Les urinoirs de la gare 4 – Une partouze très bizarre par Estonius

Les urinoirs de la gare 4 – Une partouze très bizarre par Estonius

RESERVE A UN PUBLIC AVERTI – TEXTE CONTENANT DES PASSAGES SCATOS EXPLICITES

Les lecteurs qui n’ont rien contre les histoires gays reliront avec intérêt les chapitres 1, 2 et 3 de la série des Urinoirs, celle-ci sera plutôt bisexuelle, uro et scato… âmes sensibles s’abstenir.

Quand je vais au travail, je pars quand je suis prêt, il ne m’arrive pas souvent d’être prêt de très bonne heure, mais ça m’arrive. Et ce jour-là j’étais très en avance. L’envie me prend de me rendre aux urinoirs de la gare. Cela faisait un petit bout de temps que je n’y étais pas retourné, j’en connaissais maintenant les pièges et les habitudes, et avait constaté que les habitués du matin étaient en général beaucoup plus corrects et intéressants que ceux du soir. Malgré tout je n’étais jamais venu si tôt.

A ma grande surprise il y a pas mal de monde et les six urinoirs sont occupés. La plupart des occupants du lieu sont à l’évidence des gens s’apprêtant à prendre le train, bien habillés et serviette posée sur le sol, c’est plutôt rassurant. L’ambiance est assez sereine, il n’y a pas ces regards furtifs incessants vers l’entrée comme à d’autres heures, provoqués par la crainte d’être reconnu, ou par celle de l’arrivée du personnel ou de la sécurité.

Ça ne se libère pas vite, tout ce petit monde se masturbe dans son urinoir respectif. L’un des branleurs masturbe maintenant son voisin qui non seulement se laisse faire, mais se décale légèrement pour que ce soit plus facile.

Du coup tout le monde peut voir, et il se forme un mini attroupement. Quelqu’un quitte son urinoir, la bite à l’air pour aller voir. Je me précipite à sa place et je sors ma queue que quelques mouvements de va-et-vient suffisent à faire bander. Je jette un coup d’œil sur ma gauche, bite quelconque et type peu engageant, voyons à droite maintenant… Voilà qui est beaucoup plus intéressant ! Une bonne bite bien longue terminée par un gland bien découvert, une merveille !

Le type est un barbu d’une quarantaine d’année. Je mate carrément attendant un geste de sa part, mais il est occupé à regarder ce qui se passe sur sa droite. J’attends un peu, espérant que cette attente ne sera pas veine et qu’il me permettra de le caresser. Ça y est ! Il tourne la tête, il regarde ma bite, un très bref échange de regard et il lâche son sexe, me laissant le champ libre, je la lui branle un petit peu, et je lui caresse le gland, les couilles et la verge. Cette bite est trop belle, il me la faut dans la bouche et pourquoi pas dans le cul. Je vais pour lui proposer de nous déplacer dans une cabine, quand soudain un type avec un sans-gêne incroyable s’interpose entre nos deux urinoirs. Surpris, je lâche la bite de mon voisin laissant ainsi la place à l’intrus, et je quitte ma place, dépité.

J’attends un peu derrière. Puis très vite le barbu se reboutonne et sort des toilettes… Je suis déçu, je sors à mon tour, je traîne quelques minutes au kiosque à journaux, puis monte dans le métro pour me rendre à mon travail, et là je me plonge dans la lecture de mon journal, quand soudain…

– Excusez-moi ?

La surprise est de taille, le barbu est là devant moi

– Ça va ?

Manifestement il ne sait pas trop quoi dire.

– Faut toujours qu’il y ait des cornichons qui viennent perturber nos plans ! Reprend-il.
– Oui c’est dommage, j’aurais bien continué !
– Mais rien ne nous en empêche !
– En effet !
– Vous êtes homo ou bi ?
– Je suis hétéro, légèrement bi, en fait j’aime bien les bites !
– Super ! Je peux vous proposer quelque chose. Je suis le patron d’une petite activité d’import-export dans le coin. On est que trois, moi, une secrétaire et une employée, et elles sont très délurées, mais ça faisait partie des conditions d’embauches. Si vous voulez, on peut y aller tout de suite ?

J’ai peur que ça fasse un peu juste, mais son bureau est dans le même quartier que le mien. Je suis donc d’accord !

Chemin faisant, il me parle de sa secrétaire, une blonde sculpturale prénommée Carole, il m’apprend aussi qu’il existe des filières recrutant des secrétaires, voire des femmes de ménages à qui leurs patrons demandent en plus de leurs activités d’avoir un comportement sexuel explicite dans certains cas. Souvent ces filles se recrutent dans le milieu des peep-shows ou des théâtres érotiques. Bien évidemment tout cela donne lieu à des primes substantielles ! Il m’explique aussi qu’aujourd’hui vendredi, seule Carole sera là !

Première surprise en arrivant : ce n’est pas Carole qui nous ouvre la porte, mais une ravissante Antillaise. Notre barbu, appelons le Olivier, a l’air déçu !

– Carole n’est pas là ?
– Non sa fille est malade, elle viendra peut-être cet après-midi, et elle m’a demandé de la remplacer !
– Bon d’accord, voilà je te présente Viviane ma deuxième secrétaire.

On s’installe dans le bureau d’Olivier et Viviane nous prévient qu’elle va faire du café !

– Bon comme tu es pris par le temps on va se foutre à poil tout de suite.

J’imite donc Olivier et on se déshabille. Mais voici ce dernier qui me mate les fesses

– Tu en as un joli petit cul ! Tu aimes bien te faire enculer ?
– Si tu fais ça bien, pas de problème !

On s’assoie dans deux fauteuils proches l’un de l’autre en attendant le café, bien sûr mon regard est rivé sur sa bite, il se la tripote un peu, je fais de même avec la mienne et elles ne tardent pas à atteindre chacune une taille respectable. Ma main s’aventure sur sa queue et je reprends ma masturbation interrompue tout à l’heure. Olivier de son côté me rend la politesse et me branle également. C’est dans cette position insolite que nous retrouve Viviane avec le café.

– Ben alors ! On se donne du bon temps !
– Viviane, tu vas nous faire un petit strip-tease, quelque chose de très hot !
– Comme ça, le matin de bonne heure ? Bon mais je vais faire un petit pipi avant et je reviens !
– Non ! Ça fera partie du spectacle, tu feras dans un verre devant nous comme tu l’as déjà fait une fois !
– Ah bon ! Vous voulez du super hard ! Vous n’allez pas être déçus !
– Tu sais ce qu’il va me faire Pascal tout à l’heure ?
– Non ! Mais tu vas me le dire !
– Tu ne devines pas ?
– Il va te sucer la queue ?
– Tu devines tout, et puis… ?
– Je ne sais pas moi, tu vas peut-être lui sucer la sienne !
– Ce n’est en effet pas exclu, et ensuite… ?
– Ensuite vous allez vous enculer !
– Et ça va t’exciter de voir tout cela ?
– Bien sûr, mais pour l’instant c’est moi qui vais vous exciter !

Sur ce, elle commence sa séance, elle n’avait évidemment pas prévu de venir en tenue sexy, et se débarrasse assez vite de son pantalon, fait un peu traîner le déboutonnage de son chemisier et se retrouve ainsi très vite en soutien-gorge et culotte, malgré tout, les gestes sont précis, calculés, on sent le professionnalisme ! Elle libère d’abord sa culotte, se retourne pour dandiner des fesses, puis se recule jusqu’à mon fauteuil, où elle se débrouille pour me frôler la bite avec son postérieur. Je commence à être dans un état d’excitation assez explosif. Elle libère ensuite sa poitrine, un joli 95 bien ferme agrémenté de tétons très noirs et très durs. Elle se penche maintenant vers un petit meuble et tout en tortillant à nouveau des fesses, elle en sort une flûte de champagne. Je n’en crois pas mes yeux, elle pisse carrément dedans. Lorsqu’il est pratiquement rempli, elle s’amuse avec le verre, fait avec sa main le geste de le masturber, puis soudain elle trempe son index dedans, le porte à sa bouche et le lèche. A nouveau elle retrempe son doigt mais cette fois ci elle s’approche de moi et me le tend. Je suis comme dans un rêve et je lui lèche son index dégoulinant de pisse.

– T’en veux encore ? Encore une petite fois ?
– Oui !

Elle recommence !

– J’ai encore envie, je peux te pisser directement dessus si tu veux !

J’approuve, je suis dans un état second. La voici qui retourne dans le petit meuble et qui en extrait une toile en plastique qu’elle dispose à terre. Je me couche dessus. Viviane se met debout au-dessus de moi et commence à me pisser sur la queue, puis elle remonte sur mon torse. Le reste va m’asperger le visage, dans un réflexe, je ferme les yeux et la bouche !

– Ouvre ta bouche, pédé !

J’obéis ! Et avale une gorgée de ce précieux liquide. Elle a terminé. Je veux alors lui lécher la chatte, mais elle refuse. C’est maintenant elle qui a pris la direction des opérations !

– Va le sucer maintenant !

Depuis le temps que j’attendais cela, je me précipite, lui sucer la belle queue d’Olivier est un vrai plaisir, j’essaye de l’engouffrer au plus profond de mon palais, mais elle est décidément trop longue, je me concentre donc sur son gland… Pendant ce temps-là Viviane me tripote les fesses, je sens quelque chose qui essaye de me pénétrer l’anus, effectivement elle tient un gode à la main, mais ne le pénétrera pas ce matin. Olivier vient de jouir dans ma bouche. Viviane s’empare alors de ma queue et la suce goulûment

– Tu me diras quand ça vient ! Je n’aime pas le sperme dans la bouche, mais tu pourras jouir sur mes nichons.

C’est exactement ce qui se passa 5 minutes plus tard.

Il fallait maintenant que j’y aille ! Rendez-vous fut pris pour le lundi suivant vers 16 heures, et cette fois il y aurait Carole

Lundi suivant

Olivier me téléphonera entre temps pour m’expliquer qu’il attendait un couple dont le mari était partouzeur, bisexuel et branché « uro ». Et la femme une « sacrée cochonne ». Il m’indiqua qu’il fallait tout faire pour que le type soit satisfait, ce dernier étant sur le point de signer un contrat…

C’est Carole qui vint m’ouvrir avec un sourire prometteur, cette sculpture devait mesurer 1,80 m et son tour de poitrine était impressionnant sous son chemisier blanc. Elle m’informa qu’Olivier avait été retardé par une démarche à l’extérieur et qu’il arriverait le plus tôt possible. Je m’installe dans un fauteuil, et Carole réapparaît, elle n’a pas changé sa tenue, mais son soutien-gorge a disparu d’en dessous le chemisier laissant apparaître derrière le voile deux magnifiques globes aux bouts déjà tendus par le désir !

– T’es un petit cochon, toi ! Viviane m’a tout raconté !
– Et oui !
– T’aime ça, sucer des bites ?
– Ben oui, quand elles sont belles !
– T’es un peu pédé alors ?
– Non, bi ! En fait, je préfère les femmes !
– Et je suis ton genre de femme ?
– Je n’ai pas de genre particulier, mais je te trouve tout à fait excitante !

– Tu boiras ma pisse tout à l’heure ?
– Bien sûr : avec plaisir !
– Et tu me nettoieras le trou du cul ?

Hum… terrain glissant (c’est le cas de le dire) Elle interprète mal mes hésitations et change de tactique

– Et tu aimes qu’on te domine ?
– Parfois !
– Tu aimerais que je te domine, là maintenant ?

Mais l’arrivée du couple mit fin à cette curieuse conversation. Ils se présentent, la quarantaine, lui Jérôme, elle Martine, petite rousse à lunettes, très souriante. Le téléphone sonne et Carole revient en nous informant qu’Olivier en aurait décidément pour plus longtemps que prévu, mais que l’on pouvait commencer sans lui.

Carole fait asseoir les deux arrivants, Jérôme à ma gauche, et Martine à ma droite, elle met de la musique, puis commence à se trémousser, malaxant ses gros seins par-dessus son corsage. Le spectacle est très excitant.

Soudain elle s’approche de moi et de Jérôme et place chacune de ses mains sur nos braguettes, elle parvint après quelques essais à les ouvrir, c’est maintenant à travers nos slips qu’elle tripote nos bites, mais elle n’ira pas plus loin :

– Allez sortez-moi tout cela !

J’obtempère sans problème, Jérôme également, sa queue est moins belle que celle d’Olivier, mais elle reste néanmoins très correcte. Et tandis que Carole toujours en chemisier entreprend d’enlever le bas, une main se pose sur ma queue, j’attendais celle de Jérôme, mais surprise, c’est Martine. Elle se met à ma masturber très doucement du bout des ongles avec un savoir-faire que je n’aurais pas soupçonné. Du coup Jérôme se met complètement à poil. La main de Martine est repartie, elle s’occupe maintenant de son propre sexe. Carole n’a plus que son chemisier pour vêtement, sa chatte est complément rasée. Elle se dirige vers moi et me demande de me déshabiller à mon tour. Je le fais, bien sûr, puis elle me demande de m’allonger sur le sol ou elle a étalé la même toile plastique que Viviane la semaine dernière. Je sais qu’elle va me pisser dessus. Elle vise carrément mon visage, j’ouvre la bouche, elle s’accroupit pour que cela soit plus facile, je déguste son bon champagne tout chaud et très goûteux, puis s’arrête :

– A toi maintenant !

Jérôme connaîtra exactement le même sort, je reste debout un peu idiot ne sachant que faire ! Puis Carole se redresse :

– Tu en voudrais aussi, Martine ?
– Avec plaisir !
– Regarde ce que je vais faire !

Carole recueille un peu de l’urine qui dégouline le long de ses jambes, puis l’applique sur son chemisier juste à l’endroit où sont ses bouts de seins, le chemisier ne tarde pas à devenir transparent, et elle le retire enfin, puis elle remet à nouveau de la pisse sur ses seins et s’approche de Martine.

– Lèche !

Elle le fait !

– Tu lèches bien ! Alors c’est bon ?
– Oui !
– Alors t’en veux aussi ?

Elle fait un petit signe de la tête pour dire oui, et déjà Carole l’emmène au milieu de la pièce. C’est à ce moment-là que mon attention est attirée par un bruit insolite, presque imperceptible, j’écoute attentivement, ça vient d’en haut, et je comprends. Olivier n’est pas parti du tout, il est en train de filmer tout cela à l’aide d’une caméra qu’il télécommande à distance. Je trouve le procédé un peu moyen, mais je ne dis rien ! Carole est en train d’embrasser goulûment Martine sur la bouche, c’est assez marrant à voir vue la différence de taille ! Puis elle entreprend de la déshabiller. Un petit peu maigre la Martine, mais les seins sont mignons à croquer…J’ai envoyé une main baladeuse sur la bite de Jérôme qui l’a accepté et que je branle, mais il ne me rend pas la politesse, allez donc savoir pourquoi ? Carole fait ensuite coucher Martine sur la toile déjà pleine d’urine et lui pisse dessus. Cette dernière en avale une bonne rasade.

– Hum c’est délicieux ! Si tu as quelque chose de plus consistant à m’offrir, n’hésite pas !
– Patience ma belle ! On va jouer à autre chose alors !

Carole ouvre un tiroir, d’où elle sort un grand sac plastique, elle en retire trois godes, ils sont quasiment identiques du moins quant à la taille, plutôt standard. Elle se couche sur le sol, toujours recouvert de la toile pisseuse, relève les jambes, puis s’introduit le premier gode dans l’anus, et lui fait faire quelques allers et retours, puis le ressort, souillé de sa merde. Je ne vois pas où elle veut en venir.

Elle prend le deuxième gode, je crois que c’est pour sa chatte, mais non c’est encore pour son cul, elle le gardera un peu plus longtemps puis le retire et le place à côté du premier. Le troisième gode subira le même traitement.

Elle se relève prend les godes merdeux et nous les présente

– Sucez-les !

A ma grande surprise, Jérôme s’empare d’un des godes et sans se poser plus de questions se met à le suçailler. Martine n’hésite pas une seconde et en prend un à son tour en se léchant les babines. Pour ma part j’hésite un peu.

– Tu as tort ! Me dis Carole. Je vais te préparer une belle punition !

Carole recueille à nouveau de l’urine sur le drap, puis fait venir Jérôme et lui en badigeonne le cul ! Je cherchais à deviner quelle serait la suite, quand elle me demande de venir à mon tour.

– Lèche-lui le cul !
– Ça va pas non ?
– Allez, un peu de courage, tu auras sa bite après, ça te plait les bites ?
– Oui mais pas les culs !
– Tu lèches juste un peu, je ne t’ai pas demandé de lui nettoyer le trou !

J’obéis, lèche ce cul plein de la pisse de Carole, c’est de façon complètement inconsciente que je m’approche de son trou, que je l’écarte afin d’y faire pénétrer ma langue, tout cela à un goût un peu acre, pas vraiment génial, mais la situation est tellement excitante. Je veux me racheter de mon hésitation de tout à l’heure, je lui lèche le trou du cul aussi profondément que ma langue le permet

– Donne-moi le gode, maintenant je vais le lécher ! Annonçais-je fièrement.
– Hé, hé, je savais bien…

Finalement, ce n’est pas mauvais du tout, je lèche bien le truc, le rend tout propre.

– Alors elle est bonne ma merde ?
– Elle n’est pas mauvaise !
– Je dirais qu’elle est délicieuse, reprend Martine. Si tu pouvais nous faire une petite crotte.
– Je vais essayer !

Carole s’accroupit sur le drap, pousse et parvint à sortir un petit étron. Elle le ramasse et alors que je pensais qu’elle allait l’apporter à Martine, elle le lèche, nous balançant un regard vicieux, puis se le met entièrement dans la bouche. Elle le ressort, le faisant dépasser de ses lèvres, et s’approche de Martine qui l’attrape avec sa propre bouche et se met à le sucer comme un bonbon.

Je n’avais jamais vu une chose pareille, je bande comme un sapeur. Je ne suis pas prêt à aller jusque-là, mais j’aurais bien léché un autre gode.

– Qui veut me nettoyer le cul ? demande Carole
– Moi, moi ! M’exclamais-je.

Son fion dégage une odeur très caractéristique, mais je m’en fous, je lèche, je nettoie les taches brunes et fais avancer ma langue dans son rectum. Un régal !

Carole revient vers Jérôme :

– Tu veux jouir maintenant ?
– Oui !
– Et tu veux jouir comment ?
– Sucez-moi ! Toi et Pascal.

Ok on commence par le lécher en même temps, c’est agréable mais pas forcément pratique, Carole prend la direction des opérations et lui gobe la bite, la sortant de temps à autre de sa bouche pour me la faire goûter. Il éjaculera assez vite balançant son foutre sur les nichons de la belle qui s’en badigeonne avec avant que Martine vienne lui nettoyer tout ça.

Martine complètement déchaînée me roule un patin, sa bouche sent le sperme, c’est un peu spécial..

– Je veux que tu m’encule ! Me dit-elle.

On se met dans un coin, elle se positionne en levrette, bien cambré, tous ces trous bien visibles. Je lui lèche un peu le trou du cul pour lubrifier, je mets une capote et je la pénètre.

– Vas-y bourre moi bien le cul ! Traite-moi de tous les noms, j’aime bien !
– Tiens ! Salope, traînée, morue…
– Oh ! c’est bon ! j’adore ça me faire enculer par un pédé.

On est en pleine poésie. Madame jouit en hurlant comme une baleine, je me retire sans avoir pris mon pied

– Bon je me suis bien marré, mais maintenant faut que j’y aille ? Et Olivier il ne revient pas ? Demande Jérôme
– Je vais essayer de le joindre sur son portable, en attendant vous pouvez vous servir de la douche ! Répond Carole.

Comment c’est fini parce que Môssieur a joui ? Et moi alors ? C’est quoi ce truc ? Mais que dire ? Apparemment Jérôme ne se servira de la salle de bain que pour s’essuyer, car le voici qui se rhabille, et comme Martine l’imite, j’en fais autant… Carole, qui elle est toujours toute nue, revient !

– Il sera là dans une demi-heure !

Quel baratineur cet Olivier mais à quel jeu joue-t-il ?

– Bon je l’appelle demain midi, c’est OK pour ce qu’il m’a proposé ! Annonce Jérôme.
– Monsieur Olivier demande si vous pouvez lui laisser Martine jusqu’à ce soir ? C’est à charge de revanche bien entendu !

La partouze étant terminée, Carole a curieusement laissé tomber le tutoiement.

– Mais pas de problème si Martine est d’accord !

Elle a l’air d’accord. Jérôme prend congé et me file sa carte, (qu’en ferais-je ?) il est aux anges ! Je vais pour partir à mon tour quand Carole intervient :

– Ne partez pas, Monsieur Olivier tient absolument à vous enculer à son retour !

Quelle poésie ! Le temps de boire un petit rafraîchissement, voici notre Olivier qui se pointe, il ne sait pas que je sais, il doit être excité comme un fou

– Monsieur Jérôme a dû partir, mais il était content de notre petit numéro, et il vous a laissé sa femme pour la journée. Annonce Carole.
– Voici un homme qui a du savoir-vivre ! Répond Olivier

Tout en parlant, il se débraguette, et sort sa queue toute raide. J’ignore pourquoi je suis tout excité ! Je prends ce sexe magnifique et l’introduit dans ma bouche, la fellation dure trop peu de temps malheureusement. Il se chausse le sexe d’un préservatif, baisse son pantalon, et me fait baisser le mien, et tandis que Martine suce les bouts de seins de Carole, Olivier pénètre son dard dans mon fondement, il entrera facilement malgré la belle taille de son sexe, puis commencera par imprimer des mouvements de va et vient, je suis saisi d’un plaisir trouble, indéfinissable, je voudrais que ça dure encore, mais il prend rapidement son plaisir. Il me demande si ça va mais s’éloigne sans attendre ma réponse. En ce qui me concerne, je n’avais pas encore joui, mais il faut croire que tout le monde s’en foutait. Je commence donc à me masturber pour bien leur faire comprendre que j’aimerais bien moi aussi prendre mon plaisir. Carole et Martine sont trop occupées pour venir me soulager et Olivier est parti à côté faire je ne sais quoi…

Puisque c’est comme ça, je décide d’aller me finir dans les chiottes. Mais il y a quelqu’un. C’est donc là qu’allait Olivier tout simplement ! La porte s’entrebâille, et surprise ! J’aperçois Viviane assise sur la cuvette, elle me fait signe de venir.

– Si tu veux, tu peux me pisser dessus, je suis tout excitée

Je comprends alors qu’elle devait être aux côtés d’Olivier pendant la partouze

– J’ai plus envie de jouir que de pisser ! Lui répondis-je en lui montrant ma queue toute raide !
– Force-toi à pisser et après je te ferais un cadeau !

Je ne peux pas refuser pareille proposition, rapidement elle enlève le haut et se retrouve à poil, je lui pisse au visage, elle ouvre la bouche de plaisir, et se branle en même temps. Ça y est, j’ai fini de pisser, je n’ai plus la moindre goutte, elle est tout aspergée, elle continue à se branler et prendra son plaisir en poussant d’étranges petits cris.

– Merci !

Elle se tourne, pose ses pieds sur les rebords de la cuvette et se met à califourchon dessus de façon à me présenter ses fesses. Elle pousse. Son anus s’ouvre.

– Tu es arrivé au bon moment, j’ai envie de faire caca, tu vas être mon papier à cul !

Des sentiments contraires m’assaillent, je me dis qu’ils sont complètement fous dans cette baraque, mais l’excitation est trop forte, je regarde l’étron sortir de son anus et tomber avec un gros « floc » dans l’eau dormante de la cuvette, puis un autre, le troisième aura un peu plus de mal à venir.

– Humm ! J’ai fait trois jolis boudins ! Vas-y lèche !

Je m’approche comme dans un songe de son trou et je lèche, c’est cette fois très, très acre, mais la situation m’excite ! En même temps que je lèche le joli trou plein de merde de l’antillaise, je me branle et je jouis enfin…

Estonius © 2000 Réintégration de tous les passages scatos en 2008.

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9 réponses à Les urinoirs de la gare 4 – Une partouze très bizarre par Estonius

  1. Delinck dit :

    J’avais un copine qui me faisait nettoyer son cul après qu’elle ait chié. J’adorais faire ça ! Pas facile de retrouver une partenaire avec de telles dispositions. Sinon j’aime bien lécher mes doigts quand ils sortent de mon cul, j’avais un gode aussi, mais je ne retrouve plus, il faut que j’en rachète un.

  2. Volmar dit :

    Des cochons et des cochonnes, j’adore et je bande très fort

  3. lesignac dit :

    Voilà, je viens de finir cette histoire et j’ai queue raide comme un bout de bois !

  4. Claire dit :

    Bien écrit et surtout bien construit, le fantasme scato étant très bien intégré au reste. Ça ne pas laissé indifférente !

  5. Zorotoustro dit :

    Eսhh êtes vous certain de ce que vous avancez ??

    • Eddy dit :

      L’auteur n’avance rien du tout, il écrit un texte de fiction. Je ne comprend pas votre réflexion, à moins que ce ne soit qu’un prétexte insidieux pour vous faire de la pub (pub que j’ai par ailleurs supprimé)

  6. Jdouais dit :

    Je viens de lire Partouze très bizarre ds les urinoires. Je te félicite, c’est un texte vachement excitant. Si tu peux me répondre en me disant si c’est une histoire vraie ou pas, je n’en serai que plus excité. Si tu as photos de toi à poil, je prends Merci

    • Estonius dit :

      Et merci pour ce message, disons que j’ai un peu arrangé l’histoire pour la rendre plus croustillante mais la trame est exacte, il s’agissait d’un petit producteur de vidéo qui faisait un peu de X et qui avait son bureau dans le quartier de Barbes à Paris. Ses deux collaboratrices étaient des nénettes d’abord recrutées pour faire du film x et qui s’étaient retrouvées à faire de l’administratif, ce qui explique qu’elles n’étaient pas farouches ! On a un peu sympathisé et puis il y a cette affaire de contrat qui lui permettait de doubler ses diffusions, on a tout fait pour que ses futurs associés soient contents et je n’ai pas été perdant. Après ça je l’ai perdu de vue, j’ai appris par Vivianne, rencontrée par hasard plusieurs mois après que la boite avait fermée. Toutes les deciptions sexuelles sont exactes, je les ai simplement ordonné et ramassé dans le temps pour la bonne structure du récit.

      Sinon, je ne diffuse pas mes photos, et pour cause je n’en ai pas ! Et puis cette histoire s’est passée il y a plus de 20 ans, je suis maintenant près de la retraite !

      Amicalement

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