Malika 7 – Une soirée particulière – conclusion par Maurice01

Malika 7 – Une soirée particulière – conclusion
par Maurice01

Les cinq amis avaient faim et ils mangèrent sans respecter la règle qu’ils s’étaient fixée au début de la soirée ; ils apprécièrent tout spécialement les huîtres accompagnées d’un excellent vin blanc, le Tokay, le meilleur de Hongrie. Afin d’être particulièrement en forme pour la suite de la soirée, les deux hommes avalèrent chacun un comprimé de cinquante milligrammes de Viagra, ce produit miracle qui permet aux pénis d’entrer en érection lorsque le cerveau est stimulé par une excitation sexuelle quelconque. C’est alors que Malika proposa un nouveau jeu érotique que tous trouvèrent amusant :

– Mangeons des fruits. Mais pas n’importe comment. On en choisit chacun une sorte que l’on placera quelque part sur notre corps et… on verra bien ce qui va se passer.

Basile choisit une grosse pomme, Serge s’empara d’un plat de framboises, Malika saisit une banane, Olga prit un melon coupé en deux et Chrisina se contenta de quelques cerises.

– Allons sur le lit, proposa Basile, nous y serons mieux.

En effet, leur lit était très grand et les hôtes avaient pris la précaution de le recouvrir d’une grande feuille de plastique pour ne pas salir le matelas.

– Mettez donc ces cerises où vous voulez, déclara Chrisina en montrant son beau corps nu.

Olga prit les cerises des mains de son amie, l’invita à se coucher sur le dos et, saisissant un Femidom une sorte de préservatif féminin, elle le remplit d’une dizaine de cerises avant de l’introduire dans son vagin. Elle écarta alors les grandes lèvres de Christina, serra entre son pouce et son index le petit anneau rigide de l’espèce de sac en plastique et le fit pénétrer délicatement entre les petites lèvres, l’installant en quelques gestes précis bien au fond du sexe de sa complice. Elle avait pensé au fait que sans cette protection certains fruits auraient pu être difficiles à extraire. Elle mit encore quelques cerises dans sa bouche et, approchant son visage du sexe de son amie, elle les fit pénétrer en les poussant énergiquement avec sa langue. Le Femidom était parfaitement en place et seul le gros anneau extérieur sortait et recouvrait les grandes lèvres de Christina qui, lorsqu’elle contractait les muscles de son vagin éprouvait la sensation d’être remplie de quelque chose d’inhabituel, mais fort agréable. Les deux hommes observaient ce que faisait la petite Olga et la nouveauté de la manœuvre les fit bander à nouveau. Basile pela sa pomme et ménagea un trou suffisamment large pour y introduire son pénis dont le gland dépassait.

– Mangeons, dit Serge en s’approchant de Christina.

Il s’installa entre ses jambes et essaya de saisir les cerises qui remplissaient son vagin en aspirant fortement et en s’aidant de sa langue. Il n’obtint aucun résultat ; il prit alors le Femidom entre ses doigts et en le tirant légèrement vers l’extérieur il parvint à faire sortir une à une les cerises qu’il avala presque sans les mâcher avec leur noyau. Il lécha ensuite le préservatif tout mouillé de cyprine et il poursuivit son manège en suçant la vulve et le clitoris de la jeune femme qui gémissait de plaisir.

Pendant ce temps, Olga et Malika s’approchèrent de Basile assis au bord du lit et, sans s’aider des mains, grignotèrent petit à petit la pomme fichée sur son pénis. Malicieuses, elles donnaient souvent de petits coups de langue sur son gland rouge et sensible et s’attardaient sur le méat qu’elles titillaient à tour de rôle ou ensemble, profitant aussi de se donner l’une à l’autre des petits coups de langue bienvenus. L’homme exhibait une magnifique érection et les deux complices léchèrent longtemps encore ce beau sexe après avoir terminé leur fruit et firent sortir quelques gouttes de liquide lubrifiant, preuve de la très forte excitation de son propriétaire.

Malika prit la coupe de framboises des mains de Serge et le fit se coucher sur le ventre. Elle posa les fruits entre ses fesses, et remplit la raie d’une sorte de pulpe juteuse, car elle les écrasait à mesure qu’elle les déposait. Cela le chatouillait et il éclata de rire. Il savait que la suite serait délicieuse. Olga s’approcha ; elle avait à la main un petit vibrateur argenté qu’elle promena lentement sur et entre ses fesses, avec l’intensité maximale. Le mouvement et les vibrations firent couler le jus des framboises vers le périnée et les testicules que Malika s’empressa de sucer et de lécher. Le jus rouge coula sur le lit, mais personne ne s’en inquiéta. Olga dit en riant :

– J’ai envie de t’enculer avec le vibrateur.
– D’accord, mais prépare-moi avec ta langue.

La jeune femme s’agenouilla à la gauche de Serge, puis s’allongea en partie sur lui afin de lui caresser les fesses avec ses seins qui devinrent rouges et sucrés en raison de la pulpe des fruits. Puis elle lécha longuement la raie, avala une bonne partie des fruits en s’aidant de sa langue puis insista sur le pourtour de l’anus. Serge aimait beaucoup et il sentit entre son ventre et le matelas son pénis qui s’enflait. Il était prêt. Alors, Olga prit le vibrateur, le mouilla avec sa salive, le lui plaça à l’entrée de l’anus et le mit en marche. L’homme frissonna et contracta ses muscles en un réflexe de peur ; mais tout de suite il se relâcha et ouvrit son passage étroit à l’engin qu’Olga maniait avec dextérité. Il se concentra sur ses sensations et, soulevant légèrement son derrière, il alla à la rencontre du faux pénis qui lui produisait un plaisir certain. Olga en profita pour glisser un coussin sous son ventre afin de mettre son ami dans la position la plus favorable à la pénétration. La pointe du vibrateur s’insinua sans peine dans le muscle détendu et Olga lui fit effectuer des allers et retours toujours plus rapides, toujours plus intenses. Elle se coucha littéralement tête-bêche sur le dos de Serge et s’ingénia à lui lécher les bourses à petits coups rythmés et insistants.

Serge était sur le point de jouir. Olga s’en rendit compte et, saisissant la moitié de son melon, elle la plaça sous le ventre de l’homme afin que son sexe repose dans le creux frais, juteux et collant laissé par les pépins qu’elle avait préalablement retirés. L’homme ne résista pas plus longtemps à ce traitement particulier et éjacula dans le fruit tout en serrant son anus spasmodiquement autour du jouet toujours fiché entre ses fesses et qui lui faisait tant de bien. Quelques instants plus tard, Olga tenait le melon entre ses mains et en mangea un petit bout avec le sperme de Serge mélangé au jus de fruits. Elle trouva ça bon et dit :

– Qui en veut un peu ?

Les deux autres femmes se précipitèrent et terminèrent la moitié du melon avec tout ce qu’il contenait, elles avaient du jus sur tout le visage et riaient à en perdre haleine. Olga avait encore un demi-melon. Elle le donna à Christina et lui demanda d’en frotter tout son corps et d’oindre principalement ses seins, ses cuisses, ses fesses et son entrejambe. Elle s’exécuta volontiers.

– C’est le moment de me lécher tout le corps, lança-t-elle à la cantonade.

Elle se mit à genoux sur le lit et ses quatre amis lui obéirent sans sourciller, profitant de l’instant pour se frotter contre elle et pour se toucher les uns les autres, sur les parties les plus sensibles.

– Finissons par faire l’amour tous ensemble sur le lit, proposa Basile.

Sa proposition fut acceptée avec enthousiasme. Malika et Olga se précipitèrent sur son sexe, Serge enfouit sa bouche entre les jambes de Christina et allongea un bras en direction du sexe de Malika qui caressait les seins d’Olga. Les deux hommes avaient une nouvelle érection et Basile demanda aux trois femmes qu’elles se mettent à genoux, les unes à côté des autres afin d’offrir leur derrière et leur vagin aux assauts des deux hommes. Serge se précipita sur Olga, lui pénétra l’anus avec une grande énergie et une fois son pénis bien au fond, il s’immobilisa. Basile décida de sodomiser Malika ; il s’y prit tout différemment et n’entra dans son anus que très lentement, presque respectueusement ; en même temps qu’il lui caressait doucement le clitoris. Christina vit qu’elle n’aurait pas de sexe masculin dans son vagin ; elle changea alors de position, s’installa devant Olga et lui demanda de lui lécher la vulve au rythme de sa sodomie. Les hommes, avec des mouvements amples et lents, se régalaient de sentir leurs sexes enserrés par les muscles anaux, fermes et solides de leurs compagnes. Ils aimaient cela, une pratique en fait peu courante, et firent durer le plaisir ; les deux femmes aussi appréciaient, car l’excitation était telle qu’elles étaient capables de jouir de cette intromission peu conventionnelle. Les quatre amis soufflaient de plus en plus fort et leurs râles de jouissances signalèrent à Christina que l’éjaculation était proche. Elle demanda alors :

– Je veux votre sperme, dans ma bouche et entre mes seins.

Les deux hommes se retirèrent presque en même temps, laissant tranquilles Olga et Malika, qui s’affalèrent l’une contre l’autre, repues. Christina prit les deux pénis, un dans chaque main, fit en sorte que Balise et Serge s’approchent et, ouvrant grand sa bouche, y fit pénétrer les pointes qu’elle se mit à lécher. Les deux hommes furent surpris du contact inhabituel de leurs sexes dans la même bouche, mais au point où ils en étaient ce n’était que la jouissance qui les occupait. Serge éjacula le premier dans la bouche de sa complice, trois longues giclées suivies de quelques gouttes ; Basile le suivit de près, mais Christina avait placé son pénis entre ses seins et c’est là dans son cou et sur sa poitrine qu’il laissa échapper sa liqueur. La femme cracha une partie du sperme qu’elle avait dans la bouche et, étalant celui qu’elle avait sur les seins, elle s’en enduisit tout le corps dans un massage lascif et provocateur.

Ils étaient épuisés, mais, avant de s’endormir, ils prirent rapidement une petite douche, enlevèrent le plastique du matelas et se couchèrent sagement.