L’amour au château 4. Des chasseurs bien montés… par Mido

L’amour au château
4. Des chasseurs bien montés…
par Mido


Je ne sais trop comment, mais je fus la première réveillée peu avant 6 heures du matin. J’allais prendre une douche et j’en profitais pour prendre un café bien serré pour me réveiller. Les cernes sous les yeux étaient paraît-il une forme de reconnaissance… Je devais l’être sérieusement envers Dee !

Je pris ensuite le temps de me préparer. Les dessous enfilés, je me drapais dans un peignoir de bain en attendant la coiffeuse. Elle fut heureusement ponctuelle. Elle me fit une épaisse natte ramenée sur le dessus de la tête afin de « caler » le tricorne d’équipage. Elle me montra au passage comment ramener mes cheveux pour être bien coiffée en soirée grâce à un simple coup de brosse.

La coiffeuse partie, je me maquillais légèrement pour éviter les rougeurs du grand air. Puis je m’habillais en grande tenue de chasse. Longue jupe amazone bleu marine, chemisier à jabot, veste bleue marine à col velours et à parements rouge et or. En me regardant dans ma psyché, je fus contente de mon allure générale. Charles-André qui se levait eut un sifflet admiratif. Dans la salle à manger de nos appartements, le personnel s’activait en servant le petit-déjeuner à nos hôtes. Je pris une nouvelle tasse de café et un croissant avant de rejoindre la belle-mère afin de la rassurer sur mon exactitude. Elle aussi était prête. Elle me félicita de l’être et m’avoua me trouver très belle. Je la remerciais de ses compliments et lui demandais ce que je pouvais faire afin de me rendre utile. En réponse, elle m’envoya chercher son 4×4 au garage et de l’emmener dans la cour intérieure.

Je ne sais comment cela se passa. À 9 heures précises, tout le monde était rassemblé sur le parvis de la chapelle où allait se dire la messe de Saint-Hubert. Il y avait un monde fou, arrivant en voiture, à pied ou encore à cheval. Madame mère saluait son monde avec force coups de tête. Elle me donnait en deux mots le curriculum vitae des personnes croisées. Mon cerveau, quelque peu embrumé par la nuit courte, avait du mal à tout enregistrer. Mais je me bornais à donner des sourires en réponse. Je devais avoir l‘air un peu idiote, mais c’était ainsi et pas autrement.

Quelques chaises avaient été disposées en demi-cercle devant le porche de la chapelle. La belle-mère m’entraîna vers les deux les plus centrales. Le protocole était bien réglé. Les autres femmes vinrent alors la saluer et prirent place à nos côtés dans un ordre que je ne parvenais pas vraiment à comprendre. La messe put alors commencer. Elle fut heureusement assez brève, chasse oblige ! Je découvris alors les règles de la chasse à courre. La comtesse m’expliqua le rôle de chacun. J’appris ainsi que Victor était un piqueur réputé. Le maître de chiens était le propriétaire de l’abattoir de la préfecture. En ma qualité de nouveau « bouton », la comtesse tint à me présenter à tout l’équipage et à tous les invités. Les valets de limier purent alors faire leurs rapports au maître d’équipage. La chasse allait se porter sur un dix-cors devenu insupportable dans la forêt pour les dégâts qu’il y cause. Le son des trompes résonna alors, donnant le signal du départ. Les aboiements des chiens de meute répondirent en un écho fort sonore, mais bien dans le tempo. La comtesse nous convia alors à rejoindre sa voiture. Dee, Rachel et moi montâmes à l’arrière alors que la comtesse prenait le volant et que sa cousine, Geneviève, s’installait à ses côtés.

La belle-mère était une passionnée de vénerie. Nous n’eûmes aucun mal à suivre la chasse, voire à anticiper le passage du cerf de chasse. Nous étions ainsi aux premières loges ce qui valait des cris de Dee et Rachel étonnées de si bien voir le gibier. La forêt, d’ordinaire si calme, résonnait des bruits des moteurs de voiture, du galop des chevaux, des sonneries de trompe, et des cris des « spectateurs ». Vers midi, madame mère jugea opportun de faire un arrêt « casse-croûte ». Tout était prêt dans le coffre de la voiture. Des cavaliers firent un stop près de la voiture pour profiter de la nourriture et des bouteilles de vin qui avaient été débouchés… Rachel, Dee et moi-même assurions le service. Ces messieurs n’avaient pas le temps de traîner car les trompes ne manquaient pas de rappeler la chasse et leur éloignement montrait que le cerf n’avait pas pris le temps de s’arrêter…

L’hallali se fit « par terre » vers 16 heures avec un cerf tenant tête debout face aux chiens. Il revint à Victor de le servir. Je n’étais guère fière de ce passage de la chasse assez cruel. Mais je n’en laissais rien transparaître afin de ne pas choquer la belle-mère.

Nous laissâmes les hommes finir la chasse et nous rentrâmes directement au château. Si les hommes restaient en tenue de chasse pour le dîner, les femmes avaient été conviées à mettre leurs plus belles robes et leurs bijoux. Dee, Rachel et moi nous amusâmes quelque peu en nous changeant après avoir pris une douche. Les filles qui n’en étaient pas à leur première « chasse », me firent comprendre qu’il allait falloir réconforter les cavaliers privés de leurs chevaux. Je demandais de plus amples explications. Elles me conseillèrent de les suivre et de regarder…

Dee, toujours aussi habile, une fois habillée, me proposa de me coiffer et de me maquiller. De fait, elle me changea du tout au tout. J’avais choisi une robe du soir longue d’Alberta Ferretti, en soie grise, Elle avait de quoi faire damner un saint avec des transparences bien placées et un décolleté très échancré. Dee me recommanda de ne pas mettre de soutien-gorge et me fit un maquillage fort soutenu.

De fait, à notre entrée dans la salle des festivités du pavillon de chasse, un silence se fit et tous les regards se tournèrent vers nous. Charles-André vint aussitôt à ma rencontre et m’embrassa en me félicitant de mon choix. La belle-mère arriva sur ces entrefaites et tint aussi à me féliciter pour mon goût. J’avais redouté qu’elle ne critique l’aspect racoleur de cette tenue. Mais il est vrai que je portais une robe de renom et que cela suffisait à faire taire toutes les critiques. Même si aucune étiquette ne laissait transparaître son prix…

Le dîner fut assez vite servi car nombre d’invités devaient regagner la capitale dans la nuit. Dee et Rachel étaient à la même table que moi et je compris à leurs regards que la soirée ne débuterait véritablement qu’une fois le nombre des invités réduit. En attendant, nous fîmes honneur au vin qui nous était servi. Le départ de madame mère marqua le tournant de la soirée. Nous n’étions plus qu’une trentaine dans la salle et les serveurs disparurent comme par enchantement après avoir retiré la plupart des tables et rangé les buffets. Ne restait qu’un buffet de desserts avec des cafetières pleines et des bouteilles de digestifs et de champagne. Charles-André donna alors le signal de départ du bal. Une sono distillait une musique de danse alors que deux trompes de chasse soulignaient les refrains. Très vite des chants de corps de garde furent entonnés. Charles-André me prit dans ses bras et m’embrassa à pleine bouche. Tous les hommes en firent alors de même avec la femme la plus proche d’eux. La fête était lancée. Très vite, il n’y eut plus de couples légitimes, mais des « groupes de proximité ». Le haut de ma robe qui ne tenait que par le volume de mes seins tomba vite pour laisser ceux-ci respirer. Des mains en profitèrent pour les caresser dilatant vite les tétons. Je n’avais plus en mémoire les noms des invités, mais je pus apprécier leur vigueur assez rapidement. Poussée sur un coin de table, je me retrouvais troussée et un vit bien dardé pénétra sans autre forme de procès mon œillet. Il était fort heureusement revêtu d’une capote bien lubrifiée et le charme put opérer en toute sérénité. Je pris rapidement mon pied. Une femme vint alors me caresser et s’allongea sur la table devant moi, offerte à toute convoitise. Dee qui passait par là m’encouragea à lui prodiguer une caresse de ma langue. Je suivis le conseil et la gente dame en arriva vite à se pâmer. Très vite, elle se transforma en fontaine à cyprine que ma bouche eut de plus en plus de mal à éponger. Les mains de la belle caressaient mes cheveux nerveusement, me maintenant collé à son sexe. C’était pour moi une première et je prenais un certain plaisir à goûter ses « débordements ». Ma langue fureteuse lui procurait semble-t-il un vif plaisir à en croire les petits cris qu’elle émettait ponctuellement. L’occupant arrière assouvi, je l’abandonnais pour aller chercher Charles-André. Il venait d’abandonner une belle rouquine et sembla content de me voir arriver. Je le pris par le col et l’attirais directement contre moi. J’avais faim de lui ! Je le dévorais à grandes goulées. Ma bouche et son sexe ne faisaient qu’un. J’étais fière de me montrer ainsi avec lui. Après tout, il était responsable de ma « mutation » et si tout le monde m’admirait, il y était pour beaucoup. Ma voracité eut tôt fait de l’amener à la jouissance. Il ne chercha nullement à retarder l’échéance. Il m’embrassa pour me remercier quand la dernière goutte se fut répandue dans ma bouche. Nos salives, mêlées de sperme, se confondirent dans nos gorges. Le miel était sucré et épais. J’avais bien butiné…

L’heure étant bien avancée, le gros des invités commença à déserter la salle. Charles-André prit alors la décision d’inviter au château ceux qui restaient. Outre Dee et Jean-Marc, Sarah et Alexandre, Rachel et Jean-Louis, il y avait la femme que j’avais eu le bonheur de « manger » au cours de la soirée. Je m’aperçus alors qu’elle était accompagnée d’une tendre jeune fille, mignonne et rosissant quand on la regardait. Deux autres couples que je ne connaissais que de vue nous suivirent. Charles-André fit lui-même le service du champagne, arrivés dans nos appartements, et convia chacun à se mettre à l’aise. Je me retrouvais ainsi en petite culotte, bas et soutien-gorge comme les autres femmes, alors que les hommes ne gardaient rien. Je compris alors ce que les filles avaient voulu dire en parlant des cavaliers sans monture. Ces messieurs s’allongèrent sur le dos et les femmes furent invitées à les satisfaire sans qu’ils aient à bouger. Le couple féminin se contenta de se faire bouffer le cul en taillant des petites pipes à ces messieurs.

J’étais montée sur Alexandre quand la « petite jeunesse » vint se positionner face à moi. Elle me tendit sa bouche pendant qu’elle posait sa chatte sur la bouche de mon partenaire. Ses petits seins d’ado étaient fièrement tendus, je les caressais tout en lui roulant une pelle bien humide. Elle était adorable. Vite, elle se tourna à quatre pattes, par dessus Alexandre, afin que je la suce à mon tour. Son sexe avait un parfum de vanille fort agréable en bouche. Ma langue se fit investigatrice à son grand plaisir. Je sentais de légères contractions au fur et à mesure de ma visite. Mes doigts assurèrent une douce caresse à ce sexe offert. La petite jouit assez vite de ces pratiques. D’autant qu’Alexandre apportait une participation non négligeable à cette partie triangulaire.

Si la nuit du vendredi au samedi avait été courte, celle-ci s’annonçait tout aussi torride et abrégée, sinon plus ! Les échanges se firent sans heurts. Je sentis Alexandre éjaculer dans mon cul puis se retirer pour laisser la place à Jean-Marc. La petite jeunesse se retrouva dans le même temps avec Dee et Charles-André. Elle fut aussitôt remplacée par sa copine qui se plaça en face de ma bouche. Elle avait visiblement apprécié ma langue tout à l’heure dans la salle. Et elle en redemandait. Pendant que je travaillais le sexe de Jean-Marc avec des « pressions anales et abdominales », il s’amusait avec la poitrine de notre visiteuse, fort développée au demeurant. Les tétons pointaient fièrement vers sa bouche et il s’en délectait.

Au bout du compte, ce fut la fatigue qui finit par s’imposer. Les défections se firent sentir sur le coup de deux ou trois heures du matin. Finalement, chacun se retira dans le lit qui lui convenait le mieux. Je me retrouvais ainsi avec Charles-André et le couple « féminin » qui n’avait pas de chambre prévue au château initialement. Mais l’heure était au sommeil et ce « mélange » importait peu. En y réfléchissant bien, j’avais du être honorée par une bonne douzaine de « cavaliers » durant la soirée. Belle partie de chasse ! J’aurais assurément mal aux fesses demain au réveil.

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Je fus la première réveillée de toute la troupe. Je me glissais discrètement dans la salle de bains et me préparais assez rapidement afin d’aller ensuite assurer le petit-déjeuner de ces messieurs dames… Certes, le service serait assuré par le personnel, mais je voulais surveiller à ce qu’il ne manque rien. Je fis prévenir madame mère qu’elle ne s’inquiète de rien car nous allions rester dans nos appartements pour la journée. Dee fut la première à me rejoindre. Bientôt suivie par le gros de la troupe. Charles-André fut le dernier levé. Pour être à l’aise, j’avais mis une mini robe en laine à manches longues et de gros bas de laine noir. Il me fallait faire attention en m’asseyant de ne pas laisser voir ma culotte. La mini robe était en effet « ras la touffe ». Le petit-déjeuner fut rapidement ingurgité. Chacun se partagea alors les salles de bains. Les « préparatifs » furent plus ou moins longs. Il était en effet difficile à certain(e)s d’effacer les cernes. Une fois tout le monde prêt, une promenade dans les jardins du château permit une oxygénation ô combien nécessaire. Victor avait déjà sorti les chevaux et assuré leur entretien. Les vans avaient été préparés pour reprendre la route en soirée. Les chevaux y monteraient en dernière minute. Je le vis alors prendre à part Charles-André. Je ne savais trop ce qu’il avait à lui raconter. Un sourire et un petit signe de la main de mon mari me rassurèrent sur le sujet. La veille, un des grands beagles avait été blessé par le cerf de chasse et il ne pourrait plus entrer en meute. Il voulait savoir qu’en faire. Je proposais de le prendre comme chien de compagnie. Charles-André sourit à cette idée puis finalement avoua qu’elle n’était pas si bête. Il demanda à Victor d’aller le porter dans nos appartements dès qu’il aurait cinq minutes. J’allais le voir dans la stalle où il avait passé la nuit. La pauvre bête était enveloppée de pansements couvrant sa cicatrice. Elle ne pouvait guère bouger pour l’heure, mais je fus rapidement émue par son regard de chien blessé. Ma caresse lui redonna un peu d’allant. Je décidais de l’appeler Bob et d’en faire un ami.

Après la promenade, nous passâmes faire un rapide salut à madame mère. Pour la forme, nous lui proposâmes de venir prendre l’apéritif avec nous. Mais elle s’excusa poliment préférant nous laisser entre jeunes. Le chien avait été placé dans un grand panier en osier dans la salle à manger. J’allais aussitôt le caresser et lui tendre une gamelle d’eau qui avait été posée trop loin de lui. Un regard de reconnaissance fut ma récompense. Après avoir bu, il me lécha les mains. Il était trop mignon.

Le vétérinaire lui avait administré des calmants afin qu’il ne bouge pas trop. Charles-André me conseilla donc de le laisser tranquille pendant quelques jours afin qu’il récupère. Je rejoignis alors les autres au salon où l’apéritif était servi.
Une joyeuse ambiance de lendemain de fête régnait. Une coupe de champagne fut la bienvenue. J’allais m’asseoir sur un des canapés. Marguerite, j’avais enfin trouvé son prénom, et sa petite amie, Claire, étaient à mes côtés. La conversation tournait sur les prochaines chasses et sur les voyages envisagés par les uns et les autres. Charles-André avoua alors qu’il pensait m’emmener fêter Noël sur l’île Maurice. L’idée fit rapidement son chemin et, au bout du compte, tous les présents lui demandèrent s’il voyait un inconvénient à ce qu’on s’y retrouve. En cinq minutes, tout était réglé. Il fut même question dès lors de partir en jet privé, vu le nombre que nous étions. Charles-André accepta de s’occuper de tout.

Les discussions s’éternisèrent un peu ensuite sur les vacances balnéaires et nous ne passâmes à table qu’à une heure avancée de l’après-midi. Heureusement, il s’agissait d’un brunch et les plats avaient été déposés en plein centre de la table à charge pour chacun de se servir. Je me retrouvais entre Dee et Marguerite. Je m’amusais à les voir toutes deux me draguer. Charles-André m’avait prévenu que Marguerite, son amie, Dee et Jean-Marc restaient deux jours au moins au château. Je me dis que les nuits seraient encore chaudes dans ces conditions. Surtout pour moi, cible de toutes les tendresses.

Rachel, Jean-Louis, Sarah et Alexandre prirent la route de Paris à la tombée de la nuit. La belle-mère tenta de nous inviter à dîner, mais tout le monde fut unanime pour dire qu’il fallait aller se coucher afin de récupérer de la nuit précédente. Le prétexte était vraiment bidon car repliés dans nos appartements, la fête reprit. Charles-André ouvrit une bouteille de champagne et invita chacun à se mettre à l’aise dans la salle de cinéma. Il mit en route un film et fit le noir. Marguerite fut aussitôt sur moi. Elle me voulait pour elle seule, mais sa petite copine ne l’entendait pas ainsi et se positionna afin que je la caresse. Mes deux mains étaient prises et mes lèvres durent se partager à tour de rôle entre ces deux femmes. Pendant ce temps, Dee s’occupait des deux hommes. Marguerite eut tôt-fait de redevenir une fontaine à cyprine sous mes caresses, Elle se laissa glisser sur la moquette afin que je puisse mieux profiter de son nectar. Claire, de son côté, s’amusait avec mes seins et mon œillet dans lequel elle glissait un, voire deux doigts. Le frottement de ses ongles me fit arriver à une douce extase que je n’attendais point d’une femme. Je me surpris alors à sentir une érection comme je n’en avais pas eu depuis mon arrivée au château. Elle me suça alors doucement et tendrement. Marguerite prit son pied quasiment en même temps que moi. Je la laissais alors pour me tourner vers Claire et son vagin vanillé. La petite apprécia le lent cheminement de ma langue entre ses cuisses. Sa copine se vengea en me besognant le derrière de son pouce. Les deux femmes s’y entendaient pour varier les plaisirs. Elles avaient une grande dextérité avec leurs doigts qui exploraient tous les espaces de mon corps en le frôlant délicatement. Après tout, j’étais aussi femme qu’elles et je pouvais trouver mon plaisir dans leurs attouchements.

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Finalement, tout le monde prit la résolution d’être sage. À la fin du film dont nul n’avait vraiment fait attention au sujet, la sagesse nous guida tous au lit, par couple « constitués ». Je m’endormis donc aux côtés de Charles-André pour un sommeil réparateur qu’il ne chercha nullement à perturber. Ce fut peut-être mon erreur car je me réveillais vers 4 heures, nuit terminée. Afin de ne pas perturber le sommeil de mon époux, j’allais dans la salle à manger me faire une grande tasse de café, puis au salon afin de lire tranquillement. Je n’y étais pas depuis cinq minutes que je vis débarquer Claire. La charmante enfant était dans un petit déshabillé vaporeux à souhait. Elle me fit un doux baiser sur la joue en guise de bonjour puis s’assit à mon côté. J’allais lui chercher un café pour l’aider à se réveiller puis repris place près d’elle. Elle ne tarda pas à se lover tendrement contre moi. Je ne sus résister à son avance et l’embrassais. Ses mains vinrent alors caresser ma poitrine avec délicatesse, Jusqu’à hérisser les tétons. Ma main glissa alors dans sa culotte en dentelle. Un doigt s’aventura dans le méat. Glissant entre les lèvres empreintes de cyprine. Ses reins se cambrèrent sous la caresse. Sa langue s’affermit contre la mienne en un baiser passionné. Claire était une grande amoureuse. Je me laissais glisser à genoux au pied du canapé. Ma tête entre ses jambes. Ma langue prit la place de mon doigt pour une exploration poussée de son vagin. Le goût vanillé était toujours aussi entêtant et agréable sur la langue. De petits soubresauts soulevaient le corps de la jouvencelle en cadence avec les mouvements de ma langue. Elle me caressait la tête comme pour m’inciter à aller encore plus profondément en elle. Je m’efforçais de répondre à ses attentes. Comme son amie Marguerite, Claire déversait un flot humide et agréable dans ma bouche. Un nectar dont je ne pouvais me lasser. Un tremblement de tout son corps annonça sa jouissance. Une tétanie dont j’eus le plus grand mal à m’extraire tant elle serait fort ses cuisses, emprisonnant ma tête. Remise de son émotion, je repris place à son côté sur le canapé. Elle m’embrassa alors tendrement et me remercia d’une manière étonnante :

– Elisabeth, vous êtes une femme délicate et sensuelle dont on tombe facilement amoureuse. Je pense que Marguerite et moi-même serons heureuses de vous recevoir quand vous le désirerez !

Je ne savais trop quoi répondre, mais je lui rendis un baiser tout aussi passionné que le sien. Force nous fut d’arrêter là nos étreintes car les amis arrivaient. Nous nous fîmes un plaisir de leur servir le petit-déjeuner… Charles-André, souriant, me demanda pourquoi je m’étais levée si tôt. Comme j’étais debout à côté de lui, il passa sa main sous ma mini jupe et commença à me caresser les fesses. Visiblement, j’avais dû lui manquer à son réveil. Je lui donnais un gros baiser dans le cou et lui susurrais dans l’oreille qu’il trouverait compensation une fois son petit-déjeuner fini. Il sourit et accéléra le rythme. Moins de trois minutes plus tard, nous avions regagné notre chambre en certifiant aux autres que nous allions faire notre toilette et nous préparer…

Charles-André n’était pas dupe et en me déshabillant, il me demanda si j’avais pris du plaisir avec Claire. Je lui avouais que oui et que la petite était fort sensuelle. Il rit en m’avouant qu’il se demandait comment j’avais pu plaire à une amoureuse de femmes. Je lui avançais ma féminité quasi totale à une petite exception près. Il en convint alors que nous étions allongés et prêts à faire l’amour. La seule vue de son sexe turgescent me prouva que je lui avais réellement manqué. Il n’y eut aucun préliminaire, ni parade amoureuse. Il glissa une noisette de baume lubrifiant sur mon œillet et s’allongea sur moi pour me pénétrer en position du missionnaire. Nos lèvres se joignirent en un long baiser amoureux. Son mouvement de piston était lent et précis pour aller buter sur mon point G. Il voulait que je jouisse pleinement entre ses bras. Je lui avouais que lui seul était capable de me satisfaire, mais que les petits jeux avec les autres n’étaient pas pour me déplaire. Il sourit et me félicita d’avoir les mêmes goûts que lui.

« Nous ne pouvons qu’en être encore plus amoureux l’un de l’autre » m’assura-t-il en accélérant le rythme.

Je jouis pleinement à deux reprises avant de sentir son sperme éclater dans mon ventre. Le chaud écoulement marquait hélas une fin. Je serrais les cuisses afin de le garder le plus longuement possible en moi. Il sourit et resta immobile tout en m’embrassant.

Comme nous prenions notre douche ensemble, il me précisa qu’il n’était pas jaloux de me voir prendre du plaisir avec des femmes. Bien au contraire, il trouvait cela amusant et ne voyait aucune contradiction que j’amène une copine du style Claire à la maison… Je ne savais trop que penser de cette invitation. Je lui fis remarquer qu’il suffisait grandement à mon bonheur. Mais l’argument était un peu faussé par mon « escapade » de la nuit. Il me le fit d’ailleurs remarquer et nota que j’avais pris bien du plaisir s’il en croyait les intonations de voix qu’il avait entendues… Je lui donnais un gros baiser et lui avouais que la petite me troublait…

Nous finîmes de nous préparer. Il m’annonça au passage que je pouvais m’habiller comme bon me semblait car sa mère était partie tôt ce matin avec sa cousine pour une semaine en Bretagne. J’en profitais pour choisir une tenue ultracourte et assez provocante. Charles-André m’avoua en souriant que j’allais le pousser au viol en restant ainsi.

« Mais méfies-toi aussi de Dee, Claire et Marguerite ! » confia-t-il en me passant la main aux fesses.

Il est vrai que le pull long faisait une mini robe assez provocante et que les bas noirs, assez épais et s’arrêtant juste à la lisière de la robe, ajoutaient à l’aspect érotique de la tenue. De fait, en rejoignant les autres au salon, je vis instantanément les regards se porter sur mes jambes… Je souris et allais m’asseoir sur un des canapés en prenant soin de garder les genoux serrés. De toute manière, qu’importait la tenue, tous m’avaient vue à poil au moins une fois et tous avaient fait l’amour avec moi. Je ne pouvais donc qu’être fière de leurs regards…

Avant le déjeuner, Charles-André proposa une petite promenade par les écuries et autour du château. Tout le monde fut d’accord pour cette « oxygénation » qui nous changerait les idées. Avant de sortir, j’allais rendre une visite au chien blessé. Il ne semblait guère plus allant que la veille. Mais son regard s’illumina en m’apercevant. Je le caressais. Il semblait heureux de ma présence. Une des servantes m’apprit que le vétérinaire venait de partir, qu’il lui avait fait une piqûre et qu’il convenait de le laisser dormir encore une journée avant de le sortir. Je le laissais après encore quelques caresses, lui promettant de revenir assez vite m’occuper de lui.

Notre promenade nous emmena d’abord vers la rivière puis nous remontâmes au château par un des chemins cavaliers menant directement aux écuries. Le ciel était dégagé. Même si la température était fraîche, la promenade n’en fut que plus sympathique. Les hommes et Marguerite étaient en tête, Dee, Claire et moi fermions la marche. Une joyeuse ambiance régnait avec des histoires —pas toujours pour toutes les oreilles— racontées par Dee.

Claire était un bon public et son rire claquait sur la rivière. On devait l’entendre à des kilomètres à la ronde. En arrivant aux écuries, nous vîmes Victor qui rentrait des chevaux des prairies. Nous l’aidâmes à les faire entrer dans les stalles. Bien évidemment, les quatre femmes allèrent ensuite caresser le poulain. Charles-André, en me montrant la mère, me dit qu’elle était très calme et que je devrais apprendre à monter avec elle. Et comme moniteur, il me conseilla Victor. Bien évidemment, ce dernier se montra intéressé au plus haut point. Je lui dis que je ferais un essai une fois nos amis repartis.

De retour au château, Charles-André nous servit l’apéritif directement à table, sans passer par le salon. Il est vrai que nous étions une majorité à avoir choisi de faire une sieste après le repas afin d’effacer les traces des nuits blanches de ces derniers jours… Les hommes avaient opté pour un après-midi équestre en forêt. Le repas fut vite avalé. Marguerite et Claire se retirèrent dans leur chambre. Dee vint avec moi. J’acceptais le principe à condition de dormir un minimum. D’autant que Marguerite avait décidé de nous inviter ce soir dans une auberge de la forêt. La soirée s’annonçait donc encore animée.

Je m’endormis très vite, lovée contre l’épaule de Dee. Elle respecta ma fatigue et me laissa ainsi dormir tout mon saoul. Mais, à peine en phase d’éveil, je la sentis se presser contre moi. En signe d’accord, je laissais ma main courir contre sa poitrine. Excitant les tétons jusqu’à ce que je les sente durcir. Elle m’embrassa alors sans retenue. Ses mains pressèrent mes fesses jusqu’à ce qu’un de ses doigts trouve l’accès de mon œillet. Je vérifiais l’état de son sexe et m’aperçus qu’elle bandait bien, tout émoustillée par mon corps. Je grimpais alors sur son bas-ventre et m’empalais sur son vit. Surprise, elle s’arc-bouta pour mieux me pénétrer. Je restais à genoux et assurais un mouvement de mes fesses pour que son piston vienne caresser la paroi prostatique. Elle se laissait faire tout en caressant mes seins de ses deux mains. Elle éclata d’un doux jet de sperme au moment où moi-même je jouissais. Un long baiser marqua cette conclusion. Nous restâmes ensuite serrées dans les bras l’une de l’autre. Sans bouger, sans parler. Profitant pleinement du calme suivant le bonheur intense que nous avions ressenti ensemble.

L’après-midi était largement avancé quand nous nous levâmes. Une douche rapide nous redonna un peu de vie. Pour finir la journée, je décidais d’enfiler une robe baby doll en velours bleu marine de chez Gucci que Charles-André m’avait offerte lors de notre séjour parisien. Pour l’accompagner, je passais des bas gris foncé. Dee emprunta une de mes robes afin de ne pas être en reste. Au salon, nous trouvâmes Marguerite et Claire qui lisaient bien sagement. Je les invitais à nous accompagner afin d’aller à la recherche des cavaliers. Victor nous indiqua la direction qu’ils avaient prise et le lieu supposé où ils devaient désormais se trouver. Il nous demanda d’être prudentes car il avait relevé ce matin beaucoup de mouvements de sangliers et ceux-ci semblaient nerveux depuis quelques jours pour une raison qu’il ne parvenait à expliquer. Afin d’éviter toute mauvaise rencontre, je décidais de prendre le Range de Charles-André. Il était suffisamment équipé pour éviter tout mauvais choc…

De fait, dès que nous fûmes entrés dans les fonds, nous aperçûmes une petite harde de sangliers. En nous écartant des grands axes, nous vîmes aussi un couple de chevreuils et quelques chiens errants qui pouvaient bien être la cause de ces mouvements intempestifs. Finalement, c’est au moment où nous les attendions le moins que nous tombâmes sur Jean-Marc et Charles-André. Ils avaient aussi vu les chiens et arrivaient aux mêmes conclusions. Vu l’heure avancée, ils ne s’attardèrent pas en discussions et nous donnèrent rendez-vous au château. Charles-André connaissait la forêt comme sa poche. Ils arrivèrent avant nous aux écuries, ce qui me valut d’être bien chambrée sur mes capacités de pilote.

Nous avions une belle marge pour aller au restaurant. Certes, la nuit tombait tôt et c’était bien là le plus ennuyeux. Nous prîmes donc tout notre temps pour nous doucher et nous changer. L’après-midi équestre au grand air avait ouvert l’appétit de Charles-André… Il me propulsa en riant sur le lit et me déshabilla en moins de deux. Il n’était nul besoin d’un dessin pour deviner son envie une fois son pantalon tombé. Je me fis cajoleuse aussitôt ce qu’il apprécia au plus haut point. Pour varier, il choisit cette fois la levrette. Je me pliais à son désir et me plaçais moi-même une noisette de vaseline. Une fois entré, il me redressa pour mieux me prendre dans ses bras. Il tenait mes seins dans ses mains et faisait onduler son bassin sur mes fesses en une douce caresse. Je fus rapidement conduite à la jouissance avec ce traitement de qualité. Je haletais à chaque coup de boutoir, émettant de petits feulements rauques qui me résonnaient dans la tête. Charles-André me laissa retomber à quatre pattes à l’instant où il explosait dans mon ventre. Son sperme chaud irradia mon derrière provoquant une nouvelle jouissance. Nous nous retrouvâmes allongés l’un contre l’autre, ses bras enserrant mes épaules.

Je le remerciais de ces instants de bonheur que seul lui était à même de me procurer. Je me laissais glisser vers son sexe pour absorber la dernière goutte qui y perlait. Puis je remontais vers ses tétons que je titillais de la langue avant de l’embrasser sur toute la poitrine et de terminer par sa bouche et un long baiser. Nous prîmes une douche ensemble et il choisit ma tenue de soirée. Il me tendit une robe courte en soie prune avec un décolleté en V descendant au nombril. Ma poitrine était largement mise en évidence. Il sourit et m’avoua que cela allait encore plus troubler Marguerite et Claire. Je lui confiais alors que je n’allais pas mettre de culotte pour les allumer encore plus. De fait, je passais une paire de bas de couleur assortie et je ne décidais de mettre un string qu’au dernier moment. Je le choisis rouge vif afin que les petits curieux voient bien la différence s’ils se hasardaient à regarder quand je serais assise. Je complétais l’ensemble avec des boots assortis à talons très hauts. Charles-André ne put retenir un petit sifflet admiratif. À l’heure de sortir, j’avais prévu de mettre un manteau de fourrure de la même taille que la robe.

Au salon, Charles-André servit une coupe de champagne pur nous mettre en train. Bien sûr, j’avais eu droit aux compliments des filles à mon entrée. Cela lança une conversation très chiffons entre nous pendant que les hommes parlaient chasse. Le lendemain matin, en effet, Charles-André et Jean-Marc devaient aller se promener avec les fusils sur les terres du château. Marguerite et Claire leur demandèrent de passer les réveiller dès qu’ils seraient levés car elles étaient attendues à Paris le lendemain midi.

Nous prîmes la direction du restaurant vers 20 heures avec le Range qui nous permettait de tenir à six. Il nous fallut un quart d’heure pour nous y rendre. Il était en pleine forêt et s’était fait une spécialité de plats à base de gibier et de poissons venant des étangs. Jacky, le patron, était un ami de Charles-André même s’il le soupçonnait de braconner sur nos terres assez régulièrement. Mais les gardes-chasses et les gardes forestiers n’avaient jamais pu le prendre sur le fait. Marguerite avait commandé un menu de grande classe et des vins de qualité. Ce repas fut très agréable. Marguerite avait été placée entre les deux garçons et Claire entre Dee et moi. L’ambiance fut aux bêtises durant toute la soirée. Jean-Marc et Marguerite racontèrent de bonnes histoires drôles, mais aussi des gags arrivés à des amis. Certains furent « habillés » pour l’hiver grâce à leurs gaffes plutôt involontaires. Charles-André annonça qu’il avait trouvé une villa « pieds dans l’eau » pour une quinzaine à l’île Maurice grâce à un ami qui lui avait téléphoné le matin même. La villa pouvait accueillir une vingtaine de personnes. Le départ était programmé le 29 décembre et le retour le 15 janvier. Il pensait pouvoir disposer du jet privé d’une des entreprises familiales pour l’aller et le retour. Tout s’annonçait pour le mieux. Il convia également tous les présents à la chasse à courre au sanglier qui allait avoir lieu dans quinze jours avec la participation des autorités départementales et de quelques ministres ou anciens ministres, amis de madame mère.

Il était minuit passé à notre retour au château. Charles-André proposa un « dernier petit verre », mais tout le monde était fatigué et, de plus, les hommes pensaient à leur chasse du lendemain et les filles à la route qu’elles avaient à faire. Au bout du compte, tout le monde prit sagement le chemin de sa chambre. Charles-André ne refusa pourtant pas la petite gâterie que je lui proposais une fois couchés. Bien au contraire !

Ma bouche eut vite fait de donner toute son ampleur à son sexe. Je le sentis gonfler sous la pression de ma langue. Je laissais glisser suffisamment de salive sur la hampe afin que celle-ci se fraie aisément le chemin dans mon œillet. Charles-André me fit glisser sur le dos quand il jugea être mûr. Nous retrouvions la position du missionnaire qu’il affectionnait particulièrement. Je le plaquais contre moi en poussant avec mes pieds dans son dos. Un long baiser amena de la salive à la commissure de nos lèvres. Je la léchais et il en profita pour aller embrasser mes seins. Notre étreinte était chaude et passionnée. Elle semblait sans fin possible tant nous étions bien dans les bras l’un de l’autre. Par instants, nous arrêtions de bouger afin de profiter du bonheur présent. Son sexe, bien présent dans mon puits d’amour, me faisait frissonner chaque fois qu’il passait le long de mon point G. Je sentis la jouissance monter au moment même où il se répandait en moi. Je resserrais mon étreinte et l’embrassais pour le remercier.
Nous nous endormîmes ainsi, quasi sans nous être quittés.

*
* *
Charles-André se leva sans bruit, mais je le sentis quitter le lit. Je restais immobile préférant le laisser partir à la chasse. Le jour commençait à poindre par l’interstice des volets quand je sentis quelqu’un se glisser dans le lit. Je reconnus assez vite le parfum de Dee. Aussitôt réveillée, elle n’avait pu s’empêcher de me rejoindre. Elle m’avoua avoir laissé filer Marguerite et Claire avant de se décider à sortir de son lit.

Son corps froid et nu me fit frissonner quand elle se serra contre moi. Je laissais glisser mes mains contre son ventre et je remontais vers ses seins. À l’inverse, ses mains descendirent vers mes fesses qu’elles écartèrent avec douceur. Un doigt s’aventura vers mon anus et y pénétra sans retenue. Investigateur et câlin à la fois. Dee avait des mains en soie quand elle était amoureuse. Cela ne faisait que m’exciter un peu plus chaque fois. Je la laissais peloter mon puits d’amour et plongeais sous les draps pour prendre son sexe avec ma bouche. Le contact de ma langue provoqua la réaction attendue. Lentement, son pénis se développa. Il restait assez fin comparé à celui des hommes rencontrés jusqu’à présent. Mais il était doux et suffisant pour me satisfaire.

Je me mis à genoux sur Dee, lui laissant le soin de guider son gland entre mes fesses. Un peu de salive l’aida à pénétrer. Je donnais alors le mouvement pour que sa pénétration devienne caresse. Elle avait relevé ses jambes afin de bloquer mes fesses. Nous étions dans une position relativement relaxe. Elle me caressait les seins de ses deux mains et je tendais mon torse, pleinement offerte à sa convoitise. Je me penchais pour l’embrasser quand je la sentis prête à éjaculer. Elle tenta bien de retarder l’échéance. Je sentis l’effort qu’elle faisait en retenant son souffle. Mais vite elle explosa. Je me dépêchais d’aller recueillir les dernières gouttes de semence avec ma bouche. Une forme de remerciements. Elle me donna en échange un long baiser.

Rien ne nous pressait ce matin, les hommes ne devant rentrer que dans l’après-midi. Ils avaient en effet prévu de casser la croûte sur place en chassant. Cette grasse matinée fut la bienvenue. D’autant que ce serait la dernière avant un moment, devant tous remonter sur Paris le lendemain. Charles-André voulait régler quelques affaires urgentes et rencontrer les invités de la chasse au sanglier de la semaine prochaine. Cela impliquait quelques soirées agitées ! Alors, autant profiter des derniers instants de calme…

Finalement, nous ne nous levâmes qu’à 11 heures. Le temps de prendre une douche et de nous habiller, il était midi. J’avais passé une robe courte col danseuse en laine grise avec de bas noirs et des escarpins noirs. Un duffle-coat compléta le tout à l’heure de sortir car, au bout du compte, Dee et moi avions décidé d’aller en ville faire les magasins. Nous n’avions guère besoin d’acheter, possédant déjà beaucoup de fringues toutes les deux. Mais cela pouvait se solder par de bonnes affaires à réaliser ou la petite robe sortant de l’ordinaire. Ce ne fut pas vraiment le cas, cette fois. Mais nous en essayâmes une bonne vingtaine avant de décider de rentrer au château. En chemin, nous avalâmes un thé et un gâteau dans une pâtisserie en guise de repas.

Les hommes arrivèrent quasi en même temps que nous. Ils avaient réalisé un beau tableau de chasse et nous invitèrent à l’arroser au champagne. La dernière soirée au château fut très animée. Dee, Jean-Marc, Charles-André et moi donnâmes libre cours à notre imagination afin d’en faire un instant inoubliable. Après deux coupes, Dee et moi allâmes nous changer pour faire plaisir à nos petits maris. Dans le dressing-room, nous trouvâmes quelques tenues de « combat » avec bas résilles, bustiers cuir et strings assortis. Nos hommes apprécièrent fort ce changement et nous le firent savoir en se foutant aussitôt à poil. Le salon devint un immense lupanar. Dee et moi nous fîmes prendre en sandwich par Jean-Marc et Charles-André. Tout en nous amusant toutes les deux, nos hommes nous prenaient debout. Je fus la première à prendre mon pied. Vite suivie par les trois autres. Un petit « break » nous permit de nous restaurer et de nous refaire une petite santé. Les permutations se firent ensuite naturellement. Jean-Marc et Dee, tour à tour, me comblèrent de bonheur. Leurs caresses étaient soyeuses et leurs langues investigatrices. J’espérais que Charles-André apportait un semblable bonheur à Dee quand ils s’amusaient ensemble. Nous finîmes la nuit à quatre dans le lit rond. Les hommes furent les premiers à s’endormir ce qui nous laissa tout loisir de nous faire plaisir Dee et moi. Ce fut essentiellement un jeu de caresses bien appliquées, des seins aux fesses, en passant par la tête et le dos. Nos lèvres passaient du baiser à pleine bouche à des petits suçons sur les seins ou le pubis. Et puis ce fut à notre tour de sombrer…

Le lendemain, nous prîmes la direction de Paris en milieu de matinée. Les fêtes ne manquèrent pas tout au long de la semaine que nous y passâmes. Le retour au château fut une oxygénation. La chasse à courre avec les invités politiques fut moins animée que la première. La présence de Jennifer et d’Ivan sauva la soirée qui suivit. Une certaine routine s’instaura entre Paris, le château et les chasses à courre. Nous n’avions pas le temps de nous ennuyer, c’est certain, mais les soirées restaurant succédaient aux petites parties entre amis et amies et les chasses étaient le plus souvent une raison d’inviter ces mêmes amis. Et puis il y eut une quinzaine de calme, précédant le départ à l’île Maurice. Chacun s’efforça de régler ses petites affaires personnelles avant le départ. Charles-André avait obtenu la mise à disposition d’un avion. Une villa « pieds dans l’eau » était louée près de Wolmar et tout le séjour était organisé. Dee m’emmena faire les courses dans Paris pour acheter les maillots de bain et les petites tenues estivales qui nous mettraient en valeur sur les plages mauriciennes…. J’avais hâte de partir !

(à suivre)…

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2 réponses à L’amour au château 4. Des chasseurs bien montés… par Mido

  1. baranger dit :

    Quel idée de construire une histoire dans un cadre aussi sordide, bourgeoisie arrogante et cruauté de la chasse à courre. Beurk

  2. vicky1237 dit :

    On peut m’y inviter dans ce chateau ?

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