Britta parue sur Vassilia
Louis se présenta à l’adresse indiquée. La maison se trouvait à la limite
d’un quartier résidentiel dans lequel toutes les maisons étaient protégées
par des haies de deux mètres. Quoiqu’ayant de l’allure, elle ne se
distinguait pas particulièrement des autres. Comme on le lui avait indiqué,
il y arriva à pieds, discrètement par le petit chemin de derrière de façon à
ce que personne ne puisse remarquer son arrivée, certainement pour que les
voisins ne remarquent pas des allées et venues d’hommes seuls.
Une fois sous le porche, il sonna tout en regardant autour de lui. Personne
ne pouvait l’apercevoir de la rue. Il attendit quelques minutes et comme
personne ne venait lui ouvrir, il sonna de nouveau. Un peu inquiet, il se
demandait s’il ne s’était pas trompé de maison, Vérifia pour la dixième fois
que le numéro sur le pilier du porche correspondait avec celui qu’on lui
avait donné. Il remarqua alors la caméra qui le filmait. Ne sachant quelle
attitude prendre, il songeait déjà à repartir lorsqu’il entendit un bruit de
pas se rapprochant de la porte. Son cœur se mit à battre plus fort.
La porte s’ouvrit et il reconnut Britta, la femme qui l’avait abordé. Elle
le fit entrer et le guida jusqu’à une porte dans le couloir. Le fit entrer
en lui disant.
– Entre, assieds-toi et attend en silence, la maîtresse viendra lorsqu’elle
l’aura décidé. A ta place, je ne serais pas trop pressé.
Il entra dans une petite pièce plutôt sombre et vit immédiatement qu’il
n’était pas seul, trois hommes déjà étaient assis sur des chaises
apparemment pas très confortables. Contrarié, il s’assit, il n’avait jamais
été dit que son stage d’esclavage se ferait en groupe. Se rappelant que la
consigne était de se taire, il n’osa pas poser de question. Son cœur battait
la chamade, n’avait-il fait une folie en acceptant la proposition de la
jeune femme.
Pas très rassuré, mais se disant que c’était maintenant ou jamais, il décida
de ne rien décider et d’attendre la suite. Dans la pièce, l’atmosphère était
pesante, chacun observait l’autre du coin de l’œil, on aurait pu entendre
une mouche voler.
L’attente dura encore quelques temps, Louis ne se rappelle plus si ce fut
long ou si ce fut court, tant il désirait mais craignait en même temps
connaître la suite. Les quatre hommes s’observaient en douce, ils
s’évaluaient entre eux sachant qu’ils risquaient d’être en concurrence très
bientôt. Il y avait un grand blond que Louis surnomma pour lui-même « le
viking », un petit vieux, chauve et bedonnant d’une cinquantaine d’années « le
petit gros » et un jeune éphèbe d’une vingtaine d’années.
Enfin, ils entendirent des hauts talons marteler le carrelage du couloir,
Louis se sentit pâlir, les autres n’en menaient pas plus large. Les pas
s’arrêtèrent juste derrière la porte, le cou tendu, ils attendaient avec
inquiétude de voir la porte s’ouvrir. Cela ne tarda pas et Vicky entra
simplement, habillée comme une bourgeoise lambda, à l’aise, une courte jupe
moulante, un pull moulant lui aussi, et un décolleté laissant apparaître la
naissance des seins. Elle n’était pas très grande, c’est sans doute pour
cela qu’elle portait des chaussures aux talons interminables. Toute en
courbe, elle aurait pu servir de modèle pour des mangas érotique.
D’une voix calme, un sourire discret aux coins des lèvres. Elle salua ses
stagiaires.
– Bonjour à tous, c’est bien, je vois que vous avez été sage, depuis que
vous êtes entré, je vous ai observé grâce à cette caméra dit-elle en
montrant une minuscule objectif planqué dans coin du mur.
Le ton calme et débonnaire de Vicky sembla rassurer l’assemblée, Louis se
dit que peut-être était-ce le moment de faire remarquer qu’il aurait préféré
être seul avec elle pour ce stage si particulier. A peine avait-il ouvert la
bouche que Vicky, l’œil subitement assombri, une expression dure sur le
visage l’apostropha.
– T’ai-je autorisé à parler, sache qu’ici, c’est moi qui décide, dorénavant,
toi comme les autres, vous ne prendrez la parole qu’avec ma permission,
est-ce bien compris?
Après une longue minute d’un silence pesant, elle reprit.
– S’il y en a à qui cela ne plaît pas, je ne les retiens pas, la porte se
trouve par-là dit-elle en indiquant la sortie.
Les quatre hommes présents baissèrent la tête. Vicky continua.
– Quand je pose une question, j’exige que vous me répondiez. Un « Oui,
maîtresse divine » me conviendra tout à fait, c’est compris espèces de larve.
– Oui maîtresse divine murmurèrent-ils dans une cacophonie comique.
– Je n’ai rien entendu, plus fort, avec de la conviction!
– Oui maîtresse divine! Clamèrent-ils tous aussitôt. Le dressage avait déjà
commencé.
– Très bien, suivez-moi dans le salon.
Suivant leur maîtresse à la queue leu leu, ils traversèrent le couloir pour
entrer dans un séjour salle à manger lumineux qui devait faire au moins cent
mètres carrés. Les grandes baies vitrées laissaient voir un jardin pas très
grand mais au milieu duquel trônaient une superbe piscine et une grande
terrasse ou il devait faire bon se prélasser à l’ombre des grands arbres.
Elle emmena tout son monde au milieu de la pièce ou se trouvait déjà Britta,
les faisant se mettre en cercle autour d’un grand tapis et leur ordonnant
avec une voix douce et, de nouveau, son sourire enchanteur.
– Tous à poil, vite.
Sans se regarder, les hommes entreprirent de déshabiller, ils n’étaient pas
trop surpris sachant qu’il s’agissait là d’un rituel auquel ils pouvaient
s’attendre. Le plus rapide fut le petit bedonnant. Vicky, s’adressant à lui.
– Vas me chercher la badine là-bas dans le canapé.
Le bonhomme s’exécuta, et d’instinct, s’agenouilla respectueusement devant
la maîtresse d’au moins vingt-cinq ans plus jeune que lui, et lui tendit la
badine respectueusement posée sur ses mains.
– Très bien, je vois que tu es déjà dégrossit, tu peux me baiser les pieds,
prenez en de la graine vous autres dit-elle.
Louis prit ce compliment fait à un autre comme une réprobation et ressentit
involontairement une pointe de jalousie. Heureusement, quelques instants
plus tard, Vicky repoussa l’homme de la pointe de la chaussure. Celui-ci se
releva et la maîtresse, du bout de la badine, souleva le sexe de l’homme et,
avec un sifflement admiratif.
– Dit donc, tu n’as pas l’air comme ça, mais tu es sacrément bien monté !
Ton compagnon en esclavage va être jaloux dit-elle en désignant le géant
blond.
Le géant baissa la tête, c’est vrai que, comparer à la verge du petit gros,
sa verge paraissait ridicule, mais il semblait à Louis qu’il était dans les
normes. Ce ne devait être qu’une provocation de la maîtresse pour prendre
l’ascendant, ils devaient tous s’attendre à ce genre de remarque qui vous
met minable. Vicky renvoya le petit gros à sa place d’un geste directif
appuyé d’un méchant coup de badine sur les fesses.
S’adressant à tous :
– Vous venez d’avoir un exemple de ma façon de diriger mes esclaves.
Maintenant, que vous êtes candidat pour faire partie de mon cheptel, sachez
que je fais ce que je veux de vous et avec vous. Vous n’avez plus aucun
droit sauf celui de satisfaire mes désirs. Mes caprices sont pour vous des
ordres qu’il faut satisfaire immédiatement par tous les moyens, sans
réfléchir et cela, quels que soient les difficultés que cela vous pose. Cela
vous semble-t-il clair?
– Oui maîtresse divine!
– Très bien, quelques précisions. Certains parfois estiment que le régime
ici est trop dur, alors, il peut être tenté de réagir violemment surtout
qu’ils pensent pouvoir prendre le dessus sur un petit bout de bonne femme
comme moi. Je les préviens tout de suite. La maison est truffée de caméra,
derrière ces caméras, il y a quelqu’un qui surveille en permanence vos
réactions. D’autre part, sachez dès maintenant que je m’entraîne
régulièrement à différent arts martiaux, mais ce n’est pas tout.
Elle claqua des doigts, aussitôt la porte s’ouvrit, un gaillard d’au moins
deux mètres et de cent trente kilos surgit.
– Personne n’a jamais réussi à le maîtriser et il m’est tout dévoué, sur un
simple coup de menton de ma part, il peut réduire en bouillie quiconque me
voudrait du mal. Ceci dit, je suis sure que personne n’aura d’idées
sournoises. Mais il possible que certain ne supporte pas leur esclavage,
volontaire je vous le rappelle, alors, si vous pensez être à l’extrémité de
votre résistance et désirez mettre fin à l’expérience, il vous suffira de
prononcer un mot, le mot « Karaoké » et aussitôt, vous êtes libre de partir
sans avoir d’autres explications à donner. Sachez cependant que si vous
utilisez ce mot, vous ne pourrez plus revenir à ce stage pendant une durée
minimum de trois mois et si par la suite vous réutilisez ce mot, vous en
serez définitivement exclus. Sommes-nous bien d’accord.
– Oui, Maîtresse divine!
– Très bien! D’un geste, elle renvoya le cerbère.
– Je vais maintenant vous donner quelques conseils et consignes que vous
serez bien avisé de suivre le plus scrupuleusement possible.
Les quatre esclaves étaient suspendus à ses lèvres, s’adressant au plus
jeune d’entre eux, le beau jeune homme, elle lui ordonna de lui offrir une
cigarette du paquet qui se trouvait sur la petite table du salon. Le jeune
homme s’exécuta servilement, il l’alluma et reçu même un merci auquel il ne
s’attendait pas. De son sourire le plus charmeur, Vicky lui ordonna de se
mettre à genoux légèrement en retrait d’elle, de la suivre dans cette
position partout où elle allait et de garder la bouche ouverte en regardant
le plafond de façon à ce qu’elle puisse y jeter les cendres de sa cigarette.
Elle continua.
– J’exige de mes esclaves qu’ils soient à mon service à cent pour cent,
qu’ils n’aient qu’une seule obsession, mon bon plaisir. J’aime qu’ils soient
serviles jusqu’à l’abjection, vous ne devez plus avoir d’amour propre, toute
hésitation à exécuter un ordre sera l’objet d’une punition, au moindre
refus, c’est la porte.
Tout en parlant, la maîtresse marchait devant les esclaves qui ne savaient
qu’elle attitude prendre, toujours suivi par le jeunot à genoux, de temps en
temps, elle secouait sa cigarette au-dessus la bouche grande ouverte. Devant
chacun d’entre eux, elle avait des attentions particulières. Par exemple,
avec sa badine, elle souleva la queue en berne de Louis, lui frappa le torse
en lui faisant remarquer qu’elle était déçu de lui faire si peu d’effet tout
en mettant sa virilité en doute. Au viking, elle attrapa les bourses et les
tordit jusqu’à que celui-ci la supplie d’arrêter, le traitant de poule
mouillée, là aussi il eut droit au coup de badine dans le dos, la badine
semblait être un instrument qu’elle affectionnait particulièrement. Elle
continua à énumérer ses exigences.
– En ce qui concerne les punitions, j’ai étudié soigneusement vos dossiers,
je sais ce qui vous plaît, ce qui vous motive, ce qui ne vous plaît pas et
ce que vous ne voulez pas faire à aucun prix. Soyez tranquille, je ne
demande jamais à un esclave de faire ce qui le répugne, nous sommes ici pour
jouer, un jeu bizarre peut-être, mais un jeu dont la finalité est en
générale sexuelle. Les punitions consistent à faire ce que vous n’aimez pas,
même et surtout si, ce qui ne vous plaît pas, plaît énormément à un de vos
pairs.
Elle s’arrêta devant le petit gros, en fit le tour doucement toujours suivi
servilement par le jeunot à genoux.
Sa cigarette se terminait, la prenant entre le pouce et l’index, elle la
déposa dans la main du jeunot et lui ordonna d’aller la jeter dans le
cendrier. Complètement hypnotisé par la maîtresse, le jeune homme ne poussa
même pas un cri alors que le mégot au bout incandescent devait le faire
souffrir et s’exécuta sans mot dire. Au retour, ne sachant quelle attitude
prendre, il se remit à genoux derrière sa maîtresse, celle-ci le renvoya
s’aligner avec les autres.
S’adressant au petit gros d’un air protecteur.
– Toi, petit veinard… approche et descend ma petite culotte. Doucement.
Après toutes ces mises en garde, le bonhomme ne s’attendait pas à une telle
chance, il se jeta, plus qu’il ne s’agenouilla aux pieds de la maîtresse,
avec beaucoup d’hésitations, craignant un piège, il glissa délicatement ses
mains sous la jupe. Tâche ardu tant la jupe était moulante. Elle l’aida en
soulevant sa jupe jusqu’aux hanches, le petit gros n’en revenait pas, il
avait le visage à dix centimètres du pubis de la jeune femme, et sentit
poindre une petite érection. Il descendit précautionneusement la petite
culotte blanche, lorsqu’il arriva en bas, elle l’enjamba.
Regardant les esclaves, elle reprit son air sévère, air que les soumis
commençaient à craindre sachant que la suite pouvait être méchante.
– Bande de chiens, ça ne vous dérange pas de regarder mes fesses avec cet
air lubrique. A genoux, face contre terre. Dorénavant, à chaque fois que
vous me verrez le cul à l’air, et ça arrive souvent, j’aime me promener à
poil partout dans la maison, vous aller baisser les yeux et vous prosterner
face contre terre jusqu’à ce que je quitte l’endroit ou que je vous autorise
à vous relever. Compris?
– Oui, maîtresse divine
Les quatre esclaves se précipitèrent à genoux pendant que la maîtresse
accompagnait ses paroles de violents coups de badine sur les dos offerts.
Dix minutes plus tard, enfin calmée, elle posa un pied victorieux sur le dos
du viking pour marquer sa supériorité. Curieusement, malgré les coups, les
esclaves commençaient à bander, sans doute la perspective de voir souvent
leur maîtresse nue, même furtivement. Ce qu’il avait vu les encourageait
dans leurs fantasmes.
S’adressant au petit gros.
– Prend cette petite culotte et suce la bien pour t’imprégner de mon odeur,
cela fait trois jour que je la porte en me disant que cela fera le bonheur
de quelqu’un, tu as de chance, ça tombe sur toi.
Réajustant sa jupe, elle s’adressa à tous.
– Je n’ai plus grand chose à vous dire pour l’instant, je ne manquerais pas
de vous savoir la suite de mes désidératas en temps utile. Maintenant, il
faut en revenir aux contraintes terrestres. Je vais aller faire des courses,
l’un d’entre vous aura le privilège de m’accompagner et il a intérêt à avoir
sa carte bleu sur lui. Y-a-t-il des questions?
Il y avait certainement des questions, mais les hommes étaient plutôt
abasourdis par ce début d’esclavage plutôt musclé. Et ils n’avaient encore
rien vu. Surpris qu’on leur demande leur avis. Ils se regardèrent. Les uns
répondant par un non timide, les autres agitant la tête de gauche à droite.
Louis esquissa un inaudible » non, maîtresse divine ».
– Non qui? Elle avait repris son air méchant, celui qui leur faisait si
peur.
Tous en cœur.
– Non, maîtresse divine.
– C’est bon pour cette fois, je n’ai plus le temps de m’occuper de vous,
rassurez-vous, ce n’est que partie remise. Pendant mon absence, comme il
n’est pas bon qu’un esclave reste oisif, vous serez à la disposition de
Britta qui a quelques tâches ménagères en retard.
Le jeunot s’est vu confier la confection du repas de la maîtresse, elle
n’avait rien prévu pour les esclaves. Le viking, après s’être affublé d’un
petit tablier blanc pour cacher son sexe et d’un plug dans le cul, fut
chargé de faire les poussières dans toute la maison. Louis, pour sa part fut
chargé de tondre la pelouse et de nettoyer la piscine. C’est le petit gros
qui fut choisi accompagner la maîtresse.
Deux heures plus tard. Les trois esclaves entendirent le crissement des
pneus de la voiture qui revenait des courses. Aussitôt, ils redoublèrent
d’activité, anxieux de finir leur travail sans que l’on ne puisse leur
reprocher quoi que ce soit. Pendant que le petit gros déchargeait les
courses, la maîtresse sortit sur la terrasse, et laissa échapper.
– J’ai envie de pisser.
Personne ne réagit à cette phrase lancée apparemment en l’air. Louis avait
bien entendu et il aurait bien espéré que la maîtresse l’utilise pour son
petit besoin naturel, c’était même sa motivation principale pour ce stage,
mais il ne savait pas ce qu’il devait faire. Il n’allait pas tarder à le
savoir.
– Eh bien alors ! Je dis que j’ai envie de pisser et personne ne réagit ?
Sachez bande de rustre, que lorsqu’une maîtresse dit : « j’ai envie de
pisser », l’attitude la plus élémentaire de tout esclave est de venir le plus
vite possible se mettre à genoux la bouche ouverte pour être à la
disposition de la maîtresse.
Évidemment, les quatre hommes présents se précipitèrent à ses genoux la
bouche grande ouverte. D’un geste naturel, elle enleva sa jupe et comme elle
n’avait pas remis de culotte, pour la première fois, Louis vit le pubis de
la jeune femme. Il resta subjugué, jamais il n’avait vu un sexe féminin
aussi puissamment érotique, totalement épilé, les deux grosses lèvres
commençant juste en dessous du mont de vénus formant un abricot gorgé
d’arrogance, tout juste séparé par la fente qui cachait l’intimité la plus
secrète. Instinctivement, il se prosterna reconnaissant par-là la puissance
de ce sexe supérieur. A ce moment-là, il se livrait corps et âmes à cette
maîtresse qui devenait une icône qu’il vénérerait au mépris de toute autre
considération.
Malheureusement, cette soumission totale n’eut pas la reconnaissance qu’elle
aurait méritée. La maîtresse choisit le viking comme réceptacle pour
soulager sa vessie. Elle le fit s’allonger sur le dos la bouche grande
ouverte. Posant un genou à terre, elle enjamba l’esclave de façon à ce que
son sexe se trouva au-dessus du visage du soumis. Louis assista alors à ce
spectacle unique, ce spectacle merveilleux, celui ou la chatte sublime
laisse échapper son divin pipi, hautain et méprisant dans la bouche du plus
chanceux des hommes, et cet ingrat qui ne bandait même pas? Des larmes de
rage et d’impuissance coulèrent sur ses joues devant l’affront fait à cette
déesse. Il aurait tant aimé être à la place de l’homme, la jalousie lui
tenaillait le ventre. Mais la maîtresse en avait décidé autrement et il
devait s’incliner. Lorsqu’elle eut fini sa miction, Vicky empoigna celui qui
venait de lui servir de latrines par les cheveux et, méprisante, le força à
lui nettoyer la vulve des dernières gouttes qui y étaient restées
accrochées.
Après s’être soulagée, elle se releva et s’informa du repas. Celui-ci était
prêt, le jeunot avait mis les petits plats dans les grands, il avait dressé
une table digne d’un grand restaurant. Louis avait était désigné pour faire
service. Les deux femmes s’installèrent confortablement dans une chaise, le
petit gros et le viking se mirent à genoux derrière chacune des maîtresses.
Le déjeuner se déroula de la meilleure façon qui soit, Louis se montrait
prévenant et obséquieux, réagissant aux désirs des maîtresses avant même que
celles-ci n’avaient le temps de les exprimer, disponible au moindre
froncement de sourcils. De temps en temps, elles donnaient leurs doigts à
lécher aux esclaves à genoux, leur faisant avaler les reliefs ou des
morceaux de pain qui avait servi à nettoyer leur assiette. Le repas dura une
bonne heure.
Après avoir bu son café, Vicky déclara être fatigué et avoir la tête qui
tourne à cause du vin qu’elle avait bu en quantité. Elle décida d’aller
faire une petite sieste. Avant de partir, elle donna ses dernières
consignes.
– Vous êtes autorisé à manger les restes, mais uniquement de l’eau comme
boisson, s’il n’y en a pas assez, Britta pourra vous autoriser à faire un
petit sandwich mais ne vous goinfrez pas, un esclave repu est un mauvais
esclave et je n’aimerais pas avoir à renvoyer l’un d’entre vous.
S’adressant au petit gros.
– Sauf toi mon minou, j’adore me faire lécher le cul pour m’endormir, et
comme il n’y a plus de PQ aux WC, je n’ai pas pu m’essuyer les fesses la
dernière fois que j’ai chié, avec de la chance tu trouveras entre mes fesses
un peu de ce qu’il faut pour te régaler.
Décidément, tous les goûts sont dans la nature. A cette évocation, le
bonhomme se mit à bander.
Au milieu de l’après-midi, les trois esclaves avaient fini la vaisselle et
fini de ranger la maison, désœuvrés, ils tournaient en rond dans l’attente
de leur maîtresse. Brusquement, le petit gros déboula sur la terrasse et
s’adressant à Louis.
– Vite, la maîtresse te réclame.
Sans plus attendre, Louis se rendit dans la chambre de Vicky, elle était
allongée sur le côté lui tournant le dos.
– C’est toi, il était temps, c’est toujours pareil, lorsque j’ai envie de
pisser, les chiottes ne sont jamais là, il n’est quand même pas normal
qu’avec tous ces esclaves à ma disposition, je me fatigue pour me soulager,
d’autant plus qu’au moindre mouvement, je sens que je ne pourrais pas me
retenir, glisse-toi vite entre mes cuisses.
Louis s’exécuta le plus délicatement possible, à peine avait-il eut le temps
de poser ses lèvres ouvertes sur la vulve brûlante qu’il sentit la pisse
divine lui envahir la bouche, le jet était dru. Il en avait rêvé, il s’était
si souvent branlé en imaginant ce moment qu’il n’eut aucun effort à faire
pour avaler la cascade d’urine qui déferlait dans son gosier. C’était encore
meilleur que tout ce qu’il avait imaginé, il n’en laissa pas une goutte
s’échapper.
Louis bandait à se faire mal. Quand elle eut fini, trop vite pour Louis, il
se mit à la lécher avec dévotion. Elle se laissait faire faisant durer le
plaisir, appréciant cet instant ou rien qu’en pissant, elle avait mis son
esclave en transe. Ravi de faire cet effet, elle oublia un instant son
statut et prononça des paroles qui conforta Louis dans son fantasme.
– Whaouu, pas mal, l’essayer c’est l’adopter, je constate que tu ne t’étais
pas vanté sur ton CV, dés à présent tu es titulaire de la place de
pissotière pour dames. Je suis sûr que tu vas beaucoup plaire à mes amies et
mes clientes.
Heureux d’avoir réussi son examen de passage et toujours bandant, Louis
rejoignit ses pairs sur la terrasse. A la vue du gland violacé, ceux-ci
pâlir de jalousie. Bientôt, ils furent rejoints par le petit gros et la
maîtresse.
Vicky rejoignit le petit groupe sur la terrasse et comme elle était nue,
aussitôt, les quatre esclaves se prosternèrent au grand plaisir de la
maîtresse. Sans se presser, elle fit le tour de la piscine, réclama une
boisson rafraîchissante au petit gros et enfin, autorisa les autres esclaves
à se relever. Elle trempa ses petits pieds dans la piscine et décida de
prendre un bain. Appelant le viking, elle fit se prosterner au bord de la
piscine de façon à ce qu’il lui serve de tremplin pour plonger. Plusieurs
fois de suite, elle sortit de l’eau pour mieux replonger. Quand elle en eut
assez, après s’être fait sécher par deux esclaves, elle s’installa
confortablement dans un fauteuil de plage. Prenant une revue qui traînait,
se mit à la parcourir.
L’après-midi n’en était qu’à son début, et il fallait occuper les esclaves,
Vicky demanda donc à Britta d’emmener des esclaves pour faire quelques
emplettes dans leur sex-shop préféré. Britta choisit le viking et Louis, les
deux autres seraient suffisants pour préparer le dîner et servir Vicky.
Le vendeur reconnu Britta lorsqu’elle entra de le sex-shop, il ne fut pas
étonné non plus de voir deux hommes, pas très à l’aise, la suivre. Il
l’avait déjà vue une ou deux fois et n’avait aucun doute sur sa profession,
il savait aussi qu’elle ne se refusait rien, alors il lui proposa d’emblée
de s’installer dans une petite pièce derrière la boutique pour être plus
tranquille. Cette pièce servait de stockage et contenait tout ce que pouvait
vendre le magasin. Le vendeur présenta ses catalogues.
Britta souhaita voir des cagoules pour esclaves, des plugs pour sa
collection et des colliers pour chien. Le vendeur faisait son métier et
proposait tout ce qu’il avait, Britta hésitait, faisant essayer toutes sorte
de masque au viking, toute une collection de collier, à chaque collier, elle
ordonnait à Louis de se mettre à quatre pattes pour voir l’effet que ça
faisait. Le temps passait et finalement elle s’arrêta sur un collier en cuir
incrusté de pyramides en métal, genre chien méchant, Complétant son achat
par la laisse qui allait avec. C’est à ce moment qu’elle décida avoir un
petit besoin urgent à satisfaire. Le vendeur lui dit qu’il n’y avait pas de
toilettes dans le magasin et lui indiqua un bar proche ou elle pourrait
satisfaire sa petite envie. Elle lui répliqua que ce n’était pas nécessaire,
qu’elle avait pris ses précautions. Demandant au vendeur de détourner son
regard, elle tira fortement sur la laisse au bout de laquelle Louis était
attaché, en se dirigeant vers un coin de la pièce, elle s’assit sur le bord
d’une chaise. Louis avait compris. Le collier lui faisait mal et il était
gêné à cause du vendeur mais aussi, il était très excité par la situation.
Ne se faisant pas plus prier, ce qui était inutile, il s’installa entre les
cuisses de la femme, la bouche à cinq centimètres de la source merveilleuse.
La dame écarta sa petite culotte d’une main, découvrit son sexe de l’autre
main et pissa le plus naturellement du monde, ne doutant pas un instant des
capacités de Louis. Vicky lui avait probablement parlé.
Le vendeur nullement étonné, n’avait pas pu se retenir de regarder la scène.
Lorsque Louis eut finit de nettoyer Britta, il déclara avec un aplomb
formidable.
– J’ai envie de pisser moi aussi, puis-je utiliser… vos toilettes ?
– Désolé, toilettes pour dames uniquement ! Répondit Britta.
Et après un temps de réflexion.
– Mais ça peut s’arranger, si vous savez être bon commerçant, je pourrais
peut-être vous aider. Par exemple, cinquante pour cent sur mes achats et
vous pouvez utiliser la tapette là derrière vous.
La tapette en question était le viking, Louis n’aurait jamais cru que le
gaillard aimait les hommes, comme quoi, nous avons tous des idées
préconçues. Le vendeur, passablement excité par la situation accepta. D’un
claquement de doigt, Britta ordonna au viking de s’exécuter.
Le géant blond s’agenouilla devant le vendeur et entrepris de lui ouvrir la
braguette, fouillant dans le slip de l’homme, il en ressortit une bite qui,
sous le traitement qu’elle subissait, se raidissait à vue d’œil. Le mandrin
était à son zénith et lorsque son propriétaire fut en position de se
libérer, il lui fut impossible de faire sortir la moindre goutte. Britta
intervint.
– On ne va pas y passer la journée, suce-le pour solde de tout compte et on
rentre à la maison.
Le viking devait savoir y faire parce que quelques minutes après avoir
embouché le vendeur, celui-ci gémissait et dû s’appuyer au mur pour ne pas
flancher. Brusquement il se raidit et son raidissement fut très vite suivit
de saccades libératrices. Le viking, le pantalon déformé au niveau de son
entre-jambe, s’appliquait à aspirer les dernières gouttes avant
d’entreprendre un long et délicat nettoyage.
Au retour à la maison, les choses n’avaient pas beaucoup bougées, le repas
froid était prêt. Les esclaves attendaient dans un coin que l’on ait besoin
d’eux. Britta raconta avec forces détails le déroulement de son shopping.
Elle semblait très contente d’elle. Vicky, prit la laisse au bout de
laquelle Louis se tenait à genoux, se leva et fit un aller-retour sur la
terrasse tirant sur la laisse à contretemps pour voir le comportement de son
nouveau toutou.
Satisfaites, les deux jeunes femmes décidèrent qu’il était l’heure de
prendre l’apéritif et pour agrémenter cet apéritif de préparer le jeunot
pour un petit divertissement qui devait avoir lieu après le repas. Les
maîtresses s’habillèrent plutôt chaudement pour la saison et Ils
descendirent tous les six dans le sous-sol.
La fraîcheur était au rendez-vous dans ce sous-sol banal, une cave à vin
d’un côté, un bric-à-brac de choses que l’on ne se résout pas à jeter de
l’autre. Au fond par contre, un semblant de décors qui faisait plus penser
un chambre de torture qu’à une cave, une estrade et au-dessus de cet
estrade, des chaînes accrochées au plafond. La lumière, blafarde comme il se
doit, projetait des ombres inquiétantes. Le jeunot prit place sur l’estrade
les mains dans le dos, les jambes écartées. Les trois autres esclaves
préparaient le spectacle sous la direction de Vicky. Bientôt installées dans
de confortables fauteuils, les deux femmes réclamèrent leur apéritif. Louis
fut chargé de les servir et de se tenir à leur disposition. Le viking et le
petit gros étaient aux ordres, il s’agissait pour eux de préparer le jeunot
sous les directives sadiquement contradictoires des maîtresses.
Une demi-heure s’écoula en essais, hésitation, tergiversations pour se
terminer par la position classique ou le jeunot se trouva debout, attaché au
plafond par les poignets, les jambes tendus, un plug dans le cul. Les
maîtresses s’étaient particulièrement attachées à trouver une manière
esthétique à pincer les couilles et la queue avec des pinces à linge.
Louis ne comprenait pas l’intérêt érotique de cette mascarade mais il vit
qu’elle faisait un effet bœuf au jeunot. Celui-ci bandait comme un taureau
et sa queue prenait une dimension insoupçonnable au repos, un liquide
blanchâtre suintait sur son méat urinaire. Vicky donna l’ordre de départ.
– A la bonne heure, j’apprécie que tu bandes comme ça, maintenant, nous
allons nous restaurer avec le bon repas que tu nous as préparé et nous
reviendrons te voir ensuite, j’espère que tu seras toujours dans de bonnes
dispositions, sinon gare.
Elle accompagna ses dires d’un violent coup de badines sur les fesses du
jeune homme. Le laissant là en ayant pris bien soin d’éteindre la lumière,
Ils remontèrent dans la salle à manger laissant le jeunot seul avec craintes
et ses désirs.
Comme le midi, les maîtresses s’installèrent à table, elles choisirent
chacune un esclave, Louis pour Vicky et le viking pour Britta, qu’elles
mirent sous la table. Pendant qu’elles dégustaient un repas froid mais
diablement appétissant surtout pour le petit gros qui était de service et
que la faim tenaillait. Les deux esclaves de leur côté, appliquaient tout
leur savoir-faire pour sucer ces merveilleuses créatures.
Le repas terminé, Britta exprima le besoin de s’isoler. Vicky s’installa
dans fauteuil pour boire son thé. L’air était à douceur et à la langueur. Au
bout de dix minutes, une petite sonnette comme celle qui se trouve dans les
hôtels que l’on voit dans les films, se fit entendre. Vicky s’adressant au
petit gros.
– Je crois que Britta a besoin de tes services.
Le petit gros rosit et il se précipita aux toilettes. Dès leur retour, Vicky
décréta qu’il était temps d’aller voir le mignon à la cave. Arrivée en bas,
après avoir allumé la lumière, ils virent le jeune homme clignant des yeux,
agressé, par cette lumière soudaine et trop vive pour lui. Sa queue était
retombée au repos et il semblait fatigué. La soirée commençait et le jeunot
devait en être le centre d’intérêts principal.
toujours attachés à la chaîne. Un pincement par-ci un autre par-là, Vicky
arracha les pinces à linge sans précaution faisant gémir l’esclave. Les
coups de badine n’étaient pas comptés. Le jeune homme en avait les larmes
aux yeux mais curieusement, semblait en redemander. Britta décida
d’harnacher le viking avec une muselière pour pouvoir le monter comme on
monte un cheval. Elle fit ensuite plusieurs fois le tour du jeunot ne
manquant pas à chaque fois de lui cingler les fesses avec un martinet. Les
deux femmes, fatiguées sans doute, décidèrent qu’il était temps d’en finir.
Elles ordonnèrent au viking et au petit gros de détacher le jeunot et de le
saucissonner avec la corde prévue spécialement pour cela.
Britta, s’adressant au viking et au petit gros.
– Comme cela, vous aurez un jouet pour vous tous seuls, vous aller pouvoir
l’enculer et tout ce que vous avez envie sans qu’il fasse des manières.
A ces mots, le jeunot se mit à avoir une érection extraordinaire et une fois
de plus, son sexe fascina tout le monde. Britta proposa au viking de sucer
le supplicié, le géant ne se le fit pas dire deux fois. Pendant ce temps,
Britta s’équipa d’un gode ceinture et encula le viking qui reçut l’hommage
avec des grognements de satisfaction. Le petit gros bandait comme un âne et
Vicky l’autorisa à enculer le jeunot qui ne pouvait rien refuser mais qui
semblait ravit de la tournure des événements.
Louis n’en vit pas beaucoup plus parce que Vicky, après l’avoir fait
allonger sur la table basse, lui mit un petit banc au-dessus de la tête. Ce
petit banc était percé au milieu d’un trou qui permettait juste le passage
du visage de Louis. Vicky s’assit dessus et alors, commença pour Louis une
merveilleuse séance de face-sitting. Il ne voyait plus ce qui se passait
mais il entendait le claquement d’un fouet; le bruit d’un manche que l’on
frappe par terre accompagné par un « changeait » prononcé par Vicky. De toute
évidence une variante de ce qui ce passe dans les bals ou l’on doit changer
de partenaire à chaque fois que le maître de cérémonie fait claquer son
balai sur le parquet.
Louis n’était pas jaloux, il avait une place de choix et il léchait le con
et le trou du cul de Vicky avec gourmandise. Vicky gigotait sur son banc ce
qui nécessitait tout le savoir-faire de Louis pour atteindre son petit trou
ou pour essorer sa chatte. Louis se surpris même à constater que tous ses
désirs étaient comblés et il bandait comme il n’avait pas bandé depuis
longtemps. Il supposa qu’il en était de même pour les autres esclaves.
Il était tard, Vicky se leva et tira sur la laisse qui était toujours
attaché au collier de Louis obligeant celui-ci à se relever. Il put alors
voir que le viking et le jeunot étaient tout en sueur, en position de 69. Le
petit gros était entre en les cuisses de Britta qui avait les yeux vitreux.
Vicky, s’adressant à Britta.
– Britta, tu veux bien surveiller que l’on détache le petit branleur. S’ils
le veulent, tu peux installer les esclaves dans la petite chambre au-dessus
du garage. Moi, je garde Louis, comme ça si j’ai envie de pisser cette nuit,
j’aurai ce qu’il faut à portée.
Britta acquiesça, déclarant qu’elle se gardait le petit gros pour
éventuellement le même service et plus si affinités. La nuit se passa
conformément aux souhaits de Vicky, pour le grand plaisir de Louis. Elle
l’autorisa à lui lécher la raie du cul jusqu’à ce qu’elle s’endorme et le
réveilla une fois pour se soulager dans la gorge avide.
Au petit matin, alors qu’il était dans un sommeil profond, il fut réveillé
brusquement manquant de s’étouffer. Il eut du mal à comprendre ce qui se
passait et n’arrivait pas à retrouver ses repères ordinaires. Se demandant
où il était et quel était ce poids au-dessus de lui.
Il commença à comprendre lorsqu’il reconnut l’odeur d’une chatte en chaleur,
il se rappela la soirée de la veille et sa condition de pissotière pour
dames. Vicky, à cause de la fraîcheur du matin, avait revêtu une chemise de
nuit et s’installait sur lui tout en le recouvrant. Dans la demi-pénombre,
il parvenait maintenant à reconnaître les cuisses et les petites lèvres
luisantes de Vicky. A peine, eut-il le temps d’ouvrir la bouche que déjà, un
flot odorant et tumultueux investissait son gosier. Bien réveillé
maintenant, il fut digne de l’honneur qu’on lui faisait. Comme d’habitude,
il se mit à bander, désespérant pouvoir libérer le flot de sperme qui à
chaque fois était alerté pour rien. Cette fois pourtant, après qu’il l’eut
bien essuyé, son icône se déplaça jusqu’à être au-dessus de sa queue et
s’enfonça doucement sur celle-ci.
Pour Louis commença alors un nouveau supplice, ne pas éjaculer tout de
suite, tenir, tenir le plus longtemps possible, tenir jusqu’à ce qu’il n’en
puisse plus. Vicky ne lui facilitait pas la tâche, au contraire, étranglant
le pieu de chair avec ses muscles vaginaux, elle effectuait des mouvements
de bas en haut avec son corps dans le but sadique de lui extraire son
condensé d’homme. Jouissant à la limite de l’évanouissement, Louis rendit
les armes dans un râle de satisfaction qui aurait été grotesque en d’autres
circonstances. Décidément, elle avait bien lu son dossier, dossier dans
lequel il avait déclaré apprécier particulièrement de pouvoir satisfaire la
petite érection du matin.
récurrent. Depuis qu’il avait vu cette galerie sur Vassilia, il lui arrivait
régulièrement de se réveiller avec un liquide poisseux sur le ventre et sur
les draps, ce rêve avait remplaçait le précédent qui se passait dans un
ascenseur.
Il regarda l’heure, il pouvait encore paresser une demi-heure dans son lit
avant de reprendre la routine quotidienne, auto, dodo, boulot. Il aimait
bien ces instants ou, conscient, recroquevillé sur lui-même, il pouvait
continuer à rêvasser et faire de la philosophie. Il essayait parfois de
continuer son rêve, mais il le savait déjà, lorsqu’il était réveillé, la
vraisemblance prenait le dessus à chaque instant, jamais jusqu’à présent il
n’avait réussi à vivre la suite que pourtant il connaissait déjà.
Il s’était déjà maintes et maintes fois demandé comment se faisait-il que
lui, qui n’était pas du tout sadique et encore moins masochiste, aimait
jouer le rôle d’esclave dans ses rêves. Il savait que cela était lié à sa
libido, en effet, dès qu’il était soulagé, le naturel revenait au galop. Il
supposait aussi que c’était la même chose pour tous ceux qui ont des
fantasmes qu’ils n’osent pas avouer.
Poursuivant son raisonnement, il en conclue que l’avantage de ce genre de
relations S.M., c’est justement, que quelqu’un vous ordonne de faire ce que
vous avez envie de faire, cela permet de déculpabiliser, alors que, la
pensée unique, la société condamne ce qu’ils appellent des déviations, cela
au nom d’une morale venue de la nuit des temps. Louis avait remarqué en
effet que dans la majorité des récits S.M., les auteurs ne manquaient pas
d’imagination pour prévenir toutes les possibilités d’échappatoires, comme
pour bien démontrer qu’ils réalisaient leurs fantasmes sous des contraintes
implacables, alors qu’en réalité, ils jouissent de pouvoir se laisser aller
à leurs démons. Autre remarque, les esclaves trouvent toujours une maîtresse qui les oblige à réaliser des fantasmes alors que beaucoup de ceux-ci ne sont excitants que pour les esclaves. Bizarrement, le plaisir que les maîtresses devraient théoriquement connaître était presque toujours occulté.
En poussant son raisonnement, Louis en venait à penser que c’était les
maîtresses qui étaient au service des esclaves!
On peut douter en effet, que des femmes aussi belles et avec autant de
personnalité, puisse s’intéresser à des chiffes molles qui se roulent à
leurs pieds. D’où la conclusion logique, il ne peut s’agir que de
professionnelles ou, exceptionnellement de compagnes qui acceptent, au fil
du temps, de réaliser les fantasmes de leur partenaires. Mais ces deux cas,
il ne peut s’agir que d’un jeu.
Alors, il n’existerait plus de maîtresses sadiques? Si, mais dès lors il ne
s’agit plus de maîtresses mais de mégères et il ne s’agit plus de sexe mais
de violence.
Les galeries de Britta et Vicky dont il est question ne sont plus visibles pour l’instant.
Une bonne ambiance et des passages assez bandant. Cependant force est de constater qu’on est loin pour comparer ce qui est comparable des récits de Boris Vasslan (la série Maîtresse Kriss) ou des séances de donjon de Maîtresse Chanette. Il manque notamment ici un doigt (si j’ose dire) de bisexualité masculine, puisque c’est ce qui fait le sel des récits des auteurs que je viens de citer
Ce doigt comme tu dis existe puisqu’à un moment la maîtresse demande à l’un de ses soumis d’en sodomiser un autre, mais c’est vrais que cela ne tient qu’en une seule petite phrase noyée dans ce récit que je trouve pour ma part de très bonne qualité