Le Train par Pascal_G

Par un après-midi d’été relativement torride, je dois prendre le train pour
me rendre chez une amie qui habite dans un petit village qui semble perdu au
bout du monde. Le trajet devrait me prendre 3 bonnes heures. C’est un
omnibus qui fait le parcours et bien que les petites gares de village encore
en service se fassent extrêmement rares, notre convoi doit s’arrêter à
maintes reprises sur des voies secondaires pour laisser passer des véhicules
prioritaires.

Je m’installe dans la dernière voiture juste à côté du couloir où se situent
les toilettes. Je ne sais pas pour vous, mais pour moi, les mouvements du
train ne tardent jamais à me donner une grosse envie. Il fait trop chaud
pour garder mon veston que je pends à la patère prévue à cet effet.

A peine installé, une jeune fille vient prendre place sur la banquette
située diagonalement à la mienne de l’autre côté de la voiture. Elle est
vêtue d’une robe légère qui lui descend jusque sous les genoux. La semi
transparence du tissu laisse paraître une poitrine généreuse fermement
maintenue en place par un redresse-seins noir à bonnets ouverts. On perçoit
les larges aréoles brunâtres et des mamelons dressés sans doute sous l’effet
du frottement avec le tissu. Elle s’installe dans le coin de la banquette,
le dos contre la fenêtre, le pied droit sur le sol et donc la jambe pliée
comme lorsqu’on est assis normalement, et l’autre jambe à plat sur la
banquette. Dans cette position, si je tourne légèrement la tête, elle me
fait face. Son regard est pour l’instant distant, elle est perdue dans ses
pensées.

Le train démarre enfin. Le contrôleur est monté dans notre wagon et déjà il
poinçonne nos tickets. Il a tôt fait de quitter notre voiture car nous
sommes les deux seuls voyageurs du wagon. Plusieurs minutes s’écoulent et je
ne peux m’empêcher de dévisager cette inconnue vautrée sur la banquette,
victime impuissante de la chaleur ambiante. Elle est rousse, cheveux courts,
avec une coupe plutôt moderne qui met en valeur son visage effilé. Le soleil
se reflète en milles éclats sur le rouge à paillettes de ses lèvres charnues
et ses yeux verts brillent comme deux émeraudes à la lumière du jour. Je la
trouve ravissante, sexy et même un tantinet provocatrice. En la regardant,
je ne peux m’empêcher d’imaginer bien des choses.

Elle a dû sentir mon regard posé sur son corps car elle me fixe à son tour.
Je me sens comme un gamin qu’on surprend au milieu d’une grosse bêtise. Mais
je fais mine de rien et je regarde par la fenêtre. Je vois son reflet dans
ma fenêtre. Elle ne me quitte pas des yeux et je crois même percevoir un
sourire. Au bout d’un moment, elle semble retourner à ses rêveries. Du moins
c’est ce que je crois.

Tout en regardant par sa fenêtre, elle tire sur sa robe pour la remonter
jusque sous ses genoux. Elle a remonté sa jambe gauche et son genou est
maintenant à la même hauteur que ses épaules. Puis elle commence à balancer
son genou gauche pour provoquer un déplacement d’air sous sa robe comme si
elle voulait s’aérer. Mais lorsque son genou atteint le dos de la banquette,
elle ne me cache plus rien de son entrejambe. Elle porte un slip classique
blanc en coton. Je ne peux plus la quitter du regard. Ses mouvements n’ont
plus rien d’un balancement régulier. Je n’en crois pas mes yeux. Cette fille
s’ingénie à m’allumer. Un coup tu vois, un coup tu vois plus.

Elle tourne à nouveau son visage vers moi. Cette fois, je continue à la
regarder. Elle affiche un sourire complice et malicieux. Elle entrouvre
légèrement la bouche et passe sa langue très lentement sur le bord de ses
lèvres. Sa main gauche descend se poser sur sa poitrine. Elle se pince le
bout du sein à travers le tissu diaphane de sa robe. L’autre main qui est
posée sur son genou droit remonte lentement vers son entrejambe. Elle
caresse son sexe au travers de sa culotte puis elle insinue deux doigts sous
le slip par le côté. Les doigts montent et descendent en rythme de son
clitoris à la naissance de son anus.

Tout naturellement, ma main a glissé vers mon entrejambe. Je me caresse moi
aussi à travers mon pantalon. Mon sexe est tendu à mort tellement ce
spectacle m’excite au plus haut point. Ces caresses ne me suffisent plus, il
faut que je me touche. J’attrape mon veston et je le pose sur mes jambes de
sorte à dissimuler mon intimité au cas ou quelqu’un entrerait dans le wagon.
Je descends ma braguette. Le bruit émit ne permet aucun doute sur ce que je
viens de faire sous mon veston et ma belle inconnue me lance des regards
vicieux tout en continuant ses attouchements. Je sors ma verge de mon slip
et je la caresse lentement.

A ce moment là, le train commence à ralentir. Nous allons nous arrêter dans
une gare. La fille a repris une position tout à fait innocente. La porte du
compartiment s’ouvre. Deux filles entrent et vont s’asseoir quelques
banquettes plus loin. Elles me tournent le dos. Le train repart, le
contrôleur refait son tour.

A peine a t-il quitté notre voiture que ma charmante voisine reprend sa
position et recommence à se caresser. Cette fois, elle écarte son slip de la
main gauche et je peux voir son sexe rasé et ses lèvres gonflées de plaisir.
Elle enfonce un doigt puis deux dans sa chatte. Elle fait des mouvements de
va-et-vient tout en imprimant une légère rotation à son poignet dès que les
doigts sont complètement entrés dans sa grotte d’amour. Elle s’arrête un
moment et porte ses doigts à son nez pour se repaître de son odeur. Puis
elle suce ses doigts en me fixant. C’est abominable, je n’ai qu’une envie,
lui sauter dessus et la baiser à mort. Mais je ne peux pas, nous ne sommes
pas seul et quand bien même, à tout instant quelqu’un pourrait entrer.

Elle me fait signe de la tête. Je comprends qu’elle veut aussi voir quelque
chose. Je regarde ce que font les deux filles sur l’autre banquette puis je
relève mon veston pour lui montrer mon sexe prêt à exploser. Elle me demande
avec un geste tout à fait explicite de me branler. Je serre ma queue dans ma
main et je commence à bouger ma main de haut en bas. Elle me regarde faire
avec intérêt.

Soudain, elle sort de son sac un essuie qu’elle place sur la banquette sous
ses fesses. Je ne mets pas longtemps à comprendre ce qu’elle a dans la tête.
Une auréole se fait voir sur son slip. Elle pisse dans sa culotte. Du moins
juste ce qu’il faut pour la tremper sans compromettre la banquette. Elle
remet une main dans son slip, se mouille les doigts de son urine et les
portent à nouveau à sa bouche. Cette fois je vois bien qu’elle les nettoie
avec soin et avidité pour être sûre de ne pas en laisser s’échapper. Elle
remouille à nouveau ses doigts, mais cette fois elle se lève, range l’essuie
dans son sac qu’elle met en bandoulière et se dirige vers les toilettes.
Elle est obligée de passer à côté de moi pour s’y rendre. Elle fait semblant
de trébucher et se rattrape de la main droite contre la paroi de la voiture.
Elle est pratiquement devant moi, me surplombant. Son corps nous cache des
autres voyageuses. Comme elle est penchée en avant, elle ne me cache rien de
sa poitrine. Ses seins sont encore plus beaux de prêt. Tout à mon spectacle,
Elle place la main qu’elle vient de mouiller dans sa culotte devant mon
visage. Je ne me fais pas prier, j’ouvre la bouche et je sors la langue pour
laper le divin nectar sur ses doigts. Une fois mon nettoyage terminé, elle
descend la main à la rencontre de mon sexe. Elle le caresse deux trois fois
puis se redresse pour reprendre le chemin des toilettes. Tout cela n’a pas
duré une minute, mais l’intensité de mon excitation est montée d’un cran. Je
n’ose pas la suivre aux toilettes alors j’attend gentiment qu’elle revienne
mais je n’ai toujours pas remis mon attirail en place.

A son retour, je suis surpris de la voir s’installer sur la
banquette en face de moi. Elle me tend un sachet en plastique. Je le prends
et, ne résistant pas à la curiosité, je regarde ce qu’il contient. Je
découvre alors son slip cette fois complètement trempé et je devine sans
peine avec quel liquide. Il y a aussi deux flacons transparents dont le
contenu légèrement doré ne laisse aucun doute sur l’origine. Elle me tend un
autre sachet. Il contient aussi deux flacons mais vides et un bout de
papier.

Je prend le papier et je lis ce qu’il est écrit :

« Cher inconnu. Je te fais cadeau de mon slip. J’ai pris grand plaisir à le
tremper pour toi. Je t’offre aussi un peu de mon champagne doré, tu le
dégusteras plus tard à ma santé. J’aimerais que tu me fasses aussi un
présent. Va aux toilettes, urine dans ton caleçon pour moi. Mouille le bien,
j’adore çà. Garde en un peu pour mettre dans un des flacons. Puis branle toi
en pensant à moi et récolte ton jus d’amour dans l’autre flacon. Comme ça
j’aurais mon apéritif ce soir. Ne dis surtout rien, contente toi de me
remercier pour le spectacle que je t’ai offert! »

Je n’en reviens pas de ce que je lis, mais ça m’excite encore plus. Elle est
là devant moi sans slip puisqu’elle vient de me le donner. Je risque une
main sur son genou. Elle se laisse faire. Je pousse mon exploration plus
loin jusqu’a ce que mes doigts entre en contact avec son entrejambe. Elle
écarte légèrement les jambes. J’ai le temps de caresser son sexe quelques
secondes puis elle retire ma main gentiment en m’indiquant de la tête la
direction des toilettes.

Je remets mon sexe comme je peux dans mon pantalon et je referme la
braguette. Je me lève pour aller aux toilettes. Une fois la porte fermée, je
retire mes chaussures, mes chaussettes et mon pantalon. Je sors mon sexe de
mon caleçon et je me branle en me regardant dans le miroir. Je me dis que je
suis un dépravé mais je m’en fou. Cette fille m’a rendu dingue et elle
aurait pu me demander n’importe quoi que je l’aurais fait tellement elle m’a
subjugué. Juste avant de jouir, j’ouvre un flacon et je décharge mon foutre
dedans.

Je m’essuie puis je laisse passer quelques minutes avant d’essayer d’uriner.
Je me tiens debout les jambes écartées et je pousse pour libérer mon
champagne. C’est la première fois que je pisse dans mon slip. La sensation
est bizarre mais pas déplaisante. C’est chaud et forcément humide. Je me
retiens et j’en garde juste ce qu’il faut pour remplir le deuxième flacon.
Je retire mon caleçon pour le mettre dans le sachet. Je ferme les deux
flacons. Je m’essuie puis je remets mon pantalon, mes chaussettes et mes
souliers.

Je retourne à ma place. Ca fait tout drôle de se promener sans caleçon et
les frottements du pantalon ne me laisse pas indifférent. Elle m’attend avec
le sourire. Je lui donne le sachet. Elle le prend, saisi le flacon rempli de
sperme et l’ouvre. Elle trempe un doigt dans mon jus et le suce avidement.
Elle fait de même avec l’autre flacon. Elle me sourit à nouveau, passe mon
caleçon trempé pour lui servir de slip, se lève, et quitte le compartiment.

Le train fini par arriver à destination et lorsque je quitte le wagon, je la
cherche du regard, mais je ne la trouve pas. Je me rends chez ma copine avec
mes trésors bien cachés dans mon attaché-case.

Je ne suis pas prêt d’oublier cette rencontre et même si je n’ai plus jamais
revu cette fille, les petits cadeaux qu’elle m’a laissé m’ont permis de me
souvenir d’elle encore longtemps après cette aventure.

Pascal G

P.S. : cette petite aventure est tirée d’un fait réel que j’ai vécu il y
quelques années. Malheureusement pour moi, ça c’est limité à la séance
d’exhibition pure et simple. Il faisait effectivement très chaud et une
fille a passé son temps à m’allumer en me montrant son entrejambe mais je
n’ai pas eu droit à plus. Cette aventure m’avait laissé comme un arrière
goût d’inachevé alors j’ai imaginé comment elle aurait pu se poursuive.

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Une réponse à Le Train par Pascal_G

  1. Margie dit :

    mignon et excitant

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