Pipis de vacances. (1/3) par Jean-Michel_et_Martine

Notre voyage vers lieu de nos vacances se terminait. (Voir Psycho-uro à 130
kmh). Sortis à Rennes, nous avions pris la direction de Vannes par la voie
rapide avec un petit souci: cette voie était moins pourvue en
stations-services que l’autoroute, donc, moins de possibilités de pipi pour
ma petite pisseuse. Fort heureusement, on apercevait une sortie qui semblait
pouvoir nous conduire vers un bois sans doutes accueillant.
Par bonheur, au bout de deux ou trois cents mètres, cette route, quand même
fréquentée, offrait une petite possibilité de parking.

– Bon… arrête-toi là… dit Martine.
– Ca t’ira?… demandais-je
– On va faire avec… il passe du monde… mais entre deux j’y arriverai.

Elle était en jean’s. Entre les deux portes ouvertes elle desserra la
ceinture et baissa la fermeture Eclair avec l’air de quelqu’un qui cherche
dans la boite à gants. Entre deux passages de voitures, un coup d’œil vers
l’avant, un coup d’œil vers l’arrière, elle jugea le moment propice. Le slip
et le jean’s descendirent sur les cuisses. Fléchissant un peu les jambes,
elle garda l’attitude de celle qui fouille dans la boite à gants pour
envoyer, un peu derrière elle, ce que je devinais être, depuis mon siège au
volant, un super pipi chuchotant à souhait, comme heureux d’être libéré
enfin. Du regard, elle surveillait bien ce qu’elle faisait, prête à
intervenir sur le maintien du slip ou du jean’s ou à modifier son attitude.
J’imaginais le spectacle qui s’offrait à ce moment là à un spectateur qui se
serait trouvé derrière elle dans ce bois. Sans changer sa position, elle
prit un kleenex et s’essora consciencieusement entre les jambes.

– Tu vois, je t’avais dit que c’était un vrai… et personne n’est passé en
plus. De toute façon, comme j’étais, on ne pouvait rien voir. Même pas
deviner peut-être. Même toi tu n’as rien vu je parie?
– Non, rien vu. Tu as gardé les jambes presque serrées et ton jean’s cachait
l’essentiel. Et tu sais bien que lorsque c’est un pipi « nécessité « je ne
vois rien et je n’entends rien ».
– Tu es un chou… Mais gare en vacances… Là je te promets que ce sera
différent. Compte sur moi.
Je fis demi-tour et repris la route de Vannes.

Nous arrivions au but. En arrivant dans la presqu’île de Rhuys, nous
traversions Sarzeau quand Martine remarqua tout de suite, avec son sens de
l’opportunité, les toilettes publiques :

– Au moins, quand nous viendrons en ville, on sait déjà où cela se trouve.

Arrivés à la location, la propriétaire fit avec nous le tour des lieux:
cuisine, séjour, toilettes, salle de bain, chambre. Tout était parfait, à la
hauteur de l’annonce. On nous laissa nous installer

– Ca te plait?… lui demandais-je

Elle avait déjà refait une petite visite toute seule. Elle en était aux
armoires de la cuisine.

– C’est bien… çà va nous changer de l’appart’. La cabine de douches est un
peu juste pour deux, mais s’il le faut on se serrera, çà ne sera pas plus
mal, pas vrai? Et puis il y a un bidet, je ne me suis jamais servi de ce
machin là. Moi, c’est gant de toilette-savon-douchette. Ca ne peux servir
que pour laver les pieds ou les Yorkshire. Par contre le lavabo n’est pas
mal: le bord est étroit et il est juste à ma hauteur. En cas de nécessité je
n’aurais pas à sortir de la salle de bains.
– Il faudra que ce soit vraiment urgent… la porte des toilettes est juste
à côté… lui fis-je remarquer.
– Bon… si cela ne t’intéresse plus, je le ferai sans toi… menaça t-elle
en riant.

Pendant que je finissait de vider le coffre de la voiture, elle commençait à
ranger
– .
– Tu le reconnais?…

Elle me montrait un vieux short en jean’s

– C’est le vieux jean’s sur lequel j’ai allongé la fermeture Eclair de cinq
centimètres… Tu t’en souviens?… (Voir Concert’eau pour quatre mains).
J’ai coupé les jambes, vraiment trop moches, çà me fait un short génial pour
les vacances. De plus, avec sa braguette allongée, il a un petit côté
pratique pas négligeable en cas de besoin, et qui en plus ne te déplait pas,
n’est-ce pas?
Aprés le premier pipi de vacances aux toilettes, ce fut la première tasse de
thé et le départ pour les provisions vers le supermarché dont nous avions
aperçu l’enseigne en arrivant sur la nationale. Il y avait beaucoup de monde
là aussi en ce jour d’arrivées. C’était là aussi une journée « orange ».
Sortie de la « caisse », Martine me fit remarquer qu’apparemment, il n’y avait
pas de « toilettes », ce qui était vraiment surprenant, voire impensable dans
un super de cette taille. Au bout de la galerie de sortie, prés d’une borne
de retrait d’argent, s’entassaient pêle-mêle des caisses, du matériel
publicitaire et des caddies remplis de cartons pliés, faisant croire que ce
passage était un débarras avant la poubelle et donnant accès apparemment à
une réserve donc fermé au public.
Lui laissant le caddy, je m’aventurai vers cet endroit avec la pensée que
j’allais devoir faire face à un rappel à l’ordre d’un membre du personnel,
mais où devait se trouver logiquement ce que cherchais.
Face au distributeur, coincé entre les caisses, se trouvait deux portes
marquées « W.C. » sans aucune autre précision quand au sexe de ceux ou celles
qui devaient les utiliser.
J’ouvris une ces portes pour découvrir une véritable petite salle d’au moins
quinze mètres carrés, avec dans un coin au fond, la cuvette annoncée, que
j’essayais sans plus attendre. Puis je fis signe à Martine d’avancer. Elle
fut aussi un peu surprise par l’importance des lieux.

– Alors là… pas la peine de faire garder le caddy, c’est prévu pour entrer
avec, pas de doutes.
– Tu as une envie évidemment?
– Pas plus que celà… mais il ne faut pas laisser passer une occasion.

Elle allait me confier le caddy, mais se reprit et dit:

– Aprés tout, puisque çà n’est pas précisé « Hommes » ou « Dames », on s’en
fout. Tu entres avec moi?

Ces grosses portes et ces gros verrous me font toujours un peu peur tu le
sais. (Voir « Toilettes coupe-envie »). Je ne me fis pas prier.

– Là, je te fais un pipi presque classique, c’est toi qui m’essorera
quand-même mais sans plus O.K.?

Une jupe avait remplacé le jean’s du voyage. Elle la remonta sur le ventre,
descendit la culotte sur les cuisses, la tendit vers l’avant, pris la
cuvette entre les jambes en tournant le dos au réservoir, garda les jambes
bien droites, pencha juste un peu le buste en avant et regarda le bas de son
ventre épilé. Il se passa pas mal de secondes sans que cela vienne.

– Ca y est… toi… les lieux… l’insolite… je coince.
– Tu veux que je sorte?
– Non… Tournes-toi. Tu me regarderas si tu veux quand j’aurai commencé.

Effectivement, à peine avais-je tourné le dos qu’un bruit de chute dans
l’eau de la cuvette m’annonça que tout allait bien. Je puis alors voir ma
petite source toute nue, laisser échapper un petit jet bien vertical.

– Il faut que je freine un peu, ou alors j’en mettrais dans la culotte.*

Comme invité, je pris au rouleau deux petits papiers que je pliai avant de
les passer doucement entre le haut des jambes et le bas de son ventre.

– Je t’en prie… pas trop. Ici on ne peut pas aller plus loin. On verra ce
soir. Le slip reprit sa place. La jupe redescendit. On reprit le caddy,
personne dans le passage.
– C’est dommage que là on ne pouvait pas tarder. Je t’assure que lorsque tu
m’essuyais je commençais à m’en aller. Déjà que je coinçais au point de ne
plus pouvoir faire…

C’était un aveu prometteur.

Le soir après le dîner, nous décidons de faire une petite promenade pour
nous détendre des fatigues de la route. Cette région est pleine de petits
chemins étroits s’avançant vers le golfe du Morbihan ou le longeant.
Généralement bordés de haies, d’arbres, ils serpentent en tous sens,
révélant des sites pour lesquels Martine se promettait de faire
d’excellentes photos.

– Et en plus… ajouta t-elle… dans un tel décor, pas de problèmes. Je
pourrai faire mes pipis quand j’en aurai envie, sans être obligée de me
retenir. Je peux boire Contrex et thé sans penser à ce que j’en ferai une
heure plus tard.

Rentrés à la maison, je passais le premier sous la douche. Martine me
suivit. Alors que je me séchais, dans le bruit de l’eau elle m’informa:

– J’ai envie de faire pipi… je me laisse aller sous la douche ou je le
garde pour après ?
– Tu me le gardes. Tu me l’as promis tout à l’heure.
– Evidemment que je te le garde. C’était pour rire.

J’étais dans le divan face à la télé quand elle vint me rejoindre en chemise
de nuit. Elle zappa sur toutes les chaînes, et comme aucun programme
n’enthousiasmait l’un ou l’autre elle avança:

– Et si on allait au lit ?… Dix heures de route c’est éreintant.

Elle éteignit la télé et la lumière et verrouilla la porte pendant que je
passais aux toilettes. Je la retrouvais dans le couloir.

– A moi maintenant… Tu veux toujours un beau pipi? Tiens, si
je te le faisais comme tout à l’heure au super?

Elle s’installa comme précédemment au-dessus de la cuvette. Remonta sa
chemise de nuit sur son ventre et ses fesses, elle n’avait plus de slip.
Elle garda ses longues jambes bien droites, posa les mains à plat de chaque
côté en haut de ses cuisses pour ouvrir un peu.

– Tu peux regarder de plus prés si tu veux. Je vais essayer de me laisser
aller quand même.

Mes yeux à la hauteur de son sexe épilé, je voyais bouger un peu ses grandes
lèvres, montrant qu’elle faisait une petite gymnastique pour se détendre
dans cette situation.

– Ca y est… le voilà.

Dans un doux chuintement comme je les aime, le petit jet qu’elle contrôlait
à merveille tombait à nouveau bien droit dans la cuvette. Elle recula un peu
pour qu’il tombe dans l’eau sans éclabousser. Quand il s’arrêta, je
m’apprêtais à prendre, comme précédemment, deux petits papiers pour
l’essorage. Elle protesta :

– Ah non!… une telle démonstration de spécialiste, tu me dois plus que
cela ! Viens…

Elle me prit le bras et m’entraîna vers la chambre. Elle s’allongea sur le
dos, remonta la chemise de nuit, tira ses talons vers ses fesses et écarta
les genoux.

– Maintenant tu peux me sécher… mais avec la langue seulement!

Je ne me fis pas prier. En fait il y avait peu à essorer. Elle avait bien
maîtrisé ce qu’elle avait fait. Je passais la langue entre ses cuisses, puis
plus haut, puis sur sa fente. Sa position faisait que les grandes lèvres
étaient déjà bien écartées et que les petites saillaient d’un centimètre au
moins, déjà rouges de plaisir. Bientôt apparu le petit clito qui lui aussi
voulait sa part.
Le détail de ce qui se passa ensuite, Martine ne veut pas que je le raconte.
On en restera donc là.

Jean-Michel et Martine

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