Stoffer 5 – Le collier de Marcia – 3 – Partouze à bord par Nicolas Solovionni

Stoffer 5 – Le collier de Marcia – 3 – Partouze à bord par Nicolas Solovionni

Au retour de nos aventures sur Orza, mes proches compagnons ont tout comme moi investis dans des établissements locaux, ainsi Dyane Makaya, ma seconde de vaisseau a racheté un important institut de massage, Nerren Petrov, mon navigateur et Nadget, ma technicienne préférée, ont chacun acquis un restaurant tandis que Dilos mon ingénieur de bord s’est payé un hôtel assez classe.

Vont-ils accepter de me seconder pour aller à la recherche d’un collier ?

– Si mon staff est d’accord on y va… Confiais-je à Marcia avant de la quitter

De façon surprenante, je n’ai eu aucun mal à les convaincre. Que voulez-vous l’espace est une drogue !

J’ai prévenu Sierra, la jolie transsexuelle, que je partais, et que je pouvais l’emmener, elle était folle de joie. J’aime bien de temps à autre faire plaisir aux gens.

Et après avoir prévenu Marcia nous avons décollé.

Une fois dans l’hyperespace nous avons sacrifié à la tradition, et cette tradition, vous la connaissez, chers lecteurs, un pot bien arrosé dans le mess des officiers et son inévitable suite orgiaque.

Je mets néanmoins Sierra en garde.

– Tu risques d’être l’attraction, autrement dit tu vas être sollicité sexuellement. Si ça te pose des problèmes tu peux toujours regagner ta cabine, on ne te violeras pas.
– Même pas un tout petit peu ? Me répond-elle avec un sourire désarmant.

Que voulez-vous répondre à ça ?

On débouche le champagne, on trinque. Et puis les choses démarrent très vite. Dyane s’approche de Nadget en adoptant une attitude on ne peut plus explicite.

Nadget l’accueille à bras ouvert (littéralement) et les deux femmes commencent par s’changer de sages bisous sur le bord des lèvres.

Elles sont maintenant collées l’une contre l’autre. Les vêtements ne tardent pas à dégringoler, les voici seins contre seins en train de se rouler des galoches.

Nerren a sorti sa queue de son pantalon et se dirige tout droit vers Sierra.

– J’aimerais bien que tu me fasse voir comment tu suces !
– Mais bien volontiers !

Et l’instant d’après la bite de mon navigateur était dans la bouche de la jolie transsexuelle.

Quant à Dilos, très peu porté sur la bissexualité, quoiqu’il ne faille jamais jurer de rien, parfois l’excitation nous entraine dans des chemins insoupçonnés. (voir les labyrinthes d’Orza). Il attend donc que l’inévitable jeu de chaises musicales lui permette l’accès à l’une de ces dames.

Et moi ? se demandera le lecteur. Moi j’aime bien regarder mais je ne m’inquiètes pas, j’aurais comme les autres droit à ma part d’orgie, je l’ai toujours eu, pourquoi voudriez-vous que ça change ?

Les deux femmes en sont déjà au boute minou à moins que ce soit des feuilles de roses, la façon dont elles sont disposées m’empêchant de distinguer les détails.

Nerren et Sierra ont alternés leur position et c’est maintenant Nerren qui suce.

Je bande de trop, il faut que je fasse quelque chose. Je me lève, sort ma bite de mon pantalon, rejoint Nerren et m’accroupis à ses côtés..

On se partage donc la queue de Sierra. Vive le partage ! Et inutile de préciser qu’on se régale.

– Tu me prends le cul ? Lui demande Nerren.
– Mais bien sûr mon chéri !

Il a été plus rapide que moi, tant pis, j’attendrais.

Ça gémit de plus en plus fort de l’autre côté de la salle, ce sont les deux filoutes qui s’en donnent à cœur joie. Elles jouissent l’une après l’autre en gueulant comme des damnées. Du coup le chat Yoyo qui était venu nous tenir compagnie, s’enfuit en galopant à toutes pattes.

Elles se sont relevées en sueur et éclusent un coup de champagne. Est-ce bien raisonnable ? Dilos les rejoint d’autorité et se met à caresser les jolis seins chocolatés de Nadget qui se laisse faire avec le sourire.

Je me marre de son choix, Dilos et Dyane ont longtemps été amant et maîtresse, ils ne le sont plus, mais sont pas fâchés pour autant.

Du coup Dyane me rejoint en faisant des effets de buste, on s’embrasse on s’enlace.

Elle s’amuse à regarder Nerren qui est en train de subir une sodomie d’anthologie.

– Tu voudrais bien être à sa place ? Me nargue-t-elle
– Oui, mais j’ai déjà eu l’occasion de tester la bite de cette troublante personne.
– T’es un cochon !
– Et toi tu n’es pas une cochonne ?
– Si pourquoi ? Fais-moi ce que tu veux, ce sera mon quart d’heure de soumise.
– Ah ? Et je te tapais sur tes jolies fesses ?
– Oh oui tape-moi sur mes jolies fesses !

Puisque c’est elle qui demande…

Je m’assois et invite ma seconde de vaisseau à se coucher sur mes cuisses j’ai ainsi une vue imprenable sur son joli postérieur. Je tape à la volée elle encaisse bien ! Faut dire que je ne tape pas comme une brute non plus !

Dyane semble y trouver son compte, si j’en crois ces gémissements très expressifs.

C’est moi qui ai arrêté ce petit moment de délire panpan-cucul. C’est que ça finit par faire mal aux mains cette petite fantaisie.

Un cri rauque à côté de nous un cri de jouissance ! C’est Sierra qui vient de prendre son pied dans le cul de Nerren. La trans décule exhibant à la cantonade une bite maculé de sperme et de d’un peu d’autre chose.

– Viens là ma grande que je te nettoie la bite, lui propose Dyane.

La coquine se jette sur son sexe comme un chat sur un mulot et se met en devoir de lui nettoyer tout ça en quelques coups de langue bien sentis. Quelle cochonne !

De l’autre côté, Dilos s’est couché sur le dos comme un gros feignant laissant Nadget qui transpire à grosses gouttes le chevaucher avec ardeur.

Quant à moi, je voudrais bien jouir à mon tour, ayant la bite douloureuse. Nerren qui est dans les mêmes dispositions que moi vient alors porter une main charitable sur mon sexe bandé.

Il me tripote le kiki, mais il fait ça mollement, je comprends qu’il souhaite tout comme moi sa part de jouissance.

Mais tout problème possède sa solution, que font deux bonhommes qui ont tous les deux envies de jouir ? Ils se mettent en soixante-neuf, pardi !

J’ai toujours eu un faible pour cette position sucé et être sucé, à ce point qu’on a l’impression de se sucer soi-même !

Nerren n’en pouvait plus et décharge dans ma bouche. J’avale tout et il se relève…

Ben et moi alors

Pas vache il se tourne et se penche m’offrant la vue de son joli petit cul. Ce cul il me l’offre, on ne saurait refuser un tel cadeau. J’ai donc enculé mon ingénieur de bord jusqu’à ma propre jouissance.

Moment calme, on boit du champagne ou des jus de fruits. Je m’amuse à observer le regard que Dilos porte sur le sexe maintenant flasque de Sierra.

Cette dernière s’en aperçoit.

– Tu peux me la caresser si tu veux !
– Non ce n’est pas mon truc !
– Essaie quand même, si ça se trouve tu vas aimer.
– Non, non !

Mais ce dialogue a retenu l’attention de l’assistance et ce « pauvre » Dilos se fait maintenant chambrer par tout le monde

– Allez Dilos, allez Dilos, allez
– Vous êtes chiant.

Il approche sa main de la bite de la jolie transsexuelle, la caresse quelques instants, puis pris d’une pulsion irrésistible, il s’agenouille et porte en bouche ce joli membre sous les applaudissements enthousiastes de l’assistance.

Comme quoi, il ne faut jamais dire « fontaine… »

Sierra se dirige vers la sortie du mess.

– Tu t’en va, t’es fâché ? l’apostrophe Dyane.
– Je vais pisser, j’ai une grosse envie.
– Pisse moi dessus !
– Hum, t’es vraiment cochonne, toi, mais je ne suis pas contre.

Dyane s’agenouille et ouvre une large bouche, Sierra se concentre quelques secondes avant de libérer son jet dorée. Nadget voyant la scène se précipite pour venir au côté de sa collègue et recevoir sa part de champagne intime.

Et laissons là pour l’instant cette bande de joyeux drilles (vous savez bien amis lecteurs que nous les retrouverons vite)

Kateylia

Kateylia est un comptoir regroupant des colons de toutes natures, Après des débuts troubles dus à la présence toxique de communautés gynarchiques, (voir Vargala-station, du même auteur) la planète jouit désormais d’un calme relatif..

La capitale regroupe les activités administratives mais possède son quartier chaud avec bordels et casinos.

Sur place, il me faut maintenant localiser ce Romani, j’envoie Rachel enquêter auprès de la capitainerie.

– Rien à faire ! Me dit-elle en revenant bredouille, ce fonctionnaire est psychorigide et mes charmes le laisse aussi froid qu’un glaçon.
– Il est peut-être gay, je pourrais lui envoyer Nerren…
– On peut toujours essayer…

Mais ce pauvre Nerren est revenu après s’être fait jeter comme un malpropre…

Changeons d’interlocuteur. J’ai donc voulu tenter ma chance auprès du gouverneur mais ce con n’a même pas daigné me recevoir

Ça commence mal !

Changement de tactique, je me rends dans un rade du quartier chaud et me met à taper la conversation avec une épave locale.

– Romani ? Il ne vient plus ici, il est en retraite, il s’est acheté une super baraque sur Simac3…
– Ah bon ?
– Vous en êtes absolument sûr ?
– On va demander au patron, s’il confirme ce que je dis vous me devrez 50 balles

Ce dernier confirma !

Simac3 est une planète pour rupins bénéficiant d’un climat enchanteur. (Voir Novassa du même auteur)

Donc on réembarque et on y va, les voyages forment la jeunesse ! Non ?

Sur Simac3 inutile de nous rendre à la capitainerie puisque le citoyen est résident, c’est au pôle administratif que nous nous renseignons.

– Romani ? Vous cherchez Romani ?
– Ben oui !
– Je peux vous demander pourquoi ?
– Nous étions en affaire …
– Ah ? Alors, vous allez vous approcher de notre responsable à la sécurité, c’est lui qui décidera s’il vous accorde un droit de visite ou non.
– J’ai du mal à vous suivre.
– Alors j’explique : Romani a tué son voisin, il est emprisonné en attendant son transfert

Oups !

J’ai donc pris rendez-vous avec le responsable à la sécurité, c’est une femme aussi sexy qu’une chambre à air.

– Et vous souhaitez le rencontrer pour quel motif ?
– Nous étions en affaires…
– Soyez plus précis.

Je n’ai pas préparé un gros mensonge et je suis un peu déstabilisé.

– Mais enfin, ça ne regarde que moi… Tentais-je.
– Dans ce cas : visite refusée !
– Mais…
– L’entretien est terminé, aurevoir capitaine.
– Mais…
– Sortez s’il vous plaît ! Hurle l’épouvantail.

Bon, je fais comment maintenant ? La situation semble bloquée. Je décide néanmoins de me déplacer jusqu’à la prison locale, en compagnie de Dyane, comme ça pour voir.

C’est en fait un hangar pas trop grand, avec un portail sans doute hypersécurisé, à mon avis il ne doit pas y avoir grand monde là-dedans ! Mais comment y entrer ? D’autant que l’endroit doit être vidéosurveillé.

S’approche alors de nous une petite bonne femme tout de noir vêtue et coiffée d’un chapeau à larges bords.

– Hi, hi, vous voudriez bien entrer, hein ? Nous nargue-t-elle.
– Oui, mais je crains que ce ne soit pas possible !
– Mais si !
– Pourquoi ? Vous avez les clés ? Me gaussais-je.
– Pas besoin de clé !

Et là voilà qui sort de sa sacoche une sorte de boîtier bleu métallisé.

– Avec ça vous pouvez entrer !
– C’est une clé électronique ?
– Non, un téléporteur.
– Pardon ?
– Ne cherchez pas à savoir comment j’ai acquis ce truc, disons que ça vient des labos de l’armée. 1000 crédits et c’est un prix d’amis.
– Mais comment ça marche ?
– Vous attendez 20 minutes que votre corps se connecte, puis vous vous mettez dans le sens de l’entrée, vous appuyez ici, et hop vous vous retrouvez trois mètres plus loin, donc de l’autre côté.
– Jamais entendu parler de ce truc.
– Ben forcément, la téléportation c’est intéressant militairement sur des longues distances, avancer de trois mètres, ça n’a aucun intérêt !
– Et c’est sans risque ?
– Aucun, s’il y a un obstacle à trois mètres vous serez téléporté avant l’obstacle. Allez, c’est 1000 balles.
– 500 ?
– Non, faut pas déconner non plus, je vous le laisse à 800 mais je ne descendrai pas plus bas.

Bref l’affaire fut conclue, la dame au chapeau disparut dans la nature. Je me tins dans la position indiquée pendant 20 minutes avant d’appuyer sur le bouton fatidique.

Et là, je vis le boîtier s’ouvrir et dévoiler sa véritable nature, celle d’une simple trousse de maquillage.

Dyane fut prise d’un fou rire irrésistible et moi je me retrouvais comme un con

– La salope, je me suis fait avoir comme un pigeon !
– Allez on rentre au vaisseau, on va réfléchir, tout problème a sa solution ! Me dit Dyane

Le souci, c’est que la solution je ne la voie pas, sinon revenir avec des mercenaires et faire une opération de commando. Ça commence à devenir lourd cette affaire !

Et voilà qu’une voix très suave sort d’un hautparleur

– Le capitaine Stoffer est prié de se rendre à la résidence du gouverneur !

Bon, qu’est-ce qui va me tomber sur la tête encore ? Il va me demander de déguerpir ? Non, si c’était ça il ne m’aurait pas convoqué, c’est donc autre chose, mais quoi ?

J’y vais avec Dyane, le gouverneur du lieu, un petit rondouillard au teint blafard habite une petite villa coquette…

– Asseyez-vous, je vais faire simple, j’ai appris que vous cherchiez à rencontrer Romani et qu’on vous avait refusé ce droit de visite. .
– Effectivement…
– Laissez-moi continuer. Je ne peux que confirmer ce refus mais il existe néanmoins la possibilité d’un arrangement…

Le gouverneur laissa passer un silence avant de continuer.

– Franchement Romani nous emmerde, il faut le nourrir, nettoyer sa cellule, le surveiller, on s’en passerait bien. D’autant que son transfert tarde à se concrétiser. Alors voilà ce que je vous propose, cette nuit on va oublier de fermer sa porte, vous le récupérez et vous décollez en vitesse avec lui à votre bord.

Je suis sur le cul !

– Ça vous convient j’espère ? Demande le gouverneur.
– Oui, bien sûr.

A suivre

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3 réponses à Stoffer 5 – Le collier de Marcia – 3 – Partouze à bord par Nicolas Solovionni

  1. Diri Dindire dit :

    Ça fait rêver ! Bravo à l’auteur !

  2. Baldi dit :

    Quelle ambiance fabuleuse ! Ce texte m’a bien fait bander la bite

  3. Forestier dit :

    L’auteur nous fais le coup à chaque fois avec la description de ses mégas partouzes a bord de son vaisseau cosmique, mais croyez-moi de ce choses-là , on ne saurait se lasser !

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