Martinov 23 – La grotte de l’Ours – 11 – Au bonheur des brouteuses par Maud-Anne Amaro

Martinov 23 – La grotte de l’Ours – 11 – Au bonheur des brouteuses par Maud-Anne Amaro

– On a un projet, on va t’expliquer, parce que maintenant que tu es là, tu vas nous aider.
– C’est quoi ? Demanda Dorothée avec appréhension
– On va acheter une chèvre et faire des fromages, on verra bien ce que ça donne. Donc on voulait l’acheter à deux, mais maintenant qu’on est trois…
– J’ai peut-être une autre idée ! La chèvre elle va s’emmerder, ce serait bien qu’elle ait une copine.
– Pas assez de sous.
– Je vais demander à mes bourges ! C’est combien une chèvre ?
– Dans les 100 balles
– Ils sont cinq, ils peuvent bien me filer 20 balles chacun.
– Pourquoi pas, tu t’occupes de ça ?
– Bien sûr !
– Alors viens nous embrasser.

Mais c’est que les bisous de Vicky ne sont jamais innocents… Parce que pendant l’étreinte les mains deviennent baladeuses, très baladeuses même !

– T’as baisé avec les bourges ?
– Oui et vous deux vous avez fait quoi avec Béatrice ?
– Elle ne t’as pas raconté ?
– Juste un peu.
– Si on allait sur le grand lit, on sera mieux pour se raconter des trucs ! Propose Vicky.

Mariette et Dorothée ne sont pas folles, elles savent très bien que sur le lit, elles ne vont pas se contenter de faire de la parlotte.

Ce sont les garçons qui ont encouragé les filles à développer leur tendances homosexuelles, mais le scénario était souvent le même, quand ces demoiselles se gouinaient, pas moyen de les laisser tranquilles, il fallait toujours qu’un mâle en rut se jette sur elles, la bite en avant. Elles étaient donc obligées de se planquer ou d’attendre que l’homme ait joui pour bénéficier d’un peu d’intimité féminine. Autant dire que dans ce contexte, faire du trio lesbien s’apparentait à une gageure.

Une fois sur le lit, les trois filles ne s’y couchèrent pas, et restèrent à genoux. Vicky et Dorothée se dégagèrent mutuellement un sein. Mariette derrière elles attendait son tour. Vicky lécha furtivement le téton de sa vis-à-vis, avant de la dépoitrailler complètement, tandis que Mariette cherchait les lèvres de la petite rousse.

Ces demoiselles n’arrêtent pas de se léchouiller les tétons et de se rouler des galoches et se débarrassent de leurs derniers vêtements.

Dorothée est vraiment le centre d’attraction du trio, et elle en ressent une grande fierté.

« C’est moi la vedette ! »

Vicky et Mariette font allonger Dorothée sur le dos et lui écarte les cuisses. Vicky vient alors lui doigter la chatte, tandis que Mariette l’embrasse et lui plote et lèche les seins. La main de Dorothée part à la rencontre de la chatte de Mariette et la tripote avec énergie.

Vicky retire ses doigts dégoulinant de mouille et les offre à lécher à Dorothée. La place devient libre pour Mariette qui se jette à son tour sur la chatte offerte, langue en avant.

Le ballet infernal se poursuit, Dorothée a soulevé son bassin rendant ainsi son anus bien visible. La vue de ce petit trésor attire irrésistiblement Vicky qui vient le butiner de sa langue agile, puis après les avoir mouillés, lui introduit deux doigts.

– Oh, oui, c’est bon ! Ramone-moi bien le cul, mon cul de salope !
– Comme ça ?
– Oui, encore !
– Conserve la position, je vais chercher le gode.

Il n’était pas bien loi et Vicky eut tôt fait de l’introduire dans le trou du cul de la jolie Dorothée, elle la pilonne ainsi pendant plusieurs minutes tandis que Mariette passée devant elle lui pelote les seins et l’embrasse. A ce régime la petite sauvageonne ne tarde pas à jouir bruyamment, laissant s’échapper un flot de mouille de son intimité.

Vicky retire le gode

– Regarde-moi cette salope, elle a tout dégueulassé le gode avec le jus de son cul.
– Fais voir ! Demande Mariette qui s’emparant du gode se met à le lécher avec gourmandise.

Vicky fait se retourner sa partenaire et se déchaine ensuite à grands coups de langue sur sa chatte.

En agissant ainsi, Dorothée ne tarde pas à jouir de nouveau. Les files s’embrassent encore une fois.

Vicky se met en levrette offrant sa chatte à ses deux amies. Mariette vient la branler tandis que Dorothée se place en dessous et recueille la mouille qui dégouline de sa chatte.

Après avoir joui, Vicky ne change pas de position, Dorothée comprend qu’elle va pisser, et c’est avec gourmandise qu’elle recueille ce nectar dans sa bouche, pendant que Mariette se termine toute seule comme une grande.

Dimanche 19 avril

Intéressons-nous un peu à Caribou toujours planté à quelques mètres de la cabane de Remy….

Les premières lueurs de l’aube apparurent rapidement, la visibilité s’améliorait, du coup le coq y alla de son cocorico matinal.

– Connard de volaille ! Pourvu que ça ne réveille pas l’autre débile !

Il avança prudemment à quatre pattes, trouva en chemin une grosse pierre qui irait bien et se retrouva devant la porte. Il la poussa, elle grinçât, mais elle ne s’ouvrit pas.

– Merde, il s’est barricadé !
– Y’a quelqu’un ? Gueula Rémy à travers la porte.

Caribou modifia son plan en conséquence, il ferait en sorte que Rémy ouvre sa porte et l’assommerait à ce moment-là. Il tambourina nerveusement.

– C’est qui, c’est quoi ?
– Police ! Répondit Caribou en prenant un accent vaguement bourguignon.

Rémy décadenasse la porte et sort muni d’un gros gourdin. Les deux hommes se font face, Rémy tient son bout de bois devant son visage, empêchant Caribou de lui jeter la pierre. Moment d’hésitation fatal, Rémy frappe violement son adversaire qui tombe dans les pommes.

– Qu’est-ce que je vais en faire ?

A Briançon, Corentin se morfond, il a conscience d’avoir été mauvais dans cette aventure, il ne pense pourtant pas être quelqu’un de méchant, mais ne dit-on pas que des situations particulières peuvent générer des comportements inhabituels ?

– Cette bande d’abrutis pourrait tout de même le comprendre, non ?

Ce n’est pas tellement la perte du contrat avec Justin Verrier qui l’attriste, des contrats, il en trouvera d’autres, mais la rupture avec Solène pour laquelle il s’était réellement entiché. Il se dit alors sans trop y croire qu’il pouvait toujours essayer d’arranger les choses.

Il commença par contacter la gendarmerie et leur annonça qu’il retirait sa plainte, ça tombait bien, les gendarmes n’ayant plus l’intention d’y donner suite.

Il envoya ensuite un message à Solène sur son téléphone :

« J’ai été complètement nul pendant l’épisode de la grotte, j’ai pété les plombs et je le regrette sincèrement, je te demande d’accepter mes excuses. J’envoie aussi un message en ce sens à Verrier en lui demandant de le faire suivre à Martinov et sa collaboratrice. Peut-être pourrions-nous oublier cet épisode malheureux et se rencontrer autour d’un verre ? ‘Je suis encore à Briançon. Je t’embrasse.

– Regardez ce que je viens de recevoir ! Lance Solène à la cantonade, attendez je vais vous le lire….
– Et tu vas faire quoi ? Demande ensuite Isabelle.
– Je ne sais pas trop. Ce mec se dit amoureux de moi, mais ce n’est pas réciproque. D’un autre côté il me paye bien…
– Je viens aussi de recevoir un message. Intervint Verrier. Je suppose qu’il veut récupérer son contrat, qu’il aille se faire foutre, je n’ai plus besoin de lui… et puis s’il croit que je vais oublier qu’il m’a pété la gueule !
– Il dit qu’il a pété les plombs… dit Solène
– J’m’en fous, je ne veux plus entendre parler de cet abruti ! Et toi Solène, tu vas faire quoi ?
– Solène elle réfléchit ! Beatrice je peux te causer cinq minutes ?
– Mais bien sûr ma biche !

Et les deux femmes gagnèrent le couloir..

– Je n’arrive pas à me décider.
– Et tu voudrais un conseil… tu sais les conseils c’est toujours délicat, c’est difficile de se mettre à la place des gens.
– Non c’est pas ça, ce qu’on a vécu m’a changé, l’épisode de la grotte, on s’en souviendra toute notre vie, mais c’est surtout tes coquineries qui m’ont changé.
– N’exagérons rien…
– Je ne suis pas née de la dernière pluie, je devais avoir des prédispositions, mais j’avais surtout des réticences, et hier j’en avais encore. Seulement cette nuit, je n’arrivais pas à dormir, alors j’ai fantasmé et dans mon fantasme, j’étais en train de te lécher la chatte.
– Alors ?
– Alors j’aimerais le faire pour de vrai.
– Et ça va t’aider à prendre une décision ?
– Qui sait ?
– Je ne voudrais pas te prendre en traitre il faut que tu saches une chose, on peut faire comme tu as dit, mais n’espère pas une liaison, Je ne m’attache pas.
– J’ai envie de te lécher, Béatrice ! Très envie !
– Une envie comme ça ?
– Oui je ne sais pas ce qui m’arrive…
– Ben on va arranger ça…

Il y avait pas mal de chambres dans ce gite, Béatrice s’en était choisi une pour elle toute seule et y emmena Solène.

Sitôt entrée dans la pièce, cette dernière se jeta dans les bras de sa nouvelle amie et l’embrassa avec passion.

– Eh bien, tu pètes la forme, on dirait ! Lui fit remarquer Béatrice.
– Ben oui ! On fait comment ?
– Ben on va commencer par se mettre à poil, mais attends, je vais te donner un coup de main.

Béatrice entreprend de lui défaire un par un les boutons de son chemisier.

– T’aurais pu te mettre quelque chose de plus décontracté pour venir à la campagne, S’amuse-t-elle.
– C’est Corentin, quand je l’accompagne il veut toujours que ce je dois BCBG, il parait que ça impressionne les interlocuteurs.
– Ah bon ! Oh le joli soutien-gorge !

Rouge et noir en fine dentelles.

– Tu ne l’avais pas encore vu ?
– Euh, j’ai pas dû faire attention, bon je dégrafe.

Elle le fait, puis tout en restant derrière Solène elle lui pelote les seins à pleines mains

– Hum, quelle belle poitrine ! Regarde-moi-ça ces petites tétons qui ne demande qu’à pointer ! Dit-elle en les serrant entre les doigts.
– Plus fort ! Pince-les, tortille-les.
– Tu ne vas me dire que tu es maso ?
– Juste un peu, Aie !
– Je t’ai fait mal ?
– Oui, mais je ne t’ai pas dit d’arrêter.
– Ah moi de t’enlever le haut ! Décida Solène après une petit moment.

Mais elle se contenta de retirer le tee-shirt de la belle chimiste, laissant à celle-ci le soin d’enlever son pantalon.

Le déshabillage mutuel continua ainsi jusqu’à ce que les deux femmes fussent nues.

– Allez, Béatrice, allonge-toi sur le lit, j’ai envie de m’occuper de toi.
– D’accord, mais je vais aller d’abord chercher une serviette…
– Une serviette ?
– Ben oui, la mouille ça tache !

Béatrice étant revenue et installée, Solène commença par la caresser partout, puis par lui téter ses bouts de seins. Ça tombait bien l’assistante de Martinov adorait que l’on lui tripote les tétons et cela lui provoquait des frissons de plaisir.

Au bout d’un moment Solène lui demanda de se retourner, tout simplement parce qu’elle avait envie de lui ploter les fesses. Elle les caresse, elle les embrasse, puis les écarte, veut jouer avec l’anus, mais y renonce. Elle n’est pas prête pour ça, pas aujourd’hui.

– Allez, remets-toi sur le dos, je vais te bouffer la chatte.
– Bon appétit !

Avant de s’installer dans la position adéquate, Solène regarde les doigts de pieds de sa partenaire manucurés en bleu gris fluo.

– Il est joli ton vernis ! T’a trouvé ça où ?
– A Paris un magasin qui fait du discount pour les produits de beauté, je sais y aller mais je ne n’ai pas mémorisé le nom…
– Tu crois que ça le ferais avec ma peau ?
– Y’a pas de raison.
– En tous cas ça te fait des jolis pieds !
– Embrasse les !
– Que je t’embrasse les pieds !
– Ben oui !
– T’as plein d’idées bizarres, toi ?
– On t’as jamais léché les pieds ?
– Non ! Un mec m’avait demandé, mais je ne l’ai pas fait.
– Juste un bisou !

Solène se penche et embrasse le dessus du pied droit.

– Comme ça ?
– Oui ! Essai de mettre le gros orteil dans ta bouche, et tu le suces comme si c’était une petite bite.
– N’importe quoi ?
– Ben quoi, tu peux bien essayer !

Elle le fait, prend tout l’orteil dans sa bouche et l’imbibe de sa salive…

– Tu me fais faire de ces trucs…
– Allez je ne dis plus rien, fais-moi ce que tu veux.

Elle vint alors entre les cuisses, de Béatrice, écarta ses lèvres et vint butiner se chatte. Evidemment Solène manquait cruellement d’expérience, mais une femme n’est-elle pas la mieux à même de guider une autre femme vers son plaisir ?

Et quand Béatrice commença à gémir sous la langue diabolique de sa partenaire, elle quémanda :

– Le clito, le clito !

Trente seconde après elle jouissait, dans une torrent de mouille.

– Finalement c’est délicieux de sucer de la chatte, ça ne vaut pas une bonne bite, c’est différent, mais tu m’as vraiment fait découvrir quelque chose !

Evidemment La moindre des choses que pouvait faire Béatrice était de lui rendre la pareille, et après un moment calme, quelques caresses, pas mal de bisous et une cigarette, elles se mirent à bavarder comme des pies.

A suivre

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2 réponses à Martinov 23 – La grotte de l’Ours – 11 – Au bonheur des brouteuses par Maud-Anne Amaro

  1. voisin dit :

    C’est si beau de regarder deux femmes se donner du plaisir

  2. Darrigade dit :

    Un joli trio de coquines !

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