Jeu pervers – 2 – Maman retrouve le plaisir par Marc de Lyon

Après une journée entière passée à fantasmer comme un fou, je me retrouvais devant sa chambre d’hôtel, le cœur battant la chamade et les jambes qui ne me répondaient plus. Je frappai et j’entrai. Elle se tenait debout au milieu de la pièce, avec une robe de soirée noire qui cachait à peine ses cuisses. Elle pivota autour d’elle pour mieux exhiber sa robe et son corps. Je pus alors voir les traces de son string qui enveloppait des fesses à rendre fou !
– Eh toi là-bas! je te parle ! Me sortit maman de mes rêves, avec une voix moqueuse mais profondément affectueuse.
– Désolé maman je… je te trouves superbe ! Même mon père ne te reconnaît pas ! Dis-je.
– Ton père ?!!, murmura-t-elle avec un long et profond soupir, ton père ça fait longtemps que je n’existe plus pour lui ! Mais oublions ça, on est là pour s’amuser tous les deux non ?!!
– Bien sûr maman !
– Alors voilà, je t’invite à passer la soirée dehors! On va aller où tu voudras
– Si on commençait par rendre visite à mes copains dans une boîte où on se rencontre ?!
– Mais, Marc, ma présence va les gêner et ils n’auront pas toute leur liberté ! Et moi je ne voudrais pas ça.
– Alors personne ne saura que tu es ma mère ! Je te présenterai comme.. ma cousine ou ma copine…
– Ta copine ! Petit vicieux que tu es !! me dit-elle d’une voix moqueuse mais sur un ton qui ne laissait aucun doute sur son consentement.
Comme prévu selon le plan élaboré en chemin par nous deux, ma mère se fit passer pour une ancienne copine au nom de Sarah, une stagiaire en matière de comptabilité. Et la première partie de la soirée s’est déroulée à merveille. J’ai beaucoup dansé avec maman, je la tiens par les hanches, par les épaules. Je sens dans ma main les stries de son string, je caresse légèrement son cou avec mon index, son oreille avec mon pouce. Elle y trouve un plaisir apparent en penchant sa tête vers ma main pour me donner la réplique. Elle se colle à moi, pose sa tête sur mon épaule. Je sens sa cuisse fendre les miennes en se frottant contre mon sexe qui va éclater ! La musique s’arrêta et avant de se détacher de moi, ma mère posa avec ses lèvres un baiser chaud, moite et long sur mon cou. A la fin de cette partie, on quitta la boîte, main dans la main, à la recherche d’un restaurant pour le dîner.
– Par ici madame, monsieur ! nous accueillit le garçon.
J’échangeai un regard furtif et complice avec ma mère et sans même dire un mot, nous décidâmes de continuer à jouer le jeu. Le dîner se passa encore très bien. On a bien mangé, bien bu et de temps en temps on se lançait des regards voraces pleins de désir et de non-dit.
– Merci maman !
– Mais pourquoi mon chéri ?
– Pour cette superbe surprise. Je ferais tout pour te rendre heureuse !
– Tu l’as déjà fait mon amour, je suis la plus heureuse des femmes !
On décida après de boucler la soirée par un film au cinéma. Ma mère était un peu éméchée et ne pouvant se tenir normalement, elle s’agrippait contre moi avec ses deux mains et chamboulant ses cheveux sur mon visage.
Quelques personnes seulement occupaient la salle qui était presque tout entière à nous seuls. Ma mère me tint par la main et m’emmena dans un coin loin des regards indiscrets et nous prenons place. Le film avait déjà commencé mais on s’en désintéressait complètement. Notre jeu à nous vient de reprendre dans la pénombre de la salle. Je lance mon bras sur son épaule gauche. Elle le saisit, le fait passer par-dessous son aisselle. Ma main se trouve sur son ventre, juste sous sa poitrine. Je commence à caresser doucement ses seins dont les mamelles saillissent du tissu fin de sa robe. De son côté, elle pose sa main droite sur ma cuisse gauche en appuyant de ses doigts sur la chair serré dans mon jean. Tout cela se déroule alors que nos yeux sont fixés sur le grand écran. A un moment donné, je sens sa main s’approcher petit à petit de mon sexe gonflé. Je fais pareil. Je commence à descendre avec mes caresses vers le bas. Je touche sa cuisse, je la caresse, elle me caresse. Je commence à remonter sa robe, elle commence à effleurer de sa main mon sexe. Je touche le morceau de tissu sous sa robe, elle empoigne avec force mon sexe. Nous haletons tous les deux. Elle se tourne vers moi, je tourne vers elle. L’appel silencieux, intense et impérieux à un baiser se fait sentir. Au moment où on allait s’embrasser, la salle s’allume. Le film était fini. Mais pas notre aventure !
Au bout de quelques minutes, on se retrouva à l’hôtel. Le concierge dormait. Il ne se rendit guère compte de notre arrivée. Je pris une douche à la hâte pour céder la place à ma mère. En sortant de la salle de bain, je constatai qu’un seul lit était minutieusement bien préparé alors que l’autre servait juste de débarras pour les affaires de maman.
– On couchera sur celui-là, me dit ma mère, il est plus confortable que l’autre. Je l’ai essayé.
Sans attendre de réplique, elle se précipita à la salle de bains. Quelques minutes plus tard, elle en sortit. Surprise! Elle portait une nuisette blanche et un string noir comme dans les fantasmes que je lui avais révélés par internet. Un parfum follement excitant emplit la chambre et enfla davantage mon sexe. Sans hésiter un seul moment, je la prends par les hanches et je lui colle sur les lèvres un long baiser. Je l’approche du lit, debout tous les deux, je lui enlève sa nuisette, je lui lèche le cou, les oreilles, la joue, les yeux, le visage. Puis je mordille ces seins qui s’offrent à moi. Le goût délicieusement amer du parfum vaporisé sur la chair de sa poitrine me fait perdre la tête. Ses deux avant-bras me couvrent le visage, me serrent contre elle avec des gémissements de plus en plus intenses.
Elle me prend par les épaules, s’assoit sur le bord du lit et commence à m’enlever mon caleçon. Elle saisit mon sexe et le lèche doucement puis l’enfonce petit à petit dans sa bouche. Je sens sa langue caresser ma verge mise en mouvement, va et vient avec sa main droite. Extrêmement excité, je suis sur le point d’éjaculer. Tout doucement, je retire ma bite de sa bouche, je la fais allonger sur le lit et je me mets en face d’elle. Je lui tiens le pied gauche avec une grande délicatesse et j’enfonce ses orteils dans ma bouche en les léchant, les mordillant puis je commence la montée. De ses deux mains, maman me caressait fortement les cheveux. Je lèche et je mordille ses mollets, ses genoux, ses cuisses puis j’arrive au bas-ventre. Avec ma langue je touche cette partie encore cachée par le string. Les poils de son bas-ventre rasés, me semble-t-il, il y a un ou deux jours, me piquent agréablement les lèvres et ajoutent une bonne dose à mon excitation qui s’intensifie à mesure que ma mère lève les hanches pour mieux m’offrir son organe intime.
Je la saisis par les fesses, elle se relève légèrement et je lui enlève sa culotte. Je lui lèche les cuisses, les lèvres de son vagin et j’enfonce ma langue dedans. C’est moite, visqueux et délicieux. Je remonte, j’enfonce ma langue dans sa bouche. Maintenant, je sens les picotements de sa chatte mi-rasée au bout de mon sexe. Elle le saisit et l’engloutit doucement dans son vagin. Chaud, humide, il recevait morceau par morceau ma verge tellement grosse que j’ai la sensation que je vais dépuceler une jeune vierge.
– Oh Marc! Quel bonheur tu donnes à maman cette nuit ! Tu es le seul vrai homme que j’ai connu ! C’est avec toi que je me sens femme mon chéri !
– Je suis ton homme maman ! et tu es pour moi maintenant !
– Oui mon amour et moi je suis ta femme et pour toujours! Donne-moi du plaisir, aime-moi, je suis toute à toi !
Elle me prend et me met au-dessous d’elle, se met à genoux et fait pénétrer mon sexe dans son vagin. Elle me prend les mains, les place sur ses seins et entame un va-et-vient ponctué par des gémissements qui annoncent l’imminence de l’explosion, la sienne et la mienne. Une fois près du but, je la renverse et la cadence s’accélère. Je veux sortir ma bite pour lui arroser la poitrine avec ma semence mais elle me retire la main en me disant :
– Non, je le veux en moi ! je veux le sentir en moi !
Avant même qu’elle termine sa requête, son vagin, délaissé depuis des années, retrouve la vie et le plaisir.
– Mon dieu! Je vais m’évanouir de plaisir et de bonheur ! Merci mon amour !
Fin
Léger rewriting d’un histoire intitulée « double je »
Sur ce thème pas si facile, on a lu bien mieux, je trouve