Histoires de bons plaisirs… Mariage… par Verdon.

Histoires de bons plaisirs… Mariage… par Verdon.

Nous en étions à ce moment où notre bonne Salope de Lucie, la femme de ménage, ravie mais craintive, s’est réfugiée dans la salle de bain, après avoir gratiné le nez de son brave employeur, d’un effronté grimoire.

Il faut dire que l’arrivée inopinée de Vivianne, la maîtresse de maison, a bousculé les choses (qui pourtant allaient de bon train) et a obligé Lucie à prendre la fuite, craignant le courroux de sa patronne, vexée par ce carambolage qui s’est passé en son absence.

Une fois, les choses remises en ordre et après que la fautive ait torché le visage du bien heureux Victor, le maître des céans, (c’était la moindre des choses), Vivianne invite son monde à dîner et demande à Lucie de bien vouloir rester et faire le service. Ce qui rassure la pauvrette, persuadée qu’elle allait se faire corriger, après ses petites indélicatesses lubriques.

– Oui, madame, je suis à votre service et je regrette beaucoup (menteuse !) de vous avoir vexée.
– Je vous pardonne, ma chère, mais pour votre pénitence, vous voudrez bien faire le service en petite tenue. à poil s’il vous plaît et juste un petit tablier pour vous couvrir le nombril… Je suppose que ces Messieurs n’y verront pas d’objection. N’est-ce pas ! Les vicieux ?

Vous pensez bien qu’ils sont d’accord les messieurs (ils s’intéresseront plus au cul de la soubrette qu’à ce qu’elle va leur mettre dans l’assiette).

Lucie est satisfaite. Provocante, elle adore se promener le cul nu et elle entrevoit ou ressent même déjà quelques mains vagabondes lui tâter le patrimoine.

(Et puis la patronne, ça ne lui a pas tant déplu de voir son mari se faire emmouscaillé le bout du nez par le trou du cul de sa soubrette… Hi ! Hi !).

Il ne va rien se passer d’extraordinaire pendant ce repas, sauf quelques voluptueuses palpations des plus ordinaires, sur les fesses de la coquine… même qu’avec son doigt, ce cochon de Victor est allé voir s’il restait encore un peu de moutarde dans le troufignon de la belle, pour assaisonner la bonne soupe qu’elle est en train de lui servir. (N’en a-t-il pas reçu assez, tout à l’heure !).

De toute façon, les attributs de nos gentlemen épuisés, n’ont plus beaucoup de tenue.

Une grande déveine pour la Maîtresse de maison qui après une journée passée qu’entre femmes, se serait bien fait secouer les ovaires, ou déboucher le trou d’égout, sachant qu’il n’y a qu’un bon ouvrier pour faire ce genre de compliment et qu’à toute Nana, (même à pétasse libérée. !… ), il faut toujours un bon plombier !

Le lendemain, la bonne surprise est que Vivianne a invité pour le samedi qui vient, Igor, le bon et très cher ami de Victor, accompagné de son épouse Matilda, pour fêter, hélas, la fin du séjour de Gégé, leur bon neveu.

– Tu verras, qu’elle dit à ce dernier, ce sont de bons vivants. Lui s’entend bien avec ton oncle. Ils sont copains comme cochons. et son épouse n’est pas la dernière à mettre de l’ambiance.
– Ouille ! Tu as prévu la vaseline, j’espère !
– Mais tu parles de quoi, Victor ? … Ah, pour toi… Sans doute… !
– Humm !!

A ce niveau de notre histoire, il me faut ouvrir une grande parenthèse, pour vous expliquer d’où nous arrivent ces deux nouveaux personnages et amis de Victor, que nous ne connaissions pas jusque-là.

Oui, ce très cher ami, Victor le côtoie (et quand je dis côtoie… vous verrez par la suite où je veux en venir… ), depuis des années, alors qu’il avait vingt ans et des amitiés particulières avec des messieurs qui n’aiment pas vieillir.

On comprend de suite de quoi il ressort ce cher ami.

Un peu bourru, un peu sauvage, surtout cosaque, il est du genre à ne pas laisser se rouiller une rondelle. Et si vous êtes une Dame… avec lui, vous n’aurez pas le temps de vous ennuyer par devant, qu’il sera déjà planté dans vos arrières, pour revenir se graisser le pilon dans votre moniche, ma Belle ! Alors, gardez-vous le cul propre… (Bon, ce n’est pas bien ça ! Mais rappelez-vous que l’histoire se passe au début du siècle dernier. Ce qui n’excuse rien, mais… .Je vous le dit : c’est un sauvage ! Il existe et reste encore marqué par des légendes assez vivaces).

D’ailleurs, ce Monsieur il a des références (si on peut dire).

Ancien colonel de l’armée blanche (contre-révolutionnaire) il n’a pas été tendre envers ses adversaires. Il avait ses méthodes à lui, qui n’ont pas forcément plu à ceux ou celles qui fuyaient devant lui… . (Bon ! Vous suivez j’espère… .heureusement !).

Vaincu, dans la déroute, il échappe à la pendaison (il n’y a de la chance que pour les canailles !).

Il sauve sa fortune et s’installe à l’étranger où il se refait une moralité, ce qui ne l’empêche pas de pratiquer ses lubies, avec parcimonie (qui c’est celle-là… ) et entre connaissances averties et consentantes.

Ce qui en fait pour nos amis, un coquin rangé des voitures (comme on dit… ) qu’ils reçoivent avec les égards dus à son rang, vu ses meilleures dispositions en faveur de la nature humaine.

Il fait la connaissance de son épouse, à Paris.
Danseuse, elle vivait dans la haute société russe.
A la révolution, sa famille a été décimée.
A son tour elle est passée, par les vainqueurs, sens dessus, sens dessous, entre les jambes de gens pas très recommandables.
Elle s’enfuit et se retrouve seule, aidée et placée comme danseuse dans un cabaret à Paris, par un lointain ami de la famille.
Elle gagne chichement sa vie et arrondit ses fins de mois en vendant ses charmes, qu’elle a jolis et gentiment soumis à la générosité d’admirateurs bien montés, mais beaucoup plus cupides que charmants.

C’est dans ces circonstances qu’elle rencontre Igor. Elle a affaire à ses empressements, lui, il paie généreusement et leur même langage leur permet des relations plus chaleureuses
.
Bien sûr, elle a droit à sa façon brutale de procéder et à sa fameuse méthode pour faire le contour des dames.

C’est dur, mais déjà aguerrie par les vainqueurs, elle s’y prête assez gentiment et ses bonnes convenances, lui permettent de gagner la confiance de son nouvel ami. Il la loge dans un joli boudoir où elle peut recevoir d’ardents admirateurs, pour la plupart, des anciens collaborateurs d’Igor.

Son cul évidemment est mis dure école, mais avec la fréquentation de ces fiers messieurs, elle parvient à acquitter ses dettes vis-à-vis de son hôte.

Cependant, n’étant pas nunuche, et lui étant assez prévenant, elle réalise dans ses bras, un certain confort matériel et affectueux et même du plaisir à partager avec lui et ses anciens compagnons, de violents et jouissifs moments d’amours.

L’amour avec Igor, prenant le dessus, il la prend sous sa protection. Elle cesse de se prostituer et ils finissent par se marier comme de riches bourgeois.

Il l’appelle ‘ma pute à moi’. Ça ne la gêne pas, elle est contente car c’est grâce à son ancien métier, qu’elle se retrouve en affectueuse et rassurante compagnie.

Lui est fier d’épouser une femme expérimentée, jouisseuse et capable de partager avec lui des amours les plus débridés qu’elle n’ait jamais eus l’occasion d’exercer.

Il sait qu’elle lui donnera tout ! Il est prêt à en faire autant. Leur complicité leur permettra de continuer à vivre certaines folies, sans mettre en danger la solidité de leur union

Le mariage a lieu entre connaissances et entre adultes seulement, dans une riche demeure, un château loué à l’occasion, en un endroit perdu.

Il a peu d’amis. Quelques copains de beuverie et de coucheries. Nombreux ont eu le privilège d’avoir approché la Dame, de très près.

Plusieurs d’entre eux sont donc invités ce soir-là, avec leur compagne et quelques autres charmantes dames dévouées aux plaisirs des messieurs et avec lesquelles elle a passé aussi de gentils moments.

Ce qui fait pas mal de personnes, si on y ajoute, le pope, évidemment (très gentil… d’après certains invités… ), et des soubrettes en mal de mari qu’elles ont cloîtrés à la maison pour garder les mioches. Elles sont là surtout pour mettre un peu de fraîcheur au milieu de cette assemblée et, certes aussi, à l’occasion, pour s’acquitter de certains ménages qu’apprécient fortement les hommes quand ils ont le dos tourné. Sans oublier ces Dames, qui après quelque visites courtoises et profondes aiment bien sentir une langue experte, leur rafraîchir les entrées de service.

En plus de tout ce monde, Igor a remarqué un beau jeune homme, embauché pour le service. Un bel homme qui lui a plu dès qu’il l’a reçu. Belle prestance, potelet côté du bas du dos, la vingtaine passée. L’air serein, il a quelque chose de féminin. Avenant, il a des façons et des gestes qui plaisent à Igor. Il correspond à l’idée qu’il se fait d’un gars disposé à partager quelques faveurs en dilettante entre sa femme et son boulot, et pourquoi pas, remplacer la Matilda dans son lit, quand elle n’est pas là.

Bon Dieu ! Se payer un bon petit cul féminin agrémenté d’une paire de roubignolles, voilà qui devrait le changer de la mollesse de la pachole de son épouse et lui mettre du sel sur la queue (comme on dit !). Non pas qu’il est besoin d’être ragaillardi, le Colonel, mais quelques diversions de ce genre, ça entretient la forme et ce n’est pas Matilda qui va s’en plaindre !

Donc, décidé, il l’invite pour le mariage, sous prétexte d’aider au service tout en lui laissant entendre que, dans la maison on n’est pas contre quelques gâteries à partager, quand on est bien sage et qu’on fait bien le service.

Sage, vous pensez bien qu’il va l’être le charmant jeune homme. Avec tout le monde bien sûr mais surtout avec son protecteur qui lui fera vite comprendre sa satisfaction en lui tapotant au passage, la partie la plus charnue de sa morphologie.

Nous verrons plus tard, comment l’un et l’autre se sont finalement si bien entendus, qu’ils entreprennent des affaires ensembles et … .pas que des affaires financières.… .

Matilda choisit (en connaissance de cause, sans doute) un bon gros chef pour s’occuper du festin. Connaisseur, (après lui avoir montré ses preuves, certainement… ) il mettra les petits plats dans les grands, voire, le contraire… , (Hi ! Hi !… ça rentre plus difficilement les gros dans les petits… ), poivres, piments, vodka et même du Champagne, si l’offre de ces Dames venaient à faillir.

Sérieux, cuisine terminée, il va ramasser ses affaires et partir de bonne heure rejoindre sa fidèle et charmante épouse Bénédicte, qu’il n’a pas trompée depuis la dernière fois…

Donc, il ne participera pas aux réjouissances, mais il a prévu de laisser à disposition de ses hôtes, quelques noisettes de bon beurre du pays (préparé et recommandé par sa grand-mère) et même des saucisses (des fines et des bien grosses) pour les plus affamés.

Bon ! Il faudrait peut-être que j’arrête de baratiner sur la vie de ce fameux Igor, pour revenir à cette non moins fameuse soirée qu’envisage de faire Vivianne avec cet étrangement sympathique personnage.
Seulement je ne peux pas tourner ainsi la page de mon roman, sans vous raconter comment s’est passé ce célèbre mariage.

Ça va vous permettre d’apprécier ou non le bonhomme et sans doute de comprendre un peu l’histoire.

Donc retour aux quelques lignes où je vous dis que le cuistot a rangé ses affaires et est parti rejoindre sa fidèle épouse pour la dorloter là où ça lui fait du bien.

Lui faire du bien où ça ?…

Vous en demandez des choses !… Vous êtes bien curieux ou vicieux peut-être !… Où ça ?…

Eh bien je n’en sais rien moi ! J’en ai rien à foutre… Ce n’est pas moi qui vais justement … La foutre !
Remarquez que déjà… Vu la taille de la bedaine du prétendant… Elle ne sera pas dessous… hein !
Bon dessus, à plat, ventre à ventre… peut-être, … Allons-donc, elle va rouler par terre la pauvresse… Ce n’est pas possible… (Réfléchissez, mettez-vous à sa place… .Oups !).

Moi, je la verrai plutôt assise… .

Oui assise sur le bas du ventre de son percheron… En cavalière, en lui tournant le dos… C’est plus confortable, c’est plus flatteur, mais là… attention, la petite Dame… Ben vous savez que la position est délicate !

Là, il va voir du joli monde le Monsieur… De franches ouvertures .Du… Ouille !… Aïe !…
Hi ! Hi ! Ben oui… c’était fatal… Je vous l’avez dit…

Notez qu’il est cuisinier, alors il a le beurre sous la main… (Celui de la grand-mère, justement !).

Waouh !… Je vous jure qu’elle va sauter son amazone ! Oh combien elle va sauter !
… Elle va crier, vous me dites ?
Hé ! Ma bonne Dame… Il faut regarder où on pose son trou du cul avant de s’asseoir !
Non !… Ouille !
Hé !… Ce n’est pas le moment de crier au viol ! …
On ne t’a pas poussée, ma Belle !
Voyez bien comme elle jouit sur son nounours …
Pfft ! Toutes pareilles…
Non pas toutes… Heureusement
Bon ! Souhaitons-lui une bonne enculade et retournons à nos moujiks.

La fête commence par l’apparition de la Mariée tout habillée de voiles blancs et transparents, accrochée au bras de son promis en tenue d’ex-colonel de la garde impériale. Ils sont encadrés par quelques ex-hussards nostalgiques des grandes gabegies de l’empire et prêts encore à se défoncer, mais pas pour la même cause.

Fiers dans leur veste rouge et leur pantalon bleu qui leur collent au cul. Ils ont une grosse bosse entre les jambes et à leur bras une Dame de la ‘haute’, affublée d’un chapeau à la mode et d’un chemisier grand ouvert sur leur trésors mammaires qui ballottent au rythme de leurs fesses emmitouflées dans une robe flottante, qui ne semble chercher qu’à s’évaporer.

La grande table est servie. Le maître des lieux donne le signal et c’est le commencement d’un long repas. Une succession de plats divins, abondant, épicés et de boissons à volonté.

Les bouteilles se vident, les verres débordent, les tenues vestimentaires se dégrafent et tombent sur le sol, au point que bientôt, nous avons toute une troupe de galants qui tripotent leur compagne, leur compagnon ou bien des autres, sans que personne ne s’en offusque évidemment. (C’est bien comme cela que je conçois la fête… et vous ? … Non !)

L’ambiance est bonne, chaude certainement, mais le Champagne qui n’a pas encore été servi est réclamé par l’assistance.

Heureusement le Chef avait prévu déjà au milieu de la table, une pyramide de verres pour y verser, traditionnellement le fameux breuvage.

Le moment fatidique arrive, mais on ne voit, ni officiant, ni même les bouteilles si attendues !

C’est alors que Matilda grimpe en majesté sur la table, quitte ses voiles blancs qu’elle laisse chuter sur la nappe.

Nue, elle n’a pas quitté ses souliers hauts, elle piétine ses vêtements et entame un va et viens de long en large sur le meuble pour se faire admirer sous toutes les coutures.

Mais des coutures, il n’y en a pas…

Il y a un magnifique corps féminin, nu, blanc et frissonnant comme une aigrette sur le bassin du château.

Posé sur une paire de longues jambes albâtres, des jambes à vous donner le tournis… Un cul… Oh quel beau CUL ! Fendu, cachottier, souriant aux deux encoignures, prêt à s’ouvrir comme un fruit mûr.

En-dessous de la raie de ce beau cul, une touffe, un buisson ardent, frisottant, un nid d’oiseau !
Au-dessus, un dos plat mais ferme, fait pour y passer dessus, une nuit entière.
Le cou d’une biche, des cheveux noirs qui recouvrent des épaules de statue grecque … .
Et ce visage !… ses yeux, sa bouche, ses joues teintées de rose et son bout du nez capable certainement de s’aventurer dans tous ces coins et ces recoins que recèle l’amour.
Et que dire de cette langue furtive, mais insidieuse… Un appel à la libation, à la déraison, non sans se précipiter avant sur ces deux superbes pommes d’amour, sur cette gorge fière, pointue, insolente, avec ses gros mamelons brun, et ses tétons d’acier qui pigeonnent, effrontés aux bouts des seins, comme les gargouilles sur les tours de Notre Dame !

Et que vous dire de plus, si non que cette Dame qui se promène lentement au-dessus des visages époustouflés de l’assistance, en soulevant la fesse, en écartant ses jambes, en laissant traîner la cheville, en relevant ses nichons, cette Dame qui se dirige maintenant devant la pile de coupes qui attendent la boisson.

Elle avance. Elle écarte les jambes, ouvre les cuisses et se place juste au-dessus de la pyramide… chatte béante.

Après avoir lancé un regard malicieux vers l’assemblée qui est là, muette et figée, et après avoir respiré un bon coup… ..elle pisse, la jolie Dame. !
Oh grand Dieu comme elle pisse!
Un de ces gros pipis bruyant que seul certaines peuvent faire, tant elles ont bu de bière, de vodka, de vin et d’autres choses … .
Un flot, un torrent, les chutes du Niagara, le déluge…
Elle pisse en faisant du boucan, l’impolie !… Elle écarte sa vulve avec les doigts pour bien viser le premier verre… On peut distinguer le petit bouton de son trou à pisse.
Ça coule de verre en verre et ça les remplit, l’un après l’autre, d’un superbe liquide jaune doré et translucide.

Et ça coule, et ça coule… ça s’arrête, ça reprend par petits jets … Elle jette en même temps des regards désinvoltes vers les uns, vers les autres,

Quand elle a presque fini, elle pousse encore un peu avec son ventre et en serrant les fesses. Elle égoutte soigneusement la dernière perle de nectar avec son index qu’elle agite au bord de son vagin, puis qu’elle porte directement sur ses lèvres pour apprécier le bon jus.

Tandis que dans la salle se diffuse un discret mais délicat parfum, légèrement piquant, un peu sucré, un arôme envoûtant, un nuage d’effluves chaudes et féminines.

Bref et surprenant de friponnerie mais délicieux elle vous largue un mélodieux petit pet de soulagement, et la cochonne se retourne devant ses invités, fière, satisfaite et souriante, la touffe étincelante de mille petits éclats aux couleurs chatoyantes.

Alors, avec son mari maintenant, qui est venu la rejoindre, tout aussi nu qu’elle, ils prennent chacun un verre…

– A la santé des nouveaux mariés et de tout le monde, s’écrient-ils en engloutissant la bonne boisson.

Alors chaque invité vient à son tour, récupérer le délicieux breuvage pour le siroter avec plaisir, tandis que toujours debout, l’un contre l’autre, nos deux amoureux s’unissent profondément, et sous les applaudissements des convives.

Il la soulève en la tenant par les fesses et elle lui plante ses chevilles dans les reins. Il s’enfonce en elle jusqu’aux couilles, ne laissant dépasser entre ses cuisses que sa grosse paire de roustons.
Dieu ! Qu’ils sont beaux !

Deux soubrettes, nues aussi, accourent pour les soutenir, leurs mains afférées à cajoler, leurs fesses, le trou du cul de Madame, et les burnes du Monsieur ! … C’est le Paradis !

Aussi, à partir de là, la fête bat son plein.

Tout le monde se remplit, tout le monde se vide et je crois que plus personne ne reconnaît les siens. Ça copule à tout vent, sans savoir qui est qui…

Il paraît même que, Igor, cherche partout sa Matilda… Il en essaie une… ce n’est pas la bonne… puis une autre… ah pardon… c’est un hussard !

Il finit par la trouver en 69 sur le ventre du cuistot… oui, vous savez celui qui était parti dégourdir un peu sa nunuche qui s’ennuyait à la maison. Il l’a enculée gentiment sa chérie, avant de la remettre dans son grand lit blanc, mais vide (J’ai encore du boulot qu’il lui a dit) et il est vite revenu s’essuyer la quéquette sur les fesses des joyeux fêtards.

Il n’y a plus de retenue… plus de ‘ s’il vous plaît’… Ni même de ‘voulez-vous ‘madame… voulez-vous monsieur… ..

Non, il n’y a plus que du bon amour, de l’amour universel…
Il n’y a que, des queues en culs… des bouches bâfrées,… des cons foutus… des mains poisseuses… des seins… oh des seins chocolat !…
C’est à vous ça, madame ? Ah non c’est le cul du fiston ! … Mais celui-là, alors !… Putain qu’il est serré !…
Mais qu’est-ce que vous me mettez sur le nez, cher ami !… .Ah, pissez maintenant !

C’est l’orgie jusqu’au bout des bouts… Jusqu’au fond des trous…
C’est l’orgie jusqu’à midi !
Ce sont des fesses qui trinquent… Des tétons que l’on pince…
Ce sont des peintres à l’œuvre… Des chieuses au boulot… Du boulot pour les lavandières.
Des jambes déglinguées… Des bites en perdition… .Des chairs étalées… .
Des tas de corps… Des corps en tas !.
.
Bon je ne vais pas tout vous raconter. Vous êtes assez grands et responsables pour continuer la musique…

Ils font évidemment tout ce que vous aimeriez faire à leur place si vous y étiez. Malheureusement vous n’y êtes pas.

Vous n’êtes pas des moujiks… Moi non plus d’ailleurs… .

Alors faites votre possible avec papa, maman, cousins, cousines, la bonne et vos amis… et le pope… .
Et quand on ne peut pas il reste le plumard pour rêver et le poignet pour se branler à volonté…
Je crois que c’est ce que je vais faire aussi…
Alors bonne nuit, les petits !

05/07/2025

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3 réponses à Histoires de bons plaisirs… Mariage… par Verdon.

  1. apijo54 dit :

    la liberté devrait ressembler à cette histoire , le plaisir absolu, sans retenues, sans complexes , ni honte

  2. Grasset dit :

    Das ce monde de plus en plus triste, heureusement qu’il reste de Joyeux noceurs !

  3. Heurtebise dit :

    Un marriage lubrique qui fout la trique

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