Torrides vacances par Phm

Après ma douloureuse séparation d’avec Daniel, je n’aspirais plus qu’à
trouver le calme, la sérénité et me reconstruire le moral auprès de mon amie
Doris qui m’avait gentiment invitée à venir la rejoindre à la mer.

– J’arriverais par le train du soir.

Doris devait m’attendre à la gare, je l’avais appelée juste avant mon
départ. Exacte au rendez-vous, je l’aperçus immédiatement en descendant du
wagon… Elle n’avait pas changé et, pour tout dire, elle était plus belle
encore que lorsque nous nous étions rencontrées à la fac.

Archétype de la poupée Barbie et de sa plastique parfaite, elle réunissait
tous les attributs qui font rêver les hommes en répondant parfaitement aux
canons de beauté en vigueur ! Grande, mince – un ventre toujours
parfaitement plat, malgré des écarts alimentaires souvent répétés – blonde
naturelle, d’allure sportive sur ses longues jambes parfaitement galbées,
elle avait vraiment tout pour plaire.

Qui plus est, et comme si elle avait encore eu besoin de cela pour séduire,
la Nature l’avait, en plus, gratifiée d’une paire de seins absolument
splendides : un bon 95 D qui ne devait rien à la chirurgie plastique ou à un
quelconque apport de silicone…

Une véritable beauté de rêve qui n’a jamais caché son penchant pour les
tenues délurées et provocantes : très nature, pour elle la nudité avait
toujours été naturelle et l’exhibitionnisme une seconde nature.

– Salut Cathy, bienvenue en Provence ! Me lança-t-elle avec un véritable et
sincère enthousiasme tout en me sautant littéralement au cou et en posant
sur mes joues deux baisers aussi sonores qu’appuyés.
– Bonjour Doris, contente de te retrouver.
– Mais dis – donc tu es superbe, ma foi ; laisse toi regarder…

Visiblement flattée par mon compliment, Doris improvisa une petite danse sur
elle même pour me montrer comme elle était resplendissante : chaussée de
simples tennis blanches, ces jambes interminables étaient stoppées par un
petit short en jeans (plutôt court car l’arrière laissait deviner le bas de
ses fesses) et son buste savamment mis en valeur par un joli top blanc en
coton ; Sa transparence naturelle ne laissait planer aucun doute : elle ne
portait pas de soutien !

Son air joyeux et insouciant était encore souligné par un bronzage parfait :
sa peau avait la chaude couleur du miel.

– Toi par contre, je crois que tu as drôlement besoin de prendre le soleil
et de te  » colorer  » le moral… compte sur moi ; tu vas passer de super
vacances ici …

Elle empoigna mon sac de voyage et le jeta sur le siège arrière de son
superbe cabriolet.

– En voiture, j’ai hâte de te montrer ma demeure ; tu vas voir comme on y
sera bien…

Doris avait loué une grande bâtisse très calme dans un endroit discret un
peu à l’extérieur du village ; à quelques kilomètres seulement de la gare.
Prévue initialement pour y loger à cinq ou à six, elle était trop heureuse
de pouvoir m’y accueillir alors que ses deux couples d’amis venaient de lui
faire faux-bond.

– Tu vois, j’ai tout le confort qu’il me faut ici, deux grandes chambres,
une belle salle de bains, de quoi manger et tout ce qu’il faut pour cuisiner
aussi. On peut vivre à l’écart du monde en toute tranquillité… Mais j’y
pense, tu dois être fatiguée par le voyage… Va vite prendre une douche, on
dînera légèrement et on ira se coucher tôt ; j’ai déjà plein de projets pour
demain…

Tout cela fut vite expédié : je ne restai que quelques minutes sous le doux
jet tiède de la douche et, dès que nous eûmes englouti la salade que Doris
avait préparée entre-temps, nous allâmes nous coucher ; chacune dans notre
chambre.

Doris me souhaita bonne nuit en me gratifiant, à nouveau, de deux gros
baisers sonores sur les joues. Ce fut une nuit calme et réparatrice, même si
je garde le souvenir d’avoir quand-même fait quelques rêves assez érotiques
; sans doute comme suite au fait que nous avions évoqué nos récentes
aventures et frasques sexuelles respectives avant d’aller dormir…

****
Il faisait déjà plein soleil lorsque je me réveillai le lendemain matin. Je
descendis immédiatement à la cuisine pour y prendre mon petit déjeuner. Je
m’attendais à y trouver Doris mais il n’y avait personne. Par la fenêtre, je
l’aperçus à l’extérieur ; Elle était au bord de la piscine. Et finalement,
je ne fus pas tellement surprise de la voir ainsi étendue sur le ventre…
intégralement nue sur son matelas pneumatique !

– Bonjour Cathy, bien dormi ?
– Extra un bain de soleil intégral de grand matin, dis…
– Tu sais que le soleil tape déjà assez fort.
– S’il te plait, viens me mettre de la crème dans le dos, cela va me faire
du bien…

Je ne savais pas très bien comment prendre cette demande. Comme une
invitation ? Comme une envie déguisée ? Je me rappelai soudain nos années à
la fac ; lorsqu’à l’époque de mes premiers chagrins d’amour, Doris s’était
toujours montrée si compréhensive envers moi et me prenait alors tendrement
dans ses bras pour me consoler. Dans mes crises de larmes, j’avais toujours
trouvé auprès d’elle une épaule accueillante et une oreille attentive.

Je me souvins aussi que, déjà trahie et maltraitée par plusieurs garçons,
j’avais finalement trouvé bien plus que du réconfort auprès de mon amie… A
de nombreuses reprises, elle avait été si gentille avec moi, qu’à mon tour
totalement séduite par son irrésistible charme féminin, je finis par céder à
ses avances insistantes et m’étais donné à elle en acceptant de la rejoindre
dans son lit… C’est avec elle que je connus mes premiers -et, jusque là
toujours seuls- émois lesbiens… Je ne poursuivis cependant pas de réelles
relations amoureuses avec elle car, à priori, je préférais quand même faire
l’amour avec des garçons…

J’en gardais évidemment des souvenirs aussi émus qu’émoustillants…m’étant
toujours jurée que le jour où elle me proposait de recommencer, elle
n’aurait vraisemblablement pas à me le demander deux fois… Et aujourd’hui,
la voir ainsi nue à portée de la main était déjà de nature à me remémorer
ces délicieuses expériences… dès lors, je ne fis donc pas grand cas de ce
qu’elle me demanda et saisis sans plus attendre la bouteille d’huile solaire
dont je me versai une généreuse quantité dans la paume de la main.

Le contact du produit – plutôt froid au demeurant – la fit sursauter :

– Ouïe, c’est froid ! fit-elle en se cabrant soudainement…
– Ne t’inquiète pas, je vais te l’étendre tout de suite, ce sera très
agréable…

De la manière la plus sensuelle qui soit, je pris un soin infini pour
répandre le produit sur toute la surface de son dos et, alors que je
descendais progressivement vers ses reins, elle ajouta dans un souffle :

– N’oublie pas mes jambes et surtout mes fesses aussi ; elles sont fragiles
tu sais !

Je ne me le fis pas répéter et, retournant carrément la bouteille, je fis
jaillir un long trait de crème dont je lui recouvris bientôt tout le côté  »
pile « … Je la vis alors fermer les yeux et commencer à se passer la langue
sur les lèvres : elle appréciait ! Le traitement que je lui administrai
alors eut pour effet de la faire décoller tout à fait ! Alors que je massais
tendrement ses magnifiques globes fessiers, je fis exprès de laisser glisser
un doigt plus profondément dans le mystérieux sillon qui descendait vers son
intimité.

– Dis donc, t’es toujours aussi experte en massages toi. Allez vas-y,
fais-moi du bien !
– Je vais te masser aussi à l’intérieur, tu vas aimer ! Lui susurrais-je
tendrement à l’oreille…

Sans que j’aie à le demander, elle écarta d’elle-même ses cuisses
parfaitement bronzées jusqu’à l’aine ; me facilitant ainsi l’accès à ses
trésors féminins…

– Tu m’excites beaucoup, ma Cathy chérie… je mouille déjà pour toi !
Eut-elle juste le temps de révéler avant que mon index ne trouve sa corolle
effectivement très humide et déjà entr’ouverte ; je lui enfonçai un doigt
entre les lèvres !

A genoux derrière elle, je me plaçais entre ses jambes pour forcer celles-ci
à s’écarter davantage et aux premières loges de l’adorable spectacle d’une
jolie chatte toute ouverte et délicieusement offerte, je ne résistai pas
plus longtemps à l’envie de venir goûter à son nectar intime : M’allongeant
derrière elle, j’approchai mon visage de son derrière et posai une bouche
gourmande sur son sexe ; elle gémit de plaisir !

Lorsque ma langue commença à fouiller son intimité, elle se laissa aller à
son plaisir et remua ses fesses pour les approcher de moi…

– Encore, encore, Cathy adorée, mange-moi partout !

Je poursuivis mes caresses par l’administration d’un irrésistible traitement
: je me mis en devoir de sucer son clitoris aussi fort que je ne l’aurais
fait avec les mamelons de ses seins ; elle bondit de plaisir et me lança :

– Oh oui, oui, aspire-moi le bouton, fais-moi jouir, encore, encore, je
viens…

Comblée, Doris n’hésitait pas à crier sa joie en gesticulant du postérieur
dans tous les sens, elle s’abandonna dans un dernier soubresaut et se
relâcha pour m’inonder la bouche de sa précieuse liqueur.

Toujours vissée à son sexe maintenant trempé de plaisir, j’avais le menton
et le cou barbouillés de cyprine ; C’était délicieux !

Doris, jusqu’alors couchée sur le ventre, se redressa pour m’enlacer avec
une fougue inconnue jusque là.

– Ma chérie, qu’est-ce que c’était bon… viens que je te nettoie le
visage…

Elle se précipita alors pour m’embrasser la bouche, me lécher partout

PHM – phm@mail.be
Première publication sur Vassilia, le 18/11/2001

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Une réponse à Torrides vacances par Phm

  1. Soko dit :

    Je ne voudrais pas être méchant, mais voila un texte qui accumule les clichés et les fautes de narration
    Déjà, il faut attendre plusieurs paragraphes avant de constater que la narratrice est une femme…
    Ensuite c’est une enfilade de clichés : le ventre plat ! le massage à l’huile solaire…
    c’est tellement classique tout cela que l’érotisme ne fonctionne pas.
    Désolé.

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