Le retour 4ème partie de « Une visite TRANS-cendante par Alb shemale

Après cette journée de shopping parisien, nous décidâmes de rentrer dans notre province. Nous sommes allés au parking Georges V pour récupérer la voiture et au moment de rentrer dans le coupé cabriolet, Corinne me supplia de la laisser conduire. Je lui laissais avec plaisir le volant. Nous avons traversé la place de l’Etoile, pris l’avenue de la Grande Armée et emprunté l’A14 à la Défense, direction la Normandie.

Le temps était froid mais sec, ce qui nous a permis de décapoter. Nous traversions les tunnels de l’autoroute et Corinne me fit remarquer la drôle ambiance : les lumières oranges qui se reflétaient sur nos peaux. Nous nous serions cru dans une boite disco des années 70 ; et dans une boite de nuit, que fait-on ? On drague, on se caresse, on s’effleure ; bref on recherche la sensualité. Corinne avait bien compris la logique et elle a commencé à me caresser par-dessus mon pantalon de toile. Rapidement, une bosse est apparue. Heureusement, la voiture est en boite automatique, donc Corinne était concentrée sur la route et sur ma verge.

L’excitation montait de plus en plus et, quitte à faire les fous, faisons les complètement. Ainsi, j’ai descendu ma braguette et je lui ai mis mon sexe dans la main. Je vous laisse imaginer le spectacle pour les routiers quand le cabriolet doublait les camions. Rapidement, l’excitation arriva et bientôt, j’éjaculai dans un mouchoir en papier.

Nous étions sortis des tunnels de l’A14, puis nous continuions vers Mantes la Jolie. Corinne n’avait pas eu son plaisir, ainsi, j’ai commencé à remonter sa jupe sur sa taille. Elle se dandinait sur le siège pour me faciliter la tache. J’ai pu contempler de nouveau sa superbe lingerie. Ses bas étaient tendus par les jarretelles ; son string en satin montrait une petite bosse, révélatrice de sa vraie nature. J’ai tiré le string sur le coté, puis j’ai pris son sexe que j’ai masturbé. Il a commencé à prendre un peu de volume. Je combinais des mouvements sur la hampe et un massage des testicules. Je sentais le plaisir de Corinne qui commençait à arriver. Je me suis penché sur ses genoux et j’ai commencé une fellation de ma belle.
Je léchais sa hampe avec ma langue, puis j’embouchais ses testicules. Corinne était très sensible de ses petites boules et elle gémissait son plaisir. J’ai continué en prenant la hampe dans ma bouche. D’abord, le gland sur quelques centimètres, puis je prenais le reste. Je sentais le gland butait sur mon palet. C’était bon d’avoir cette chose vivante dans la bouche qui frissonnait à chaque remonté de mes lèvres.

J’étais en pleine action quand Corinne donna un coup de klaxon. Elle dépassait un routier. Je relevais la tête et je vis le visage du routier à travers la vitre de la cabine. Il avait les yeux éberlués de voir une si belle femme avec une verge. Corinne accéléra à ce moment, laissant le camion loin derrière. J’ai alors repris mon ouvrage couché entre ses cuisses.

Nous continuions la route. Je sentais la voiture ralentir, mais je n’y pris pas attention tellement le plaisir était fort. Le véhicule s’immobilisa et Corinne me demanda de la monnaie pour le péage. J’ai relevé la tête et vu une belle jeune fille dans la cabine du péage de Mantes la Jolie. La verge de mon amie était fièrement dressée et la péagiste la contemplait avidement. Elle fit des compliments à Corinne pour sa beauté. J’ai payé le péage et avec le ticket, la jeune fille me remis une carte avec son numéro de téléphone ; puis elle ouvrit la barrière et nous disant à bientôt.

Nous continuâmes la route ; j’étais toujours affairé sur mon ouvrage. Corinne commençait à sentir le plaisir monter. Elle s’arrêta sur une aire de repos, puis elle se laissa aller dans ma bouche. Nous avons fermé le toit de la voiture, puis nous sommes sortis et allés vers le bosquet au bout du parking. Il n’y avait personne. Elle m’appuya contre un arbre, puis descendit mon pantalon. Alors, elle me fit une fellation dont elle a le secret et rapidement j’ai arboré un mandrin de taille respectable. Alors, elle se releva, se pencha en avant en s’appuyant sur un tronc et me demanda de la sodomiser. Je lui releva sa jupe, écarta son string et lubrifia son anus avec le tube de lubrifiant qu’elle me tendit. Bientôt, je sentis sa corolle s’ouvrir. J’y introduis alors un doigt, puis un second et enfin un troisième, que j’activais dans son fondement. Son anus se dilatait progressivement et je la sentis rapidement prête. Alors, j’ai pu mettre ma verge dans son petit trou d’amour. Je l’ai poussé jusqu’à ce que mon pubis touche ses fesses, puis je suis ressorti avant de la pénétrer à nouveau. Nous avons continué comme cela une dizaine de minutes avant qu’elle me demande de la défoncer. J’ai accéléré le rythme. Mon pubis claquait ses fesses ; et bientôt j’éjaculais entre ses petites fesses d’amour. Elle se retourna puis j’ai pris sa verge en bouche. Elle a éjaculé et j’ai avalé sa semence.

Nous nous sommes rhabillés, puis nous sommes retournés vers la voiture. Elle se sentait fatiguée. J’ai pris le volant et nous avons filé vers notre petite ville où nous avons passé une soirée formidable que je vous raconterai plus tard.

Corinne, je t’aime et je veux continuer ma vie avec toi.

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