C’est une aventure qui m’est arrivée quand j’étais étudiant dans une Grande
Ecole toulousaine.
Je dois avouer que j’aime me travestir depuis la puberté. J’ai débuté en
enfilant les affaires de ma mère et de ma grande sœur. Grand et mince (1m75
pour 68 kg), j’ai pu passer sans les abîmer leurs sous-vêtements, bas,
culottes etc. et leurs robes. J’ai pris beaucoup de plaisir à me masturber
en fille, et je rangeais vite leurs effets avant qu’elles ne rentrent. Je
n’avais jamais osé l’avouer à quiconque, encore moins me montrer en public.
Maintenant, marié et père de trois enfants, je vis mon travestissement
différemment. Je me cache toujours du public car j’exerce une profession
libérale dans un village. Mais je me rase les jambes régulièrement. Je dis à
ma femme que c’est parce que j’aime la douceur de mon corps épilé sur le
sien quand nous faisons l’amour et j’omets de lui dire que je me travesti
quand je suis seul à la maison. Des collants sur des poils, il n’y a rien de
plus laid ! J’en profite pour dire à tous ces exhibitionnistes que l’on voit
en sous-vêtements féminins sur Internet qu’ils pourraient au moins se raser
les jambes !
Bref, je vais vous raconter mon histoire, totalement véridique que j’ai
vécu en 1988.
Mon penchant pour le travestissement s’est calmé lorsque j’ai rencontré en
terminale une jeune fille dont je suis tombé amoureux fou. Je ne pensais
plus qu’à elle et j’étais alors un hétéro à 100 pour 100. De toute façon,
comme je vivais mon fantasme en cachette, je n’avais jamais connu d’aventure
homosexuelle, et je n’avais jamais été tenté par un garçon. Je m’étais
masturbé en m’enfonçant divers objet dans l’anus, mais je n’étais jamais
allé au de là.
Hélas, cette jeune fille m’a quitté peu de temps après mon départ pour
Toulouse. J’en ai beaucoup souffert, comme amputé d’une part de moi-même. Je
n’avais plus envie de côtoyer quiconque et je fuyais toute relation avec la
gente féminine. Ma sexualité s’est retrouvée au point mort …et quelque peu
flottante. Je me suis remis à me travestir avec beaucoup plus de moyens. Je
me suis confectionné une garde robe, avec de nombreux sous-vêtements, des
bas des collants, quelques robes, des escarpins…Je n’osais toujours pas
m’exhiber et je restais confiné dans ma chambre d’étudiant.
Il se tenait tous les jeudis une » boum » au Cercle des Elèves. Je n’y
mettais jamais les pieds, jusqu’à ce qu’une de ces fêtes soit annoncée à
déguisement obligatoire. C’était enfin une occasion de me montrer en fille.
L’après midi précédent, je me suis minutieusement préparé. Je me suis
longuement et soigneusement épilé. J’ai ensuite massé ma peau avec des
lotions adoucissantes. J’étais lisse et doux de la tête aux pieds. Je me
suis doigté et assoupli l’anus avec une crème. J’ai ensuite choisi un
adorable porte jarretelle rose auquel j’ai accroché des bas gris fumée. J’ai
enfilé une culotte assortie et un soutien gorge, que j’ai rembourré avec des
bas roulé. J’y ai également dissimulé des préservatifs. J’ai ensuite mis une
robe noire, qui s’arrêtait en corolle 10 cm au dessus des genoux. Je me suis
chaussé d’escarpins de 8 cm de haut. J’avais l’habitude de marcher avec dans
ma chambre, on verrait bien pour danser… Je me suis alors rendu chez une
copine d’étage pour qu’elle me maquille. Je lui ai demandé quelque chose en
rapport avec ma tenue : sobre et classe. Avec une perruque, le résultat
était saisissant. Je n’avais jamais été aussi belle ! Le petit copain de ma
maquilleuse regardait d’ailleurs mes jambes avec insistance…
Nous nous sommes rendus de concert à cette fameuse fête. Quelle volupté : la
douceur des bas, le frottement de la robe sur mes jambes, la fraîcheur de
l’air qui s’insinue jusqu’à la culotte…Toutes ces sensations m’ont
provoquées un début d’érection. La soirée s’annonçait sous les meilleurs
augures.
Le Cercle était bondé d’une foule bigarrée aux allures étranges. Robin des
Bois côtoyait des majorettes et des dragons.. Mon entrée est passée
quasiment inaperçue. Tant mieux. Je pouvais vivre mon fantasme dans
l’anonymat de la piste de danse. Je ne m’en suis pas privé et j’ai senti à
certains moments des caresses appuyées sur mes fesses. Je ne m’en suis pas
formalisé et j’ai laissé le plaisir remonter le long de mes reins. Mes pieds
se sont bien habitués aux talons et je sentais avec délices ma robe
virevolter, découvrant à l’occasion la lisière de mes bas. Lorsque je me
suis assis pour me reposer dans un coin peu éclairé, Pierre m’a rejoint,
deux verres de whisky à la main. Pierre est un camarade de promotion ave
lequel j’avais sympathisé. Il s’était déguisé en boucher, ce qui mettait en
valeur sa carrure d’athlète. Il m’en a proposé un et m’a demandé la
permission de s’asseoir à côté de moi. Je lui ai accordé et il m’a félicité
de ma tenue. Nous avons commencé à parler de tout et de rien, quand j’ai
senti sa main sur mon genou. Je lui ai souri, et j’ai écarté les cuisses
pour lui signifier mon assentiment. Sa main est alors remontée de long de ma
jambe, caressant le bas jusqu’à la peau nue. Il a marqué un temps d’arrêt,
puis est parti à la recherche de ma culotte. Nous ne disions plus rien, et
je le regardais intensément. Il trouva mon sexe bandé et le branla
doucement. Je lui retiens la main.
– Arrête, on va nous voir…
– Ne mens pas, je sens que ça te plait…
– Oui…Mais nous serions mieux ailleurs.
– Ok. Rejoins-moi dans ma voiture et on file chez moi. Elle est garée
derrière le Cercle. Je pars devant.
Il se lève et au bout de quelques minutes je le rejoins dehors. Je monte à
ses côtés et il se jette alors sur moi. Ses mains repartent à l’exploration
de mon corps et sa bouche se colle à la mienne. Sa langue me pénètre et
frétille sur la mienne. Je m’abandonne à ce baiser, tandis que son majeur,
après avoir écarté ma culotte me masse doucement l’anus. Il force doucement
mon sphincter et commence un va et vient langoureux. Du bruit nous
interromps et nous nous séparons. Je remets de l’ordre dans ma tenue tandis
qu’il démarre.
Le trajet se déroule sans un mot, et j’admire dans les reflets jaunes
électriques des réverbères les éclairs de lumière sur mes jambes dévoilées
par ma jupe retroussée.
Arrivé chez lui, je me suis installé dans le canapé. Il a mis de la musique
douce sur la sono, et m’apporté un autre verre. Nous avons trinqué puis
recommencé nos jeux de langue et de mains. Les miennes ne sont pas restées
inactives et j’ai effleuré son buste. J’ai flatté un temps ses pectoraux
puis j’ai entrepris d’explorer son bas ventre. J’ai trouvé une bite dure que
j’ai massé à travers le pantalon avant de m’attaquer à la braguette. Son
sexe a jailli, dur, turgescent. Je l’ai branlé puis ma bouche s’est détachée
de la sienne. J’ai baissé la tête pour retrouver son dard devant mes lèvres.
J’ai sorti la langue pour lécher le bout du gland. Ensuite je l’ai lentement
absorbé. Je l’ai fait pénétrer jusqu’au fond de ma gorge, le nez enfoui dans
son pubis. Elle était chaude, palpitante et ma langue la plaquée contre mon
palais. Alors que je me retirais, il s’est trémoussé pour se déshabiller.
J’entreprends un long pompage. Mes mains caressent ses couilles, les
malaxent. Je sors sa bite et lèche la hampe. Je prends une couille en
bouche, je l’aspire. Puis je reprends la pipe. Il soupire d’aise et ses
mains s’attaquent à ma culotte. Il la descend à moitié et prend possession
de mon anus. Il y met un doigt, puis deux. Il m’assouplit le cul, il
l’élargit progressivement. Je bande comme un taureau.
rendu comme un arc.
– Arrête, tu vas me faire jouir et j’ai envie d’autre chose.
Je comprends immédiatement, et je retire sa bite de ma bouche comme à
regret. Je me retourne et me positionne à quatre pattes, le cul tendu. Il
remonte le bas de ma robe sur mon dos et finit de me retirer ma culotte de
dentelle. Le spectacle que je lui offre doit valoir le détour : le cul nu,
cambré et flanqué des jarretelles est mis en valeur par les bas. Il prend
mes fesses à pleines mains et je sens avec délice sa langue humide sur mon
petit trou. Il l’humidifie et s’insinue à l’intérieur. Je me caresse les
cuisses, la bite. Il se redresse. Je fouille alors rapidement mon soutien
gorge et je lui tends sans me retourner un préservatif. Il s’en revêt et
pose sa bite sur mon anus. Elle est plus grosse que ses doigts. Il pousse et
l’intromission ne se fait pas sans mal. Je pousse à mon tour et le sphincter
cède, laissant pénétrer son sexe. Il s’arrête quelques secondes, puis amorce
une lente pénétration. Il s’introduit profondément et stoppe au fond de mon
cul. Ca y est. Pour la première fois, je suis enculé par un vrai sexe. Cela
n’a rien à voir avec tout ce que j’avais vécu jusqu’à maintenant. Les
sensations sont extraordinaires : le relief de sa queue dans mon conduit,
ses couilles contre mes cuisses. Je me sens complètement soumis à sa force.
La sodomie, ça se passe également dans la tête ! Il empoigne mes hanches.
Après s’être arrêté un instant pour laisser à mon cul le temps de s’habituer
à son diamètre, il se retire jusqu’aux marges de mon anus pour mieux
m’enculer à nouveau. Il augmente progressivement le rythme. Bientôt, il me
défonce intensément. Mes mains écartent mes globes pour qu’il aille au plus
profond de moi, et ma bite dure se balance au rythme de la sodomie. Il me
pilonne pendant ce qui me paraît être une éternité. Je cris mon plaisir sans
retenue et soudain il s’affale sur moi en gémissant. Je sens les
contractions de sa queue en moi tandis qu’il éjacule longuement. Je prends
alors mon sexe de la main droite et je me masturbe frénétiquement. Je jouis
à mon tour, sans remord pour son canapé. Mon plaisir est intense, supérieur
à celui connu dans le vagin d’une fille. Nous restons l’un dans l’autre
quelques minutes. Je sens son sexe mollir. Il se retire et je roule sur le
coté pour me lover dans ses bras. J’ai l’impression que mon anus est resté
béant et qu’il ne se refermera jamais. La sensation n’est pas désagréable et
je sais que mon cul accueillera bientôt avec plaisir d’autres sodomies. Il
m’enserre et nous restons immobiles, anéantis tous les deux par cette
jouissance partagée.
Voilà comment j’ai découvert les joies d’être enculé. Si cela vous a plus,
je vous ferais découvrir comment il m’a soumis…
Première publication sur Vassilia, le 18/11/2001