Trans-formation 4. Engagement par Alamour

Trans-formation
4. Engagement
par Alamour


Quel week-end ! En une journée et demie, me voici dans les bras de Sandra, ma chef de service transsexuelle qui, après m’avoir travesti, me fait découvrir les joies de la sexualité féminine sous toutes les coutures.

Après un repas de midi en amoureuses, en tête à tête, Sandra prit la parole au moment du café :

– Nous recevrons des personnes que tu connais bien pour le thé.

J’attendais la suite.

– Tu ne veux pas savoir ?

Comme j’opinais de la tête, elle poursuivit :

– Nous allons recevoir le patron de la boîte et ses deux adjoints, le couple des Claude.

Chose assez amusante, les deux adjoints, l’homme et la femme, vivaient ensemble et portaient le même prénom : Claude.

– Mais ils risquent de me reconnaître, fis-je, apeurée.
– C’est hors de question. Tu es méconnaissable habillée et maquillée ainsi, c’est à toi de ne pas te découvrir.
– Tu veux dire… me déshabiller ?
– Ca, c’est indispensable. Non, il ne faut pas qu’ils pensent que tu es, ou plutôt a été un employé de la boîte. Allez, prépare-toi, tu dois être la plus belle.

Après une douche, je m’installais devant le miroir pour parfaire mon maquillage. Mes gestes devenaient plus sûrs. Après m’être aspergée d’un parfum sensuel, je mettais ma collection de bijoux, des bagues d’orteils aux boucles d’oreilles en passant par le bracelet de cheville, la chaîne de taille, les bagues et bracelets, sans oublier un long collier. En me dirigeant vers la penderie, je me regardais dans la grande glace et m’admirais, si féminine, même sans vêtements.

J’avais choisi une tenue sage mais très féminine pour recevoir nos invités. Sandra était beaucoup plus décontractée, en déshabillé de soie. Lorsque notre patron et le couple arrivèrent, Sandra me présenta comme une très bonne amie qui venait d’arriver dans la région. Visiblement, je plaisais au patron qui me demanda de l’appeler « Charles » immédiatement.

La discussion ne fut pas longtemps sérieuse. C’est Sandra qui proposa :

– Marie-France, tu vas nous chauffer les sens. Fais un strip-tease.

Elle appuya sur une télécommande et la chanson de James Brown, « Sex machine » me poussa à me lever et me dandiner devant les quatre spectateurs. Debout sur mes talons, je tortillais mes fesses, me caressais le torse et le bas-ventre. Pour chaque vêtement à enlever, je me tournais. Lorsque je sortis mon soutien-gorge, j’eus une appréhension, pensant qu’ils allaient voir mon manque de poitrine et sûrement me reconnaître.

Lorsque je me retournai, c’est moi qui fut la plus surprise : ils avaient enlevé tous leurs vêtements en un temps record et se présentaient nus devant moi. Visiblement, ma danse leur avait plu puisque je découvrais quatre sexes dressés. Je ne m’étonnais même plus de voir une femme avec une verge…

Charles proposa de jouer à « Pipes maillard ». Le début était simple et bien agréable : il fallait sucer pendant quelques minutes chacun des quatre sexes, mais Sandra me prévint :

– Attention, après, tu ne pourras plus mettre les mains ni regarder, il faudra reconnaître le propriétaire du sexe proposé. Le sexe de Sandra, je le connaissais bien maintenant. Il était le seul complètement rasé. Celui de Charles était facilement reconnaissable lui-aussi en raison de sa taille. Il était le plus gros sexe que je n’avais jamais vu. De près, c’était impressionnant. Par contre, entre les Claude, les erreurs seraient systématiques.

Après m’avoir lié les mains dans le dos et recouvert la tête d’une cagoule noire, on m’assit sur un pouf. J’étais encore vêtue de mon string, de bas à jarretières et de nu-pieds à talons. Comme je le prévoyais, reconnaître un sexe avec ses lèvres et sa langue était très difficile. Après avoir sucé et léché pendant une minute environ, je devais dire à qui appartenait ce sexe. D’après les rires que j’entendais, je dus me tromper de nombreuses fois.

Lorsqu’enfin on retira la cagoule, Sandra donna les résultats : Charles avait gagné, Sandra était deuxième, Claude-homme troisième et Claude-femme dernière. Chacun d’eux, en fonction du classement, pourrait utiliser une partie de mon corps pour jouir.

Le premier Charles, après avoir enfilé un préservatif et l’avoir lubrifié, présenta son sexe imposant devant l’entrée de ma grotte. Malgré son utilisation importante durant ces deux derniers jours, mon anneau eut du mal à accepter un tel engin. Il fallut que Sandra lubrifie mon anus pour que Charles puisse entrer sans difficulté et commencer ses va-et-vient.

C’est alors que Sandra m’offrit à lécher et sucer son dard et que les Claude se placèrent de part et d’autre de moi pour que je les branle. En fait, c’est Charles qui donnait le tempo. A chaque fois qu’il avançait en moi, Sandra enfonçait sa verge dans ma gorge et j’opérais un mouvement identique à mes deux mains. A ce rythme, c’est Sandra qui jouit la première, à longs jets, au fond de ma gorge. Charles suivit peu de temps après. Lors de sa jouissance, son sexe se gonfla encore plus. J’eus l’impression d’éclater sous la pression. Il resta longtemps en moi et je sentis son sexe doucement se rétracter. Exquise sensation. Les Claude ne tardèrent pas non plus à jouir.

Sandra me demanda de récupérer leur sperme dans la main et l’avaler. Alors que je reprenais mon souffle après cette chevauchée, les quatre amants s’assirent sur fauteuils et canapé et me regardèrent. Sandra me demanda alors pourquoi je n’avais pas joui. Difficile de répondre.

– As-tu aimé notre séance, Marie-France ? Me demanda Sandra.
– Oh oui, bien sûr.
– Alors, tu dois jouir maintenant. Vas-y.

J’écartais alors mon string et saisissais mon sexe qui était resté flasque. Je commençais à l’agiter, puis entamer un mouvement de bas en haut. Mon sexe commença à prendre forme, mais l’érection n’était pas totale. Tout en continuant la masturbation, j’utilisais mon autre main. Avec mes ongles vernis en marron, je pinçais le bout de mes seins, puis malaxais les testicules. Comme l’érection ne me satisfaisais pas, j’avançais mon majeur entre mes deux globes et l’enfonçais dans mon anus bien dilaté et lubrifié. J’y ajoutais l’index puis le pouce. Seulement, cette pénétration n’eut comme effet que de rétracter davantage mon sexe.

Sandra se mit en colère :

– A quoi joues-tu ? C’est minable. Je vais te mettre ce toy géant entre les fesses comme punition, dit-elle en sortant d’un coussin un dong d’une taille supérieure au sexe de Charles. L’engin entra assez facilement au début, mais la sensation d’être déchirée fut puissante ensuite. Quand il fut en place, une chose était sûre, il ne bougerait pas. J’avais vraiment la sensation d’être remplie. Mon sexe, par contre, avait perdu toute vigueur.

Pour arriver à la jouissance, je choisis de le laisser flasque et décalotté. Du plat de la main, je le plaquais contre les bourses et me masturbais comme une femme. L’excitation du frein fut efficace. Mon sexe commença à prendre de la vigueur, mais je le maintenais dans cette position pour continuer à me masturber comme une fille que j’étais. La jouissance arriva rapidement. Mes bourses et le dong furent recouverts de sperme que Sandra se hâta de lécher en me félicitant.

Nos invités trouvèrent que j’étais charmante et souhaitaient me revoir. C’est alors que Sandra proposa :

– Et si on l’engageait dans la boîte, on l’aurait toujours sous la main ?
– Nous ne pouvons pas engager une personne de plus actuellement, répondit Charles.
– Non, ajouta Sandra, mais il faut remplacer le jeune homme qui a démissionné hier et Marie-France ferait bien l’affaire.

Personne ne semblait au courant, à part Sandra, d’une démission dans la boîte. J’ai su, plus tard, que le démissionnaire, c’était moi, comme homme. Sandra avait manigancé ma démission pour me faire embaucher sur le même poste comme Marie-France.

Après un tel week-end, la soirée fut calme en attendant le retour au travail avec mes habits féminins. Mais ceci est une autre histoire que je vous raconterais volontiers si vous le souhaitez.

Pour cela, merci de m’envoyer vos encouragements à alamour69@gmail.com

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2 réponses à Trans-formation 4. Engagement par Alamour

  1. Leslie Parenteau dit :

    très bonne histoire Suite si possible

    • Eddy dit :

      En fait il s’agit du chapitre « 4 » d’une saga de 6 récits
      Je vous invite à les lire
      Pour cela tapez le nom de l’auteur : Alamour » dans le petit moteur de recherche sur la droite.

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