Le diable au corps (troisième partie : le déjeuner miraculeux) par Euryanax

Le diable au corps (troisième partie : le déjeuner miraculeux) par Euryanax

Nous avons commencé de raconter les aventures presque personnelles d’Alexandre, il est temps d’y mêler son épouse légitime. S’il ne lui a pas toujours dit avec qui il couchait de temps en temps, il ne lui a jamais caché ses fantasmes et l’a, en quelque sorte, travaillée au corps pour qu’ils essaient ensemble des choses nouvelles. Il se doutait qu’il ne serait que plus heureux si elle était là et l’histoire qui va suivre le confirma.

Comment commencer ? Bien sûr, c’est toujours ainsi, Alexandre avait souvent proposé à Roxane de participer à un «amour à trois» avec deux filles ; ce n’était pas son truc voilà tout. Puis il tenta une autre approche, un autre couple ou un autre homme seulement, son rêve était de la voir, de l’avoir sous ou sur lui au moment de la double pénétration. Laissons parler Roxane…

« J’aimerais bien deux hommes, un qui pénètre mon vagin et l’autre qui me caresse partout avec ses mains, et puis peut-être un troisième qui me lèche le cul aussi bien que toi, qui y plonge patiemment ses doigts et autre chose… »

Mais cela restait pour Roxane un fantasme. Ce fut par hasard qu’un élément perturbateur vint déclencher le récit que vous attendez.

Un dimanche midi, Alexandre invita Roxane au restaurant que fréquentait assidûment son amie transsexuelle Christine. Un restaurant tenu par des trans et peuplé de trans ; les plus belles étant les serveuses, souvent imperceptiblement plus dénudées à chaque fois qu’on les admire de nouveau.

Le repas était plus que bon, ce qui était un minimum indispensable pour elle comme pour lui. Il faut dire, à sa décharge peut-être, qu’Alexandre ne savait pas ce qui allait se passer ensuite. Christine ne lui avait vanté que l’excellente cuisine du restaurant. Nul ne sait s’il aurait emmené quand même Roxane en ce lieu s’il avait su. Mais le hasard fait bien les choses.

Donc, après de plantureuses entrées au foie gras, les serveuses s’approchèrent des deux convives. La première parla à l’oreille de Roxane et lui tint à peu près ce langage :

« Nous avons une sorte de trou normand très particulier, ici. Il ne se mange pas, il est exclusivement sexuel. Nous proposons une caresse buccale à tous les gens qui nous semblent sympathiques. Le choix est tout à fait arbitraire et nous sommes toutes volontaires ; je vous ai choisie et ma compagne a préféré votre compagnon ; pour ne rien vous cacher, au cas où vous ne l’auriez pas deviné, nous ne sommes pas tout à fait des filles comme vous, nous avons entre les jambes un sexe d’homme. Si vous ne m’en dissuadez pas, je vais maintenant me glisser sous la table et entreprendre de lécher votre sexe et tout ce qui est autour, jusqu’à votre plaisir. Vous n’avez pas besoin de dire une parole ; pour indiquer votre consentement, vous n’aurez qu’à déboutonner votre pantalon et le baisser sous vos genoux, puis baisser également votre culotte. Ce geste doit être totalement le vôtre afin que je sois sûre de votre accord. Si vous ne le faites pas, je m’en irai et votre repas continuera ; je ferai peut-être une nouvelle tentative un peu plus tard. Je dois aussi vous dire que nous sommes pour la paix des ménages : si vous refusez, rien ne sera proposé à votre compagnon. »

La serveuse avait un très courte jupe, et son sexe d’homme durcit toucha la cuisse de Roxane. Peut-être fut-ce la raison de son acquiescement. Toujours est-il que son hésitation fut brève : elle dégrafa son pantalon au vu et au su des gens alentour et le baissa en même temps que sa culotte ; elle changea de position afin de n’être plus assise que sur le bord de la banquette. Immédiatement la serveuse descendit sous la table, plaça ses mains autour des cuisses nues de Roxane et plongea vers sa grotte secrète. C’est au moment où Roxane baissait son pantalon que la deuxième serveuse expliqua à Alexandre ce qu’elle attendait de lui. Il eut un moment de stupéfaction ; le caractère insolite de la proposition et l’attitude de sa femme composaient un mélange savoureux mais très surprenant. Puis, il baissa pantalon et caleçon. La montée du plaisir rapprocha les amants ; ils se collèrent l’un contre l’autre tandis que les deux trans les suçaient, les léchaient, les doigtaient. Ils s’étreignirent, s’embrassèrent même. Autour de la table certains s’arrêtaient pour regarder.

Roxane avait le clitoris en feu sous la langue de la serveuse et les deux trous occupés par ses doigts ; Alexandre ne savait plus ce qui le ravissait le plus de la fellation ou la feuille de rose.

Ils jouirent presque ensemble, l’homme d’abord dans la bouche de la trans qui avala tout, la femme ensuite qui se tordit dans le bras de son amant tandis que l’autre trans finissait de la lécher un peu partout. Une fois revenus à eux, ils demandèrent aux filles :

«Mais, et vous ?
– Nous avons le temps, le repas n’est pas terminé, répondit celle qui avait accueilli le sexe d’Alexandre. Nous allons continuer de vous servir jusqu’au bout ; je m’appelle Sacha et mon amie Lola. »

Sacha était grande, même pour une transsexuelle, elle avait un petit visage d’ange à damner un saint et une paire de fesses parfaites ; elle était vêtue de cuir, tunique collante, le genre justaucorps, et une jupe au genoux, moins dévoilée que sa copine. Sa langue, d’une texture indéfinissable avait vite eu raison du sexe d’Alexandre.

Lola semblait plus dévergondée, elle était plus ronde et ses seins semblaient avoir du mal à tenir dans ce qui semblait vaguement être un soutien-gorge. Sa jupe, nous l’avons dit, était bien courte, son ventre était nu et surmonté d’une sorte de boléro blanc qui couvrait donc l’ersatz de soutien gorge noir. Ses yeux brillaient en permanence et ses mains étaient d’une douceur exquise, Roxane en avait tout le souvenir gravé dans ses cuisses et en son intérieur.

– Pour continuer le repas, enchaîna Lola avec un regard de braise, nous vous proposons de passer dans la petite salle à côté, vous y serez bien plus tranquille, l’objet à l’entrée est une sorte de portemanteau où vous pourrez déposer vos pantalons, il y a une tenue exigée dans cette salle, les sous-vêtements ou, si vous préférez, la nudité. Vous aurez aussi dans cette salle une invitée surprise.

Alexandre et Roxane se regardèrent, puis, très vite, il se leva et entraîna sa belle. Ils entrèrent dans la salle en question ; l’invitée surprise était Christine. Alexandre, qui avait pas mal parlé d’elle à Roxane la lui présenta, le courant passa tout de suite. Tous les trois se déshabillèrent en partie et s’assirent sur une banquette en sous-vêtements. Revenue de son espèce de torpeur, Roxane glissa la main dans le caleçon d’Alexandre et la retira avec une moue, son sexe n’avait pas encore repris sa vigueur.

– J’avais envie que tu me prennes et j’en ai encore plus envie, mais tu n’assures pas !…
– Ca peut peut-être s’arranger dit Christine, brandissant son aiguillon.
– Veux-tu que Christine me remplace, le temps que je redevienne dur ?
– Oh oui, soupira lascivement Roxane en baissant sa culotte. Là, maintenant, directement, j’ai déjà eu les préliminaires.

Elle se tourna face à la banquette, afin d’être prise debout, par derrière. Alexandre commença de lui sucer un sein tandis que Christine s’approchait. Elle entra d’un coup et eut un moment de recul comme si elle se brûlait. L’antre du diable ! D’une main, elle agrippa la hanche droite de Roxane, de l’autre, elle se mit à caresser le sexe d’Alexandre. Le plaisir envahissait Roxane, c’était comme un prisonnier qui demande à sortir ; plus Christine pistonnait fort, plus Roxane criait. La bestialité de l’affaire n’échappa pas à Alexandre, désormais pourvu d’une demie érection. Il vint se placer debout sur la banquette, au-dessus de sa femme et présenta son sexe à la bouche de Christine, puis à celle de Roxane ; tantôt l’une tantôt l’autre. Lorsque sa raideur lui parut satisfaisante, il sauta à terre et vint se placer derrière Christine. Au milieu des cris des deux femelles il se mit à lécher le cul de la trans et y pénétra ipso facto. Celle-ci alors coupa son élan, appréciant de se sentir besognée, puis, doucement, elle sortit et entra dans l’anus de Roxane. Trois ou quatre coups de son vit, et, pour la deuxième fois de la journée, la belle Roxane se tordit dans tous les sens.

Quand elle fut revenue à elle, Alexandre, qui avait quitté le rectum de Christine, l’allongea à peu près sur le dos, lui écarta les cuisses et entra dans son vagin, le plus loin possible. Christine prit alors la troisième place et entreprit de lui lécher le cul puis d’y glisser des doigts habiles. Il remua dans tous les sens. Le temps de trois ou quatre va et vient dans le sexe de sa douce et il sentit que l’orgasme «point d’orgue» la saisissait : elle écarta insensiblement, machinalement un peu plus les jambes, comme elle faisait à chaque fois qu’elle jouissait ainsi ; il lui attrapa les mollets pour la tenir ; à ce moment, il se sentit pris par le sexe de Christine. Tout à son ciel, Roxane n’avait rien vu, elle poussa un soupir énorme et ferma les yeux.
Lorsqu’elle les rouvrit, elle eut envie de se les frotter : son homme la pénétrait toujours, mais il était lui aussi pris par une Christine déchaînée, une vraie furie, qui claquait les fesses d’Alexandre tout en le défonçant. Elle avança alors ses mains : une jusqu’au bourses de la trans et l’autre autour de son sexe, comme elle faisait à Alexandre. Mais là, c’était Christine qu’elle voulait voir jouir. Les mêmes causes eurent le même effet ; Christine ne tarda pas à se vider dans le cul d’Alex.

Elle se retira et murmura quelque chose à l’oreille de Roxane. Celle-ci parut amusée et se précipita pour lécher le sperme qui commençait à couler du fondement de son époux. Christine s’assit sur la banquette et fit signe à Alexandre de lui nettoyer la bite encore gluante ; il ne se fit pas prier. Mais tout n’était pas terminé pour lui, qui n’avait pas joui ; il fit signe à Roxane de s’approcher, leva bien haut les cuisses de Christine.

– Aide-moi s’il te plaît Roxane, glisse-moi chez elle, je veux l’enculer.

Roxane eut de nouveau un sourire.

– Eh bien, j’en découvre aujourd’hui des choses, je pourrais être un peu jalouse ; mais Christine est tellement adorable que je veux bien que tu l’aimes, et même que j’ai envie que tu l’aimes, que tu te vides en elle.

Elle l’embrassa ; il restait bien dans sa bouche un peu du sperme de Christine. Ensuite, elle saisit son cierge et le glissa entre les fesses de la transsexuelle. Mais la position ne lui convenait pas ; elle arrêta tout, fit asseoir Alexandre et dit à Christine :

– Je veux te voir t’empaler sur lui.

Elle ne se fit pas prier. A ce moment, Lola, la serveuse entra dans la pièce ; elle portait trois peignoirs, destinés à devenir les uniques vêtements des trois convives jusqu’au bout du repas.

– Je vois que la fête se poursuit, dit-elle malicieusement. Il va falloir faire une pause, car le plat suivant ne va pas tarder.

Roxane lui prit alors la main et lui dit :

– Je crois qu’on peut hâter la fin !

Elle posa la main de Lola sur les couilles d’Alexandre, se mouilla un doigt et le glissa dans l’anus de son mec. En dix secondes ce fut l’orgasme. Alexandre se vida dans une Christine qui sautait et se décrocha même avant la fin. Une partie du sperme gicla sur la main de Lola. La serveuse se lécha les doigts. Comme elle l’avait fait auparavant, Roxane entreprit de lécher le sperme sur et dans le trou de la belle enculée. Enfin les trois convives prirent chacun son peignoir et se rassirent, Alexandre au milieu, les deux autres toutes contre lui. Lola sourit et dit presque sentencieuse :

– « La sodomie, il n’y a rien de mieux pour s’ouvrir l’appétit. »

La suite du repas fut exquise et épicée ; il faut bien réchauffer les cœurs et réjouir tous les sens. Après le troisième plat, une sorte de légère torpeur envahit les convives, qui s’allongèrent à demi les uns sur les autres. Disons plutôt qu’ils s’affalèrent. Lola et Sacha desservirent la table puis revinrent avec un sourire à peine caché.

– C’est le temps de notre deuxième intervention chuchota Sacha, nous allons nous occuper de la dame.

Roxane rougit un peu et regarda les deux jolies créatures qui se déshabillaient lentement.

– Christine, dit Lola, tu dois t’écarter un peu et nous laisser la place, vous aussi, monsieur.

Sitôt dit, sitôt fait. Alexandre et Christine s’écartèrent. Lola s’approcha de Roxane, lui défit le peignoir. Elle se frotta contre elle. Son sexe était dur et érigé. Ses mains faisaient merveille sur le joli corps de Roxane ; bientôt d’autres mains les rejoignirent, celles de Sacha. Roxane se libéra d’une certaine tension qui l’avait envahi au tout début ; elle saisit avec ardeur la hampe de Lola et la caressa, la masturba. Doucement Lola la retint tout en lui murmurant :

– Je vais m’asseoir sur la banquette et tu monteras sur moi, de façon à ce que je te vois.

La séance de caresses manuelles avait suffi. Roxane était largement ouverte. Elle regarda Alexandre, puis se laissa tomber sur le sexe de Lola qui envahit son vagin. La saisissant aux épaules, elle se mit à aller et venir. Elle sentit alors quelque chose de froid entre ses fesses. Munie d’un tube de vaseline, Sacha la badigeonnait copieusement. Regardant la scène, Christine et Alexandre, chacun de son côté, se mirent à bander fortement tandis que leurs mains cherchaient à toucher l’un des corps.

Sacha glissa deux doigts dans le rectum de Roxane, elle se tordit. Puis elle demanda à Alex de lui enduire le sexe. Il ne se fit pas prier. Enfin prête, Sacha pénétra délicatement, avec l’aide des mains d’Alexandre, le cul si accueillant de sa bien aimée.
C’était la première double pénétration de Roxane, et pour rien au monde Alexandre n’aurait donné sa place. Il regardait sa belle qui fermait les yeux, les rouvrait, respirait de plus en plus bruyamment, qui montait et descendait sur le vit de Lola tandis que Sacha s’enfonçait de plus en plus dans son intimité. Elle le cherchait et attrapa son sexe de sa main gauche tandis que le manège continuait. Quelle beauté !

Tout à coup Roxane s’arrêta de bouger. Il fut facile de comprendre pourquoi : Lola, avec des feulements, des rugissements de panthère, jouissait, se répandait longuement en elle. Elle la garda longtemps, attendant que tout soit fini, serrant de ses muscles intimes le sexe d’homme de la transsexuelle. Lola fit signe à Sacha de s’arrêter un peu. Elle fit se soulever Roxane, toujours la bite de l’autre dans le cul. Puis, elle tira Alexandre à elle.

– Venez donc, dit-elle malicieusement, prenez ma place, elle est bonne et chaude.

Alexandre vint donc se glisser sous Roxane, et l’aima peut-être comme jamais, tandis qu’elle remuait les fesses, taraudée par l’aiguillon de Sacha. Il se croyait dans un rêve, il voyait seconde après seconde, la jouissance gagner le visage aimé.

A côté, Lola s’était allongée, Christine vint se placer derrière elle et la prit d’un coup. Elle cria légèrement, puis se mit à quatre patte, s’offrit aux coups de boutoir. Roxane jouit enfin, ce fut long et lent comme un film au ralenti, puis il y eut une sorte de déclic, ses yeux se révulsèrent presque. Sacha se glissa hors d’elle ; elle n’avait pas joui. Alexandre aussi se retira, également encore tout vigoureux. Il posa sa femme sur la banquette, l’embrassa tendrement. Lorsqu’elle revint à elle, Alexandre sodomisait sauvagement Sacha, lui pétrissant les seins qu’il trouvait fort à son goût. Roxane dit d’une voix plus que vulgaire :

– Maintenant, je veux sucer des bites ; je veux avaler du sperme.

Alexandre ne l’avait jamais vu comme ça. Elle s’approcha du sexe de Sacha, qui était tout à l’heure dans son cul et le goba. Elle le suça, le lécha tant et si bien qu’en quelques minutes elle en vint à bout. Elle avala, gourmande, la liqueur jusqu’à la dernière goutte. C’était désormais la meneuse de jeu. Elle fit sortir Alexandre du cul de Sacha qui venait de jouir et lui dit.

– Maintenant, va enculer l’autre, je te garde pour la fin.

Elle appela donc Christine, qui s’extirpa du fondement de Lola, laissant la place à Alexandre. Christine n’était pas loin de la jouissance ; Roxane la suça tout de suite, adoptant une position oh combien excitante, le cul relevé, afin que son homme puisse y laisser rêver ses doigts. A son tour, Christine se répandit dans la bouche de Roxane ; puis elle s’affala aux côtés de Sacha.

Insatiable, Roxane se précipita sur le sexe de Lola qui avait repris de la vigueur grâce à la sodomie. Elle non plus ne résista pas longtemps et se vida. Comme Roxane voulait attirer Alexandre hors d’elle, il la retint.

– Attends un instant, je crois qu’elle va jouir du cul. Elle a un rectum incroyablement large, j’ai l’impression d’y être perdu au milieu du vaste monde. Mais là, j’ai touché la paroi, elle se resserre sur moi. Oh ! Que c’est bon !
– Oui, prononça Lola d’une voix essoufflée et éraillée, je vais jouir du cul. C’est ainsi qu’une vraie transsexuelle trouve son plaisir.
– Mais ne jouis pas, toi, dit Roxane à Alexandre.

Lola abattue, Alexandre et Roxane se placèrent en 69, lui dessous, elle dessus. Les autres regardaient le spectacle et écoutaient les cris. Tout à coup, Sacha se leva et vint se placer derrière les fesses de Roxane, elle les écarta délicatement et y fit entrer son sexe. Le bonheur du couple était désormais parfait. Ils jouirent ensemble ou presque. Quelques minutes passèrent.

– Maintenant, dit Roxane, je veux que ce soit toi qui avales la semence de Sacha.

Il s’exécuta, suçant goulûment la bite et avalant tout le sperme, tandis que deux doigts de Roxane lui fouillaient les entrailles. La deuxième partie de la fête se termina donc ainsi.

Après le dessert, les serveuses androgynes enlevèrent peu à peu tout ce qui restait sur la table. Une nappe blanche et propre trônait désormais au milieu de la pièce. Lola et Sacha ne revinrent que pour le digestif, s’absentèrent et revinrent une deuxième fois. Probablement sous l’effet des mets fort copieux et des vins capiteux, Christine s’était endormie. Alexandre l’avait délicatement allongée sur la banquette et s’était assis de l’autre côté, tout contre Roxane.

Lorsque les serveuses revinrent, il était aisé de comprendre que c’était pour la troisième manche du marathon sexuel engagé depuis les alentours de midi. Elles arrivèrent en face du couple, tirèrent la table en arrière et demandèrent à Alexandre de se mettre à genoux sur la moquette, la tête sur la banquette.

– Qu’allez-vous donc faire ?
– Ce qu’il reste pour que la fête soit complète, nous allons enculer toutes les deux votre beau mari.
– Et moi, je n’aurai donc droit à rien ?
– Vous savez, dit Sacha en écartant délicatement de ses doigts les fesses de Roxane, un cul si délicat ne se refuse pas.
– Oh, ce n’est pas qu’il se refuse, mais, je dois vous dire qu’Alexandre et moi sommes allés aux toilettes depuis tout à l’heure. Donc nos petits trous manquent un peu de propreté.
– Qu’à cela ne tienne, répondit Lola, nous allons les nettoyer, ce sera un intermède fort plaisant.

Mari et femme se retrouvèrent à quatre pattes, côte à côte, la tête abaissée entre les mains et le postérieur dressé. Lola et Sacha répandirent dans leur anus un peu d’eau avec une canule, puis les firent l’un après l’autre asseoir sur une bassine, afin d’évacuer les «eaux usées». En suite elles essuyèrent le tour et nettoyèrent l’intérieur avec des lingettes de bébé, rien de plus doux.


Ni Alexandre ni Roxane ne se rendirent compte du moment précis où les doigts seuls avaient pris possession de leur rectum. Sacha se contenta d’humidifier le cul de Roxane, très habitué à la sodomie ; mais Lola prit le temps de lubrifier l’anus d’Alexandre, y entrant ses doigts l’un après l’autre. Bientôt, Lola chevaucha Alex, tandis que Sacha enculait Roxane.

Les transsexuelles étaient avides de ce plaisir qu’elles attendaient depuis le début de la «séance», elles ruaient, comme des chevaux sauvages. Bientôt, Lola se calma et s’arrêta même, puis elle suggéra quelque chose à Alex et lui tendit le tube de lubrifiant. Changeant de position, le garçon vint se placer derrière Sacha et entreprit de lui badigeonner le cul. Ensuite, il la pénétra.

Un spectateur présent aurait vu une sorte de petit train à quatre, Lola dans le cul d’Alexandre, Alexandre dans celui de Sacha et Sacha dans celui de Roxane. Ah ! Sodome ! Cette triple sodomie, changea une chose : dès lors, les deux serveuses se mirent à tutoyer leurs camarades de stupre.

Lola la première éjacula longuement entre les fesses d’Alexandre, puis se retira. Elle s’allongea sur la banquette, de côté, offrant à son tour ses fesses à qui voudrait la prendre. Sacha se retira du cul de Roxane et fit sortir Alex du sien.

– On va inverser un peu, c’est à moi de te prendre, dit-elle à Alexandre.

Le garçon s’agenouilla et prit d’un coup Lola avachie, qui fut comme réveillée par cette pénétration sauvage. Sacha, de même, le pénétra d’un seul coup. Son sexe d’homme était bien plus large que celui de Lola, mais l’abondance du sperme qu’Alexandre avait dans le cul permit une intromission douce et facile. En outre, Sacha bougeait plus lentement, plus précautionneusement que Lola. Ainsi enculé, Alexandre approchait du nirvana ; son sexe, dans le fondement de Lola, ne demandait qu’à exploser, mais elle le retint.

– Ne jouis pas en moi, il y a une dernière scène à jouer.

Alexandre se retira donc ; et Sacha le fit allonger sur le dos ; elle le reprit de face, soulevant son corps de ses mains puissantes placées sous ses fesses. Son souffle tout à coup se précipita et, à son tour, elle jouit longuement, s’enfonçant au maximum et déplaçant le cul de son amant de façon à ce qu’il ne perde pas une goutte de sperme.

Pendant ce temps, décidément dévergondée et insatiable, Roxane avait réveillé Christine de ses caresses, avait provoqué une superbe érection, puis s’était assise sur elle, son vagin entièrement occupé par la belle bite. Elle se déhanchait de manière exubérante, c’était une vraie sarabande. Sacha s’était retirée du fondement d’Alexandre et l’avait allongé sur la table, les fesses à l’air.

– Attend la suite, lui murmura-t-elle.

Lola, qui était sortie, revint à ce moment avec une autre transsexuelle.

– Voilà la patronne, dit-elle, elle aime bien participer à la fin des ébats.
– Elle va d’abord te lécher le cul, poursuivit Sacha à l’intention d’Alexandre, elle adore boire le sperme.

Et la patronne fit ce qu’avait indiqué Sacha, léchant goulûment les fesses enduites de crème du garçon. Rassasiée, elle se releva et regarda dans la direction de Roxane. Lola, qui l’avait précédée demanda simplement à Roxane de changer de trou.

– Reste sur Christine, tu es parfaite ainsi, dit-elle, mais libère ton vagin, notre patronne adore lécher les femmes.

Ainsi fut dit, ainsi fut fait. Désormais prise par l’anus, Roxane écarta les cuisses et la patronne s’agenouilla pour la lécher. Lorsqu’elle fut installée, Roxane referma ses cuisses sur elle et se souleva, pour mieux ressentir les coups de boutoir que portait le pénis de Christine dans son rectum. La patronne, à quatre pattes, léchait avidement le sexe et le clitoris de Roxane. Sacha interpella alors Alexandre :

– Tu peux l’enculer, dit-elle, mais, à sec, rudement, elle aime qu’on la traite ainsi. Et puis il y a une surprise.

Alexandre ne se fit pas prier. Il releva la jupe de la patronne et entra d’un coup, forçant son œillet. La tenant par les fesses, il la besogna tout de suite. Elle releva la tête un instant pour laisser échapper un petit cri, puis se remit à l’ouvrage. A un moment, une main d’Alexandre glissa et toucha le pubis de la patronne.

– Mais c’est…. commença Alexandre interrompu par la main de Lola sur sa bouche.
– Pas maintenant dit-elle avec un sourire, attendons que ton épouse ait joui.

L’instant attendu arriva. Le clitoris arrivé au pinacle, Roxane se tordit une nouvelle fois, puis s’abaissa, et laissa échapper le sexe de Christine ; celle -ci ne l’entendait pas ainsi, elle la reprit et se déversa en elle. Lorsque Roxane rouvrit les yeux, Alexandre quitta le cul de la patronne. Lola la releva et lui dégrafa la jupe, qui tomba au sol.

– Mais c’est une fille, cria presque Roxane.
– Eh oui, ajouta Sacha, c’est la première fois, pour toi ?
– Oui, j’ai vécu beaucoup de premières fois aujourd’hui.

Elle se tourna vers Alexandre, toujours en érection.

– Eh bien mon amour, maintenant, tu vas me prendre et me remplir.

Comme la patronne se dirigeait vers la sortie, Lola lui barra le passage. Ce fut elle qui répondit à Roxane.

– Eh non ! Cela ne se finira pas ainsi, Alexandre va faire gicler son sperme dans le sexe de celle-là.

Elle saisit la patronne et inclina son buste sur la table. Elle tenta de se débattre.

– Non, pas par là, dit-elle, pas par là !

Sacha vint la tenir aussi et dit à Alexandre.

– Ne t’en fais pas, dit-elle, cela fait partie du jeu. Officiellement, notre jolie patronne est fidèle à son mari, elle lui réserve son sexe, mais elle se fait enculer par tout ce qui bouge. En réalité, elle cède assez souvent, il y a une heure elle s’est fait prendre par un client sous les yeux du mari.
– Ce n’est pas vrai !
– Mais si, bien sûr.

Convaincu, Alexandre prit le vagin de la patronne. Elle était assez corpulente, ce qui n’était pas pour lui déplaire. Elle se mit à remuer dans tous les sens, attrapa les bites de ses serveuses, tantôt les excitant de sa main, tantôt les portant à sa bouche. Roxane s’approcha d’Alexandre.

– Garde tout de même ton sperme pour moi !
– Non, je ne pourrais pas, elle est trop douce, trop … Je n’aurai pas la force de sortir, c’est le meilleur bain de vapeur du monde.
– Salaud, dit elle.

Christine l’attira à part et lui dit :

– Tiens, venge-toi de lui.

Elle lui tendit une ceinture munie d’un très gros godemiché, et l’harnacha en deux temps trois mouvements. Ensuite, elle plonge deux doigts dans son cul, pour les enduire de son propre sperme, les glissa ensuite dans celui d’Alexandre.

– Vas-y, dit-elle à Roxane, avec tout ce qu’il a pris dans le cul, cela devrait faire l’affaire.

D’un seul coup Roxane força l’entrée. Alexandre cria, voulut se détacher, mais Christine le maintint. Il cessa de résister tandis que sa femme bien aimée allait et venait en lui, mais délicatement, plus en tout cas que ne l’aurait voulu Christine. Ainsi défoncé, Alexandre ne résista pas et son sperme gicla à l’intérieur du vagin de la ronde patronne. Quelques minutes après, il s’effondra à ses côtés, vaincu par le sexe artificiel géant qui le taraudait. La patronne lui murmura :

– Je m’appelle Marie, mais dans l’intimité, on me surnomme Marie-Salope, tu reviens me baiser quand tu veux ; aurais-tu un numéro de téléphone ?

Alexandre était trop brisé pour répondre. Mais Roxane, qui avait tout entendu, se retrouvant avec son phallus artificiel à l’air libre lui dit :

– Tiens, Marie-Salope, suce cette bite pimentée, au goût des entrailles de ton baiseur !

Elle présenta alors le godemiché aux lèvres de Marie la patronne et Lola l’aida un peu à l’engloutir, mais tout porte à croire que Marie la suça avec délectation.

Ainsi se termina cette après midi de rêve.

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Une réponse à Le diable au corps (troisième partie : le déjeuner miraculeux) par Euryanax

  1. De Candé dit :

    Oh ! Mais quelle partouze fantastique !
    J’ai été obligé d’interrompre un moment la lecture pour le faire une bonne branlette

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