Auto-stop sidéral par Malicia et Christobal
Toute cette publicité pour ce truc à la con ! Ah ! Bien sûr les effets spéciaux on en a plein la gueule, mais l’histoire est débile, et les acteurs, Anakin est une véritable tête à claques tout droit sorti des montagnes à fric puantes de Bervely Hills. Berck ! Et Padme ! Quelle nunuche, pas possible d’être aussi conne, c’est dommage elle est assez mignonne, mais bon puisqu’elle préfère les bellâtres stupides, je n’ai aucune chance, et de toute façon c’est du cinéma et puis ça commence à m’endormir ce truc ! Je baille, je baille, je ronfle…
Bonjour, je me présente, je me prénomme Anakin et j’habite sur un astéroïde dans une ancienne mine de vassilium assez isolée et je travaille dans une navette spatiale voisine, à environ 300.000 km de chez moi. Ce n’est pas trop loin ! Un soir, en rentrant du travail (dans ma super capsule volante et roulante à injection intergalactique), presque à la sortie de la cosmoville, j’aperçois une auto-stoppeuse sur un micro-astéroïde. D’habitude je ne prends personne en stop, mais l’aspect de la demoiselle, fragile et si seule sur ce patatoïde sordide, m’incite à m’arrêter. Je lui demande où elle va, et comme c’est sur ma route, je l’embarque. Dans la capsule nous échangeons quelques banalités et je suis surpris de sa vivacité d’esprit et d’une certaine maturité. La jeune fille, qui se prénomme Padme doit avoir 18 ans au maximum et je lui fais remarquer les risques qu’elle prend en pratiquant l’auto-stop, comme ça en plein cosmos.
– J’ai l’habitude, me répond-elle . Elle enlève son spatioscaphandre et s’installe. Du coin de l’œil, je la reluque et la trouve bien jolie, bien formée, très femme. En s’asseyant, sa petite jupe est remontée découvrant ses minces cuisses bronzées. Elle est charmante avec sa jeune poitrine qui pointe sous un chemisier blanc et son petit minois rieur. Sortis de la cosmoville, nous avons parcouru environ 3 km lorsque :
– Excusez-moi, pouvez-vous vous arrêter, j’ai un petit besoin, me dit-elle en rigolant. – C’est embêtant, le pissomatic est cassé, il faut que je le répare ! – Vous faites comment-vous ? – Dans une bouteille – Passez-moi la bouteille ! – Elle est pleine, mais bon, on va s’arrêter dès que possible.
Nous sommes déjà en plein vide intersidéral, peu de vaisseaux circulent à cette heure-ci et il est facile de trouver l’endroit propice à ce genre de besoin.
– Ici ! Cet astéroïde semble tranquille, me dit-elle en pointant un caillou spatial en forme de super phallus à couilles.
Je stoppe le véhicule, Padme revêt son casque respiratoire et descend sur le planétoïde puis, se retourne vers moi qui suis resté aux commandes, puis, en souriant se baisse pour faire pipi. Dans un premier mouvement, surpris je tourne la tête mais c’est plus fort que moi, je finis par la regarder faire. Elle a sans aucune pudeur soulevé sa jupe et abaissé sa culotte. Bientôt, devant cette vision une érection incontrôlée fait gonfler mon sexe. Voir cette jeune femme se soulager à quelques mètres à peine de moi est terriblement excitant. Et puis des gouttes de pipi dans un environnement où la gravité est extrêmement faible, c’est fabuleux, ça fait plein de petites bulles, de petites bulles d’or : C’est joli, c’est mignon, c’est trop craquant. D’où je suis, il me semble deviner sa petite fente dans l’ombre entre ses cuisses et un trouble délicieux m’envahit. Elle sourit toujours en me regardant. Une fois terminée, elle rajuste sa culotte puis sa jupe et remonte dans l’engin. Je ne démarre pas tout de suite. Le silence qui suit me semble interminable, puis elle parle.
– Tu n’avais jamais vu une femme faire pipi ainsi ? – Non, pas comme ça, pas avec des bulles et surtout pas de si près, dis-je d’une voix sourde.
Elle a un geste de sa main vers moi et me dit :
– On dirait que ça t’a plu. – Et comment ? – On dirait que ton pantalon est devenu trop étroit pour son contenu, précise-t-elle en pointant son doigt vers ce que j’essaie de cacher depuis un moment.
Je rougis violemment et fais mine de démarrer. Elle s’esclaffe :
– T’affole pas, ça ne me choque pas, bien au contraire, et elle se rapproche de moi.
A cet instant je ne sais plus où j’en suis, j’ai chaud au visage, et soudain, Padme se penche vers moi et pose sa menotte sur ma braguette magnétique.
– Que fais-tu ? Balbutie-je. – T’en fais pas, les vieux cochons ça me connaît, répond-elle, ayant déjà dégrafé quelques magnéto-boutons.
Je voudrais avoir le courage de résister mais son extrême audace qui devrait me retenir est aussi un puissant excitant. Elle dégage ma queue dont le gland gonflé à éclater se tend vers elle. Alors, elle se penche et pose sur lui sa délicieuse petite bouche. Je me suis rejeté en arrière et je savoure la caresse que bientôt la perverse auto-stoppeuse me prodigue. Sa bouche s’est ouverte toute grande pour engloutir ma queue et elle enserre ma tige entre ses lèvres. Je vois sa tête monter et descendre avec un rythme progressif. Je pose ma main dans ses beaux cheveux pour réguler son tempo. Elle me tète longuement avec ardeur et soudain je sens venir ma sève. J’ai un mouvement comme pour l’écarter mais elle s’accroche et avale en totalité les giclées de semence épaisse que je ne peux plus retenir.
Je gémis de bonheur, comblé, ma queue toujours dans sa bouche se rétractant peu à peu. Elle se relève, me sourit et me dit :
– A moi maintenant ! Tu ne vas pas me laisser comme ça, et soulevant ses fesses, elle fait glisser sa petite culotte.
M’attrapant par les cheveux, elle m’attire en riant vers son petit ventre. Sa chatte mignonne, duvetée brille de sa mouille et d’un reste de pipi. Je la prends à pleine bouche et me mets à la brouter. Au bout d’un moment, du bout de ma langue je débusque son petit bouton et je m’y attache, le titillant, le mordillant, le suçotant. Padme s’est renversée sur le siège et entame une mélopée de gémissements et de ronronnements entrecoupés de petits cris qui en disent long sur le plaisir que je lui procure. Enfin, avec un cri plus fort, comme un hululement, elle explose en une série d’orgasmes dont je sens les vagues dans son ventre accompagnés sur ma langue par le miel que sécrète sa chatte.
Tout ceci m’a remis en forme et je bande à nouveau comme un cerf. Je me glisse à genoux entre ses cuisses et je présente mon dard à l’entrée de son petit minou tout humide. Elle me retient une seconde et me souffle :
– Fais attention, mets une capote, avant !
J’en suis estomaqué, bien sûr, où avais-je la tête ? Mais je n’en ai pas ! Mais, elle, elle m’en tend une ! Incroyable ? Je l’enfile, j’ai trop envie maintenant et, poussant ma queue dans sa fente, j’en écarte les lèvres avec le plus de délicatesse que je peux. D’abord facile grâce à sa mouille, la pénétration devient plus ardue, elle est assez étroite, et j’ai peur de lui faire mal. J’observe une pause puis je reprends ma progression écartant peu à peu les chairs tendres et si chaudes. Elle gémit puis a soudain un petit cri lorsque, je suis enfin enfoncé complètement en elle. Elle me sourit avec malice.
– Ça y est vieux cochon, tu l’as eue ta coquine !
Ce langage me rassure et m’excite et je commence à aller et venir dans son ventre qui peu à peu bien que toujours serré s’assouplit et se moule à mon membre. Cette nana est un coup du tonnerre, je suis si bien dans son petit minou si tendre que je ne voudrais plus en sortir et je me retiens, prolongeant l’étreinte imprimant un rythme tour à tour lent et effréné.
Longtemps, je la lime ainsi au point qu’elle a plusieurs orgasmes avant qu’à mon tour, me retirant à temps, j’explose enfin inondant son ventre et ses cuisses d’un sperme épais.
– Eh bien, espèce de salaud, on peut dire que tu m’as fait jouir, me murmure-t-elle à l’oreille après un long moment où nous sommes restés comme sans vie écrasés l’un sur l’autre.
Me soulevant, encore un peu engourdi, je pose mes lèvres sur les siennes et elle répond à mon baiser. Nous restons ainsi enlacés quelques instants puis je me dégage et reprends ma place aux commandes. Nous rajustons nos vêtements et quelques minutes plus tard, je la dépose sur l’astéroïde où elle habite. En me quittant, elle me dit :
– Qu’est-ce que tu fais après dîner ?
– Rien de spécial, pourquoi ?
– Trouve toi ici vers 21 h, nous aurons trois heures devant nous, ce sera suffisant je pense pour reprendre notre conversation de tout à l’heure.
En me disant cela, elle a un air si coquin que ma queue frémit à nouveau dans mon pantalon.
– Cristo ! Non seulement tu roupilles pendant le film, mais en plus tu ronfles et en plus tu bandes, me dit Malicia.
– C’est pas grave, l’important c’est que je t’aime, Padme, lui répondis-je, lui provoquant un mouvement de roulement des yeux qui me fit rire aux éclats.
© 2002 Malicia et Cristobal.
Ce couple d’auteurs n’a pas écrit grand chose mais qu’est-ce qu’on se marre
Un délire science-fictionneux délirant ! Ah le coup du pissomatic en panne, fallait le trouver ! Jouissif !