Stoffer 6 – Les négriers du cosmos – 8 – La reine de la partouze par Nicolas Solovionni

Stoffer 6 – Les négriers du cosmos – 8 – La reine de la partouze par Nicolas Solovionni

Avec Dyane, nous sommes repassés comme convenu devant le juge d’instruction lequel parait embarrassé.

– J’ai sollicité auprès du commandant Sangor des investigations complémentaires. Il maintient sa version…
– Quelles investigations ? Je ne l’ai pas revu…
– Ne me coupez pas la parole je vous prie ! Sangor maintient sa version et vous accuse de tentative d’assassinat, mais est incapable de fournir la moindre preuve. Donc dans le doute je prends les décisions suivantes ! Primo : je fais lever le verrou magnétique de votre vaisseau et vous donne 24 heures locales pour quitter la planète. Secundo : vous serez définitivement interdit de séjour ici, cela est également valable individuellement pour tout le staff de votre vaisseau.
– C’est gentil, merci ! Me gaussais-je.
– Si c’est du sarcasme, je peux vous infliger une amende pour outrage à magistrat !
– Non, non je voulais juste vous remercier…
– Foutez-moi le camp.

En sortant Maître Maude Hansson m’entreprend :

– Quel con ce type ! Il n’est pas complétement corrompu mais un peu quand même !
– C’est ce que je me disais aussi…
– Vous savez j’en ai un peu marre d’exercer ici, la corruption est partout, ce n’est pas évident de travailler de façon sereine, un jour je vais craquer…
– Changez de coin !
– C’est plus ou moins mon intention, vous allez où en décollant ?
– Je vais rentrer sur Vargala.
– Il y aurait du travail pour moi là-bas ?

Je lui explique la situation…

– En fait il n’y a que des petites affaires de police, les affaires graves sont gérées par la mafia locale et elle ne s’encombre pas de la présence d’un avocat.
– Tant pis !
– Mais pourquoi n’ouvriez-vous pas un cabinet de conseillère juridique.
– Ah, oui, c’est une idée, ça ! Vous m’embarqueriez ?
– Mais avec plaisir.
– Vous êtes un amour ! Au fait j’ai eu des nouvelles du capitaine Béchima !
– Ah oui ? Dites-moi !
– On a retrouvé son cadavre dans une benne, avant-hier.
– Ciel ! Et son vaisseau !
– Il est reparti, je n’en sais pas davantage.
– Quelle planète pourrie !

Et nous voilà prêts à partir pour le voyage retour en compagnie de l’avocate et d’Ozawa.

Ozawa connait les traditions de la marine spatiale, (voir l’épisode précédent) au contraire de Maitre Maude Hansson. Je la mets donc au courant.

– Et on serait combien ?
– Mon staff plus Sheila et Ozawa… donc on devrait être huit…
– Hum ! Etre à la merci d’un groupe entier d’hommes et de femmes, ce doit être fabuleux !
– On fera les présentations dans le mess quand on sera passé en hyperespace, et on se boira un coup… et plus si les circonstances s’y prêtent.
– Et vous croyez que les circonstances s’y prêteront ?
– J’y veillerai, ma chère !

Trois heures plus tard nous sautions dans l’hyperespace. Les présentations se font de façon un peu bordélique mais Maude Hansson tient à mettre les pieds dans le plat.

– Bonjour tout le monde ! Je suis contente d’être parmi vous ! Je suis une avocate un peu libertine et je ne suis pas contre le fait d’être un peu bousculée, je suis un peu soumise, j’aime aussi bien les hommes que les femmes, alors messieurs dames si ça vous intéresse, je suis à votre disposition. En attendant je lève mon verre à notre santé ! Tchin tchin !
– Doit-t-on comprendre que vous acceptez que l’on vous fasse subir les derniers outrages ? Lui demande Dilos.
– Les derniers outrages ? Pourquoi les derniers ? J’espère bien que ce ne seront pas les derniers !

Dyane amusée s’avance gaillardement vers elle..

– Et si tu nous montrais tes nichons, ça mettrait de l’ambiance.
– Alors allons-y pour l’ambiance ! Répond Maude en se débarrassant de son top, puis de son soutien-gorge.
– Wha ! C’est pas mal tout ça !
– Eh bien, embrasse-les, ma grande, ils adorent ça qu’on les embrasse.

Dyane n’est pas du genre à se faire prier et elle embrasse gloutonnement les seins de la belle avocate, faisant durcir sous sa langue ses jolis tétons bruns.

– S’il y en a d’autres qui veulent en profiter, aujourd’hui je m’offre à tout le monde ! Croit devoir préciser Maude.

Dilos et Ozawa s’approchent. Deux sur une poitrine c’est possible, trois c’est moins évident.

– Ce serait peut-être mieux si je me déshabillais complétement ! Suggère l’avocate en joignant le geste à la parole.

Dilos passe derrière elle et lui flatte les fesses.

– Pendant que tu y es, enfonce-moi ton doigt dans le cul !
– Mais bien sûr, princesse !
– Princesse mon cul !
– Si tu veux, tu le sens, là, mon doigt ?
– Pas trop, enfonce un deuxième, ça le fera mieux !

Et pendant que l’avocate se fait ploter par ces messieurs dames, Nadget s’est approché de moi et a dégagé ma bite de sa braguette afin de la porter en bouche. C’est qu’elle suce divinement bien la petite blackette… cependant je lui indique que la situation serait plus fun si nous nous mettions à l’aise… Alors elle s’interrompt, on se met à poil et elle reprend sa pipe.

Quant à Sheila et Nerren, ils commencent par se bécoter gentiment avant de se tripoter allégrement.

Et en ce qui concerne le chat, Yoyo, il se ballade de ci-de là la queue en l’air en proie à une grande perplexité, se demandant sans doute pourquoi les humains baisent si différemment des matous.

Maude décide de prendre ses aises et profitant que la banquette soir libre, s’y affale, obligeant Dilos à retirer ses doigts qui pourtant s’y trouvaient bien là où ils s’étaient nichés.

L’avantage de la position, c’est qu’il y a davantage d’espace pour les caresses, aussi Sheila et Nerren rejoignent le groupe des peloteurs

L’avocate est maintenant sollicitée de partout ! On l’embrasse, on lui suce les tétons, Nerren lui doigte la chatte. Un vrai festival ! Ses cuisses se mouillent du jus de son plaisir…

Et puis d’un coup Nerren la pénètre au grand dam d’Ozawa qui aurait volontiers pris sa place.

Mais Ozawa est un cochon et sachant les tendances bisex de Nerren s’en prend aux fesses de ce dernier et l’encule assurément. formant donc un joli petit train. Tchouf Tchouf !

Quant à Dilos il s’est placé au niveau du visage de l’avocate afin qu’elle puisse lui sucer la bite.

– On les rejoint ? Me propose Nadget.
– Je voudrais bien, mais il n’y a plus de place !
– Alors tant pis, je vais te jouer la chevauché des Walkyries.

Elle s’empale sur ma bite en position de lap-dance et la voilà qui monte et qui descend, me provoquant des douces sensations

Je la connais suffisamment pour deviner la suite… Et ça ne rate pas, elle se désempale, mais c’est pour changer de trou. Et la voilà qui reprend ses montées et ses descentes. Quelle sensation d’enculer quelqu’un sans rien avoir à faire (comment ça, je suis un gros feignant ?)

Toujours est-il qu’on s’est fait jouir tous les deux, on se relaxe un peu en se prodiguant de douces caresses et de tendre baisers. Ben oui un peu de romantisme, ce n’est pas mal non plus !

On ne voit plus rien de ce qui se passe sur la banquette, mais on entend des gémissements ininterrompus, c’est que tout doit bien se passer !

Dilos a éjaculé dans la bouche de l’avocate qui se fit un plaisir d’avaler son sperme. Du coup, Ozawa abandonne le cul de Nerren pour se faire sucer à son tour.

Deuxième décharge et deuxième dégustation de sperme pour Maude. Quant à Nerren il a changé de trou et sodomise maintenant l’avocate à grands coups de queue; la faisant miauler de plaisir et cela jusqu’à sa propre jouissance. Nerren finit par jouir en poussant un cri incongru. Il sort sa bite et se la fait nettoyer… Quand on aime le sperme, pourquoi s’en priver ?

Les hommes ont besoin de souffler un peu, mais Maude n’est pas rassasiée, Dyane et Sheila sont encore près d’elle, et c’est bientôt un trio lesbien de folie qui s’offre à mes yeux.

On se plote, on se lèche partout, les doigts explorent tout, les langues deviennent insatiables, et ça mouille, ça rigole, ça gémit, c’est la fête au gazon… et ça jouit !

Moment calme simplement interrompu par le miaulement de Yoyo. Je lui offre un petit four salé, il la bien mérité, il a été sage et il n’a griffé personne !

Maude se fait soudain provocatrice et vient défier Nadget !

– Dis donc toi ! T’es pas venu me caresser, Je ne te plais donc pas ?
– Et si je te dis que tu ne plais pas, tu vas me répondre quoi ?
– Qu’on ne peut pas plaire à tout le monde.
– Viens donc m’embrasser, andouille !

Attention, ça va repartir !

Et hop, en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, les deux coquines se retrouvent sur la banquette en positon de soixante-neuf.

Nerren s’approche de moi ! Attention à mon cul !

– Alors tu ne bandes plus ! Me nargue-t-il.
– Je suis en pose !
– Tu veux que je t’arrange ça ?

Il n’attend pas ma réponse et commence à me masturber, je me laisse faire sachant pertinemment comment cela risque de se terminer, mais ça ne me dérange pas ! Pas du tout même !

Alors, je prends les devants, à moi de m’occuper de sa belle bite que j’ai tôt fait de faire rebander correctement.. Je la mets en bouche ! C’est mon péché mignon, j’adore sucer des belles bites et la sienne est particulièrement attractive. Je m’en régale et m’applique à lui prodiguer tout ce je sais de l’art de la fellation. On m’a déjà dit que j’étais un bon suceur de bites ! Et ne croyez pas que j’ai honte ! J’assume complétement !

Alors bien sûr quand deux mecs un peu bitophiles s’amusent, la conclusion va de soi et j’offre mes fesses à mon navigateur qui m’encule sans hésiter.

Les deux filles se sont calmées après s’être fait jouir réciproquement et nous regardent.

– Mais t’es un gros cochon, capitaine ! Me nargue Maude.
– On est tous des cochons et toi la première !
– Cochonne, moi ! Je ne le fais pas exprès, je ne peux pas m’en empêcher !
– Et t’as pas honte ?
– Oh si ! Me répond-t-elle sur le ton de la comédie. Je crois même que je devrais être punie pour ça…

Et elle se retourne et demande à la cantonade :

– Il paraît que je suis cochonne et que je devrais être punie. Il y a un volontaire pour me flanquer une correction.

Je me demandais lequel des trois hommes serait volontaire pour ce genre de choses, mais à ma grande surprise, c’est Dyane qui se propose et qui récupère son ceinturon.

– Amène-toi ma grande, je vais te rougir ton gros cul !
– Il n’est pas gros !
– Amène-toi quand même !

L’avocate rejoint de nouveau la banquette où elle se positionne en levrette, le cul bien en évidence. Le premier coup lui cingle le joufflu !

– Comme ça ?
– Même un peu plus fort ! Répond Maude.

Manifestement Dyane prend un plaisir quasiment sadique à flageller sa victime consentante. Cette dernière a bientôt le cul rouge comme une pivoine.

– Bon, j’arrête ! Lui dit Dyane, mais maintenant tu m’as fait mouiller comme une éponge, je ne vais pas rester comme ça, tu vas me lécher la chatte !
– Mais bien sûr !

Et Maude se mit à laper la moule de Dyane avec avidité jusqu’à sa jouissance ! Elle est insatiable cette fille !

– Et maintenant j’ai envie de pisser ! Je te pisserais bien dans la bouche !
– Oh oui !
– Et t’as intérêt à tout boire !
– Oui, oui !

Et tandis que l’avocate se régale du jet dorée de ma seconde de vaisseau, Nerren jouit dans mon fondement et décule me laissant le trou du cul béant et légèrement douloureux… mais ça va passer…

Cette fois l’orgie semble bien terminée, on remplit les coupes de champagne et on rigole. Maude est satisfaite elle a été la reine de la partouze !

A suivre

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Une réponse à Stoffer 6 – Les négriers du cosmos – 8 – La reine de la partouze par Nicolas Solovionni

  1. Muller dit :

    Elle assume, la belle avocate !

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