Tant va le Temps… Tant va le Cul… Au revoir… par Verdon

Tant va le Temps… Tant va le Cul… Au revoir… par Verdon

– Oh, oui ! C’est bon comme ça… Va s’y continue c’est bien… Humm ! Comme tu fais-ça, si bien… Tu es une bonne salope… Tu suces comme une vraie pute, ma chérie !
Allons, ne ralenti pas, bouge-toi un peu plus, serre les lèvres, avale-moi tout ! … Nom de dieu ! Fais-moi des galipettes…
– Schlup-schlup !… Slash… flop !… . (elle suce, elle bave, elle a l’œil blanc et vicieux… ).
– Ben voilà !… Elle n’est pas bonne ma bite ? régale-toi… Met-moi le doigt au cul !… il faut tout t’apprendre, bon sang !… Ne t’arrête pas, continue…

Il est là, couché sur le dos, comme un Pacha !
Entre ses jambes écartées elle lui lutine l’os à moelle, la drôlesse.
C’est qu’elle est bonne ! Oh putain qu’elle est bonne !
Un peu fainéante, il faut la secouer parfois… Et ça repart.
En plus elle aime. Ça fait un quart d’heure qu’elle suce et elle ne se lasse pas.

– Glop-glop !… .

Bon c’est vrai que quand elle faibli, il lui met les mains sur la tête, le salaud, et va s’y que je te pousse.
Elle s’étouffe, alors il la relâche. La pine s’échappe… perdue, elle ouvre grand la bouche, l’affamée, respire un grand coup, fait un sourire aguichant et hop, de nouveau dans le gosier et son doigt dans le cul…

– Slash- slash…

Elle aime ça, je vous dis ! C’est une gentille personne.

Oui, c’est donc un couple qui profite du calme d’une bonne matinée de soleil, pour faire ce nouveau genre de sport qui apparaît depuis peu sur nos plages, dans des coins retirés et peu fréquentés (du moins par le commun des mortels et conformistes).Ils se font du bien, souvent sous le nez d’autres touristes craintifs et plus curieux et voyeurs inavoués, que chercheurs de véritables rencontres. On est à la fin des années 70.

En fait il y a peu de couples, mais surtout des hommes seuls qui regardent de loin, se rapprochent doucement, se branlent et repartent bien souvent déçus, mais content de s’être rincer l’œil, quand ils tombent sur un couple comme celui que je viens de décrire.

A côté de ce dernier, justement, un autre couple s’est installé. Pas très loin, mais timidement ils s’assoient à quelques mètres, se rapprochent, se sentant moins isolés et à la recherche d’un peu d’assurance dans une certaine solidarité coupable.

Lui est déjà nu, costaud, plutôt bronzé, joliment outillé, bien que son agrément naturel trinqueballe entre ses cuisses. Il a l’air assez décontracté.

Elle au contraire, un peu crispée, elle n’a que les seins nus, et comme un peu effrayée, elle regarde de tous côtés.

Assise à ses côtés, elle lui demande :

– Mais qu’est-ce qu’ils foutent, ces deux-là ?
– Eh bien regarde… Tu vois bien, elle va lui faire une pipe.
– Oh comme ça ! Devant tout le monde !
– Tout le monde ? On est que nous, vois-tu ! Ils ne font rien de mal… (elle sourit… ), et j’ai l’impression que ça ne te déplaît pas !
– Pff… Quand même ! Oh mais c’est vrai elle ouvre la bouche !… Il a un beau sexe son ami ! Hi. Hi… Elle l’avale… ce n’est pas possible !

Eh bien oui, elle avale le joli mandrin, la gloutonne et sans remords, je vous le jure.

C’est beau à voir ! D’ailleurs la voyeuse ne les quitte pas des yeux, nos deux artistes. Elle reste la bouche ouverte et elle a les bouts des seins, qui durcissent.

Son mari en profite sans qu’elle s’y oppose, pour lui retirer son bas de maillot et commence à bander dur, tout en lui tripotant les fesses.

Le sucé, toujours allongé sur le dos comme un pacha, est aux anges !

Comme nous l’avons vu plus haut, il se laisse faire. Il la houspille de temps à autre.
Jambes et bras écartés, il relève simplement le bas ventre pour aller vers elle quand elle s’abandonne un peu trop à la mollesse.

La voisine, toujours très intriguée, sûrement échauffée par la scène, continue à regarder avec émotion, tout en branlant lentement le pénis de son homme très excité.

Notre suceuse semble maintenant vouloir changer de position.

Elle se lève. Chevauche son mec, se retourne en lui présentant son dos, et s’accroupit sur ses genoux, le cul tourné vers lui, fesses largement ouvertes vu la position qu’elle a prise.

Et quel cul mes amis !

Rond, charnu et fendu d’une profonde rainure culière qui laisse apparaître, tout rose et guilleret un trou du cul très singulier car diablement entrebâillé, on sent bien qu’il a dû souvent être à l’œuvre, au point de ne plus pouvoir se refermer complétement et laisser sa petite fenêtre entrouverte, comme le hublot d’un bateau de croisière !

D’un geste simple, la dame trempe sa main droite, dans sa mouille et la passe sur le petit opercule frétillant, puis, délicatement, comme si elle voulait s’asseoir, elle le présente au sexe bandé que lui présente son mec.

– Oh chéri ! Mais qu’est-ce qu’elle fait là !… Elle se trompe de trou !
– Mais non, voyons ! Elle veut se faire prendre par le petit trou !
– Pas possible ! Il va la sodomiser la cochonne !
– Bien sûr que si ! C’est son désir… C’est elle-même qui va s’enculer.
– Oh ! La-la… quelle honte !
– Mais là où il n’y a pas de la honte, il n’y a pas de plaisir !
– Idiot !

Ce faisant très excité par la scène, il lui glisse un doigt au cul.

– Arrête ! Cochon !… (il l’enfonce davantage, sans qu’elle cherche toute fois à se dégager… ).

Alors là, devant nos deux amis subjugués, la bonne dame en question s’est entièrement enfilée sur la grosse bite vertueuse.

Et elle y va la greluche. Elle monte, elle descend, elle attise un peu sa muqueuse sur la tête du nœud… La bouche ouverte, elle geint, elle trépigne, elle frissonne et redresse son buste flanqué de deux superbes tétons, en s’affaissant brutalement sur le pubis de son homme dont elle écrase les couilles tant il la pénètre profond.

– Aïe !!! qu’il s’écrie… Ouille ! Mes couilles !

Elle s’en fout (chacun son tour !), et continue dare-dare ses va-et-vient violents et en poussant des cris de femelle accouplée.

– Oh la salope, elle a tout pris, tout pris jusqu’aux couilles ! Hi ! Hi ! Il dérouille le mec !… ça a l’air de lui plaire à la vicieuse ! Oh putain comme elle danse !
– Eh bien tu vois ce n’est pas la mer à boire… Tu veux qu’on essaie ?… va s’y voir !
– Connard… va s’y, toi, te faire enculer !
– Moi non mais elle… si elle veut bien ! heu…
– Smack’ … (Il se prend une de ces claques… pas déméritée le mari.)
– Mais regarde comme il bouge lui, maintenant. Regarde, il jouit… oh je suis sûre qu’il jouit le salaud… regarde comme il lui cogne au cul ! Putain, je n’ai jamais vu ça ! c’est drôle… c’est excitant quand même !
– Tu crois qu’elle jouit elle aussi.
– Ben oui, vois comme elle fait des grimaces…

Elle s’échauffe, se soulève, fait des soubresauts, mais lui il la maintient par les hanches pour pas qu’elle ne s’échappe, sa jouisseuse.

– Ah c’est beau quand même !

C’est si beau qu’il se branle de plus en plus le mari. Et il se branle si bien que soudain son foutre jaillit violemment, jusqu’à asperger le flanc gauche et un sein de son épouse qui joue à l’écœurée en rouspétant tout en s’essuyant, mais en se pourléchant les doigts (elle ne perd rien la grognasse).

– Tiens, voilà qu’ils se calment nos sodomites. Elle continue à monter et descendre tout doucement… elle a l’air essoufflée mais heureuse.

Maintenant, épuisée, elle s’effondre en avant, entre les jambes de son ami et la pine ramollie s’échappe du petit trou qui a pris des airs d’aven des Causses… et d’où sort un flot de sperme et d’autres choses dirait-on.

– Tu as vu comme il est grand ouvert son trou du cul… La pauvre, il l’a défoncée, la malheureuse ! Quel trou du cul ! (on ne sait pas si elle parle du trou du cul ou du mari… bon c’est pareil allez-vous me dire !… Oups !).
– Crois-tu ! Il prend l’air, c’est tout. Regarde comme il se referme maintenant son petit trou bien assouvi. Il va redevenir mignon comme avant ! (elle ne sera plus jamais constipée… la Nana !).
– Toi alors ! Je voudrais t’y voir à sa place… .Pff !
– Mais tu as vu comme il est sale le pénis de son homme !
– Boff c’est l’inconvénient du métier… Quand on va au charbon…
– Dégueulasse !

Ça y est, elle se redresse debout et chevauche toujours son ami, mais face à lui. Elle se gratte le cul, puis tout d’un coup se met à pisser, à volonté, à gros flots qui s’écoulent sur le ventre de son mec. Jambes très écartées, elle se lâche la pisseuse. Ça sort de sa vulve en cascade et ça répand une douce odeur chaude et piquante, qui parvient jusqu’aux narines de nos deux voyeurs.

– Oh !, de plus en plus cochonne la salope !
– Mais vois-tu, au contraire, elle fait le ménage. Regarde elle nettoie cette verge que tu trouvais bien sale tout à l’heure.
– Voilà qu’elle la suce ! Ce n’est pas croyable !
– Ben si pourtant ! Tu veux essayer… Toi.
– Pff !… Mais tu deviens complétement con, mon pauvre ami ! Elle te rend fada, cette enculée !
– Hi. Hi… Enculée mais bonne ménagère !
– Triple idiot !
– Décidément, que des mots doux !

Toilettage bien menée, la fille va se baigner dans la mer toute proche, pour se rafraîchir, tandis que son bonhomme s’allonge sur le dos et s’endort indifférent, comme un phoque au bord de l’eau.

Quelques instants après, notre dormeur se réveille, se lève, s’étire et après avoir jeté un coup d’œil aux alentours, commence à tourner dans les dunes, à la recherche de, on ne sait quoi…

– Vous avez perdu quelque chose ? lui demande le couple voisin.
– Non, je cherche ma femme.
– C’était votre femme ?… Vous êtes mariés ?
– Ben oui, comme tout le monde… Enfin… euh, comme vous sans doute.
– Ah bon c’était votre épouse ?
– Bien sûr… Pourquoi ce n’est pas la vôtre… (en montrant sa compagne).
– Si, si… .tenez, regardez, il y a quelqu’un qui vous fait signe, là-bas.

Il va à sa rencontre.

– Si c’est la brune qui était avec vous tout à l’heure, je l’ai vu partir, il y a un moment avec un jeune blond, bras dessus, bras dessous.
– Merde !
– Elle vous a plaqué la salope ? Une belle salope entre parenthèse ! Chapeau ! Vous aviez fait un bon choix. Putain d’enculade ! Ouah ! Ce cul ! Dites-moi où peut-on la retrouver … On pourrait se la faire à tous les deux !
– Bon, bon… ça suffit, fermez la parenthèse s’il vous plaît et faites vos affaires tout seul… Tchao.

Il retourne récupérer sa serviette et ses vêtements et s’apprête à partir.

– Vous l’avez retrouvée ? lui demandent ses voisins.
– Ben non, elle est partie avec un blondinet !
– Ah ! Désolés…

Le couillon, qu’ils se disent (en pouffant de rire, la main sur la bouche… ). C’était fatal, il se l’encule comme une gourgandine… et elle se barre avec un blondinet ! Elle n’a sans doute pas perdu sa journée… Hi… Hi.

– N’empêche qu’elle avait un beau cul ! Moi avec elle !… .
– Salaud !…
– Oh ! Après tout lui aussi, il avait une belle queue qui m’aurait tout à fait convenue… Humm !
– Salope !

Et ils s’en vont nos deux amoureux. Elle a remis sa culotte, mais il lui glisse une main dedans pour lui tripoter le trou de balle.

– Oh chéri tu es un voyou tout de même !
– Si peu, si peu… et tu aimes ça coquine !
– Oh si on faisait la même chose ce soir, chéri ! Mais dans notre lit ! Hi… hi !

Eh bien me voilà parvenu au bout de cette petite histoire qu’il m’a plu de vous décrire évidemment. Histoire aujourd’hui, sans doute anodine car les mœurs ont beaucoup évolué depuis ce temps-là, pourtant pas si lointain.

On commençait à découvrir sur ces plages isolées et pas très fréquentées, des gens qui se livraient entre eux, à quelques facéties plus ou moins érotiques et libertines, avant que ça devienne un véritable engouement et une bonne façon de vivre des choses jusques là réprouvées.

Je fus assez vite dans le coup, ayant eu déjà quelques petites anecdotes licencieuses à mon crédit, toujours en apartés entre personnes adultes et que je connaissais.

Depuis, je prends plaisir à me promener sur ces rivages presque déserts mais où, dans les creux de petites dunes se cachent des amoureux pas très rassurés, des voyeurs, et surtout des hommes bien trop nombreux pour la demande. Il n’y a pas de femmes seules, mais quelques couples qui, comme dans l’histoire que j’ai raconté, s’exhibent mais ne se mélangent pas facilement.

Les plus hardis, comme ce couple, s’abandonnent à leurs bons instincts, d’autres suivent l’exemple et finalement grâce à eux, beaucoup de tabous tombent pour le grand bien des gens heureux.

Pour ma part je préfère me lancer dans des aventures plus confortables, grâce aux médias qui facilitent des rencontres et des échanges, si affinités, dans des lieux plus confortables.

Je renouvelle souvent ces promenades, nu sur ces fameuses plages. C’est tellement agréable de se balader les roupettes au soleil et sous l’œil aiguisé de gens qui ne cachent pas les leurs et apprécient celles qui s’offrent à leur vue.

Je m’accorde du temps à faire le voyeur. De rares fois, je profite d’un joli spectacle ou de quelques attouchements.

Je croise, de ci, de là, des couples qui baisent, entourés de voyeurs. Des hommes, pour la plupart, qui se branlent ostensiblement en espérant une bonne occasion qui ne viendra sans doute pas.

Certains, sans équivoque, me font des signes qui ne trompent pas, d’autres plus discrets et timides montrent leur étalages plus ou moins gaillards ou s’amusent à la ‘chienne’ en montrant leur cul… ils attendent.

C’est ainsi qu’un beau jour, dans un coin plus retiré que d’habitude, je crois reconnaître une connaissance, un ancien compagnon du régiment. Il me reconnaît lui aussi.

Surpris, mais sans honte, puisqu’on est tous les deux dans le même apparat, on se salut et je m’arrête à côté de lui, étonnés, autant l’un que l’autre qu’on se livre (oh ! les vilains… ) à ce genre de joyeuse activité.

Bel homme, comme moi, (je vous l’ai déjà dit, je suis vantard !), il est demi-allongé contre une dune et il bande fièrement, comme un étalon.

– Eh ! Salut Berto ! Heureux de te rencontrer ! à ce que je vois tu te portes bien il me semble !
– Salut à toi, vieux frère, tu m’a l’air pas mal en forme aussi ! Quel bon hasard te fait traîner tes roubignolles dans ces parages ?
– L’amour de la nature, mon cher… la viande fraîche… le braconnage… !
– A la bonne heure ! Moi aussi, vois-tu, je suis en chasse.
– La chasse à la grive je suppose. Le dos sur le sable et avec ton bâton gluant, tu attends que l’une d’entre elles s’y colle les ailes… sacré piégeur… fan de dieu !
– Les cuisses ! Mon cher ami… Les cuisses, c’est le meilleur…
– Oui là où il y a du gras, c’est le bonheur.
– Oui, sauf que les grives, elles volent trop haut ce matin… ce n’est pas comme l’autre jour, bon sang !
– Ah qu’as-tu donc fait ce jour-là ?
– Assieds-toi ici, que je te raconte.

Et voilà qu’il me conte toute l’histoire que je viens de vous décrire plus haut, (c’était lui, le mec !). Avec force de détails, bien sûr… la pipe, le cul, et la pisse et patati et patata… putain quelle histoire, bonté divine… il s’est fait une putain d’enculade à faire bander un énuque. (Il y en a qui tombent sur de chouettes nanas ! Il ne pouvait pas m’appeler ce con là, j’aurais fait le suivi et sans frais, la fripouille !).

– Bon, ok c’était du billard ! Mais dis-moi : ce n’était quand même pas ta femme ?
– Oui, ma femme, ma Nénette, celle que je baise tous les soirs dans notre lit et qui me demande toujours le cul !… Oui le cul son divin trou !
– Ben d’accord, ta nénette mais pas ton épouse… Ta femme d’occasion… celle d’un copain… peut-être que tu en serais capable mon salaud !
– Putain, mais tu es comme saint Thomas, toi… il te faudrait mettre les doigts dedans pour savoir…
– Ben pourquoi pas… (humm), mais elle s’est barrée ! (dommage !).
– Tu ne piges pas facilement, toi… Ah si tu savais comme elle est bonne !
– Bonne, mais elle t’a fait cocu… Remarque, gentiment tout de même. Elle ne t’a pas foutu des baffes ou un huissier au cul, elle. Certainement une brave femme.
– Et polie en plus ! Elle t’a quitté en te disant au revoir. Une façon très sympathique de te dire au revoir, tout de même.
– Il n’y en a pas beaucoup des femmes de ce genre-là ?
– J’aurais bien aimé la connaître !
– Toi aussi !
– Pourquoi t’as eu d’autres propositions ?
– Non, non, laisse tomber, c’est ses affaires à elle et… ‘que le cul lui pèle’.
– Ok, n’en parlons plus, je vais poursuivre, des fois que je trouve un autre gugusse qui aurait perdu sa nana, on ne sait jamais…
– C’est une idée bien sage et vue la forme que tu tiens, tu devrais trouver facilement. Sur ce, comme je ne vois pas passer de gazelles, je vais me taper un bon roupillon en me faisant bronzer le dos.

Et il se retourne mon copain, le ventre sur la butte, les couilles sur le sable chaud, et le cul en l’air.

Mais c’est qu’il a un beau cul, l’animal !

J’avais bien remarqué les jolis attributs de ce mec. Un solide braquemart qui doit bien plaire aux femmes et un paquet de baloches à rendre jaloux un verrat. Pas étonnant que son épouse ait tenu à en profiter encore un bon coup avant de s’en aller… mais rien ne dit qu’elle ne reviendra pas, la garce. (On sait bien que quand elles y ont goûtées… les gloutonnes… ), je l’espère pour lui…

Cependant, lui, côté cul, alors là, je suis surpris par son charme.

Car il a un beau cul, élégant, ferme et tendre à la fois, autant que majestueux. Ouvert insolemment en dessous de ses fesses, la vue chatoyante de roustons veloutés, qui tout en lui gardant son côté masculin, vous laisse imaginer le joufflu d’un travesti ou, pourquoi pas, encore mieux, l’apanage d’une trans.

Mes vêtements dans la main m’apprêtant à partir, je reste un moment à regarder l’offrande, curieux, flatté, j’hésite un instant…

Puis finalement, par politesse, n’en doutez pas, je vous l’assure, c’est important la politesse, je me décide…

Et je lui fais un ‘au revoir’… Oh oui, un de ces ‘au revoir’, si vous saviez !

Je crois qu’il en fut aise… et qu’il s’en souviendra.

Heureux et moi aussi…
Je ne l’ai plus revu.

20/03/2025

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Une réponse à Tant va le Temps… Tant va le Cul… Au revoir… par Verdon

  1. Harivel dit :

    Une jolie façon de dire aurevoir ! Mort de rire !

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