Christina et Basile arrivèrent à l’hôtel un peu après 19 heures. Leurs hôtes les attendaient dans leur studio où ils avaient organisé un dîner un peu spécial. Dans la partie salon, une sorte de buffet avait été dressé, avec des mets et des boissons spécialement destinés à être consommés dans des circonstances exceptionnelles.
Malika avait revêtu une sorte de déshabillé blanc, presque transparent qui laissait voir sa toison, ses seins aux aréoles bien rouges, ses fesses, bref, son corps tout entier. Serge était en robe de chambre de soie noire, courte et légère et qui fermait mal. Ils proposèrent à leurs nouveaux amis de passer dans la salle de bain pour se mettre à l’aise. Ils leur avaient préparé des vêtements semblables, mais de couleurs inversées. Christina apparut bientôt : le noir de sa robe donnait à sa peau une teinte plus foncée qui lui seyait bien. Basile, en blanc, avait délibérément laissé son peignoir entrouvert de sorte que l’on voyait sa poitrine velue, son nombril et, de temps en temps, au-dessous de la ceinture, son sexe encore mou et ses testicules qui semblaient immenses.
Les quatre amis prirent place sur des coussins tout autour d’une table basse chargée de victuailles. Serge dit :
– Je vous propose la règle du jeu suivante : nous n’utiliserons ni assiettes, ni couverts, nos corps en tiendront lieu. Nos doigts ne serviront qu’à placer la nourriture là où nous désirerons la mettre ou à la donner à celui qui en voudra. Nous nous servirons seulement de nos bouches et de nos langues pour nous alimenter. D’accord ?
Les deux femmes acquiescèrent, mais Basile s’inquiéta :
– Nous allons tout salir.
– Ne t’en fais pas, j’ai tout arrangé et le personnel viendra nettoyer quand nous le jugerons bon. Retirons nos vêtements pour être plus à l’aise en prenant l’apéritif.
Il se dirigea vers le buffet, sortit une bouteille de champagne de son seau à glace et l’ouvrit. Il demanda à Malika de s’agenouiller sur la table et de prendre appui sur ses coudes. Il suggéra à Basile de s’approcher de sa vulve par-dessous, la bouche ouverte. Il versa alors un petit filet de liquide pétillant entre les fesses de son amie qui frissonna, car il était glacé. Mais elle ne bougea pas afin que l’homme puisse se désaltérer. Le mousseux coula lentement entre les fesses de la jeune femme, s’accumula un instant à l’entrée de son anus, déborda et s’écoula doucement dans la bouche de Basile qui trouvait le manège à la fois cocasse et très excitant.
– À moi, fit Christina, qui voulut prendre la place de son copain.
Celui-ci eut une autre idée : il remplit sa bouche de champagne, et, se relevant, lui en donna une petite quantité en un baiser plutôt mouillé et pétillant. Il répéta son manège plusieurs fois.
Malika avait soif et elle le fit savoir. Christina se coucha sur le dos, serra les jambes, releva un peu ses fesses avec un coussin et, à l’aide de ses mains jointes, elle confectionna un petit réceptacle limité par ses cuisses et son pubis. Serge le remplit et s’agenouilla pour boire comme un chat, à petits coups de langue rapides ; il attira d’une main Malika et lui céda momentanément sa place avec un sourire. La coupelle fut vide en quelques instants. Serge la remplit une deuxième puis une troisième fois. Chacun buvait à son tour, calmement, tranquillement, tandis que Christina ressentait à la fois la très surprenante fraîcheur du champagne et l’agréable chatouillis des langues de ses trois amis, qui, souvent, s’attardaient sur ses poils pubiens.
C’est alors que l’on sonna à la porte. La jeune vendeuse arrivait. Elle fut surprise en voyant que les deux couples étaient nus et qu’ils riaient. Elle avait à la main un grand paquet emballé dans du papier rose. Elle le déposa à côté des victuailles, l’ouvrit et en sortit plusieurs douzaines d’huîtres ouvertes.
– Excusez-moi, avec cette chaleur, j’ai besoin de me rafraîchir. Puis-je utiliser votre salle de bain ?
Elle s’éclipsa quelques minutes seulement. Lorsqu’elle revint, elle descendit très lentement l’escalier afin que chacun puisse admirer son corps superbe et surtout les fins tatouages qui couvraient une grande partie de son dos et de ses fesses ainsi qu’un discret piercing au nombril. Elle n’était pas totalement nue, car elle portait un string rouge, le plus petit qui puisse exister.
– Comment t’appelles-tu ? demanda Serge.
– Olga… J’ai soif. Que puis-je boire ?
Serge, qui avait encore la bouteille de champagne à la main, remplit sa bouche et, s’approchant de la nouvelle arrivée, lui donna une assez grande quantité de liquide frais et pétillant, en un baiser très particulier. Elle fut sur le point d’avaler de travers, mais cela lui plut ; elle n’avait que rarement l’occasion de boire du champagne, car en Hongrie c’est un produit particulièrement cher, et elle en redemanda. Christina le lui donna ; elle profita du rapprochement pour lui caresser doucement le dos sur les tatouages qui la fascinaient. La texture de sa peau n’avait pas changé malgré le grand dessin indélébile de style tribal, bleu foncé et rouge ; elle était particulièrement douce et Christina s’y attarda quelques instants ; elle lui caressa aussi les fesses et passa sa main sous la ficelle du string pour le lui enlever. Olga se laissa faire puis, sautant sur la table d’un geste vif, elle montra à chacun le petit triangle blanc de son pubis qui contrastait avec son corps bien bronzé. Elle donnait ainsi l’impression d’une grande nudité, presque obscène, ceci d’autant plus qu’elle était totalement épilée. Un petit cordon blanc, comme celui d’un Tampax sortait de son sexe, laissant penser que si elle avait conservé son string, c’est qu’elle avait ses menstruations… Mais ce n’était pas le cas. Elle s’était préparée pour la soirée, car Serge lui avait indiqué quelles en seraient les règles. Elle demanda à Basile de s’approcher, désigna la petite ficelle, écarta les jambes ; l’homme s’agenouilla, prit le cordon entre ses dents et tira doucement. Chacun pensait qu’elle avait des boules de geishas, mais tous furent surpris lorsqu’une première prune rouge sortit de son vagin, suivie d’une autre plus grande. Elle s’était inspirée des boules de geishas qu’elle vendait dans sa boutique pour bricoler un objet semblable, mais comestible… Tous applaudirent. Basile prit un fruit qui n’avait pas de noyau et tendit l’autre à Serge. Les deux hommes en mangèrent chacun une moitié et en passèrent l’autre à leur compagne respective en un baiser nutritif. L’apéritif avait été particulièrement réussi et les cinq amis étaient très excités. Cela se voyait chez les hommes dont le pénis entrait en érection et chez les femmes par la pointe des seins, dures et tendues ainsi que par quelques petits rires nerveux bien caractéristiques.
Serge désirait passer à des choses plus sérieuses. Pour ce faire, il prit un pot de miel coulant sur l’étagère et s’en pommada le sexe et les testicules, après en avoir mis une couche sur le dos d’Olga afin, avait-il dit, de mettre davantage en évidence son beau tatouage qui en devint tout brillant. La jeune femme s’allongea sur le ventre au centre de la table basse et Serge s’agenouilla devant elle afin qu’elle le nettoie avec sa langue. Pendant ce temps, Malika et Basile s’approchèrent d’Olga pour lui lécher le dos, tandis que Christina, elle, préféra s’occuper de ses fesses et tout spécialement de la raie qui par la force des choses était alors la partie la plus douce de son anatomie.
Un peu plus tard, Malika saisit un pot de crème Chantilly et la répartit entre ses quatre amis, en choisissant de préférence le pubis, la vulve, les seins, le pénis, les testicules et les fesses de chacun. Ils se mêlèrent de telle façon qu’en peu de temps toute la crème avait disparu. Personne ne savait bien qui avait léché quoi, mais ce fut un moment drôle et joyeux qui se termina par la proposition de Christina :
– Allons donc prendre une douche.
Les cinq amis montèrent l’escalier et se touchant par-ci par-là, ils se dirigèrent vers la salle de bain. La cabine était grande de sorte qu’ils purent tous s’y mettre en se serrant un peu, ce qui n’était pas pour leur déplaire. Malika régla la température de l’eau afin qu’elle soit agréable. Christina prit le produit à douche à l’odeur de pamplemousse rose et en répartit abondamment sur les corps mouillés de chacun. Serge saisit Olga par derrière et se frotta contre son dos de bas en haut, avec son pénis à moitié bandé entre les fesses de la jeune femme. Basile l’imita avec Malika tandis que Christina se glissait entre les deux femmes, touchant avec son derrière le pubis d’Olga et avec son ventre et ses seins, le ventre et les seins de Malika. Ils se mirent alors à bouger en rythme et les corps mouillés et savonneux glissèrent les uns contre les autres de façon délicieuse, ce qui augmenta leur excitation. Les deux hommes bandaient franchement et dirigèrent leur pénis respectif dans la raie glissante de leurs complices qui semblaient apprécier. Brusquement, Christina s’assit, laissant Malika et Olga prendre appui l’une contre l’autre. Elle fit couler dans ses mains une bonne dose de gel douche et levant les bras, elle se mit à caresser tantôt les testicules des deux hommes, tantôt la vulve de ses amies, doucement, mais avec insistance. Pour se donner à elle aussi un peu de plaisir, elle saisit le pommeau de la douche et le plaça entre ses jambes en dirigeant le jet tiède sur son clitoris et sur ses grandes lèvres. Ils étaient sur le point de réaliser une figure érotique dont l’idée avait germé dans la tête de Christina. Avec ses mains, elle disposa les deux pénis à l’entrée de l’anus des deux femmes, ajouta encore un peu de produit et dit aux hommes :
– Allez-y doucement !
Ils ne se firent pas prier et simultanément, ils firent pénétrer leurs glands dans les petits trous de leurs compagnes qui aidaient à la manœuvre en poussant, comme pour déféquer. Cela fut aisé, car la préparation avait été bien faite et l’excitation à son comble. Petit à petit avec des soupirs et des cris de plaisir, Olga et Malika accueillirent les sexes de leurs compagnons qui, une fois la barrière du sphincter franchie, restèrent un bon moment immobiles, comme pour profiter un peu plus de l’exquise sensation qu’ils éprouvaient. Puis ils se mirent à bouger, d’abord lentement puis de plus en plus fort, comme s’ils étaient dans leurs vagins, mais avec cette étrange sensation d’un fourreau plus serré, moins lubrifié, enserrant davantage la verge. Les deux femmes s’embrassèrent afin de maintenir l’équilibre debout, mais un peu courbé, et de ne pas tomber sous les assauts toujours plus puissants de leurs amis. Christina massait sans cesse les testicules des deux hommes, ce qui provoqua chez Serge une jouissance si forte qu’il lâcha tout son sperme au plus profond des entrailles d’Olga, après quelques mouvements plus forts que les autres. Basile pouvait tenir plus longtemps, mais il fit sortir son pénis de l’anus de Malika et, se frayant un passage entre les deux femmes, il l’approcha de la bouche de Christina qui le saisit immédiatement. En quelques habiles coups de langue, elle amena l’homme au point de non-retour. Alors, après lui avoir demandé la permission, il éjacula abondamment dans sa bouche. La femme avala une bonne partie de son sperme, car elle appréciait parfois, surtout lorsqu’elle était particulièrement excitée et c’était le cas. Elle rit aussi du bon moment passé sous la douche, et quelques gouttes s’échappèrent d’entre ses lèvres, coulant sur son menton…
Ils se lavèrent un peu, s’essuyèrent et descendirent au salon, toujours nus.
A suivre…
Tout est basé sur le mélange sexe et aliments. J’ai trouvé ça un peu décevant dans son déroulé
C’est vraiment très inférieur aux chapitres précédents qui étaient vraiment très bons