ouverte passant sa langue sur ses lèvres. Le
dernier bouton enlevé, elle a d’abord caressé mes tétons pour les rendre
bien dur tout en frottant son sexe contre le mien sans avoir retiré sa
culotte. Le contact du satin avec ma queue m’électrisait et mon sexe se
gorgeait de sang. Elle changea de position pour se mettre à cheval sur mon
visage, tournée vers mon corps. Elle me demanda de lécher son sexe au
travers de la culotte. Elle me pinçait les tétons ce qui provoquait chaque
fois une décharge électrique dans tout mon corps faisant monter mon plaisir
encore un peu plus. Elle a fini par retirer son slip et s’est remise dans la
même position. Son sexe était maintenant baveux à souhait et me dégoulinait
sur le visage. Elle se frottait sur mon visage, se servant de mon nez pour
titiller son clitoris. Tout à sa besogne, elle a englouti ma queue dans sa
bouche chaude, tournant sa langue sur mon gland. De sa main gauche elle me
massait les testicules et puis elle a fait une chose que je n’aurais jamais
imaginé. Elle a enfoncé l’index de sa main droite dans mon cul et une fois
mon anus habitué, c’est avec deux et puis trois doigts qu’elle me ramona de
la sorte. Je n’en pouvais plus. Elle s’est avancée légèrement en avant pour
me présenter sa petite rosette devant la bouche. Je ne me suis pas fait prié
pour la lécher. Elle a fini par s’empaler l’anus sur ma queue raidie et a
pris son pied dans cette position tout en se masturbant de la main droite.
Une fois son plaisir atteint, elle a repris mon sexe avidement dans sa
bouche sans se formaliser sur le fait qu’il sortait tout juste de son cul et
m’a sucé jusqu’à la jouissance. Elle était déchaînée, et elle a avalé mon
sperme jusqu’à la dernière goutte. Elle a posé un baiser sur mes lèvres et
est retournée dans la salle de bain.

J’avais l’impression de rêver. Lorsqu’elle est revenue, vêtue cette fois de
sa robe de nuit habituelle, elle s’est simplement couchée et a fermé la
lumière. Tout cela c’était passé sans qu’on échange un seul mot. Je ne
reconnaissais plus ma femme. Je n’ai pas osé lui poser de questions. Je
n’arrivais pas à m’endormir car à la seule pensée de ce que je venais de
vivre avec elle, je bandais comme un bougre. J’ai du me résoudre à me
branler comme un gamin dans les toilettes en reniflant la culotte de soie
rouge abandonnée là par ma femme et encore empreinte de son odeur.

Le lendemain matin, ma femme a fait comme si rien d’anormal ne s’était
passé. Je n’ai plus eu droit à une autre séance de débauche cette semaine
là.

En fin de semaine, j’ai reçu un coup de téléphone de Maîtresse Gwen pour me
demander si je pouvais me libérer ce samedi. Ca tombait bien puisque ma
femme avait prévu de passer la journée chez sa sœur où elle aimait se rendre
sans moi pour se retrouver entre elles. J’ai profité de l’occasion pour dire
que dans ce cas, j’irais aussi faire un tour, il y avait justement une
exposition sur l’Égypte antique aux palais des beaux arts.

Ma femme est partie le vendredi vers 16h 00, j’ai directement téléphoné à
Maître Gwen qui m’a annoncé que son chauffeur passerait me prendre vers 9h
00 le lendemain. Je ne devais pas oublier mon petit matériel.

Samedi matin, à l’heure dite, la voiture s’est arrêtée devant chez moi. A
l’arrière m’attendais une divine créature du nom de Virginia, vêtue d’une
combinaison en latex noir qui mettait en valeur sa plastique sans reproche.
Elle m’invita à prendre place. A peine la voiture démarrée, elle m’annonça
que nous n’allions pas chez Maîtresse Gwen mais chez ma patronne. Ca me
convenait tout a fait, j’avais encore en mémoire notre dernière rencontre et
rien que d’y penser çà m’excitait déjà. Virginia me demanda de me
déshabiller complètement. Elle m’a remis un short et une veste en latex, une
casquette et une paire de botte comme en portent les militaires. Je n’avais
jamais été invité chez ma patronne, je savais juste qu’elle habitait une
grande villa sur les hauteurs de la ville.

L’immense grenier de la villa avait été transformé en un superbe donjon. Ma
patronne se trouvait sur un fauteuil de cuir blanc au centre de la pièce. Je
pus constater par la suite que le fauteuil tournait sur lui même, permettant
de visualiser n’importe quel endroit du donjon. Elle s’est levée pour venir
vers moi, elle a agrippé les cheveux à la base de mon crâne et m’a embrassé
goulûment. Nos respirations se faisaient haletantes, nos langues se mêlaient
dans un délice de passion.

Elle me dit : « Bonsoir ‘Z’, j’espère que tu es en forme ce soir. Dorénavant
tu me nommeras Maîtresse Zelda. Maintenant accompagne Virginia, et fait tout
ce qu’elle te demandera ! Tu as compris esclave ! ». Je répondis simplement
« Oui, Maîtresse Zelda ».

Virginia entrepris de retirer ma veste lentement tout en massant mon
entrejambe à travers le short en latex. J’étais déjà gonflé de plaisir. Elle
a descendu la tirette de sa combinaison jusqu’à son nombril et a sorti sa
poitrine. Elle a plaqué ma bouche sur son sein droit en m’ordonnant de lui
mordiller le téton.

« Plus fort, Maîtresse Zelda aime regarder ma souffrance ! »

Je pinçais son téton entre mes dents et le tirais vers moi. Elle plaça ma
main gauche sur son autre sein. J’ai pincé l’autre téton et je l’ai fait
rouler entre mes doigts pour le tordre légèrement. Elle m’encourageait à le
tordre encore plus. Elle m’arrêta et me fit subir le même traitement en me
demandant à mon tour de lui caresser l’entre jambe. Elle me faisait mal, ses
morsures étaient appuyées et elle écrasait mon autre téton entre ses doigts
en pinçant aussi fort qu’elle le pouvait. J’ai gémit à la fois de douleur et
de plaisir à plusieurs reprise. Pendant ce temps là, Maîtresse Zelda avait
glissé une main sous sa jupe de latex et se caressait. De temps en temps
elle remontait sa main pour sucer le plaisir qui coulait sur ses doigts.

Virginia retira sa combinaison. En dessous elle portait juste un slip en
cuir. Je dis un slip, mais en fait, une lanière de cuir faisait le tour de
ses hanches et deux autres lanières accrochées à des petits anneaux de part
et d’autre à l’avant, passaient entre ses jambes pour se rattacher à des
anneaux similaires à l’arrière de la lanière principale. Autrement dit,
c’était purement décoratif et j’ai découvert son sexe complètement rasé.
Elle appuya sur mes épaules pour me forcer à me mettre à genoux devant elle,
juste en face de son sexe. Je n’étais qu’à quelques centimètres de sa chatte
et je pouvais renifler son parfum enivrant. Une autre esclave que je n’avais
pas encore vue est venu se placer derrière moi et a commencé à me fouetter
les dos et les épaules. A chaque coup, je basculais inconsciemment en avant
et mon nez venait s’écraser sur le sexe de virginia. Un esclave cette fois
se plaça derrière Virginia et commença à lui fouetter les fesses ce qui
provoquait aussi un mouvement d’avant en arrière du bassin de virginia.
Finalement, Virginia m’ordonna de tendre ma langue. Les deux esclaves
s’étaient synchronisés pour que nous bougions en même temps. Je ne sentais
déjà plus les coups et mon corps se réchauffait de plus en plus. Virginia de
son côté gémissait à chacun de nos contacts. Après quelques minutes de ce
traitement, Virginia s’est retournée et s’est penchée légèrement vers
l’avant. J’avais cette fois la langue en face de son anus. L’esclave en face
d’elle s’est placé sur le côté et a commencé à balancer son fouet pour lui
frapper les seins par en dessous. Virginia avait passé ses mains entre ses
cuisses et se caressait le bourgeon. De temps en temps, elle glissait un
doigt plus loin pour que je puisse le lécher au passage. Son anus était
maintenant trempé de ma salive et de sa mouille.

Il était temps de changé de position. Elle m’a remis debout et a retiré mon
short. C’est elle qui était maintenant à genoux devant mon sexe tendu. Elle
a ouvert la bouche et s’est placée de sorte que mon gland reposait sur sa
langue à l’entrée de sa bouche. Les coups de fouet ont repris. Cette fois on
s’occupait de mes fesses et du dos et des épaules de Virginia. Je profitais
de la situation pour exagérer l’effet des coups sur mes fesses pour pouvoir
l’enfoncer plus profondément dans sa bouche. Pour me punir lorsque j’allais
trop loin, Virginia mordillait mon gland. Après, tout comme j’avais du le
faire, elle se retrouva face à mon cul. Par moment, elle crachait sur ma
rosette de sorte à pouvoir enfoncer sa langue facilement la fois d’après.
Moi je recevais mes coups sur les seins en gémissant de plaisir.

Après cette mise en bouche, nous avons pu nous admirer dans un miroir. Nous
étions rouge vif tous les deux et nos corps étaient brûlants. Je trouvais ça
très excitant de partager le même sort qu’un autre.

Nous avons été placé à genoux dos contre dos. J’avais en face de moi
l’esclave mâle et Virginia était face à la fille. L’homme à sorti son sexe
et à taquiner mon nez avec. Il avait une forte odeur, mélange d’urine et de
sueur. Il a placé ses deux mains sur mes épaules et m’a fourré sa queue dans
la bouche. De son côté Virginia léchait la fente de son bourreau. Le sexe
entrait et sortait de ma bouche. Le goût et l’odeur m’enivraient. Le membre
était chaud. Je laissai échappé un hoquet lorsque le gland pénétrait trop
profond et venait butter contre ma luette.

Ensuite nous avons du nous remettre debout, collé l’un contre l’autre, face
à face, la croupe offerte. Mon sexe tendu passait entre les jambes de
Virginia qui serra ses cuisses autour. La fille s’était équipée d’un gode
ceinture et se plaça derrière moi, l’homme se plaça derrière Virginia. J’ai
senti un liquide froid couler entre mes fesses et puis un doigt s’est
insinué en moi. Une fois le cul bien huilé, ils ont commencé à nous enculer
sans ménagement. A chaque mouvement, mon sexe coulissait entre les cuisses
de Virginia et frottait du même coup sur son clitoris. C’est dans cette
position que nous avons jouie pour la première fois. Maîtresse Zelda a fait
comme si elle était fâchée que nous n’avions pas attendu son autorisation et
pour notre punition, j’ai du sucer le gode et Virginia le sexe de l’homme
jusqu’à ce qu’ils soient bien propre.

Ensuite on nous a attaché les mains dans le dos avec nos
menottes (celles qui m’ont été offertes par Maîtresse Gwen). A genoux, les
jambes écartées, Maîtresse Zelda a exigé que nous lui léchions les pieds.
Elle a retiré ses bottes. Elle les avait choisies en caoutchouc pour
transpirer plus. Ses bas nylons étaient trempés. L’odeur que dégageaient ses
pieds était très forte. Comme nous ne nous décidions pas, elle a demandé aux
deux autres esclaves de nous encourager. En fait d’encouragement, ils ont
commencé à nous caresser le dos, les fesses et l’entre jambes avec des
orties. Ca me piquait de partout. Le plus sensible, c’était le pourtour du
gland. Nous nous sommes résolus à lécher les pieds. D’abord avec dégoût,
mais petit à petit l’odeur faisait son effet. Nous avons alors du sucer la
pointe entière des pieds. Après, ils nous ont détachés.

Virginia m’a alors équipé de mon collier et bloqué mes mains dans les
bracelets attachés de part et d’autre du collier. Elle a passé ma petite
chaîne dans l’anneau de devant du collier. Elle a fixé de chaque côté une
des pinces à seins en ajustant la longueur de la chaîne pour qu’elle soit
déjà tendue lorsque j’avais la tête légèrement penchée vers l’avant. Elle a
branlé mon sexe jusqu’à ce que je rebande puis elle a placé ma camisole
pénienne en serrant très fort les lanières de cuir qui la refermait. Sous la
pression mon sexe s’est tendu d’avantage. Elle a aussi mis mon parachute à
testicules. Pour terminer, elle m’a fixé mon bâillon avec une boule de
caoutchouc qui remplissait ma bouche. Elle m’a aussi fixé un bois entre les
chevilles avec des bracelets à chaque bout pour m’obliger à rester jambes
écartées en toutes circonstances.

Maîtresse Zelda a alors ordonné qu’on me fixe les pinces sur les tétons.
J’avais la tête baissée pour qu’on puisse fixer les deux pinces. Lorsque
Virginia plaça les pinces, ça serrait mais pas trop. Mais après elle a
tourné les vis et là, je ne pu m’empêcher de sursauter en relevant la tête.
Ce qui bien sur ajouta à la douleur puisqu’en me redressant, j’ai tendu la
chaîne et mes tétons ont été étirés vers le haut. J’ai fini par m’habitué à
la douleur lancinante. Elle a alors fixé deux gros poids aux anneaux de
l’étui pénien à hauteur de mon gland. D’un côté, l’excitation dressait mon
sexe vers le haut et de l’autre, les poids tiraient dans l’autre sens. Ca ne
faisait pas mal, du moins pour l’instant. Elle a fixée une autre série de 4
poids au parachute à testicules. C’était une première pour moi et j’avais
mal car mes couilles étaient comprimées par le parachute. Mais ce n’était
rien comme sensation par rapport à ce qui suivit. Je ne sentais déjà plus la
douleur sur mes seins, mais Virginia n’avait pas terminé ses préparatifs,
deux nouveaux poids sont venus se rajoutés sur les pinces à seins et là, ça
ne faisait vraiment pas du bien.

Maîtresse Zelda s’est alors levée. Elle a tourné autour de moi une cravache
à la main en me contemplant comme un officier qui passe ses recrues en
revue. Une fois le tour achevé, elle a pris mon menton dans sa main et a
redressé ma tête. Mes tétons étaient étirés au maximum, ma respiration était
haletante et je serrais très fort la boule dans ma bouche pour pouvoir
supporter tout cela. Je pensais m’être habitué à ce qu’on pince mes tétons
avec toutes sortes d’objets, mais je devais admettre qu’il y avait encore du
chemin à parcourir de ce côté là. Elle me dit : « Et bien mon cher ami, on ne
dit pas merci à sa Maîtresse. Tu n’es pas content de ton sort, tu n’as pas
encore suffisamment mal peut-être. Et bien répond ! Oh, tu as la bouche
pleine et tu ne sais pas parler. De toute façon, qui ne dit mot consent,
n’est-ce pas. » Elle avait le regard lubrique et des gouttes de sueur
perlaient sur son front. Ma situation inconfortable l’excitait énormément.
Elle repris sa ronde autour de moi mais cette fois j’ai eu droit à des coups
de cravache. Tantôt sur les fesses, ce qui faisait balancer les poids sur
mes testicules et ajoutait encore à la douleur. Tantôt sur le gland qui
était déjà violacé à cause de la pression de l’étui. Et puis de temps en
temps un coup sur le torse et ce sont les poids sur les seins qui
balançaient à leur tour.

Elle me dit alors « Si tu as trop mal et que tu veux qu’on arrête tu fais oui
avec ta tête. Sinon tu fais non. A tout moment tu peux nous arrêter, mais ce
serait dommage car tu vas voir que plus la douleur dure, plus on s’y habitue
et viennent alors des ondes de plaisirs insoupçonnées. » J’ai fait non de la
tête. Ca faisait mal, mais je voulais continuer pour connaître mes limites.

« Bien, je vois que tu es un bon esclave. Tu vas faire quelque chose pour ta
maîtresse. On va te détacher les mains pour que tu puisses te rattraper si
tu perds l’équilibre. Je veux que tu gardes la tête bien droite et que tu
fasses le tour de mon fauteuil en sautant. Tu vas voir c’est très intense
comme sensation ! On te laisse ton bâillon, ça aide à supporter plus. »

Virginia m’a détaché les mains et j’ai commencé à avancer en sautillant. A
chaque bond, les poids bougeaient dans tous les sens et cette fois, au lieu
d’avoir mal à un endroit précis, ça tirait de partout et je fini par ne plus
ressentir qu’une seule douleur généralisée. Mon tour achevé Maîtresse Zelda
ordonna qu’on me retire tout mon équipement. Elle s’est agenouillé devant
moi en disant :

« Je sais récompenser un esclave méritant et aujourd’hui tu es de ceux là ! »

Elle a pris mon sexe gonflé à bloc dans sa bouche brûlante de désir et a
commencé des vas et viens d’avant en arrière avec sa bouche. Tantôt lent,
tantôt rapide. Mon sexe n’avait jamais atteint pareilles dimensions et
pourtant, il disparaissait entièrement dans sa bouche. Je ne mis pas
longtemps à jouir et elle avala toute ma semence jusqu’à la dernière goutte.

« Maintenant vous allez vous occuper de moi. Virginia, montre à ‘Z’ comment
Maîtresse Zelda aime aussi être maltraitée ! »

Elle s’installa sur une croix de Saint-André horizontale. Virginia me donna
mon fouet, et elle pris une raquette en cuir. Virginia a placé un espèce de
caisson en plastique avec plein de trou sur la tête de sa Maîtresse en me
disant : « c’est pour éviter de frapper par erreur son visage ! Tu vas lui
frapper les seins. Tu ne dois pas avoir peur de frapper fort, elle supporte
bien plus la douleur que nous tous réunis. Si ce n’est pas intense, ça ne
lui procurera aucun plaisir. » J’ai alors commencé à martyriser ses seins
d’abord des petits coups puis de plus en plus fort. De longues traînées
rouge vif lui zébraient la poitrine. Elle redressait son torse à chaque coup
comme pour venir à la rencontre du fouet. Elle me fixait avec un sourire
narquois. C’était une sorte de provocation, moi je la frappais fort et elle
me regardait l’air de dire « même pas mal ! ». J’ai appuyé encore plus mes
coups et elle a fermé ses yeux comme pour jouir pleinement de sa douleur.
Pendant ce temps là, Virginia s’appliquait à frapper tantôt l’intérieur de
ses cuisses tantôt son sexe. Les cuisses et le pourtour de son sexe étaient
rouge écarlate.

Virginia a ensuite allumé deux bougies et m’en a tendue une : « Verse de la
cire bouillante sur ses seins, son nombril et l’intérieur de ses bras. Elle
va adorer ça. » J’ai commencé par le pourtour des seins en faisant exprès de
ne pas toucher les aréoles ni les tétons. Cette fois son visage affichait un
air de frustration. Ca me faisait jouir intérieurement car elle voulait
avoir mal pour jouir et moi je lui refusais ce droit, du moins dans
l’immédiat. Je lui souriais et elle compris mon jeu en me traitant de salaud
avec un sourire. J’ai fini par m’occuper de ses tétons qui ont très vite
disparu sous la cire. Apparemment l’intérieur des bras était aussi des zones
très sensibles car elle sursautait à chaque fois qu’une goutte entrait en
contact avec sa peau. En bas Virginia faisait de même mais avec les jambes.
Puis elle écarta les lèvres de Maîtresse Zelda pour mettre à jour son
clitoris tendu par le plaisir. Elle commença à faire tomber de la cire
dessus. Maîtresse Zelda se cambrait à chaque goutte. Ensuite, Virginia a
soufflé nos bougies et m’a demandé de branler Maîtresse Zelda avec. Une dans
le cul et l’autre dans le vagin. Les bougies étaient d’assez gros calibre,
mais elles sont rentrées très facilement dans les deux orifices. Virginia
est revenue avec un entonnoir. Je me demandais ce qu’elle allait bien
pouvoir faire avec ça. Elle a retiré le caisson, elle a placé l’entonnoir
dans la bouche de Maîtresse Zelda. Elle s’est mise à genoux, jambes
écartées, au dessus de l’entonnoir. Elle a écarté ses lèvres vaginales avec
ses deux mains et j’ai vu couler la pluie dorée. D’abord quelques gouttes
puis par jets intermittents. Elle pissait dans la bouche de sa Maîtresse.
Elle contrôlait son jet pour ne pas tout envoyé d’un coup et pour faire
durer le plaisir. J’entendais Maîtresse Zelda déglutir. Apparemment elle
appréciait çà. Virginia retira l’entonnoir et termina en beauté en arrosant
tout le visage. Elle fini par frotter son sexe contre la bouche de sa
Maîtresse qui ne se fît pas prier pour la lécher. Virginia a joui en même
temps que Maîtresse Zelda.

Maîtresse Zelda me remercia de ma collaboration et m’invita à venir quand je
le voulais pour peu que Maîtresse Gwen m’en donne l’autorisation. Je la
remerciais également car non seulement j’avais de nouveau dépassé le seuil
de la douleur qui avait été placé cette fois encore un peu plus haut, mais
j’avais également joui bien plus fort. A croire que l’intensité de mon
plaisir était liée à celle de la douleur.

Longtemps après cette séance, et bien qu’ils ne soient plus là, j’avais
l’impression d’encore sentir les poids sur mes seins et mon sexe. J’ai pris
un bain bien chaud et je me suis allongé dans le divan. Je me sentais
serein, bien dans mon corps et bien dans ma tête. Terminé le sentiment de
culpabilité qui jusqu’ici me donnait l’impression d’être anormal. J’étais
comme j’étais et maintenant j’en profitais pleinement.

A suivre …

Ce texte a obtenu le 1er prix Vassilia du « meilleur récit SM publié
sur notre site en 2003

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Une réponse à Un esclave qui s’ignore chapitre 5 – L’heure du partage par Pascal_G

  1. Pozo dit :

    Un bon texte SM, bien dans l’esprit du site

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