Henri le chien à deux pattes – 02 – Le chien de baise par Henri Kenney

Henri le chien à deux pattes – 02 – Le chien de baise par Henri Kenney

Je me souviens de la tête vicieuse de la vendeuse. Je me souviens du regard méprisant qu’elle me lança. J’étais anesthésié.

Une fois dans son appartement, Carole-Anne me demanda de remettre le collier de chien, m’ordonna de me déshabiller, d’entrer nu dans la cage. Ce n’est que plus tard que j’ai réalisé ce qui se passait, quand elle a glissé dans ma cage la gamelle remplis de pâté gluante.

-Tu as faim, voilà ton repas. Ce sera tout ce que tu auras à manger.

Elle ajouta sentencieusement, d’une voix qui me fit frissonner :

-Désormais, tu m’appelleras Marraine.

Carole-Anne avait fait de moi son  » chien humain  » ; déjà, Elle s’employait à me donner ma juste place, à me dresser.

Ce qui fait que je ne suis pas révolté, c’est qu’Elle mettait en jeu du désir sexuel dont l’intensité me galvanisait. Les choses avaient l’allure d’un drôle de conte de fées. Pourquoi me révolter si on prend du plaisir ?

Dès le lendemain de mon adoption et de ma captivité, Marraine me fit sortir de la cage. J’étais nu je la regardais par-dessous, docile, craintif. J’appris que ce regard avait le don de lui plaire, même de l’exciter.

Elle me passa la laisse, et m’entraîna dans le couloir en me faisant marcher à quatre pattes, ce qui serait désormais ma station naturel.

-Tu aimes les belles choses ? Me demanda-t-Elle

Je murmurai un  » oui, Marraine  » qui sonna comme  » oui, ma Reine  »

-Alors, tu vas attendre ici. Dans dix minutes, tu vas te poster devant la porte de ma chambre. Tu vas regarder par le trou de la serrure. Quand je te ferais signe, tu rentreras.

Je hochai la tête. Marraine disparut dans le couloir. Son déhanchement faisait onduler son cul large, bombé, qui tendait agréablement sa jupe. Je me sentais très excité.

J’attendais. Quand les dix minutes furent écoulées, je zyeutai par le trou de la serrure. Carole-Anne trônait sur son lit dans une pose langoureuse, obscène, fesses levées, tête posée sur l’oreiller.

Elle s’était changée : elle ressemblait à une entraîneuse de film western. Vêtue d’un corset, de bas noirs ouvragés, Elle portait une paire de bottes rouges de marque santiags, un chapeau de cow-boy orné d’une frange de lanière de cuir.

Se contorsionnant dans ma direction, Elle me dévisageait à travers du trou de la serrure. Avec une douceur infinie, Elle caressait son sexe glabre. Elle écartait ses lèvres luisantes de mouille, caressait son clitoris, plongeait ses doigts dans son vagin. Ses doigts fins entraient et sortaient de sa fente carminée : Elle se ramonait le vagin. J’entendais le bruit mouillé que faisaient ses doigts en pénétrant dans la chatte ; bientôt, sa main fut recouverte d’une mouille épaisse. Carole-Anne continua ainsi jusqu’à ce que son sexe soit bien élargi, parfaitement trempé ; alors, avec la pulpe du doigt, elle se caressa l’anus.

Je ne savais où poser le regard. Il y avait sa bouche maquillée de rouge, ses yeux soulignés de bleu. Puis il y avait ses doigts fins, recouverts de liqueur intime, et ce sexe nacré, de mouillé et cette tenue de cowgirl lubrique ! Carole-Anne sortit des boules de geisha de sa table de nuit. Enfin Elle me fit signe d’entrer. Une grande armoire à glace reflétait sa nudité.

-Vient ici, fais le beau ! Dit-Elle.

J’arrivais à quatre pattes, en tirant la langue. Je m’agenouillai au pied du lit. Carole-Anne s’approcha de moi, reprit son ballet sensuel tout en tenant ma laisse et en tirant dessus.

– Tu aimes ma tenue de cowgirl ? Demanda-t-Elle d’un air mutin.

Je fis  » oui  » de la tête ; Elle m’ordonna d’embrasser ces bottes.

– Quand j’aurais cette tenue de cowgirl, tu m’appelleras Suzie, c’est compris ?

– Oui Suzie, fis-je, docile.

Avec une sensualité de chatte, Elle se masturba devant moi. Ses doigts luisaient de sécrétions. Elle tira sur ma laisse, fourra ses doigts sous mon nez pour me les faire flairer.

– Sens l’odeur de ta Maîtresse. Je vais t’apprendre à la reconnaître.

L’odeur de femme m’affolait ; Je voulus lui lécher les doigts, mais au moment où je sortais la langue, Elle tira si fort sur la laisse qu’Elle m’étrangla, puis Elle me gifla violemment au visage.

– Tu es mal dressé, je crois que je vais avoir besoin de cette Miss Katarina, comme me la conseillé la vendeuse, dit-Elle durement.

En fait, ce furent les boules de geisha qu’Elle me fit sucer. Elle se tourna, présenta son cul devant mon visage. Sa croupe était délicatement mise en valeur par le corset ; Il me semblait qu’Elle avait augmenté de volume.

Son anus, qui saillait au creux de sa raie profonde, dégageait une délicieuse odeur fauve. Elle y introduisit lentement les boules de geisha. Son orifice, qui les gobait une à une, se dilatait à mesure qu’elle devenait plus grosse. Bientôt, ne dépassa plus que l’anneau retenant la ficelle, qui formait comme une alliance au doigt de Carole-Anne

Tout en se masturbant, Elle faisait ressortir chacune des boules de son anus béant. Elle prit la laisse, me tira vers Elle.

– Ouvre la bouche, m’ordonna-t-Elle.

Elle plaça le chapelait tout chaud sorti de son cul sur ma langue, comme une grappe de raisin.

– Allez mon chien suce les boules maintenant !

C’était amer, mais je me sentais très excité d’avoir à lécher l’objet érotique. Je me prêtais au jeu avec zèle. Carole-Anne écarta ses cuisses magnifiques ornées de bas ouvragés, releva ses jambes sur sa poitrine, tira sur ma laisse.

– Viens me lécher ! Ordonna-t-Elle.

Sa chatte était délicieusement odorante. Elle sentait la femme : une forte odeur de coquillage, qui m’affolait. Je collais ma bouche au sexe glabre pour le goûter. Le mont-de-Vénus avait un goût âpre de sueur, tandis que la vulve, dégoulinante de mouille, était salée. Je la léchais lentement, faisant aller ma langue entre les lèvres, pénétrant son sexe, pour lécher l’intérieur du vagin. Ensuite je me mis à téter son clitoris, à y donner des petits coups de langue rapides, elle gémissait de plaisir.

– Oh, oui, vas-y… Des petits coups de langue, comme un chiot qui lape !

Elle roucoulait de volupté ; une coulée de mouille au goût iodé me poissait la bouche et la langue, se mélangeait à ma salive. Elle mit sa main sous mon cou, poussa un gémissement quand elle me senti déglutir. Au bout de quelques minutes, elle repoussa mon visage.

– Mets-toi au bord du lit… pénètre-moi ! Dit-elle d’un ton autoritaire.

Elle me laissa prendre place entre ses cuisses ; d’une main douce, elle dirigea ma queue vers son anus.

– Tu vas commencer par-là, annonça-t-elle d’une voix grave.

La pointe du gland touchant son anus, je poussais lentement. La petite fleur de chair se distendait ; elle goba mon gland sans difficulté.

– Ne bouge plus, murmura Marraine, je m’habitue…

Elle releva bien ses jambes, m’invita à m’enfoncer dans son cul. Mon sexe coulissait dans son conduit étroit et chaud. J’étais tout excité de commencer par une sodomie. Lentement, je faisais ressortir ma queue, gardant juste mon gland dans son anus, puis je poussais à nouveau lentement, pour m’enfoncer cette fois au maximum dans le trou du cul.

Être pénétré par cette voie l’excitait plus que par la voie normale. Son sexe bavait une mouille épaisse qui poissait ses grande lèvre, faisait luire sa fente glabre. Ça me faisait un drôle de voir cette femme corsetée, habillée comme un cow-boy avec un chapeau et ses botte. Elle fermait les yeux, concentrée sur l’enculage. Elle se cambra, ce qui fit ressortir mon pénis de son orifice, comme un gros suppositoire.

– Tu vas me baiser, dit-elle dans un souffle.

La chatte de Carole-Anne était si mouillé que ma queue s’y enfonça d’un seul coup, en émettant un bruit humide. C’était une vrai fournaise à l’intérieur ; je cru que j’allais éjaculer. Elle releva les cuisses, enserra ma taille avec ses jambes croisées, je sentais le talon de ses bottes contre mes reins ; elle s’agrippait à mes épaules.

– Vas-y, baise-moi fort ! Grondait-elle. Prends-moi par la taille !

J’agrippai le corset qui la faisait ressembler à une poupée Barbie lubrique. Là, j’ai entamé un va-et-vient rapide, m’enfonçant au maximum dans son vagin chaud. Son sexe était si distendu que le fond du vagin émettait un bruit pet mouillé à chaque pénétration.

Par hasard, je jetai un coup d’œil vers l’armoire ; le miroir me renvoya mon image. Juché sur la pointe des pieds, arc-boutés au-dessus de ma Maîtresse qui me tenait en laisse, je donnais des coups de reins frénétiques comme ceux d’un lévrier en besogne.

Cette image de chien monté sur une belle femme en chaleur m’excitait au plus haut point. C’était vraiment bestial ; je pistonnais ma Maîtresse véhémence.

– Ah, oui c’est bien, plus fort encore ! Ressors ta queue de ma chatte, renfonce-toi d’un coup ! J’aime quand c’est violant… Carole-Anne, qui gardait les yeux fermés.

Ses bottes santiags lacéraient mes reins ; ses mains griffaient mes épaules ; ses seins, ressortant du corset comme des melons trop mûrs, ballottaient comme de la gelée. Je pointais mon gland entre ses grandes lèvres baveuses, fourrai brutalement sa chatte, qui émit un bruit de pet sonore.

– Oui, c’est bien tu es un bon chien de de baise ! J’aime quand ma chatte fait des bruits obscènes ! Continue, bourre-la bien… T’as intérêt à bien me la remplir !

Avec son maquillage et sa tenue sexy, elle ressemblait à une pute de luxe. Les yeux grands ouverts, elle me regardait intensément, à présent, en geignant de plaisir. J’étais tout à elle ; elle me dominait. Je n’étais rien d’autre à ses yeux qu’un animal de sexe, un simple objet de plaisir dont elle pouvait disposer selon ses envies ; cette image de moi me plaisait.

Elle resserra son étreinte autour de ma taille, s’agrippa plus fort à moi, et d’une main rajusta son chapeau de cow-boy. Je pris de l’élan, donnai plusieurs grands coups de reins entre ses cuisses. Poussant un grognement sauvage, j’ai éjaculé comme un fou au plus profond de son vagin. Des secousses me traversaient, signe que me vidais abondamment. Carole-Anne poussa un cri de plaisir et de surprise en sentant le sperme gicler au fond de son sexe ; aussitôt, d’un mouvement de chatte, elle comprima ma queue entre ses petites lèvres.

Toujours au-dessus d’elle, je me laissais aller. Je m’écrasais de tout mon long sur son corps, qui me paraissait tout doux, accueillant. Comme un enfant, j’enfouissais mon visage entre ses seins, lourds, où perlaient des gouttes de sueur, que je lapais avec reconnaissance. Maîtresse surprise peut-être, s’abandonnant à mes élans de tendresse, me caressait doucement les cheveux. Enfouie au fond de son vagin bouillant, inondé de jus, ma queue s’amollissait. Mes dernières gouttes coulaient de mon gland.

FIN DU CHAPITRE -2-

(À SUIVRE…)

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