Sanisette par Enzo Cagliari
Texte scato explicite
Cette aventure a marqué un tournant dans ma sexualité. Je n’avais rien contre la scato mais je la limitais à mes fantasmes, ne me sentant pas motivé pour passer à l’acte et ne m’en étant non plus jamais donné l’occasion.
Et puis un soir
On rentre du cinéma avec Angie, une nana sympa que j’ai dragué dans un bistrot, on sort ensemble depuis quinze jours, et on couche tantôt chez l’un, chez l’autre, elle est sympa, une petite brune souriante pas compliquée et très délurée. Son seul défaut est d’avoir des petits seins, moi qui adore les gros, on ne peut pas tout avoir. Et voilà que…
– J’ai une grosse envie…
– Il y a une sanisette là-bas !
– J’ai horreur de ces trucs, là, je suis claustrophobe.
– Qu’est-ce que tu veux qu’il t’arrive, il y a un dispositif anti blocage…
– Non, le machin se retourne pour le nettoyage, quelle mort affreuse…
Bref elle balise la petite Angie.
– Si tu veux je rentre avec toi.
Elle finit par accepter. Elle entre dans la sanisette, baisse son futal et se met à pisser sans toucher la cuvette. Jolie spectacle auquel j’ai déjà eu droit, mais je ne m’en lasse pas, j’adore voir une fille pisser.
Je pousse même le vice jusqu’à mettre ma main sur le filet qui coule et la porter à ma bouche.
– Tu l’aimes bien ma pisse, hein, gros cochon ?
– Ma foi, je ne vais pas dire le contraire.
– Et bien reprend en, c’est mon jour de bonté !
On ne refuse pas ce genre de choses quand on est branché uro comme je le suis.
Mais l’anecdote n’était pas terminé (vous vous en doutez bien)
– Je crois que je vais en profiter pour faire caca !
– Vas-y, je me tourne !
– Mais non, regarde !
– Non, je me tourne
– Pourquoi, ça te dégoûte ?
– Non, mais ça me gêne !
– Eh bien, met ta gêne au vestiaire, moi j’ai envie que tu me regardes faire.
Bon je ne vais pas la contrarier d’autant que je ne sais plus trop quoi dire pour me défiler.
Angie se met à pousser, toujours avec le cul décollé de la cuvette. J’avoue que le spectacle a quelque chose de fascinant, Un petit étron qui peine à sortir, puis qui se met à grandir, pour finalement se détacher et atterrir dans l’eau dormante avec un grand plouf.
Un deuxième étron suit le même chemin, et un troisième. Je suis partagé entre fascination et répulsion. La fascination doit emporter ce match insolite puisque contre toute attente, je bande comme un cerf.
– C’était joli ? demande Angie, mutine
– Pas mal.
Elle tend la main vers le distributeur de papier.
– Merde, c’est vide, tu n’aurais pas un kleenex.
Je cherche dans mes poches, je trouve un paquet, je lui tends.
– Non, ça ne va pas, qu’est-ce que tu veux que je fasse avec ça, c’est pas assez large.
– Tu te nettoieras à la maison, ce n’est pas une catastrophe.
– Non, mais je n’aime pas me balader avec de la merde collée aux fesses.
– Si on ne peut pas faire autrement…
– A moins que tu me nettoie le cul avec ta langue !
– Ben voyons !
– Non, je dis ça sérieusement.
Alors elle se relève, se penche en avant, écarte ses fesses et me fais voir son cul. Il reste un peu de caca autour de l’anus.
– Y’en a pas tant que ça ! tentais-je de temporiser.
– Eh bien justement ce sera plus facile, vas-y lèche !
Grand moment de solitude et de perplexité
– Bon tu ne vas pas faire ton dégoûté, tu as goûté ma pisse tu peux bien lécher ma merde !
– C’est pas pareil !
– Essaie au moins au lieu de rester là comme une andouille.
J’approche mon visage, l’odeur me fascine, je tente un coup de langue sur une zone cacateuse, pas de quoi s’enfuir en courant, second coup de langue, le pli est déjà pris, et tandis que ma braguette est sur le point d’exploser tant ma bite bande, je nettoie toute la merde qui trainait autour de son petit trou du cul..
– Alors elle est bonne ma merde ?
– Pas mauvaise.
– Embrasse moi !
On le fait alors que j’ai encore le goût du caca dans ma bouche, quelle cochonne cette Angie.
– Angie, je bande !
– Et tu voudrais que je te fasse une pipe ?
– Ben oui !
Elle n’est pas chiante, Angie, elle me l’a fait cette pipe, j’ai bien joui en repensant à son trou du cul merdeux que je venais de lécher.
On ressort. Un type semble choqué de nous voir sortir à deux.
– Ben faut pas vous gêner tous les deux ? Rouspète-t-il
– Mais cher, monsieur, quand il y a de la gêne, il n’y a pas de plaisir répond Angie.
fin
Bof !
Un peu décevant de la part de cet excellent auteur
on sent la fatigue
Le fantasme ne me gêne pas mais Enzo nous a habitué a tellement mieux
Il s’en passe parfois de ces choses dans les sanisettes parisiennes
« C’est toujours dans des circonstances particulières que naissent les goûts particuliers » disait je ne sais plus qui, dommage que ce soit si court, c’est rigolo et assez émoustillant