Chanette 30 – La disparition de Carole – 10 – Anna Gaëlle fait banquette par Chanette
Anna-Gaëlle ayant obtenu ce qu’elle était venue chercher, à savoir un bon petit trip sexuel, les choses auraient pu en rester là, mais il faut croire que Jackie voulait prolonger ce contact et insista afin que sa partenaire puisse admirer comme il se doit sa collection de peintures sur soie.
– Oh, mais c’est très joli tout ça ! Commenta Anna fort hypocritement.
– Je vais faire un vernissage le 25, je vais te donner un carton d’invitation.
– Avec plaisir !
« Quelles horreurs ! »
Anna se garda bien de lui indiquer qu’elle était elle-même galeriste…
« Manquerait plus qu’elle me demande d’exposer ses merdes dans ma galerie ! »
De son côté, Musaraigne a semé facilement son flic.
« Pas très doué, le mec ! »
Il cherche qui pourrait le renseigner sur cette introuvable Carole.
« Pourquoi pas cette Jackie qui semblait en excellents termes avec Sauvignon et qui l’avait aidé à organiser la petite sauterie à Lacanau ? »
Il possède l’adresse et s’y rend en métro…
Jackie n’en peut plus de montrer à Anna des trucs et des machins accompagnés de commentaires dithyrambiques …
Et voilà que l’on sonne à l’entrée. Jackie s’en va ouvrir.
– Monsieur Lisieux ! Vous ici !
– J’ai une terrible nouvelle à vous annoncer, mais je préfèrerais que nous soyons en tête à tête.
– J’allais vous laisser… Commence Anna.
– Euh, vous allez en avoir pour longtemps ? Demande Jackie.
– 10 minutes. Précise Musaraigne.
– Anna, sois gentille attends-moi dans la cuisine, j’ai encore un truc à te faire voir.
Anna s’y enferme donc et constate que l’on entend tout ce qui se passe à côté.
– Monsieur Sauvignon a été assassiné. Déclare alors Musaraigne
– Quoi ? Le pauvre homme, lui qui était si gentil. Vous avez des détails ?
– On connaît l’assassin, c’est une fille…
– Mais pourquoi…
– On l’ignore, la police la recherche.
– Eh bien, merci de m’avoir prévenue, si vous apprenez d’autres choses soyez gentil de me contacter, je vais vous donner mon numéro.
– En fait j’aimerais vous demander un service.
– Dites !
– J’aimerais retrouver cette bonne femme avant la police.
– Ah ? Et pourquoi donc ?
– Disons que j’aimerais aider la police.
Jackie ne comprend plus très bien.
– Ils vont la retrouver, ils savent faire. Laissez-les travailler.
– C’est qu’elle m’a piqué des objets personnels, des trucs de valeur, j’aimerai bien les récupérer, si elle est arrêtée ça va être la galère.
– Mais en quelles circonstances elle vous aurait dérobé ces objets ?
C’est que c’est une insatiable curieuse, cette Jackie !
– Vous savez quand on se livre à certaines petites fantaisies, on se met à l’aise… Improvise Musaraigne.
– Je vois, mais vous m’aviez parlé d’un service…
– Je voulais savoir si vous pouviez m’aider à retrouver cette fille.
– Mais comment voulez-vous que je fasse ? Elle est comment, d’abord ?
– Elle s’appelle Carole, très jolie, fausse blonde, bien roulée. Elle était à la boum de Lacanau
– Avec ça, je ne vais pouvoir vous aider beaucoup, des belles filles il y en avait pas mal et j’ai rapidement trouvé mon compte.
– Mais vous l’avez vu ?
– Sans doute, mais ensuite ? S’impatiente Jackie.
– Je ne sais pas !
– Elle était peut-être avec quelqu’un ? Ce que je cherche c’est une piste.
– Ben non, je peux pas vous aider
– Tant pis, si quelque chose vous revient auriez-vous l’obligeance de m’en avertir.
– Bien sûr mais ne vous faites pas trop d’illusions.
Et sur ces bonnes paroles, Musaraigne quitta les lieux.
– Anna tu peux sortir, l’emmerdeur est parti.
– Je vais y aller.
– Je te montre juste une toile qu’un type m’a commandé et je te libère. Tu as entendu la conversation ?
– J’ai pas fait trop attention, mentit Anna, mais j’ai cru comprendre que quelqu’un était mort.
– Oui c’est Sauvignon.
– C’est qui ?
– Le mec qui a fait le speech à Lacanau.
– Ah oui !
Musaraigne redescend, désespéré.
« Je n’ai plus de piste, il ne me reste qu’à prendre le maquis, mais même ça, est-ce que je vais savoir-faire ? »
Tilt
Mais tout d’un coup, il a une révélation :
« Putain la fille que j’ai aperçu chez la mère Jackie, elle accompagnait Carole à Lacanau, elle est là ma piste ! Trop la chance ! »
Il revient sur ses pas, attend patiemment qu’Anna sorte de l’immeuble et la filoche dans la rue.
Elle ne va pas bien loin, s’arrête à la terrasse d’un café et téléphone à tout le monde,
J’étais occupée quand elle a essayé de me joindre et je n’ai pris connaissance de son message qu’après le départ de mon client.
Je la rappelle, elle me rapporte la conversation qu’elle a surpris entre Musaraigne et Jackie.
– J’ignore si je peux avoir confiance en cette bonne femme, elle paraissait assez proche de Sauvignon. Elle savait que je pouvais entendre la conversation, donc elle n’a rien dit au mec, mais à la limite, elle peut le rappeler…
– Je vois.
– Donc conclusion, Carole est vraiment en danger…
– OK, on se retrouve tous chez moi à 19 heures, Max m’a prévenu de son arrivé, il aura surement une solution…
Anna rejoint sa galerie dont elle est propriétaire rue de Seine.
– T’en es où ? demande Bruneteau à son agent filateur.
– Il a rendu visite à quelqu’un mais j’ai pas pu savoir qui…
– Ben alors !
– Ça arrive…
– Et maintenant ?
– Il a suivi une femme jusqu’à une galerie d’art rue de Seine, il fait les cent pas devant, je ne sais pas trop ce qu’il fabrique…
Effectivement Musaraigne ne sait trop comment agir, il sait que cette galeriste le conduira jusqu’à Carole, mais la chose n’est pas si simple. Entrer et lui extorquer l’adresse de sa copine sous la menace ? Facile mais ensuite elle donnera l’alerte, ce sera donc une course de vitesse avec la police ! Combien de chances de réussir ? 50 % ?
Il hésite, il hésite puis repassant devant la galerie maintenant vide de tout visiteur il se décide…
– Quand faut y aller, faut y aller !
Il rentre tandis que le policier se poste sur le trottoir d’en face.
– Bonjour, vous êtes une amie de Carole si je ne m’abuse ?
– Je ne connais pas de Carole, vous vous trompez d’adresse. Répond crânement Anna.
– Alors j’ai un revolver dans ma poche, si tu ne me donnes pas son adresse, je te tire dans les jambes.
– Vous allez me foutre le camp, pauvre connard ! Hurle Anna tout en déclenchant une discrète alarme police avec son pied.
Alerté par les éclats de voix le policier accourt à toute vitesse.
– On ne bouge plus, les mains en l’air, vous êtes en état d’arrestation.
Ce n’est rien de dire que Musaraigne ne s’attendait pas à ce retournement de situation
Le flic le menotte en attendant l’arrivée du panier à salade, puis il se retrouve devant Bruneteau.
– On ne peut pas te laisser dans la nature sans que tu fasses des conneries. Bon on va t’enfermer un petit peu, on a pas que toi comme client.
Il se tourne alors vers son subalterne.
– La victime, elle a dit quoi ?
– Lisieux lui a demandé sous la menace les coordonnées d’une certaine Carole, elle lui a répondu qu’elle ne connaissait pas de Carole…
– Mais en vérité ?
– Elle m’a confirmé qu’elle ne connaissait pas de Carole, mais bon elle raconte ce qu’elle veut.
– C’est bien ce qu’il me semble aussi, Lisieux n’était pas là-bas par hasard. Je veux qu’on suive cette nana, je sens qu’on tient le bon bout.
– Et Lisieux on en fait quoi ?
– C’est dommage qu’on ne puisse plus le suivre, cela aurait doublé nos chances ?
– Chef, je ne lui ai pas signifié ses droits.
– Super, on va donc lui raconter qu’il y a vice de forme et le relâcher.
– Il va se douter de quelque chose.
– On saura gérer.
Devant Lisieux, Bruneteau mime une grosse colère.
– Les lois françaises sont les plus stupides du monde, à cause d’un défaut de procédure on est obligé de libérer des ordures comme toi.
Musaraigne n’est pas complétement idiot et devine aisément qu’il y a un piège là-dessous, mais se sent assez malin pour le déjouer
Première chose, semer son poursuivant et sans reproduire l’erreur de la première fois.
Il repère rapidement son suiveur, ne fait rien pour le semer et chemine jusqu’à St Germain des Prés, puis pénètre dans l’église dans laquelle seules quelques rares bigotes sont occupées à solliciter le Seigneur. Il s’assoit dans les derniers rangs près de l’allée centrale et attend.
Karadec le laisse entrer et attend qu’il ressorte. Mais 30 minutes plus tard, il n’était pas revenu.
« Il connait peut-être une autre sortie, la sacristie sans doute ? »
Alors il va voir, le trouve au dernier rang.
« Qu’est-ce qu’il fout ? Il attend quelqu’un ? »
Il va s’assoir à son tour et se place quatre rangs devant Musaraigne.
Ce dernier attend, observant la technique du poulet qui se sert de son téléphone portable à la façon d’un rétroviseur
Dix minutes plus tard, deux dames âgées pénètrent dans la nef. L’une d’elle est fort bruyante, ce qui, vous en conviendrez ne sied guère à la solennité des lieux.
Mais cela provoque un moment de distraction y compris chez le flic, du moins c’est ce qu’espère Lisieux qui s’élance vers la sortie et se carapate dans les rues avoisinantes.
Il attend quelques minutes avant de se retourner, il n’est sûr de rien.
Alors il prend la rue de Rennes jusqu’à la gare Montparnasse, prend un billet pour Le Mans et monte dans le train…
– Allô chef. Il a pris le train…
– Il nous fait lanterner. Qu’est-ce qu’il va foutre au Mans ?
– Je ne sais pas, peut-être acheter des rillettes.
– Tu le suis toujours ?
– Oui.
– OK, on attend demain, s’il n’y a rien de nouveau on ira cuisiner la fille de la galerie.
Max est arrivé chez moi, Carole et Valentin également, on n’attend plus qu’Anna qui commence à se faire désirer. Mais c’est vrai qu’elle a toujours été fâchée avec la ponctualité.
Max à qui j’ai eu le temps d’exposer l’affaire nous propose plusieurs plans. Certains sont assez expéditifs, il me fait peur, parfois !
Et voici qu’Anna se pointe, elle n’a jamais qu’une demi-heure de retard.
– Désolée, mais il y a du nouveau. Lisieux est venu m’agresser à la galerie, les flics sont arrivés tout de suite, je ne sais pas comment ils ont fait mais ils l’ont embarqué.
– Quoi, mais ça change tout !. M’écriais-je
– Ça fout tous nos plans en l’air, les flics vont rapidement comprendre que ce n’est pas lui qui a trucidé Sauvignon. Il faut donc mettre au point un scénario qui ressemble à quelque chose, intervient Max.
On cherche, on cherche et on ne trouve pas grand-chose.
– Planque-toi, Carole, prends une chambre d’hôtel, propose Anna.
– Je ne vais pas me planquer toute ma vie.
– Alors tu te rends, tu plaides coupable et tu invoques la légitime défense
– C’est d’un gai !
– Comment faire autrement ?
– Ben je ne sais pas, j’ai besoin d’un peu de recul. Et si on trouvait un truc pour impliquer Lisieux à ma place ? Suggère-t-elle
– Ils vont passer toute sa garçonnière au peigne fin, l’arme du crime sera identifiée et sur l’arme du crime il y a tes empreintes.
– Je connais quelques bons avocats… Ajoutais-je afin de tenter de la réconforter.
– Oui bon et concrètement je fais quoi ? Je me constitue prisonnière ?
– On n’est pas à quelques heures prés. Il faut d’abord que l’on voit avec un avocat. Ne rentre pas chez toi ce soir, Chanette, tu peux l’héberger ?
– Bien sûr !
On a commandé des pizzas qu’on s’efforce de manger dans la bonne humeur, Max assis à côté de Valentin ne cesse pas de lui envoyer des vannes sexuelles très explicites.
Il est en rut ou quoi ?
– T’as envie de me sauter ou tu le fais exprès ? lui demande Valentin..
– Je te sauterais bien, mais je sais me tenir !
– Si vous voulez vous faire des trucs, ne vous gênez surtout pas ! Intervins-je.
– C’est vrai on peut ? Demande Max, hilare.
Anna et Carole n’ont pas la grande forme mais font savoir que cela ne les dérange pas.
Max se lève et enlève carrément son pantalon et son slip, exhibant une bite demi-molle.
– Allez Valentin, fais-moi bander tout ça !
Valentin n’hésite pas un instant, il prend la bite dans la main et la branlotte quelques instants afin de lui donner meilleure forme, puis la prend dans sa bouche en la suçant comme il se doit.
– Hum, c’est qu’elle me suce toujours aussi bien cette petite pédale ! Commente Max dans un grand élan poétique.
Ça commence à m’exciter de voir ça, pourtant des mecs qui sucent des bites, je vois ça toutes les semaines dans mon donjon, mais là le contexte est différent, Valentin et Max sont des amis… Et de façon instinctive je commence à me trifouiller l’entrejambe.
– Ben Chanette tu t’égares ! Me vanne Carole.
– Je ne m’égare pas, je me tripote !
– Tu veux un coup de main ?
– C’est pas de refus !
Du coup, je baisse pantalon et petite culotte, lui laissant l’accès libre et elle se met à me doigter. Au bout de quelques instants elle s’arrête pour enlever le bas à son tour.
– Comme ça tu peux aussi t’occuper de moi !
J’avais compris. Je lui fous les doigts dans la chatte, c’est tout mouillé là-dedans, ça fait floc-floc.
L’ambiance devient très chaude, seule Anna reste sage, mais il faut la comprendre, elle est encore sous le choc de son agression.
Je me suis rapprochée de Carole et lui roule un patin en cherchant ses seins que je parviens à dégager de son haut. Je les connais bien ses nichons mais je ne m’en lasse pas et je les tète avec gourmandise avant de lui offrir les miens.
De l’autre côté, Valentin a cessé sa fellation et s’est arcbouté contre la table, offrant son cul.
– Oh quel beau cul ! Je ne m’en lasserais jamais ! Commente Max en ponctuant ses paroles d’une bonne claque sur la fesse gauche.
Il ne l’encule pas tout de suite, non il prend son temps, il musarde, jouant de sa langue sur le bord de l’anus, faisant pénétrer un doigt inquisiteur, puis un second.
Puis finalement il donne l’assaut.
Oh , que c’est bon ! Oh, que c’est bon de se faire enculer ! Psalmodie Valentin.
Je sens mon désir monter sous les doigts de fée de Carole, j’éclate en m’aspergeant les cuisses de ma mouille, J’accélère ensuite ma pression sur la minette de ma complice qui ne tarde pas à me suivre dans l’orgasme.
Et pendant temps-là Max éclate son plaisir dans les entrailles de Valentin, il se retire avec un air béat.
– Quelqu’un s’occupe de moi ? demande alors Valentin.
– Patiente un quart d’heure, tout viendra à temps, lui répond Max en retirant sa capote, dévoilant sa bite gluante de sperme. Tu veux nettoyer ?
Valentin, excité comme une puce s’acquitta fort bien de cette tâche.
On a donc terminé nos pizzas, un peu refroidies, en discutant de choses et d’autres, Anna avait l’air de plus en plus absente, je suis allé voir dans mon armoire à pharmacie mais n’ai rien trouvé, alors je lui ai fait une tisane.
En revenant lui porter, je pu constater que Max s’amusait à caresser la bite de Valentin. Quel cochon celui-là !
Valentin se pâme de plaisir, Max n’en peut plus et plonge sa bouche vers la bite tendue, il se régale
– Maintenant c’est toi qui vas m’enculer ! Dit-il à son partenaire..
– C’est nouveau ? M’étonnais-je.
– Non c’est une évolution logique, je me sens de plus en plus pédé et d’ailleurs c’est de ta faute !
– Comment ça, c’est de ma faute !
– C’est bien toi qui as été me foutre un gode dans le cul…
– Mais c’est toi qui me l’avais demandé ! (voir Chanette 26 – les manuscrits de Sacha).
– C’était juste pour essayer, maintenant j’y ai pris goût. Bon Valentin tu m’encules ou tu attends la révolution prolétarienne ?
Valentin, bandé comme un âne, s’encapote et sans autres préliminaires pénètre le fion de Max le dur.
Ce spectacle m’excite terriblement. En fait j’ai envie que Max m’encule, c’est l’un des rares bonhommes à qui j’accorde cette privauté.
– Quand tu auras terminé tu pourras peut-être t’occuper un peu de moi ! Lui lançais-je.
– Attend, on va faire une figure de style ! Me répond-il.
Une figure de style ? En théorie ce qu’il propose est simple, Max demande à Valentin de sortir de son cul, puis de s’assoir, Max vient alors s’empaler sur sa bite.
– Tu ne bouges pas, c’est moi qui bouge…
Et moi dans tout ça ? Eh bien je n’ai plus qu’à m’empaler à mon tour sur la bite de Max. Et comme je vous le dis en théorie c’est génial, en pratique, il faut synchroniser… de plus le pauvre Valentin est obligé de supporter le poids de deux personnes dont un balèze. Autant dire que ce petit train vertical ne tient pas longtemps la distance.
– Vous êtes vraiment nuls tous les trois ! Se gausse Carole, le petit train, faut le faire en position couchée.
Ben oui évidemment, du coup on descend sur le tapis et on se positionne en cuillères, Valentin encule Max qui m’encule ! Et Youppie !
Max m’a fait jouir avec sa bonne bite dans mon cul, Quelques instants plus tard Valentin déchargeait à son tour.
Je vais pisser ! Nous informe Max, ça intéresse quelqu’un ?
Ça ne m’intéresse que moyennement, mais ayant moi aussi une petite envie, je le suis dans la salle de bain, Carole nous rejoint.
– Allez les poulettes, ouvrez bien vos petites bouches, je vais vous donner à boire.
On s’est agenouillé avec Carole et avons reçu son jet doré, il avait une grosse envie et de l’urine nous a dégouliné partout sur le corps.
– Allonge-toi par terre, Max ça va être notre tour de t’arroser !
– Mais c’est plein de pisse, par terre ! Proteste-t-il.
– On s’en fout, on se douchera après…
Quand on est revenu dans mon salon, Anna finissait de boire sa tisane, le regard lointain.
– A vous voilà, vous pouvez décidemment pas vous empêcher de faire de cochonneries.
Anna qui joue les effarouchées, on aura tout vu !
A suivre
Un festival de sexe débridé qui donne le tournis
Quelle santé ce Max
Une belle partouze comme Chanette a le secret pour nous les décrire