J’suis cocu mais content 2 – Partie presque carrée par Nicolas Solovionni

 

J’suis cocu mais content 2 – Partie presque carrée
par Nicolas Solovionni

Petit rappel pour ceux qui n’ont pas lu la première partie (il vaudrait mieux la lire quand même …) Je me prénomme Gaétan, ma femme Christelle. J’ai appris qu’elle me trompait, étant mal placé pour le lui rapprocher (j’avais une liaison avec une collègue) je ne lui en ai pas fait reproche, mais j’ai trouvé excitante l’idée de l’épier pendant qu’elle faisait l’amour avec son amant.

En fait d’amant, elle en avait deux qu’elle recevait simultanément. Mais comme la discrétion n’est pas ma qualité première elle a découvert que je l’observais. D’où explications. Christelle me proposa de rompre avec ma collègue, en contrepartie je pourrais assister à ses ébats sans être obligé de me cacher et je pourrais même participer. Elle me précise même que l’un de ces amants manifeste de fortes tendances bisexuelles et que… enfin vous avez compris…

La partouze eut lieu, cela tourna au fiasco avec l’un des deux amants de ma femme, en revanche avec l’autre, Philippe, cela se passa de la meilleure façon du monde. Fin du résumé

Philippe parti, je m’attendais à un commentaire de Christelle, elle n’en fit pas et s’en alla prendre une douche. Quand elle en sortit elle m’indiqua simplement que je pouvais y aller à mon tour.

Elle est ensuite allé préparer le repas du soir.

Son silence m’énerve, je n’aime pas ça ! Je me douche vite fait, enfile un peignoir, et la rejoint en cuisine.

– Ça va ? Demandais-je bêtement.
– Super ! Répond-elle tout sourire.

Elle ne me demande pas si moi, ça va !

– J’ai mal au cul ! Lâchais-je.
– Je n’ai plus de tomates, tu veux que j’ouvre une boite de maïs pour la salade ?

Elle rien à rien à foutre de mon cul !

– Tu fais la gueule ?
– Mais pas du tout, mon amour !
– Ah, bon, je croyais.
– Qu’est-ce qui te fais penser à une chose pareille ?
– Je sais pas, on vient de vivre une expérience, comment dire…
– Amusante ?
– Ce n’est pas le mot que je cherchais, mais bon… et toi, tu fais comme ci il ne s’était rien passé.
– Et que voudrais tu qu’on fasse ? Que nous dissertions ?
– Non, je pensais simplement qu’on en parlerait.
– On en parlera à table si tu veux ?

Bon, je ne cherche pas trop à comprendre mais je me dis que quelque chose cloche, elle veut sans doute me dire un truc mais doit réfléchir à la façon de le faire ! C’est compliqué les femmes, parfois !

On passe à table, je ne me suis pas rhabillé, j’ai troqué mon peignoir contre une robe de chambre. On se sert, Christelle est souriante, elle ne donne pas du tout l’impression de faire la gueule, mais elle ne dit rien.

– Tu voulais me dire quelque chose ? Lançais-je.
– Y’a pas le feu !
– Tu m’avais dit qu’on parlerait à table…
– C’est-ce qu’on fait, on parle !
– T’es bizarre ce soir !
– Mais non, et ton cul, tu as toujours mal ?
– Un tout petit peu !
– C’est bizarre, ça, quand je te mets un gode, ça ne te fait pas mal.
– Une gode et une bite, c’est pas la même chose !
– Ah tu as remarqué aussi ? Se moque-t-elle. On va dire que c’était une expérience ! Donc tu ne la renouvelleras pas ?
– J’ai pas dit ça !

J’ai répondu par réflexe !

– Tu voudrais recommencer ? Minaude-t-elle.

Mais bon sang, à quoi joue-t-elle ? Du coup je ne sais plus quoi répondre.

– La femme de Philippe, tu la connais ? Reprend-elle.
– Pas plus que toi, bonjour, bonsoir, je ne connais même pas son prénom.
– Mais si l’occasion se présentait, tu ferais des trucs avec elle ?
– En fait d’occasion, il me semble justement que le voisin nous a tendu une perche !
– Ah oui une perche, elle est jolie sa perche, tu as bien aimé la sucer sa perche ?

Elle m’énerve, elle m’énerve !

– Ben oui, j’ai bien aimé le sucer ! Voilà, t’es contente ?
– Et t’as bien aimé qu’il t’encule, aussi ! C’était très amusant, tu frétillais d’impatience, tu te demandais s’il allait le faire ou pas !
– Et alors ? Tu ne vas pas me le reprocher ! C’est bien toi qui a tout organisé ? Non ?
– En fait, tu es un suceur de bites et un enculé !
– Et toi tu es quoi ?
– Une salope ! Me répondit-elle le plus calmement du monde. Mais tu n’as pas répondu à ma question.
– Quelle question ? Sa femme ? Ben oui, si elle se pointe pour une partouze, je ne vais pas aller coucher dans la baignoire !
– Je m’en doute bien, tu es un gros cochon.
– Un gros cochon et une salope, on est sans doute fait pour s’entendre.
– Nous y voilà !

Qu’est-ce qu’elle va encore me sortir ?

– C’est-à-dire ?
– J’aurais préféré qu’on attende demain, la nuit porte conseil et on n’est pas pressé…
– Mais enfin, où veut-tu en venir, tu joues au chat et la souris depuis tout à l’heure.
– Il y a que j’aurais préféré réfléchir un peu plus, mais après tout on peut défricher le terrain ensemble, n’est-ce pas mon gros biquet ?

Si je suis son gros biquet, c’est qu’il ne doit rien y avoir de grave !

– Bon, alors explique-moi le souci !
– Il n’y a pas de souci, mais il faut qu’on mette les choses sur la table !

Et c’est à ce moment que le téléphone portable de Christelle sonna.

– Ah ! Bonsoir Vincent ! Tu vas mieux ?

Elle me fait signe que c’est le plombier (voir le chapitre précédent) elle branche le haut-parleur.

– Oui ça va mieux, je voulais m’excuser pour tout à l’heure, j’ai eu comme un coup de chaud ! Raconte la voix dans le téléphone.
– Mais ce sont des choses qui arrivent…
– Je ne voudrais pas que tu sois fâchée !
– Fâché, non pas du tout, pourquoi est-ce que je serais fâchée ?
– Parce que tu sais, il y a des choses que je n’ai jamais fait.
– Oui, et alors ?
– Je ne voudrais pas que tu penses que je me suis défilé à cause de ça !
– Mais je sais bien, Vincent, tu as les idées larges, et puis tu n’es pas un dégonflé.

Christelle me fait un signe me faisant comprendre qu’elle le manipule. Ça va, j’avais compris.

– O.K, je suis content que tu ne sois pas fâchée, on se revoit quand ? Demande l’importun.
– Mais quand tu veux, ta jolie bite est toujours la bienvenue. Je parie que t’es en train de bander en ce moment.
– Euh…
– Tu sais comment je suis habillée ce soir, j’ai juste un petit déshabillé transparent en soie, j’ai mes tétons qui frottent contre le tissu, ça les rend tout dur.

Je me marre parce qu’en fait elle a une espèce de pyjama d’intérieur qui n’a vraiment rien de sexy.

– Arrête, tu m’excites. Répond l’autre anduille.
– Je descends ma main vers ma petite chatte et je me tripote en pendant à ta grosse bite.
– Euh !
– Tu es où là ?
– Dans ma camionnette, je me suis garé, je vais rentrer chez moi.
– Alors préviens ta femme que tu as une urgence, tu peux être là dans combien de temps ?
– Mais ton mari ?
– Mon mari, il est là ! Pourquoi ?
– Euh !
– Il nous regardera, il adore mater, c’est mon petit cocu !
– On ne peut pas remettre ça à un autre jour ?
– Babababa ! Tu as envie, moi aussi, alors tu radines ! Tu ne voudrais quand même pas me décevoir ?
– Ton mari, il regarde et c’est tout ?
– Mais on verra sur place, t’es là dans combien de temps ?
– Oh, vingt minutes.

Je n’en crois pas mes oreilles, la situation à l’air d’amuser Christelle.

– Bon on se dépêche de manger ce poulet, après faut je retrouve ma nuisette.
– Tu lui dis de venir à ce type et tu ne me demandes même pas mon avis ?
– Non, parce que ce soir, c’est moi qui commande !
– Comment ça ?
– Tu ne veux pas jouer ?
– A parce que c’est un jeu ?
– Oui !
– Et il va se passer quoi d’après toi ?
– On va baiser devant toi, mais avant tu vas lui sucer la bite.
– Et s’il se dégonfle ?
– Je le vire !

Un quart d’heure plus tard, Vincent était là.

– Tu veux boire quelque chose, une bière ! Lui propose Christelle.

Le gars n’arrête pas de reluquer le très beau déshabillé de Christelle, et histoire de le déstabiliser davantage, elle lui met la main à la braguette. Par contre il est gêné par ma présence… mais difficile de reculer maintenant pour lui sous peine de perdre la face.

Christelle lui a servi une bière, mais ne lui laisse pas la boire, elle l’enlace, ils s’embrassent se pelotent, très rapidement le pantalon de l’homme dégringole sur ses chevilles, le caleçon ne tarde pas à suivre le même chemin, et le voilà la bite à l’air.

Flexion du genou et Christelle se retrouve avec la queue de l’homme dans la bouche. Vincent est aux anges.

– On va te sucer à deux ! Lui dit alors ma femme en me faisant signe de m’approcher.
– Euh…

Il est embarrassé, mais ne sait pas comment l’exprimer. Me voilà à genoux aux côtés de mon épouse, elle me refile gentiment le membre gluant de salive et hop le voilà dans ma bouche. Il est 19 heures 30 et la bite du plombier ne sent pas précisément la savonnette, malgré le fait que la bouche de Christelle soit passée avant la mienne. Pas bien grave ! Je lèche le gland, lui titille le méat, donne des grands coups de langues sur la verge, néglige les testicules qui sentent la transpiration. Je ne sais pas comment faire des gorges profondes, j’engloutis donc tout son paquet en le calant au fond de ma joue, puis je pratique une fellation avec mles lèvres en sangsue en faisant avancer et reculer le membre dans ma bouche. Toute une technique ! Ça sert d’avoir vu des films pornos !

N’ayant pas l’intention de gâcher le plan de ma compagne, je lui retends la chose. Elle me fait signe de me reculer un peu, puis se relève !

– Alors il t’a bien sucé ?
– Ça va ! Répond le plombier, un peu confus.
– T’en es pas mort !
– Non !
– Et moi, ça m’a fait plaisir !
– On va sur le canapé ?

Christelle ne répond pas, mais s’y installe en levrette. J’ai une vue imprenable sur son joli cul que je connais par cœur, mais ce doit être l’ambiance, je bande comme un cerf et ne sait pas quoi faire de ma bite.

Me sucerait-elle pendant que l’autre la pine ? Je n’ose pas lui demander, elle est trop bizarre ce soir, mais j’attends qu’elle me sollicite.

L’autre s’est encapoté et se déchaine dans une série d’impressionnants allers et retours. Christelle lui demande de changer de trou. Le plombier n’attendait que ça, et le voici qu’il encule ma moitié en poussant des cris d’haltérophile sur le retour.

Christelle prend son pied en gueulant comme une forcenée. L’autre encouragé force le mouvement et finit par éjaculer en soufflant comme un bœuf.

Le gars n’a rien d’un romantique, il décule, se recule, s’éponge le front, vire sa capote et va enfin écluser sa bière.

– C’était super, mais maintenant faut que j’y aille. Je vais faire pipi avant.
– Pisse sur mon mari, il aime bien ! Propose Christelle.
– N’importe quoi ! Répond le plombier qui ne comprend pas que la proposition était sérieuse.

Christelle n’insiste pas, le gars prend congé, il a le tact de ne pas rouler une pelle à ma femme devant moi, juste un petit bisou comme entre cousins et pour moi une poignée de main avec un petit sourire gêné..

En attendant, moi, je n’ai pas joui et je bande toujours. D’un geste de la main je demande à mon épouse de constater l’état de mon membre.

– Je me remets en levrette ? Me propose-t-elle.

Elle n’attend pas ma réponse et me voilà avec une vue imprenable sur son cul que l’autre andouille vient de labourer et qui est encore tout humide.

J’y vais à la hussarde ! Directo dans le trou de balle.

– Quelle fougue, ce soir ! Dis-moi, ça ne te gêne pas de passer après le plombier.

Je ne réponds pas ! Qu’est-ce que vous voulez que je réponde ?

– Ça t’excite d’être mon cocu ? Reprend-elle.

Je ne réponds toujours pas, elle m’énerve un peu avec ses réflexions idiotes.

– Si tu ne réponds pas, on arrête.

Elle en est capable ! Alors elle l’aura voulu !

– Et toi ça t’excite de t’envoyer tous les mecs qui passent.
– Bien sûr que ça m’excite, mon petit cocu !
– Je suis peut-être cocu, mais toi t’es une salope !
– Cocu et pédé en plus !
– Si ça peut te faire plaisir, grosse pute !
– Non, je ne me fais pas payer… mais il faudra que j’y réfléchisse, ça arrondirait nos fins de mois.
– Tais-toi, je viens !
– On pourrait passer une annonce : couple vicieux et bisexuel pour assouvir vos fantasmes les plus secrets, oh, ooooh, oh, c’est boooooon !

Madame a joui, du coup, elle ne raconte plus de conneries. Encore un effort je ne vais pas tarder à venir…. Ça y est !

Grand élan de tendresse, nous nous enlaçons tendrement pendant quelques longues et délicieuses minutes.

– J’ai envie de pisser, ça t’intéresse ? Me demande-t-elle au bout d’un moment.
– Non pas maintenant, je suis crevé !
– C’est comme tu veux ! Au fait tu as vu ta bite ?
– Ben quoi ma bite ? Je vais aller me la rincer, t’es pas obligé de regarder.

C’est vrai qu’elle n’est pas ressortie intacte de ce petit pilonnage dans le cul de ma belle.

– Reste là, je vais te la nettoyer !
– Pas cap !
– Tu vas voir si je suis pas cap !

Et avant que j’ai pu dire ou faire quoi que ce soit, elle me prend la queue en bouche et me nettoie du sperme gluant et des choses brunâtres qui s’y étaient agglutinés.

Elle me regarde ensuite, tout sourire, pas dégoûtée pour un rond.

– C’est la première fois que tu fais ça avec moi…
– C’est la première fois que je fais ça tout court ! Mais je recommencerais !
– Mais enfin, qu’est-ce qu’il t’arrive ?
– Bon assis-toi, on va causer.

On s’assoit de part et d’autre de la table de la salle à manger. Christelle allume une cigarette. Elle semble hésiter à se lancer.

– Bon, j’ai un peu de mal à faire le tri dans mes idées. J’aime le sexe et aimer le sexe, ça veut dire aimer le changement. Il n’est pas question en ce qui me concerne de remettre en cause notre vie en couple, mais toi t’en pense quoi ?
– Il est où le problème, on tolérait nos écarts, aujourd’hui on a été un peu plus loin, j’ai trouvé ça comment dire…
– Excitant ?
– Oui, et puis ça change !
– Hummm, disons que jusqu’à présent je gardais quelques-uns de mes fantasmes sans t’en parler. Maintenant je ne vois pas pourquoi on se gênerait
– Oui mais alors il est où le problème ?
– Le problème c’est que si tu te figures que je vais renoncer à m’envoyer en l’air quand tu es au travail tu te fous le doigt dans l’œil.
– Tu m’as bien demandé de rompre avec Julie (voir la première partie)
– C’est pas pareil, Julie, c’est une liaison, et avoir une liaison c’est prendre le risque de provoquer une rupture. Je n’ai aucune envie de ne plus vivre avec toi ! Mais bon, je ne suis pas derrière toi et je ne vais pas aller te surveiller, mais ce serait con qu’on se quitte d’autant que maintenant on va partouzer ensemble.
– Mwais…
– Pas convaincu ?
– Faut que je prenne du recul.
– Aujourd’hui tu as sucé deux bites et tu t’es fait enculer, t’as eu besoin de prendre du recul pour ça ?

Touché !

– C’était un fantasme !
– N’empêche que tu recommencerais bien ?
– Oui !
– Alors je te propose ceci : A l’extérieur on fait comme avant, sauf que si on se racontait nos petits écarts ce serait encore mieux. Ici c’est moi la chef, c’est moi qui organise tout.

Si ça peut lui faire plaisir.

– Parce que moi je ne peux rien organiser ?
– Non, parce que je n’ai pas envie que tu me ramènes des mecs qui ne me disent rien… Et puis je préfère, comme ça, tu seras mon petit cocu ! Tu te rends compte la chance que tu as, je m’envoie des tas de mecs…
– Des tas ?
– C’est une expression, donc je m’envoie des mecs, mais c’est avec toi que je partage ma vie !
– Bon, et bien on n’a qu’à essayer de faire comme ça quelque temps et on verra bien si ça nous convient ! Répondis-je mettant un terme à cette discussion surréaliste.

Et je me lève pour aller pisser. Mais voilà que Christelle recommence à parler. Une vraie pie, ce soir !

– Il faut que je te dise, j’ai eu une liaison !
– Ah !
– Oui avec une femme !
– Je la connais ?
– Peut-être, c’était Mylène, la petite blackette qui travaillait à la pharmacie, elle a déménagé depuis…
– Celle avec les cheveux bouclés ?
– Oui !
– C’est vrai qu’elle était mignonne !
– Oui et une belle cochonne ! Elle m’a fait faire de ces trucs !
– Ah !

Ça y est, je vais avoir droit au détail de ses galipettes…

– Quand je lui léchais la chatte, elle partait au quart de tour. Et je ne te dis pas la fontaine, la première fois elle m’avait demandé une serviette, je me demandais pourquoi après j’ai compris.
– Ah ?
– Et puis, fallait voir comment elle me léchait, une artiste !
– Et elle t’a dragué comment ?
– C’était pas de la drague, en fait, un jour je lui ai demandé conseil pour une crème épilatoire non allergique, on s’est mise à délirer et puis de fil en aiguille…
– Je vois !
– Oui une sacrée cochonne !

Mais non, elle n’insiste pas, c’est une idée !

– Bon alors tu meurs d’envie de me raconter ce qu’elle faisait comme cochonneries, alors vas-y, je t’écoute.
– Mais non, tu vas être choqué !
– Choqué, moi ?
– Oui !
– Raconte !
– On jouait souvent à des jeux de pipi, un jour elle était à califourchon sur la cuvette, et elle m’a dit qu’elle voulait faire caca et que si ça me gênait de voir ça, il faudrait mieux que j’aille l’attendre à côté.
– Et alors t’es restée ?
– Oui, et ça m’a excité ! Alors je ne sais pas ce qui m’a pris, mais elle m’a proposé sans que je sache si elle plaisantait ou pas, de l’essuyer avec ma langue, ben je l’ai fait.
– Et ben ! Mais ne compte pas sur moi pour jouer à ces trucs-là !
– Je ne te le demande pas !

Et voilà qu’elle me met la main sur la braguette.

– N’empêche que ça t’a fait bander ma petite histoire.
– Je bande facilement ! Mais pas touche, j’ai un peu mal à la bite après toutes ces excitations.
– Ma pauvre bibiche.

Samedi soir

Christelle avait organisé « le coup » avec Philippe. Il viendrait avec sa femme pour prendre l’apéritif, elle serait prévenue de la tournure que pourrait prendre les événements, mais il avait été convenu que si des réticences apparaissaient, on en resterait là.

– Je vous présente Sophie ! Nous dit Philippe

Sophie est une jolie brune, elle a soigneusement soigné son maquillage pour venir chez nous s’est probablement rendue chez le coiffeur dans la journée. C’est en tout cas la première fois que je la vois de si près.

Pas coincée la Sophie qui nous fait la bise avec un joli sourire.

Elle enlève son manteau et là où je pensais découvrir une tenue sexy, je n’ai droit qu’à un gros pullover nordique et à un jean.

On s’assoit, je sers l’apéritif. On ne sait pas comment commencer, alors on fait comme tout le monde, on parle du temps qu’il fait. C’est d’une originalité !

Sophie ne me regarde pas, je ne dois pas être son genre, en revanche elle dévisage Christelle avec une insistance non dissimulée.

Un ange passe, les considérations météorologiques ne sont pas inépuisables. En principe après on passe à l’évocation des vacances…

Pas cette fois puisque Sophie prend la parole.

– Bon autant entrer dans le vif du sujet, Philippe m’a expliqué ce qu’il souhaitait. Moi je ne souhaite rien, mais je ne suis pas contre.

Nous répondons Christelle et moi d’un sourire entendu.

– Disons que je ne suis pas contre le fait d’essayer ! Tient-elle à préciser.

Un blanc, personne ne dit plus rien ! Dois-je proposer à ces braves gens que nous déshabillions tous ?

Sophie reprend :

– Philippe m’a raconté que vous vous étiez enculé, j’avoue que j’aimerais assez voir ça !
– Vous ne l’avez jamais vu faire ? Demande Christelle.
– Tutoyons nous ! Si je l’ai vu, mais c’était il y a assez longtemps, les circonstances conduisant à ce genre de choses ne sont pas si fréquentes.
– Tu voudrais qu’on commence par faire un petit spectacle ? Propose Philippe.
– Oui, mais ça me plairait assez d’en être l’organisatrice. Ça vous dit ?

Pas d’objection.

– Alors voilà, les garçons mettez-vous debout l’un en face de l’autre, Christelle, vient à côté de moi !

Le programme ne me déplaît pas, mais j’ai comme l’impression que je ne baiserais pas Sophie ce soir. Je me bois une rasade de Martini et j’obtempère.

Me voilà en face du Philippe.

– Embrassez-vous sur la bouche en vous touchant la braguette, vous faites ça jusqu’à ce vous bandiez tous les deux.

Ça commence mal, j’ai déjà eu des réticences à embrasser l’autre zouave l’autre jour, qu’est- ce que vous voulez, ce n’est pas mon truc, mais je ne vais pas commencer à casser l’ambiance alors que les choses commencent à peine !

Je me laisse embrasser mollement, son visage pique, il aurait pu se raser avant de venir, ce con !

Ce qui se passe plus bas est plus intéressant, la main de Philippe qui me touche la bite à travers le tissu de mon pantalon, parvient à la faire bander assez rapidement. La mienne ne chôme pas et je sens bientôt sa quéquette grossir et se raidir.

Sur le canapé, Sophie commence à se faire entreprenante, elle a sa cuisse collée contre celle de Christelle, laquelle accepte cette timide approche avec un large sourire…

– Baissez vos pantalons et le reste, on veut vous voir la bite à l’air tous les deux.

Ce n’est pas un problème, je retire tous le bas, m’en vais précautionneusement déposer tout cela sur un dossier de chaise, Philippe fait de même, et nous reprenons nos places l’un devant l’autre attendant les instructions de ces dames.

Ces dames justement en sont aux caresses sur les cuisses et sur les bras, leurs visages se rapprochent et les voilà qu’elle se roulent un patin.

Ne voulant pas rester à ne rien faire, j’avance ma main vers la bite de mon partenaire et commence à la tripoter. Ce contact me plait décidemment beaucoup, c’est doux, c’est chaud, c’est attendrissant. Evidemment il me rend la politesse, c’est un homme bien élevé.

– Mais qu’est-ce qu’ils font ces deux-là, se moque Sophie ! Je ne vous ais pas donné l’autorisation de vous tripatouiller. Bon, vous allez vous sucer ! Mais qui suce l’autre en premier ? Tu en penses quoi Christelle.
– Je te laisse décider !
– Alors, vas-y Philippe, suce la bonne bite de Gaëtan. Mais avant finissez de vous mettre à poil.

Et voilà le Philippe à genoux devant moi, ma queue dans sa bouche en train de s’appliquer. Il suce bien, mais il se trouve que je préfère sucer qu’être sucé, mais mon tour viendra ensuite, du moins je l’espère.

Un coup d’œil sur la banquette où ces dames sont de plus en plus débraillées, Sophie à le pantalon et la culotte sur les cuisses et par conséquent la chatte à l’air, tandis qu’un sein s’est échappé du soutien-gorge de Christelle.

– On ne voit rien ! Proteste Sophie. Non ne bougez pas, j’arrive.

La voilà qui se lève au grand dam de Christelle qui n’a plus personne à peloter. Elle se colle derrière mon dos et m’attrape mes bouts de seins qu’elle entreprend de tournicoter dans tous les sens. Du coup ma bandaison activée par la langue agile de Philippe est à son maximum.

Ce délicieux moment ne dure, malheureusement pas très longtemps car Sophie toujours en maîtresse de cérémonie, nous fait intervertir les rôles.

Me revoilà avec une bite dans la bouche, je vais devenir un spécialiste, si ça continue ! Mais j’adore ça, je le confesse, c’est doux, c’est délicieux, c’est follement pervers.

Il faut croire que regarder son mari se faire sucer n’intéresse pas Sophie qui est retournée sur le canapé aux côtés de Christelle, Les deux femmes se déchainent maintenant. A moitié nues, elles s’embrassent, se caressent, se lèchent et se tripotent la chatte. Joli spectacle !

– Si on se mettait en 69 ? Propose Philippe.

Pourquoi pas ? Je n’ai jamais pratiqué ce genre de chose avec un homme, mais je me dis que sucé et être sucé en même temps, ça ne peut-être que tout bon, n’est-ce pas ?

On se met en position, non pas l’un sur l’autre mais un peu de côté, et on commence

– Eh ? vous faites quoi les deux pédés ? Intervient Sophie !
– Ben ça se voit non ? Rigole Philippe.
– Relevez-vous !

Il ne discute pas ! A mon avis il aime bien jouer les soumis, je fais pareil, je ne vais pas rester tout seul par terre.

– Face à nous, qu’on voie bien vos bites ! Oh ! Mais dites-moi, ça bande bien tout ça ! Ça vous a bien excité de vous sucer la bite, bande de tarlouzes ! Branlez-vous un peu qu’on voie comment vous faîtes. Mais non pas chacun de son côté, branlez-vous mutuellement voyons !

C’est vrai que ce n’est pas désagréable du tout de branler une bite qui n’est pas la sienne, c’est agréable, c’est vivant et puis c’est tellement pervers !

– Lequel va enculer l’autre ? Demande Sophie avec un air faussement innocent.
– Soit tu choisis, soit on tire à pile ou face ! Répond Christelle.
– Si tu me laisses choisir, je voudrais que ce soit Philippe qui se fasse enculer.

Et moi qui espérait le contraire. Pas de bol ! Tant pis ce sera pour une autre fois, s’il y a une autre fois, ou tout à l’heure si je suis encore motivé.

Je prends une capote dans la boite que j’avais placé intentionnellement sur la bibliothèque, et je me l’enfile, j’ouvre aussi une dosette de gel.

Philippe est déjà en position. En levrette, le cul cambré, les fesses écartées, je l’ai déjà dit : mes fantasmes en matière de bisexualité vont essentiellement du côté passif, et ce cul, s’il ne me laisse pas complétement indifférent ne m’excite pas tant que ça. Je m’approche, j’aurais pu doigter, lécher, mais je n’ai pas envie, ça ne se commande pas. Je lui tartine le cul avec un peu de gel ! Et vas-y Léon, je rentre là-dedans et commence à m’activer, je rentre, je sors, je fais ressort ! C’est mon zizi qui fait du sport !

J’ai un peu peur de débander, ça m’embête un peu, je ne voudrais pas que cette affaire tourne au fiasco. J’essaie d’invoquer mes fantasmes mais ça ne le fait pas trop bien, je lorgne du côté de Sophie mais elle est tellement emmêlée avec Christelle que je ne vois pratiquement rien.

– On peut peut-être intervertir les rôles ? Proposais-je à la cantonade.
– Continue, j’arrive ! Me répond Sophie.

Elle arrive pour quoi faire ?

Sophie est maintenant quasiment à poil si l’on excepte ses chaussettes. C’est vraiment une jolie femme, pas un canon, mais mignonne comme un cœur, elle a une jolie poitrine juste un peu lourde avec de jolis tétons bruns et arrogants. Bandante la fille !

Elle passe derrière moi et comme tout à l’heure me pince les tétons, du coup mon érection s’optimise de nouveau, d’autant qu’elle colle les siens (de tétons) contre mon dos, je ne vous dis pas l’effet que ça me fait.

Je redouble d’ardeur et ce qui devait arriver arriva, je ne peux plus me contrôler, je pilonne comme un dingue, je m’excite, je pilonne de plus en plus vite et finit par jouir comme un charretier dans le trou de balle de Philippe.

Je décule, me débarrasse de la capote dans un kleenex et vais pour me diriger vers la salle de bain pour me faire une rincette, mais Philippe veut me sucer la bite pour en lécher le sperme. Philippe est un cochon.

– Tu l’as bien enculé, ce pédé ! Me félicite Sophie.

Et la voilà qui se vautre sur le canapé, les jambes en l’air en demandant à Christelle de venir la lécher.

Je m’assois dans un fauteuil, je regarde, c’est beau ! Philippe vient debout près de moi, je ne sais pas ce qu’il veut, il ne dit rien, alors on regarde tous les deux. Sophie ne tarde pas à jouir dans un vacarme épouvantable.

Heureuses femmes qui peuvent jouir sans presque discontinuer. Elles ont interverti les rôles, Christelle qui se fait maintenant lécher la chatte par Sophie fait signe à Philippe de s’approcher et lui suce la bite.

Tout ce petit monde finit par prendre son pied.

– Je vais pisser ! Ça intéresse quelqu’un ? Demande Sophie.

Bien sûr que ça m’intéresse, mais Christelle m’a devancé. On ne rentrera pas à trois dans la salle de bains qui n’est pas bien grande. Mais l’image de Sophie pissant d’abord sur les seins de ma compagne, puis dans sa bouche hanta longtemps mes nuits d’insomnies.

Philippe et Christelle devaient déménager en province, on devait se revoir avant, ça ne s’est pas fait. On devait rester en contact, on s’est envoyé quelques mails… et puis comme on dit loin des yeux loin du cœur.

Mais, Christelle est restée la même, pas facile de trouver des amants qui acceptent qu’on les regarde, et encore moins qu’on participe. Je lui ai donc suggéré de passer une annonce. Ça ne marche pas si mal que ça et en ce moment elle voit régulièrement Fredo, il baise ma femme devant moi, il aime bien que je le suce et parfois il m’encule.

Je suis cocu mais content !

Nicolas Solovionni, novembre 2016

 

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5 réponses à J’suis cocu mais content 2 – Partie presque carrée par Nicolas Solovionni

  1. Mermillaud dit :

    Le candaulisme comme si vous y étiez ! Excellent texte

  2. apijo54 dit :

    belle suite , tout un programme qui me fait rêver !

  3. Valentin dit :

    Cette suite était attendu depuis fort longtemps, elle ne m’a pas déçu 😉

  4. sapristi dit :

    Très bon ! J’ai bien aimé le passage avec le plombier.

  5. kevin dit :

    Depuis le temps qu’on l’attendait cette suite.
    Elle est très bien mais l’auteur à l’air un peu désabusé ?

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