Deux filles et leur mère par Léna Van Eyck – 13 – Une punition c’est une punition !

Deux filles et leur mère par Léna Van Eyck – 13 – Une punition c’est une punition !

– Ce comportement mérite assurément une bonne punition ! M’indique Madame de Préhardi
– Je le conçois aisément. Mes jolies fesses vicieuses sont à votre disposition. Répondis-je

Et voilà, ça va encore être ma fête !

– Allez, on se déshabille ! Me presse Suzanne de Préhardi. Et toi aussi, Catherine !
– Mais je n’ai rien fait, moi ! Proteste ma mère.
– Si tu es la mère d’une putain !
– Ah bon !
– Annette, va chercher monsieur afin qu’il assiste à ce spectacle, cela lui réveillera sans doute sa pauvre quéquette.
– Mais Monsieur est sorti… Objecte la soubrette
– Alors tant pis, on fera sans lui !
– Je prends la badine ? Demande Annette.
– Non, la cravache, faut bien changer un peu.
– Hi hi !

Comme la fois précédente, Annette alterne ses coups, un pour moi, un pour la mère.

La douleur provoquée par la cravache est plus douloureuse que celle de la badine, l’impact étant plus large. Je m’efforce de ne pas crier mais ce n’est pas évident., ça fait quand même très mal.

Ma mère, elle, ne se retient pas et braille à tue-tête tandis que son joli cul devient cramoisi.

– De l’autre côté, maintenant ! Ordonne Suzanne de Préhardi

Cette garce d’Annette prend un malin plaisir à nous fouetter le ventre, les cuisses, les seins. Je supporte, mais j’ai hâte que ça s’arrête !

La flagellation terminée, (ouf !) Suzanne de Préhardi sort d’on ne sait où un godemichet accroché dans un harnais.

– Enfile ça comme une culotte et encule ta mère ! M’ordonne Suzanne.
– Mais enfin, ça ne se fait pas ! Protestais-je mollement.
– Une punition c’est une punition !
– On ne m’a jamais encore fait ce genre de chose ! Commente ma mère pas plus gênée que ça.

Puisqu’elle le prend comme ça…

J’ai par conséquent sodomisé ma génitrice, laquelle eût l’air de trouver ce traitement bien à son goût.

– Ça te plait de te faire enculer par ta putain de fille ?
– Oh, oui ! C’est trop bon ! Continue Margot, encore, encore !

Suzanne de Préhardi se régalait du spectacle tout en se faisant bouffer sa chatte dégoulinante par l’inévitable Annette. Mais manifestement il lui manquait quelque chose.

– Annette, qui est de faction à la grille ?
– Joaquim, il me semble; madame.!
– Va le quérir, je veux qu’il m’encule comme une chienne.
– J’y vais de ce pas !

Vous pensez bien que Joaquim n’allait pas refuser une telle invite. Sans se déshabiller, il sortit un chibre de bonne taille de ses braies

– Annette, prépare moi cette queue.
– Oui madame !

Annette eut alors tôt fait d’emboucher cette bite afin de la rendre convenablement bandée. Alors que dans le même temps, ma mère se mettait à jouir du cul en braillant comme une baleine.

– A-t-on idée de gueuler pareillement ! Approche toi Catherine, et viens me lubrifier le trou du cul afin que ce jeune homme puisse m’enculer comme il convient.
– Avec plaisir Madame !

Ma mère se mit à l’ouvrage de bon gré tentant bien que mal de faire pénétrer sa langue dans le troufignon de notre patronne.

– A quel plaisir divin de se faire lécher on trou du cul merdeux par la mère d’une putain !
– Mais certainement madame !
– Tu le trouves comment mon cul aujourd’hui ?
– Il a, ma foi, un bon goût de cul !
– Fais moi gouter !
– Mais comment faire, madame ?
– En m’embrassant, espèce de gourde. Et toi Joaquim, tu peux m’embrocher, je suis prête !

Joli spectacle que celui de Madame de Préhardi se faisant sodomiser tout en embrassant ma mère à pleine bouche.

Annette s’apprête à quitter la salle.

– Ou tu va ? Lui demande la patronne.
– Madame a encore besoin de moi ?
– Je t’ai demandé où tu allais ?
– Je vais pisser madame !
– Pisse donc sur Margot, ça va la rafraichir, elle doit être fatiguée d’avoir enculé sa mère.

Je me suis donc couchée à même le sol, et tandis qu’Annette me gratifiait de son joli pipi dans ma bouche gourmande, je me tripotait le bouton jusqu’à la jouissance.

Il y a plein de pisse par terre ! Qui c’est qui va nettoyer ? D’après vous ?

Sœur Philomène est une vieille peau, méchante et acariâtre. Quand elle se mit à perturbe le trantran du couvent en vociférant n’importe quoi, on l’affubla d’un statut spécial en la confinant dans sa cellule et en la dispensant de toute participation aux activités collectives. Elle avait toutefois la permission de se rendre dans le jardin où elle pouvait brailler à sa guise. Mais comme beaucoup de personnes dérangées du cerveau, elle avait parfois des moments de lucidité.

Donc ce jour-là Sœur Philomène se rend au jardin et aperçoit Thomas en train d’y travailler mollement.

– Vous êtes nouveau, vous ?
– Eh oui…
– C’est un drôle d’endroit ici, vous savez ?
– Et pourquoi donc ?
– Parce que c’est Babylone, ici !
– Babylone ?
– Oui, ici tout le couvent s’adonne à la luxure.
– Ah ?
– Oui des orgies, elles sont toutes nues, elle se gamahuchent, s’introduisent les doigts et plein d’autres choses dans tous les orifices, elles se flagellent, se compissent et commettent toutes sortes d’actes dégoûtants et impies.
– Eh bien en voilà une description !
– Je ne cesse de le signaler à notre père confesseur, mais il tarde à agir, cet homme me semble posséder peu de volonté. Ou alors il me croit folle, tout le monde me croit folle mais moi je sais bien que je ne suis point folle. Le pire c’est que nous recueillons des filles perdues et qu’au lieu de tenter de les sauver, les sœurs du couvent leur ouvrent les portes du vice.
– Justement je suis à la recherche de trois femmes, deux jeunes femmes et leur mère…
– Je les ai vu…
– Comment les récupérer ?
– Il y en a une qui est restée ici, les deux autres sont parties.
– Parties où ça ?
– J’en sais rien, sans doute en un lieu de débauche… mais le cocher le sait sans doute…

Bref, Sœur Philomène lui expliqua comment rencontrer ce fameux cocher.

Gédéon travaille au presbytère, il est parfois sollicité par Sœur Sainte Lucie lorsqu’elle doit se rendre dans la capitale.

Lorsque Thomas parvient à rencontrer le cocher, celui-ci est à moitié ivre .

– Je suis le vieil oncle de deux jeunes femmes qui ont trouvé refuge au couvent et qui ont été conduites dans un endroit inconnu. Je souhaiterais leur porter secours ..
– Je ne pense pas que ces personnes courent un quelconque danger. Je les ai conduit dans une bonne maison.
– Voilà qui me rassure, mais comment faire ne serait-ce que pour les embrasser ?
– Autrement dit vous voudriez l’adresse ?
– Ma reconnaissance en serait infini.
– N’exagérons rien. Elles sont au service de monsieur Préhardi, c’est à Paris dans le Marais, vous trouverez bien.

C’est bien joli d’avoir une information, encore faut-il savoir de quoi en faire. Il n’a aucune idée sur la façon de faire sortir Pauline du couvent. Les deux autres ne sont pas cloîtrées mais comment les piéger ?

Alors, il improvise, se rendant à Paris, il repère le valet gardant l’entrée de l’hôtel particulier des Préhardi, le suit quand il a terminé son temps et le retrouve dans un estaminet où l’alcool aidant, il le fait parler

– Oui deux pimbêches, bien roulées, surtout la plus jeune, engagées. comme servantes… Ça y va les orgies…
– Ah oui ? Qu’est-ce que tu en sais ?
– On me fait parfois participer !.
– Et comment je peux les rencontrer ces nanas ?
– Je ne peux pas te faire entrer, mais souvent le matin elles s’en vont en courses…

Alors faisant le pied de grue devant l’hôtel particulier des Préhardi il attend patiemment que ma mère ou moi en sortent.

Et c’est évidemment sur moi que ça tombe :

– Tu me reconnais ?
– Oui et alors ?
– Je peux te sortir de là.
– Me sortir de quoi ? Je ne te demande rien.
– Ne me dis pas que tu es heureuse chez ces bourgeois ridicules ?
– Ils sont moins ridicules que toi !
– Allons, allons, quand on est née avec une cuillère en argent dans la bouche, se retrouver boniche, tu ne vas pas me faire croire que c’est un sort enviable.
– Qu’est-ce que ça peut bien te foutre ? Et tu as quelque chose à me proposer ?
– Oui.
– Et avec ce que tu vas me proposer, je vais retrouver mes belles garde robes, mes bijoux et tout le reste ?
– Non mais tu ne seras plus obligée de frotter le parquet.
– Bon tu me lâches maintenant, j’ai des courses à faire.
– Je vais t’accompagner.
– Certainement pas.

Il faut absolument que je me débarrasse de ce pot de colle. Une ébauche de plan germa dans mon cerveau.

– Reviens demain à la même heure, tu m’expliqueras mieux.

Je plantais là ce triste sire et en revenant des courses je mis ma mère au courant qui s’empressa de se confier auprès de Madame de Préhardi.

– Vous voudriez que l’on donne une bonne leçon à ce chenapan ?
– Ce serait une bonne chose en effet.
– Hi, hi et il va s’en souvenir, le drôle.

La maîtresse des lieux ordonna au garde de laisser entrer le dénommé Thomas quand il se présenterait le lendemain matin.

– Entrez, ces dames vont vous recevoir.
– Ah bon ?

Et sitôt Thomas dans les lieux, deux valets le maitrisent et l’emmènent dans le donjon où il est prestement déshabillé, et attaché contre un poteau .

A suivre

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5 réponses à Deux filles et leur mère par Léna Van Eyck – 13 – Une punition c’est une punition !

  1. Molyneux dit :

    On a beau dire… mais c’était le bon temps 🙂

  2. Leduc dit :

    Vous avez des valeurs étonnantes !
    La fessée c’est particulier
    %ais l’inceste c’est normal !

    • Eddy dit :

      Faut-il vraiment répondre ?
      Si vous aviez pris connaissance des fondamentaux du site, vous vous seriez aperçu que nous défendons une ligne par laquelle tout est possible entre adultes majeurs et consentant. Ça c’est pour l’inceste. Mais c’est aussi valable pour la fessée, C’est le personage du récit qui trouve la pratique particulière dans son conteste (et non pas le site.)

  3. Nina dit :

    De la belle orgie comme j’aime en lire

  4. Honorine dit :

    De l’amour vache en famille…. J’adore !

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