– D’accord on fait les magasins, mais je ne veux que tu ne portes pas de culotte !
– Comment ça « je veux » ? Me dit-elle, tu ne vas pas me donner des ordres, non ?
– Ce n’est pas un ordre, c’est une proposition !
– Et en quel honneur ?
– J’ai bien le droit d’avoir des fantasmes farfelus, tu as bien les tiens toi !
– Mais si quelqu’un me voit !
– Personne ne te verras, ce sera notre secret !
– Tu as de ces idées parfois !
– Allez donne !
– Non, viens la chercher, toi !
Je lui soulève la jupe, tire légèrement sur l’élastique et descend le petit bout de vêtement jusqu’à sa première cheville, le dégage d’un pied puis de l’autre. Exit la culotte, elle est dans mes mains ! Je la renifle, pas très nette tout ça, mais ses odeurs m’excitent,
– Tu fais quoi gros cochon ? me demande-t-elle
– Hum, ça sent bon tout ça !
– Ben ça sent mon cul et ma chatte !
– J’adore !
– Ça va, tu es pas trop difficile, surtout que je n’ai pas du bien m’essuyer tout à l’heure, je me suis dépêché pour répondre au téléphone… Et toi tu trouve que sa sent bon ?
– Ben oui !
– Et bien c’est dommage que nous soyons prêts pour sortir sinon je t’aurais demandé de me nettoyer le cul avec ta langue puisque tu aimes ça tant que ça !
– Bonne idée ! Dis je en m’approchant !
– Non ! On a fait un marché ! Je n’ai pas de culotte et maintenant tu me dois deux heures de shopping !
– Mais Caroline ?
Elle ne voulu rien savoir et c’est la bandaison douloureuse que je l’ai accompagné vers le grand centre commercial qui est à 10 minutes de chez nous.
– Tu sais ça fait drôle de me sentir la chatte à l’air, finalement c’est une bonne idée, je suis tout excitée !
Et moi donc !
Pendant une heure elle essaie des trucs et des machins, j’en ai ma claque et mon excitation est complètement retombée, c’est alors que Caroline manifeste le désir de s’acheter une jupe plus courte que celle qu’elle porte !
Elle en essaie une, elle en essaie deux, elle en essaie encore une autre… Ça n’arrête pas ! Finalement elle flashe sur un modèle, un truc tout simple noir, elle sort de la cabine, virevolte, regarde si personne ne la voit et se penche ! Malédiction la jupe est si courte qu’on lui voit la naissance des fesses. Voilà que je bande de nouveau ! Je rentre avec elle dans la cabine, et lui fout la main aux fesses, elle m’embrasse et me chatouille la braguette. On n’en peut plus aussi bien l’un que l’autre on décide de payer la jupe et de se réfugier dans un endroit ou nous pourrions décharger (c’est le cas de le dire) notre trop plein d’excitation.
C’est alors qu’un monsieur, très bien sur lui, la cinquantaine, nous aborde, le type est très classe, il est accompagné d’une grande femme blonde du même âge, bourgeoise de chez bourgeoise, mais avec des beaux restes.
– Bonjour, ça vous dirait de gagner xxx euros ?
– Pardon ? C’est quoi c’est un concours, c’est une émission de radio ?
– Non, c’est entre nous ! Je vous ai vu dans la cabine tout à l’heure !
Je rougis comme une tomate, mais pas Caroline qui a l’air de trouver ça très rigolo.
– Nous n’habitons pas très loin, je voudrais juste que vous fassiez l’amour devant nous ?
– Ça vas pas non ? Répondis-je en m’apprêtant à laisser là ce vieux vicelard !
Mais Caroline me rattrape par la manche…
– Attends, t’es pas tout seul à décider, ça peut être marrant non ?
– Mais enfin Caroline….
– Marrant et excitant ! Croit devoir préciser le bourgeois
– Moi ça me dit, allez viens ! Me presse ma copine !
On les suit, sans trop rien dire sinon des banalités, ce truc me m’emballe du tout mais Caroline à l’air de s’amuser comme une folle à la perspective de s’exhiber devant ce couple de vieux vicelards.
Arrivés dans leur appartement cossu, ces messieurs dames nous demandent si nous voulons boire un verre ! Pourquoi pas !
– Voici l’argent ! On vous demande juste de faire l’amour sur le canapé, là pendant disons un quart d’heure vingt minutes, et nous on regarde…
– Vous allez juste regarder, vous n’allez pas vous masturber ? Demande Caroline
– Si, si bien sûr, disons que ma femme et moi ,nous allons nous mettre un peu à l’aise en vous regardant…N’est ce pas Nicole ? dit il s’adressant à sa femme
– Mais bien sûr mon vieux cochon ! Répondit la grande blonde !
Et sur ce, le « vieux cochon » nous demanda de nous déshabiller, Caroline me précéda dans cette tâche pas gênée du tout ! En deux temps et trois mouvements elle fut nue comme un ver, et s’amusait à se masser les seins avec la paume de ses mains
– Alors ça vous plait ?
– Superbe ! Répondit le bourgeois (allez, on va l’appeler Gérard)
Je me déshabillais à mon tour, je ne bandais plus, et tentait tant bien que mal de tirer sur mon sexe pour le rendre présentable.
– Vous êtes mignons tous les deux, j’adore les belles jeunes femmes… et les beaux jeunes hommes. Rajoute-il
Hein ? Qu’est ce qu’il raconte ?
– Ca fait plaisir de voir un couple comme ça sans tabou, parce que je suppose que des tabous vous ne devez pas en avoir beaucoup… Vous devez en essayer des trucs ? Reprend Gérard.
J’allais répondre pour recadrer un peu tout ça, mais Caroline me coupe la parole !
– Hum ! C’est vrai qu’on aime bien essayer des tas de choses ! C’est Eric qui m’a demandé de ne pas porter de culotte tout à l’heure… je ne voulais pas et finalement ça m’a excitée…
– Je vois…
– Et attendez… Ma culotte quand je l’ai retiré, il l’a reniflé, elle n’était pas très propre vous auriez vu dans quel état ça l’a mis !
– Caroline ! Tentais-je
– Mais c’est très excitant ce que vous me racontez là ! Savez-vous que j’adore aussi les culottes un peu négligées, n’est ce pas Nicole ?
– Oui, mon vieux cochon !
– Mais ça veut dire que vous avez le derrière un peu sale, alors ?
– Sale, n’exagérons rien mais il n’est peut-être pas très bien essuyé !
Gérard est complètement excité et se frotte la main sur la braguette.
– Si vous saviez comme j’aimerais vérifier ça par moi-même, mais bon, soyons sage, on vous a dit que nous voulions juste vous regarder faire l’amour…
– A moins que vous acceptiez qu’on double la prime en échange de quelques innocentes caresses ! Qu’en pensez vous ? Intervient alors Nicole.
– Si c’est juste des caresses, ça marche ! Répond Caroline !
Gérard se déshabille, il n’est pas si mal que ça, il doit faire du sport. Il bande comme un malade, et je me surprends à trouver que sa bite est vraiment bien jolie ! Nicole, elle interrompt son déshabillage au niveau de la culotte et du soutien gorge ! Dommage j’aurais bien aimé voir ses grosse totoches !
– Venez donc me faire sentir vos fesses ! Demande le vieux pervers à ma douce compagne.
Celle ci sans rechigner s’approche et se retourne ! Gérard hume son entrefesse !
– Hum, effectivement vous ne vous êtes pas essuyé le cul ! Constate-t-il
– Et tu aimes ça gros vicieux ? Demande Caroline passant à un tutoiement sans doute plus adapté à ce genre de situation !
– J’adore !
Gérard lui écarte le cul, il a carrément son gros pif à deux millimètres de son anus !
– Hum ! Quelle odeur ! On a fait le bon choix avec ce couple ! S’exclame t-il. Hum ça sent la bonne merde de jeune femme ! Dommage que je ne puisse pas lécher, nous avons dit que nous limiterions aux caresses…
– Mais je suis sûre que vous allez nous proposer davantage pour en faire davantage, n’est-ce-pas vieux coquin ?
Et Caroline en disant cela se retourne et fais un bisou sur le bout du nez de Gérard qui n’en peut plus !
– Et si tu aimes à ce point l’odeur de mon cul, je peux même essayer de te faire une petite crotte ? Tu voudrais ?
Affaire conclue, on empoche la troisième prime, et tandis que Gérard léche à qui mieux mieux le trou du cul de Caroline, Nicole me demande de venir vers elle !
– Alors toi, je suis certaine que tu aimerais voir mes gros nichons ?
– Oui bien sur !
– Alors dégrafe moi mon soutien !
Je le fais, fébrile, libère les grosses mamelles et sans lui demander la permission m’élance vers ses deux épais bourgeons bruns que je lèche avec avidité.
– Retire ma culotte, maintenant !
J’obéis !
– Et fais la même chose que ce que nous a raconté ta copine !
Je vais me priver, tiens ! Je porte l’objet à mes narines, ça sent fort, très fort, mais ma bite est toute raide.
– Tourne-toi je vais te lécher le cul !
A bon, moi aussi ! J’aurais préféré m’occuper de sa chatte que je n’ai pas pu bien voir mais que j’imagine baveuse et grasse à souhait. Mais voilà qu’elle me léche le trou du cul avec une agilité incroyable, Je me laisse faire, cette Nicole fait ça divinement !
– Alors elle te l’a fait sa petite crotte ? Demande soudain la bourgeoise à son mari interrompant sa feuille de rose.
– Non, ça ne vient pas ! dommage ! mais je ne perds pas espoir
– Un peu de patience je vais t’en faire une belle ! Intervient Caroline complètement déchaînée.
– On échange nos partenaires ? Propose alors Nicole
Quoi ! Échanger quoi ? Mais Caroline a parfaitement compris et elle se ramène devant la bourgeoise lui fait une sorte de révérence !
– Je suis à la disposition de madame !
Je ne bouge pas ! Je suis paralysée ! Et c’est encore Caroline qui intervient, me regardant les yeux pleins de malices :
– Allez va voir Gérard, il ne va pas te manger !
– Mais attend, je ne suis pas pédé !
– Moi non plus ! Plaisante-t-elle
– Venez donc jeune homme, je ne suis pas une brute, et j’ai croisé votre regard quand vous me regardiez ma bite tout à l’heure…
– Et puis ça m’exciterait tellement que tu lui suces la queue ! Reprit Caroline, tu peux bien faire ça pour moi, j’ai bien accepté de me balader sans culotte, moi !
– Quelle comparaison !
– Allez, va le sucer, mon chéri ! On a accepté de faire les putes, on a pris l’argent, maintenant faut assumer… et puis j’ai l’impression que ce ne sera pas une corvée…
J’y suis allé comme un zombi, mais c’est vrai que cette bite n’est pas mal, mais c’est la chatte de Nicole qui m’intéressait moi, pas la queue du mari ! Lequel mari s’est emparé de ma propre queue afin de me masturber avec beaucoup de dextérité, il est doué le mec…
– Allez, suce ! tu va voir elle est bonne, après tu en redemanderas !
Je respire un grand coup et me voilà avec l’objet dans la bouche ! A ma grande surprise je n’ai aucun recul, aucun rejet, c’est doux, c’est chaud c’est excitant, et puisque la Caroline ma mis au défi de le sucer je vais m’appliquer. Caroline et Nicole se sont approchées pour profiter du spectacle, cette dernière doigtant avec énergie l’anus de ma compagne…
– Hummmm elle me ramone trop bien le cul cette salope !
Nicole finit par sortir son index tout pollué qu’elle lèche avec délectation, quelle cochonne ! Gérard me demande de stopper ma fellation, c’est dommage je commençais a y prendre goût ! Ma copine s’est installée par terre, et Nicole à un doigt dans chacun de ses orifices, …
– Dites moi Caroline, l’apostrophe Gérard, ça vous plairait que je sodomise votre conjoint ?
– Oh, oui ! Oh ! Oui !
– Mais… Protestais-je.!
– Rassurez vous, je vais passer un préservatif !
– Non. J’ai dis non !
– Dégonflé me dit Caroline ! Pourquoi est ce qu’il n’y aurait que les femmes qui devraient se faire enculer ?
– Ah, ça c’est un argument surenchérit Caroline !
– Tournez vous et présentez moi vos adorables petites fesses, jeune homme, ce ne sera qu’une formalité.
Quelque part dans ma nature profonde je ne devais pas y être si opposé que ça puisque j’ai fini par céder, et par offrir mon anus bien préparé et lubrifié par Nicole à cette délicieuse verge qui m’a donc dépucelé ! Il y a mis beaucoup de tact et procédait en des va-et-vient assez lents. A côté les deux femmes s’étaient placées en position de soixante neuf et se doigtaient le cul mutuellement.
Gérard finit par déculer sans avoir joui, manifestement il avait d’autres projets
– Alors Caroline cette petite crotte que vous m’aviez promise ?
– Tu as de la suite dans les idées toi !
– Vous m’avez mis l’eau à la bouche !
– Ben justement en ce moment j’ai plutôt envie de pisser…
– Mais c’est très bien ça ! Allez on va tous dans la salle de bain…
C’est qu’elle est large la salle de bain de Gérard et Nicole ! Notre hôte s’allonge alors sur le carrelage et demande à Caroline de lui pisser dessus ! On a déjà joué tous les deux à des jeux semblables mais sans aller très loin. Ma compagne se met donc au dessus de son receveur !
– Tu veux que je te pisse sur la bite !
– Non ma bite c’est Eric qui va s’en occuper, pissez-moi sur le visage… dans la bouche…
Elle n’hésite pas et bientôt d’étrange chutes du Niagara viennent s’abîmer dans la gorge de Gérard qui avale tout avec une mine réjouie !
– Accroupis toi tu es trop haute ! Précise Gérard se décidant tout de même à tutoyer à son tour !
Caroline obéi, sa chatte est à présent à quinze centimètres de son nez !
– Et maintenant pousse ! demande-t-il une fois le pipi terminé.
– Ça vient gros dégueulasse ! Ouvre bien la bouche !
Moi, pendant ce temps, je le branlote, pas trop énergiquement, je pense qu’il ne souhaite pas jouir avant d’avoir reçu son cadeau… Quand à Nicole elle s’est assise sur le bidet et se masturbe avec frénésie en observant la scène d’un œil égrillard.
Un joli petit étron finit par se faufiler et par s’extraire du rectum de ma douce, le vieux cochon le reçoit en plein visage. J’accélère ma masturbation et fait jaillir son sperme de son sexe en quelques secondes. Il pousse un soupir de contentement tandis que sa femme se lève, ramasse la crotte dans ses mains et se met à la sucer comme s’il s’agissait d’un esquimau tandis que de sa main gauche, elle continue de se branler jusqu’à ce qu’elle jouisse.
– Votre merde est délicieuse Caroline ! La complimenta-t-elle.
– Si vous le dites, moi je n’ai jamais eu l’occasion d’y goûter !
– Vous aimeriez ?
– Excitée comme je suis, je peux essayer.
Nicole détache un petit morceau de caca et s’en barbouille les lèvres.
– Venez m’embrasser Caroline !
Elle le fait ! Je suis sur le cul ! J’ignorais qu’en lui proposant de réaliser mon petit fantasme je libérerais un tel cyclone sexuel !
Et puis, c’est bien joli, tout ça mais je n’ai pas joui, moi et Caroline non plus.
– Vous permettez qu’on finisse ?
– Mais bien sûr ! Répond Nicole !
Gérard lui est en train de s’assoupir…
Alors je prends Caroline par la main, l’entraîne vers le canapé, la fait se mettre en levrette, je la pénètre et cinq minutes après nous éclations, nous avons échangé un long baiser, nous nous sommes dit des mots tendres et nous avons pris congé de nos hôtes.
Ils voulaient nous payer le restaurant, nous avons refusé, mais quand ils nous ont demandé si nous serions intéressés à revenir, c’est d’une voix commune que nous leur avons dit oui.
Enzo (février 2005)
Ce récit a obtenu le 1er Prix de la meilleure nouvelle extrême pour l’année 2005
Un petit intermède scato qui ajoute du sel à ce bon récit
Comme les collègues, je me suis tapé une bonne branle, sauf que je n’étais pas tout seul, j’étais avec le voisin, à poil tous les deux. J’adore sa bite, on s’est sucé et il m’a fait une pine au cul.
T’as raison c’est super de se faire enfiler par une bonne bite bien raide
Un petit bijou d’érotisme pervers.. Du coup je me suis tapé une bonne branlette, merci tout le monde !
Remarquablement bien écrit, l’érotisme est bien dosé, et le lecteur que je suis écrit ce petit commentaire la bite bien bandée
Un petit conte bien écris et pervers comme je les adore.