L’odyssée de Zarouny (Vargala 3) –33 – Le donjon de Nicérus par Nicolas Solovionni

L’odyssée de Zarouny (Vargala 3) –33 – Le donjon de Nicérus
par Nicolas Solovionni


Sans jamais lui avouer quoi que ce soit, Nicérus s’était entiché de Rachel. Il se désespérait de la voir quitter l’établissement, et puis il eut une inspiration.

– J’ai une idée, on va changer la déco tous les mois, ainsi le cabaret sera plus vivant, je vais donc vous commander une autre série de maquettes.

C’est à ce moment que l’on frappa à la porte du bureau. Une jeune femme, blonde frisée comme un mouton, une sorte de secrétaire qu’elle avait déjà croisée entra.

– Tu ne vois pas que je suis occupé ! Grogna Nicérus.
– Juste une seconde ! Mado vient de m’appeler, ce soir, elle ne peut pas !
– C’est embêtant, ça ! On va la remplacer ! On a qui sous la main ?
– Personne, mais je peux trouver !
– Tu ne veux pas te dévouer ?
– Vous me l’avez déjà demandé cent fois, ce n’est pas mon truc, je suis trop douillette.
– Petite nature !
– Je fais quoi ?
– Essaie de te débrouiller, tu me tiendras au courant.

Rachel ne put lutter contre sa curiosité. Le mot « douillette » l’ayant intrigué.

– Je peux être indiscrète…
– Je me livre à des petits jeux sado-maso avec des femmes que je paie ! Coupa-t-il. C’est mon truc ! Je pensais vous avoir prévenu. Voilà maintenant vous savez. Mais qu’est-ce qu’il vous arrive, vous êtes choquée ?
Pas du tout… je… laissez tomber.
– Ben quoi, si vous avez quelque chose à dire dites-le !
– Vous faites le sado ou le maso ?
– Je fais le maître ! Je ne suis pas maso.
– Ha !

Rachel sembla un moment partie dans de curieux fantasmes.

– Vous voulez me demander autre chose ?
– Ça m’aurais intéressée de regarder une séance sado-maso.
– Il existe des établissements où vous pouvez aller voir ça !
– Hum ! Et vous, vous faites ça en privé ?
– Complétement privé, je n’aime pas qu’on me regarde.
– Même si je reste toute seule dans un petit coin ?
– Je ne veux pas qu’on me regarde.
– La fille à qui vous faites des misères, elle vous regarde bien non ?
– Ce n’est pas pareil.
– Alors une dernière question ! Les filles que vous payez pour ça, elles ressortent comment de ces séances ?
– Intactes ! Ce sont des filles qui aiment ça. De plus il y a un mot de sécurité pour tout arrêter si parfois, elles paniquent. Croyez bien que si je brutalisais les filles contre leur gré ça se saurait !
– Vous m’accepteriez comme soumise ?
– Vous ?
– Ben oui, moi !

Nicérus se mit déshabiller Rachel du regard, ce n’était pas la première fois qu’il le faisait, mais là, le contexte devenait différent.

– Ça vous tente vraiment ?
– Oui beaucoup !

Nicérus réfléchit quelques secondes.

– Oubliez ça, ça risque de changer nos rapports, et je n’ai pas envie que nos rapports changent.
– On le fait une fois, juste une fois, on ne le refera plus ensuite et on en reparlera plus jamais.
– Vous pouvez m’expliquer un peu, là !
– Non ! Enfin disons que j’ai besoin d’une séance, pour moi ce sera comme une thérapie, enfin un essai de thérapie.

Nicérus actionna alors l’interphone :

– Olivia, t’es en train de me chercher une fille pour ce soir ?
– Pas encore, mais je vais m’y mettre !
– Alors laisse tomber, j’ai trouvé quelqu’un.

Puis ils continuèrent à parler business comme si de rien n’était.

Le soir Nicérus conduisit Rachel dans son local aménagé en donjon.

– Déshabillez-vous complétement et attendez-moi ! Je reviens.

Cinq minutes plus tard il réapparaissait revêtu d’une large chasuble rouge du dernier ridicule. Il bava de concupiscence en découvrant l’envoutante nudité de Rachel

– Deux choses avant de commencer ! Pour tout arrêter il y a un mot de sécurité, c’est « kangourou » qui faut prononcer deux fois. Vous vous souviendrez ?
– Ben oui, Kangourou, quoi !
– Ensuite, non seulement je vais être méchant et vous faire mal, mais je vais être odieux et vous traiter de tous les noms, ça fait partie du jeu. On peut y aller ?
– Oui !
– Alors en levrette, je vais m’occuper de ton cul de salope !

Nicérus se dirigea vers l’un des murs où étaient accrochées entre maints instruments fouetteurs, une remarquable collection de cravaches.

Après en avoir choisi une avec une lenteur toute calculée il la montra ostensiblement à Rachel afin de l’impressionner.

Mais Rachel n’avait pas peur, juste un peu d’appréhension.

L’homme passa derrière et émit un sifflet admiratif.

– Quel cul ! Un vrai cul de salope ! Il a dû en rentrer des bites là-dedans ? Réponds-moi !
– Quelques-unes !
– T’aimes qu’on t’encule ?
– Oui !
– T’es qu’une salope ! Regarde ma bite, tu me fais bander trop tôt, ce n’est pas ça le jeu !

Il enleva alors prestement sa chasuble libérant un sexe bandé à bloc. Tournée du mauvais côté Rachel dû se contorsionner pour la voir.

– Elle est belle, hein ?
– Oui ! Répondit Rachel qui ne lui trouvait pourtant rien d’exceptionnel.
– Tu la voudrais bien dans ton cul ?
– Oui !
– Ben c’est pas gagné et puis tu serais trop contente ! Mais pour le moment tu vas déguster !

Elle ne vit pas arriver le premier coup et eut du mal à se retenir de crier, le second fut aussi fort et lui fit mordre les lèvres, le troisième la fit gémir, au quatrième elle ne lutta plus et se laissa crier. Du coup Nicérus baissa l’intensité du coup suivant. Elle le regretta presque : N’était-elle pas là pour expier ?

– Debout ! Ordonna l’homme après le dixième coup, (à moins que ce soit le douzième elle avait cessé de compter).

« Déjà fini ? » S’étonna-t-elle, in petto

Non ce n’était pas fini, le plus douloureux restait à venir…

Nicérus attacha la jeune femme de face sur une croix de Saint-André.

– Bon, maintenant on va passer aux choses sérieuses !

Rachel commença à se sentir mal et se demanda si elle pourrait tenir jusqu’au bout cette épreuve qu’elle s’était imposée à elle-même. Bien sûr elle pouvait arrêter quand elle voulait avec ce fameux « mot de sécurité »… à condition que l’homme le respecte.

Nicérus se livra d’abord à un tripotage intempestif des seins de la belle, non seulement le geste était peu élégant, mais n’avait pas grand-chose à voir avec les pratiques sadomasochistes. S’enhardissant il lui pinça le bout des seins, les tira et les tortilla.

Puis il s’en alla quérir une petite cassette de laquelle il commença à extraire deux pinces métalliques qu’il lui accrocha sans ménagements sur les tétons.

La douleur était vive mais Rachel supportait. Les deux pinces suivantes furent pour ses lèvres vaginales. Une larme coula au coin des yeux de la jeune femme.

– Alors, poufiasse, on ne fait plus sa fière ?

Elle ne trouva rien d’intelligent à répondre.

Nicérus accrocha ensuite des poids après les pinces, doublant la douleur des chairs meurtries. Mais le pire (non pas le pire, le pire viendra ensuite) fut quand armé d’un martinet à longues lanières, le tortionnaire trouva très amusant de faire brinqueballer toute cette quincaillerie en lui balançant des volés de coups sur ses seins.

Rachel criait et attachée comme elle l’était, ne pouvait empêcher les coups de la faire souffrir.

Enfin, il la détacha, elle crut son supplice terminé. Eh bien, il ne l’était pas. Nicérus s’abstint de lui retirer les pinces qui mordaient ses chairs

– Remet toi en levrette !
– On ne peut pas souffler un peu ?
– Non !

Rachel obéit.

– Et maintenant tu vas faire le tour de la pièce en restant à quatre pattes.

La jeune femme se mit en route, à chaque pas les pinces et leurs poids dodelinaient et tiraient douloureusement sur les chairs transformant l’épreuve en calvaire. Le visage de Rachel dégoulinait de larmes, mais elle accepta l’épreuve.

« Mais ce sera la dernière, s’il veut me faire subir autre chose j’abandonne ce cirque ».

Deux fois elle fit le tour de la pièce puis vint l’ordre :

– Debout !

Nicérus ôta alors les pinces, sans aucun ménagement. Le retrait fut encore plus douloureux que la pose, mais il fallait bien les enlever, non ?

– Alors t’as bien dégusté, poufiasse, qu’est-ce que tu crois que je vais te faire maintenant ? Tu crois peut-être que je vais t’enculer ? Tu serais trop contente et d’abord je ne baise pas les putes !

Rachel trouva la réflexion aussi humiliante que déplacée.

– Allonge-toi par terre et ouvre la bouche, j’ai envie de pisser.

Elle obtempéra en s’en fichant complètement, n’ayant jamais considéré les jeux uros comme dégradants. Pourtant elle se surprit à avaler avec une certaine répugnance la pisse de cet homme.

Nicérus fit ensuite un appel peu audible dans le micro.

Trois personnes pénétrèrent dans les lieux. Olivia, la petite secrétaire qu’elle avait déjà croisée et deux hommes bien baraqués, sans doute des gardes du corps

« C’est qui ceux-là ? ».

Nicérus fit signe à Olivia de s’approcher de lui, ce devait être un rite car immédiatement elle s’agenouilla et emboucha le sexe de l’homme.

Il ne mit que quelques courtes minutes à jour !

– Ah ça fait du bien de jouir dans la bouche d’une vraie femme, j’allais quand même pas baiser avec une pute.

« Oui, bon on a compris, ça commence à faire rengaine ses réflexions à deux balles ! »

– Vous deux ! Ordonna Nicérus, cette trainée est à votre disposition, vous la violez, vous l’enculez mais sans brutalité.

Rachel n’avait pas prévu ça !

– Le mot de sécurité est toujours valable ! Précisa Nicérus avant de quitter les lieux.

Instinctivement Rachel se mit en levrette, elle ne souhaitait pas croiser le regard de ces types. Ils la sodomisèrent l’un après l’autre rapidement et sans ménagement, la laissant ensuite là, telle une chiffe molle.

Alors elle libéra les vannes et se mit à pleurer à chaudes larmes.

– Allons, allons, c’est fini maintenant, ce n’était qu’un jeu !
– Tiens, vous étiez là, vous ? S’étonna Rachel en découvrant le visage d’Olivia penchée sur elle.
– Venez je vais vous soignez tout ça ! Je prends vos vêtements, vous vous rhabillerez après.
– Je peux avoir à boire ?
– C’est prévu !

Olivia l’emmena dans un petit local qui comportait une table de massage et une armoire à pharmacie.

– Allonge-toi sur le ventre, je vais te passer une pommade, il ne t’a pas trop abîmé mais ça aidera les traces à disparaître.
– Tu fais le service après-vente, alors ?
– Appelons ça comme ça ! Mais qu’est ce qui t’as pris de vouloir jouer les masos, comme ça tout d’un coup ? Ça n’avait pas l’air d’être ton truc ?
– Non ce n’est pas trop mon truc ! Enfin je veux dire les petites misères, je ne suis pas contre mais pas comme ça !
– Ben alors ?
– Ben alors ce serait trop long à t’expliquer, et puis là tout de suite j’ai pas trop envie de parler.
– C’est des choses que je peux comprendre, mais si un jour tu as envie de te confier, je suis là, j’ai l’impression que tu n’as pas tellement d’amis ici ?
– Qu’est ce qui te fais dire ça ?
– J’ai bien vu que tu étais en galère ! C’est pas si difficile à deviner, tu sais ?

Rachel fut saisie d’un doute : Et si cette nana était envoyée par Nicérus afin d’en savoir plus sur elle ? Elle décida donc d’être prudente. Si elle insistait elle lui servirait la même fable que celle qu’elle avait succinctement racontée à l’homme, mais elle l’enjoliverait. Les femmes aiment bien les détails.

– Ça te fait du bien ?
– Oui !
– On va faire l’autre côté !
– J’ai mal aux tétons.
– Je vais arranger ça !
– Fais attention ! Tu vas me mettre quoi ?
– Mon onguent miracle ! T’as mal à la chatte aussi !
– Aussi oui !
– Tu sais que le meilleur onguent pour ce genre de choses, c’est encore la salive ?
– Tu ne serais pas un peu gouine, toi ?
– Un peu sur les bords ! Tu vois j’annonce la couleur.
– Alors essaie avec ta salive, on verra bien, on fait juste un essai.

La langue d’Olivia commença par butiner le téton droit de Rachel qui du coup se raidit. La femme prenait son temps plongeant sa « patiente » dans une douce torpeur. Elle s’occupa ensuite du téton gauche.

– Ça te fait du bien ?
– Oui !

Sa bouche descendit sur le ventre, lui lécha quelques instants le nombril.

– Arrête, ça chatouille !
– O.K. on descend plus bas ?
– Attends un peu, je crois que j’ai comme une envie de pisser !
– Tu veux me pisser dessus ! Demanda Olivia
– En fait j’ai plus envie de me faire câliner qu’autre chose.
– D’accord, je vais juste mettre ma bouche devant ta chatte, laisse-toi aller, pisse et ne t’occupe de rien.

Rachel se mit donc à uriner d’abondance, le jet atterrit dans le gosier d’Olivia qui ne put tout avaler tellement le débit était puissant.

– Ben dit donc, toi, quand tu pisses, tu ne fais pas semblant.
– Je me suis retenue pendant que l’autre me dominait.
– Tu regrettes de t’être lancée là-dedans ?
– Oui et non ! Je croyais en avoir besoin, c’est du moins comme ça que je l’ai vécu du moins au début, ensuite il a eu des paroles qui m’ont blessées, ça a coupé l’ambiance. Mais je n’ai pas voulu arrêter, je me suis dit que je devais continuer jusqu’au bout. Mais bon, on ne parle plus de ça, on avait dit !

Rachel crut qu’Olivia allait maintenant s’occuper de sa chatte, au lieu de ça elle approcha son visage du sien et les deux femmes s’embrassèrent sans retenue.

– J’avais encore le gout de ton pipi dans la bouche !
– Je sais.

La langue d’Olivia balayait maintenant la chatte de Rachel léchant les quelques gouttes de pipi qui y restaient et se régalant de la saveur de miel de ses sucs intimes. Sa main s’égara derrière et elle approcha un doigt inquisiteur de l’œillet brun.

– Non, laisse ! Cs deux cons m’ont fait mal au cul !
– Tu me laisses voir si je peux arranger ça ?
– Essaie toujours mais ça m’étonnerait
– Tourne-toi ! Oh ! Putain, ils t’ont drôlement arrangé le cul !
– Quels salauds, je me vengerais !
– Te venger de quoi, t’étais consentante, non ?
– Pour ça oui, mais pour pas pour que l’autre porc me sorte des paroles humiliantes.
– Nicérus a ses défauts, tout le monde à ses défauts, personne n’est parfait, mais je le connais bien, ce n’est pas le mauvais bougre. Demain tu devrais parler avec lui, il ne faut pas rester sur une mauvaise impression…
– On verra, tu peux faire quoi pour mon cul ?
– Je te mettrais un onguent, dans trois jours on ne verra plus rien. Dis, je l’aime bien ton petit trou du cul, il est trop mignon.je peux lui faire un bisou.
– Je ne voudrais pas te priver de ce plaisir.

Du bout des lèvres elle embrassa le trou du cul, puis sortit un petit bout de langue.

– Humm, il sent bon !
– A cette heure-là, il ne doit pas sentir la savonnette.
– Justement, j’adore ! Oh, mais qu’est ce je vois, ces quoi ces traces marrons ? Madame se serait-elle mal essuyée en allant aux toilettes.
– Tu délires pas un peu, là ?
– Non, je te jure, mais je vais te nettoyer tout ça !
– Dis donc tu ne serais pas un peu scato sur les bords, toi ?
– Oui, un petit peu, mais si ça te gêne, on n’en parle plus.
– On va dire que ça ne me gêne pas trop !
– Je peux lécher, alors ?
– Il y a vraiment des traces ?
– Non, mais je peux en faire ! Je peux !
– Allez, fais-moi des traces

Olivia la prit au mot, elle enfonça son index dans le fondement de Rachel, le fit se balader un peu, puis quand il ressortit très légèrement maculé, elle voulut d’abord l’essuyer sur ses les fesses de sa partenaire, mais étant donné leur état, elle y renonça et préféra se lécher carrément le doigt.

– Hum, c’est bien bon tout ça !
– Contente de t’avoir fait plaisir !
– C’est juste une fantaisie, maintenant retourne toi, j’ai envie de te montrer ce que je sais faire.
– Si tu y arrives, je te paye le champagne !
– Tenu !

Mais la langue d’Olivia est d’une agilité redoutable, ciblant de suite le clitoris, celui-ci réagit immédiatement à cette stimulation diabolique. Rachel sent monter le plaisir, ses mains s’accrochent après le drap de la table de massage. Sa respiration se fait haletante, elle coule, elle braille, elle se tétanise, elle jouit., s’écroule comme une chiffe molle, souffle, un grand coup, s’essuie le visage transpirant de sueur.

Puis elle écarte ses bras afin d’y accueillir sa partenaire qu’elle embrasse sauvagement.

– Ça t’as fait du bien !
– Un bien fou !
– Je vais te faire jouir à ton tour !
– On n’boit pas le Champagne d’abord ?
– Non après !

Le lendemain Rachel présenta une première esquisse de son nouveau projet à Nicérus.

– Vous allez bien, Rachel ?
-Très bien merci !

Nicérus, qui n’était pas complétement idiot, sentit une pointe d’animosité dans la voix de la jeune femme.

– Que les choses soient nettes entre nous. Il ne s’est rien passé hier soir, on est bien d’accord ? Commençât-il.
– Nous n’en parlerons plus et nous ne recommencerons pas. Mais juste une chose, je dois vous dire que je n’ai pas apprécié votre réflexion envers les putes.
– Quelle réflexion ? Ah, oui ! Mais ce n’était qu’un jeu ! Quand je vous ai nargué en me faisant sucer par Olivia, elle ne l’a pas fait gratuitement, je la paie aussi. Et je respecte les putes… du moins quand elles font bien leur métier… J’ai effectivement eu l’impression après coup d’avoir commis un impair. Un rapport avec une situation personnelle, je suppose, mais je ne cherche pas à savoir et si vous souhaitez des excuses je vous prie de bien vouloir les accepter.
– Alors c’est parfait, restons-en là ! il ne s’est rien passé hier soir !
– Rien du tout ! Mais parlons boulot, j’ai réfléchi hier soir. On ne va pas changer de fresque tous les mois, on va tourner avec trois ou quatre fresques différentes et ce sera bien suffisant, mais j’ai pensé à un petit job annexe pour vous.

« Qu’est-ce qu’il va encore m’inventer, ce gros lard ? »

– L’autre jour dans la salle, un type m’a proposé de m’acheter l’un de vos dessins, je me suis avancé et je lui ai dit qu’à l’avenir l’artiste serait dans la salle plusieurs fois par semaine et pourrait vendre ou même exécuter à la demande des dessins pour les gens que ça intéresserait.
– Je vois…
– On ferait cinquante-cinquante bien entendu !
– Et on les vendrait combien ?

Bref l’affaire fut conclue

A suivre

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4 réponses à L’odyssée de Zarouny (Vargala 3) –33 – Le donjon de Nicérus par Nicolas Solovionni

  1. Kriss Baxter dit :

    On sent l’influence de Chanette… et c’est bien

  2. Donadieu dit :

    Juste un doigt la où il faut
    Juste un doigt de scato
    Parce que c’est rigolo
    Et que je trouve sabot
    Non pas sabot, ça beau

  3. Baruchel dit :

    Vous reprendrez bien une petite dose d’amour vache ,

  4. Forestier dit :

    Nicolas nous a concocté un petit intermède BDSM dans son récit et c’est ma foi, pas mal du tout d’autant que ça s’intègre parfaitement dans le flux narratif

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